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Perrine Mouterde

2025

Alors que les négociations sur le budget de l’Union pour la période 2028-2034 doivent débuter, des chercheurs s’inquiètent de voir la protection de l’environnement reléguée au second rang des priorités.
Une étude évalue le coût de la compensation carbone, de plus en plus utilisée par les entreprises pétrogazières, et la superficie qu’il faudrait couvrir de forêts si toutes les réserves de charbon, de pétrole et de gaz étaient brûlées.
L’Agence internationale de l’énergie atomique assure qu’aucune hausse de la radioactivité n’a été observée en Iran, mais elle s’inquiète des risques que fait peser ce conflit sur les installations.
Selon une étude de la British Antarctic Survey, la population de cette espèce polaire a décliné de 22 % en quinze ans, en raison de la perte de glace de mer et d’autres conséquences du réchauffement climatique.
Après plusieurs années d’instruction et une forte mobilisation de la société civile, la préfecture a signé un arrêté rejetant la demande d’autorisation portée par la société canadienne Vermilion.
La Cour des comptes estime que la situation financière de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs est « saine et robuste », mais alerte sur l’urgence de gérer certaines catégories de déchets.
Selon l’Observatoire mondial des forêts, 6,7 millions d’hectares ont disparu en un an dans ces écosystèmes cruciaux pour le climat et la biodiversité. Un niveau jamais atteint depuis deux décennies.
La montée en puissance de l’éolien et du solaire en France, alors que la demande ne suit pas à la même vitesse, pose de nombreux défis pour la gestion du réseau électrique, du parc nucléaire et des finances publiques.
Le déploiement des technologies bas carbone limite la croissance des émissions, mais le réchauffement climatique contribue à accroître la demande en électricité, souligne l’Agence internationale de l’énergie.
L’agence américaine de crédit aux exportations a approuvé un prêt de près de 5 milliards de dollars pour Mozambique LNG, ce qui avait été refusé sous l’administration Biden.
Après avoir été brutalement suspendue en Colombie fin 2024, la 16ᵉ conférence mondiale sur la biodiversité reprend en Italie. La question du financement de la protection de la nature sera de nouveau au cœur des discussions.
Alors que plusieurs indicateurs montrent un affaissement des objectifs de décarbonation de la France, les acteurs de la cause climatique craignent un abandon des efforts de transition écologique, alimenté par la crise politique.

2024

L’IPBES, le « GIEC de la biodiversité », publie une évaluation qui démontre que traiter chaque problème de manière isolée aggrave la situation globale.
Un rapport des Nations unies publié pendant la COP16, organisée en Colombie, rappelle que la superficie des aires protégées doit doubler sur terre et tripler en mer au cours des six prochaines années.
Les pays réunis en Colombie à partir du lundi 21 octobre devront avancer sur les mécanismes de compensation versés pour l’utilisation de génomes de plantes ou d’animaux, stockés dans des bases de données aujourd’hui en libre accès.
La 16ᵉ conférence mondiale sur la biodiversité s’ouvre lundi 21 octobre en Colombie, avec comme enjeu central la mise en œuvre de l’accord de 2022, qui vise à mettre un terme à la perte d’espèces et d’écosystèmes d’ici à 2030.
L’agriculture intensive a entraîné la destruction d’espèces assurant des fonctions cruciales comme la pollinisation, le contrôle des ravageurs ou la fertilisation des sols, ce qui affecte désormais certaines productions.
Alors que l’Agence internationale de l’énergie s’apprête à publier son rapport annuel, mercredi, les pays producteurs qualifient de « fantasme » ses prévisions qui annoncent une diminution de la consommation de charbon, de pétrole et de gaz d’ici à 2030.
Le nouvel « indice planète vivante », publié par le Fonds mondial pour la nature (WWF), reflète le déclin continu de la biodiversité à quelques jours de l’ouverture de la COP16, en Colombie.
L’interprofession France Bois Forêt conteste l’agrément octroyé à cette organisation au titre de la protection de l’environnement. Une démarche inédite révélatrice des tensions sur le sujet de la gestion forestière en France.
Une étude démontre que les feux de forêt de 2023 ont émis 8,6 milliards de tonnes de CO₂ et que ces événements extrêmes vont se multiplier.
Mohammad Yunus, Shirin Ebadi et 75 autres Prix Nobel et anciens dirigeants appellent à ne pas ignorer la principale cause du réchauffement lors du Sommet de l’avenir prévu en septembre.
Seuls huit des vingt principaux pays concernés par le phénomène ont des objectifs chiffrés de réduction de la perte de forêts dans leurs plans climatiques nationaux.
La publication annuelle de l’Observatoire mondial des forêts, le 4 avril, confirme également l’ampleur exceptionnelle des destructions engendrées par les incendies au Canada en 2023.
Selon la nouvelle édition du rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), la production et l’utilisation d’énergies fossiles ont généré environ 120 millions de tonnes d’émissions de méthane. Dix pays, notamment les Etats-Unis et la Chine, sont responsables des deux tiers d’entre elles.
Biomasse, métaux, minerais, matières fossiles… Les Nations Unies appellent à « infléchir la trajectoire » de l’usage des ressources planétaires, qui pourrait croître de 60 % d’ici à 2060 si rien n’est fait.

