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2025

Si certains profils sont plus à risque, aucune catégorie de la population n’est épargnée par l’angoisse liée à la catastrophe environnementale en cours, selon une étude de l’Ademe.
Alors que le réchauffement climatique et les problèmes environnementaux ont tendance à s’aggraver, l’un des problèmes majeurs de ce siècle semble être les déchets plastiques. Il y a peu, une infographie très parlante évoquait la manière avec laquelle l’humanité traite ce type de déchets.
Dans un monde saturé par les déchets plastiques, des chercheurs japonais ont franchi une étape décisive en mettant au point un carton transparent. Cette percée technologique illustre comment l’innovation peut contribuer à la recherche de solutions durables face aux défis environnementaux que pose le plastique.
Bedrijven die kleine plastic korrels produceren of vervoeren, zullen extra maatregelen moeten aannemen om hun (onbedoelde) vervuiling zoveel mogelijk te verminderen. Dat heeft het Europees Parlement samen met de lidstaten beslist. De nieuwe maatregelen houden rekening met zowel het belang van de industrie als dat van het milieu.
"La Seine et des microplastiques", dit une étude publiée vendredi dans la revue "Environmental science and pollution research" et qui montre que les microplastiques polluent les fleuves d’Europe. Cette recherche se base sur 2700 échantillons, relevés en 2019 dans neuf fleuves du continent : la Seine, l’Elbe, l’Ebre, la Garonne, la Loire, le Rhône, le Rhin, la Tamise et le Tibre. Quarante chercheurs ont procédé à ce recueil et l’analyse de ces eaux.
Des études scientifiques sur neuf grands cours d’eau montrent une pollution « alarmante » en petites particules. Pour la première fois, une bactérie virulente pour les humains a été retrouvée sur des microplastiques.
Nocives pour la santé et l’environnement, capables de charrier bactéries et produits toxiques, ces particules souvent invisibles à l’œil nu sont omniprésentes dans la Garonne, la Tamise ou le Tibre, dévoile ce lundi une étude inédite.
Les plastiques sont partout, de nos océans à nos poumons. Mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, ils ne disparaissent jamais vraiment. En se fragmentant, ils deviennent des polluants invisibles, encore plus dangereux pour notre environnement et notre santé.
Depuis l’accident survenu au large du Royaume-Uni le 10 mars, des microbilles de plastique s’échouent dans la baie du Wash, une zone sensible qui héberge de nombreux oiseaux marins menacés.
Les microplastiques sont devenus l’une des préoccupations environnementales majeures du vingt et unième siècle. Ces minuscules fragments de plastique, généralement de moins de cinq millimètres, se retrouvent désormais partout : dans l’air que nous respirons, dans l’eau que nous buvons et dans la nourriture que nous consommons. Néanmoins, ce qui est encore plus inquiétant, c’est que les microplastiques ont été retrouvés dans des parties du corps humain telles que les poumons, les reins, le foie, le cœur et même le cerveau. Ce phénomène soulève une question fondamentale : les microplastiques représentent-ils un danger réel pour notre santé ?
Our study presents a global assessment of microplastic pollution’s impact on food security. By analyzing a comprehensive dataset of 3,286 records, we quantify the reduction in photosynthesis caused by microplastics across various ecosystems.
C’est la première trace de pollution repérée dans la région, une semaine après qu’un cargo a percuté un pétrolier, lundi 10 mars, au large des côtes du nord-est de l’Angleterre.Des granulés de plastique ont été découverts dans l’eau et sur le littoral de l’est de l’Angleterre, une semaine après la collision en mer du Nord entre un porte-conteneurs et un pétrolier, suscitant lundi une «profonde inquiétude» de la part de la Société royale de protection des oiseaux.
Une opération de récupération de ces pastilles, mesurant entre 1 millimètre et 5 millimètres, a démarré et des spécialistes dans la lutte antipollution ont été mobilisés, ont annoncé les gardes-côtes britanniques.
La ministre de la transition écologique, Agnès Panier-Runacher, a annoncé mardi qu’elle soutiendrait une proposition de loi visant à maintenir l’interdiction de couverts et assiettes en plastique réutilisables dans les cantines scolaires.
Dans une nouvelle étude, des scientifiques révèlent des résultats pour le moins inquiétants. Certains oiseaux marins contaminés par la pollution plastique développent des maladies similaires à Alzheimer ou Parkinson.
Les microplastiques ne se contentent pas de polluer l’environnement : ils perturbent aussi la photosynthèse, un processus clé pour la vie sur Terre. Cette menace, révélée par une étude récente, pourrait réduire la productivité agricole et exposer jusqu’à 400 millions de personnes à la famine d’ici vingt ans.
Alors que le fascisme a pris le pouvoir aux États-Unis et que l’extrême droite prospère en Europe, notre planète continue de brûler et des millions de vies s’en retrouvent brisées. Pourtant, de plus en plus de responsables politiques font tout pour nous le faire oublier tout en jetant de l’huile sur le feu.
À tort et à couverts. Alors que les contenants en plastique sont interdits dans les services de restauration scolaire depuis le 1er janvier, le gouvernement souhaite déjà revenir sur cette décision. Plusieurs associations protestent contre la proposition d’un décret qui lèverait cette restriction destinée à limiter l’impact environnemental et sanitaire de ces ustensiles.
Un projet de décret ouvre la voie à un retour des couverts et de la vaisselle en plastique dans les cantines scolaires, afin d’éviter un nouveau recours des professionnels de la plasturgie.
Des études antérieures ont déjà mis en évidence la présence de microplastiques dans plusieurs organes humains, notamment les poumons, le foie, les reins et même le placenta. Plus récemment, des recherches menées sur des modèles murins ont révélé que ces particules pouvaient s’accumuler dans la circulation sanguine cérébrale, entraînant des obstructions et menant parfois à des troubles neurologiques.




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