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2025

Tandis que la première phase du plan américain de paix a été enclenchée, le chef de la diplomatie israélienne, Gideon Saar, a fustigé la réunion qui doit se tenir à Paris, jeudi, entre plusieurs pays européens et arabo-musulmans, afin d’examiner les modalités de la stabilisation de la bande de Gaza après la cessation des hostilités.
Face à la contestation des autorités de Chicago et Portland et des tribunaux, le président américain a invoqué l’Insurrection Act, une loi de 1807 qui permet de mobiliser certaines forces armées contre des citoyens américains.
La mesure a été annoncée ce samedi par le ministre de l’Intérieur démissionnaire pour 127 villes et village du sud-est et de l’ouest de la France, après les intempéries qui ont fait un mort en Bretagne en début de semaine.
Le deuxième mandat présidentiel de Donald Trump marque le retour en force de la religion aux États-Unis. Une montée en puissance en politique et dans l’espace public comme en témoignent les 65.000 personnes rassemblées dans le stade de Gendale en Arizona pour rendre hommage au "martyr" Charlie Kirk. Trump a séduit les électeurs évangéliques et une partie des chrétiens conservateurs. Il est soutenu par l’extrême droite antisémite mais aussi par la droite juive pro-israélienne, une "synthèse que seul Trump est capable de faire". Le 47e président américain a réussi à convaincre cet électorat malgré sa personnalité extravagante, éloignée des préceptes religieux. Calcul politique ? À n’en pas douter. Et depuis son investiture, le conservatisme religieux se déploie.
Les dirigeants japonais et sud-coréens vont participer à la 80ᵉ Assemblée générale de l’ONU à New York, mais aucun des deux ne suivra la décision de la France. Washington a insisté pour qu’ils ne franchissent pas le pas.
Intervenue à la veille du discours d’Emmanuel Macron devant l’Assemblée générale de l’ONU, la décision de Londres, allié historique d’Israël, revêt une portée particulière : c’est le ministre des affaires étrangères britanniques, Lord Balfour, qui avait favorisé, en 1917, « l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif ».
Emmanuel Macron doit prononcer son discours de reconnaissance de la Palestine, lundi 22 septembre dans l’enceinte des Nations unies à New York. En guise de représailles, Israël envisage de fermer le consulat français de Jérusalem et d’annexer une partie de la Cisjordanie.
L’Assemblée générale de l’ONU, qui se tient jusqu’au 23 septembre, se prépare à un vote crucial, sur la reconnaissance officielle de la Palestine. Ce scrutin est perçu comme un levier de la dernière chance pour relancer une solution diplomatique à deux Etats.
Malgré les critiques qu’elle suscite, l’initiative portée lundi à la tribune des Nations unies par le président français, Emmanuel Macron, est un message adressé à deux peuples.
Pour la première fois, un recours reproche à l’Etat français l’absence de mesure prise afin de mettre en œuvre la convention de 1948, qui prévoit que les Etats tiers doivent agir afin de prévenir un génocide en cours.
Le président nigérian Bola Tinubu a annoncé mercredi que l'Etat d'urgence, déclaré il ya six mois dans l'Etat riche en pétrole de Rivers (sud du Nigeria) en raison d'une crise politique, prendrait fin ce jour à minuit. La mesure permet le retour au pouvoir dès jeudi du gouverneur local civil Siminalayi Fubara. En mars, M. Tinubu a nommé le vice-amiral à la retraite Ibok-Ete Ibas pour administrer temporairement cet Etat, dans un contexte de luttes politiques internes depuis 2023 qui ont paralysé le pouvoir législatif local, ainsi que d'une série d'attaques contre les infrastructures pétrolières.
Par un arrêt du 3 septembre 2025, la cour administrative d’appel de Paris juge que l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) a commis une faute en ne procédant pas à l’évaluation des produits phytopharmaceutiques au vu du dernier état des connaissances scientifiques. En conséquence, la Cour ordonne à l’Etat de mettre en œuvre une évaluation conforme aux exigences requises et de procéder, dans un délai de vingt-quatre mois, à un réexamen des autorisations de mise sur le marché déjà délivrées.
Dans l’affaire «Justice pour le vivant», la cour administrative d’appel de Paris a souligné ce mercredi 3 septembre la nécessaire prise en compte systématique de la sauvegarde de la biodiversité et de la protection de la santé au moment d’autoriser des produits phytosanitaires.
Dans une décision jugée « historique » par les défenseurs de la nature, la cour administrative d’appel de Paris juge que l’usage de ces produits entraîne un « préjudice écologique » envers l’environnement et la santé. Les autorisations de mise sur le marché doivent être réévaluées.
Ce mercredi, la cour administrative d’appel de Paris a condamné l’État français pour son insuffisante protection de l’environnement et de la santé humaine. Elle demande notamment la révision des procédures d'autorisation des pesticides pour mieux tenir compte de leurs impacts sur la biodiversité.
Bruxelles rejoint la cohorte de pays occidentaux emmenés par la France qui doivent acter cette reconnaissance à l’Assemblée générale des Nations unies, mi-juin.
Après une prise de participation de 10 % dans Intel, Washington envisagerait de prendre des participations dans des entreprises de défense, a déclaré, mardi, le secrétaire au commerce, Howard Lutnick. Une nouvelle forme de capitalisme d’État est en train d’apparaître aux Etats-Unis.
Le président, Duma Boko, prévoit un financement d’urgence de plus de 18 millions de dollars pour réapprovisionner en médicaments les cliniques et les hôpitaux de ce pays d’Afrique australe.
Une zone militaire proche du palais présidentiel, deux centrales énergétiques et un site de stockage d’hydrocarbures font partie des cibles mentionnées par l’Etat hébreu. Le ministère de la santé des houthistes a fait état de deux morts et 35 blessés.
Si les réactions diplomatiques ont été peu nombreuses, la reconnaissance de la famine peut venir alimenter les procédures ouvertes devant la justice internationale pour « crime contre l’humanité » contre Benyamin Nétanyahou et Yoav Gallant, et pour « génocide » contre l’Etat d’Israël.




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