2023

Un rapport des Nations unies et de différents organismes de recherche démontre à quel point les projets des principaux pays producteurs de charbon, de pétrole et de gaz sont en décalage avec les scénarios permettant de limiter le réchauffement à 1,5 °C.
Les gouvernements sont appelés à cesser d’octroyer de nouveaux permis d’extraction de charbon, de pétrole et de gaz, alors que dix pays concentrent plus des trois quarts des sites les plus émetteurs de CO2.
L’Agence internationale de l’énergie appelle à tripler la production d’énergie renouvelable et estime que les consommations de charbon, de pétrole et de gaz pourraient décliner dans les prochaines années.
Alors que l’état de santé de ces écosystèmes est désastreux, les changements de pratiques agricoles imposés par les Etats membres sont « limités », voire inexistants.
Une étude, publiée jeudi, quantifie les différents usages que les hommes font des animaux et leur impact global sur la biodiversité.
Une méta-analyse démontre que ces substances réduisent la diversité et l’abondance des organismes vivant dans la terre, notamment lorsqu’elles se cumulent.
Etude après étude, l’ampleur des effets des produits phytosanitaires sur la biodiversité, qui s’effondre à une vitesse vertigineuse, continue de se préciser. Pour les oiseaux, suivis et comptés depuis des décennies par des bataillons de scientifiques et de bénévoles, une étude majeure publiée en mai a pu démontrer que l’usage des pesticides et des engrais était la première cause de leur déclin en Europe. Pour les collemboles, les acariens, les araignées ou les vers de terre, le diagnostic demeure moins affiné.
L’ONG Reclaim Finance a passé au crible les engagements des neuf principales entreprises européennes et américaines, dont TotalEnergies, Shell, ou Chevron, qui affirment vouloir atteindre la neutralité carbone en 2050.
Pour la première fois, plusieurs institutions, dont le GIEC, considèrent les modes de vie et les usages de l’énergie comme un paramètre important pour endiguer le réchauffement.

2022

Entre l’accord de Paris sur le climat, celui sur la biodiversité et les objectifs de développement durable, les avancées étaient loin d’être gagnées dans un contexte de multiples crises. Mais les promesses restent insuffisantes et leur mise en œuvre pose question.
Selon une estimation mensuelle publiée par le Citepa, les émissions liées à la production d’électricité sont en forte hausse en France au cours des neuf premiers mois de 2022.
De plus en plus de scientifiques appellent à aborder ensemble les deux questions, le réchauffement aggravant la destruction des écosystèmes – et vice-versa.
Une seule installation au monde, appartenant au géant Rosatom, permet de « recycler » l’uranium déchargé des réacteurs français.




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