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néonicotinoïdes

2024

Les néonicotinoïdes, souvent en semences enrobées, sont des insecticides qui détruisent tout type d'insectes volants, les vers de terres et les oiseaux notamment directement où indirectement et par extension les humains. 1/4 des pesticides sont des néonicotinoïdes, 60% d'entre eux sont des semences enrobées systémiques et se retrouvent donc dans toute la plante et par la suite dans les sols, l'eau de surface, les nappes phréatiques et dans nos corps. On les utilise aussi sur nos animaux de compagnie contre les puces et les tiques et sur nos animaux d'élevage.

2023

Le Conseil d’Etat fait primer la santé et l’environnement sur l'affaire des différentes dérogations fournies pour les néonicotinoïdes
C’est une décision qui arrive un peu tard. Le Conseil d’État a jugé le 3 mai que les dérogations accordées en 2021 et 2022, qui permettaient l’utilisation de néonicotinoïdes pour la culture de betteraves sucrières, étaient « illégales ».
C’est peu de dire que la réponse politique à ce phénomène n’est à la hauteur nulle part dans l’Union européenne. Et la France ne fait pas exception, comme en témoigne le récent débat autour de l’autorisation des néonicotinoïdes.
Des centaines d’agriculteurs en tracteur manifestent à Paris après la décision du gouvernement de renoncer à autoriser les insecticides néonicotinoïdes pour la culture de la betterave sucrière.
Après une décision de la Cour de justice européenne, le gouvernement français a finalement renoncer aux néonicotinoïdes dans ses champs de betteraves sucrières. Il prévoyait d'autoriser pour la troisième fois à titre dérogatoire ces pesticides nocifs pour l’environnement et la santé et interdits de mise sur le marché depuis fin 2018.
La décision de la Cour de justice européenne la semaine dernière a bousculé les plans du gouvernement, qui prévoyait d’autoriser pour la troisième fois à titre dérogatoire ces pesticides nocifs pour l’environnement et la santé.
La Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a jugé illégales les dérogations permettant l'utilisation de pesticides néonicotinoïdes en Europe, au moment où la France s’apprêtait à les autoriser à nouveau en 2023.
Le projet d’arrêté réautorisant, pour 2022, l’usage des principaux néonicotinoïdes sur la betterave avait été mis en consultation fin décembre.
La cour de justice de l’UE a statué contre les «autorisations d’urgence» prises par onze États membres pour mettre sur le marché des semences traitées avec ces produits chimiques, interdits depuis fin 2018.

2022

En l’absence d’alternatives efficaces pour l’instant, le ministre de l’Agriculture Marc Fesneau espère pouvoir prolonger en 2023 la dérogation permettant aux betteraviers d’utiliser des néonicotinoïdes.
Plusieurs associations et organismes ont mené samedi après-midi une action à Seneffe devant le site du géant de l'agro-chimie Syngenta dont elles dénoncent les activités de production et d'exportation de plusieurs produits et notamment de néonicotinoïdes réputés "tueurs d'abeilles".
Les pesticides « tueurs d’abeilles » reviennent. L’utilisation de semences de betteraves sucrières traitées avec des néonicotinoïdes, insecticides aux effets néfastes pour les abeilles, est autorisée pour la campagne 2022 en France, selon un arrêté publié mardi 1er février par le Journal officiel.
Depuis 2018 , L'Europe interdit l'utilisation de certains néonicotinoïdes en raison de leurs effets délétères sur l'environnement. On sait pertinemment que ces pesticides contribuent à la disparition des populations d'abeilles. Un peu partout en Europe, on fait le même constat : les abeilles disparaissent sensiblement et elles constituent un marqueur important de notre biodiversité.

2021

On les appelle parfois "néonics", un diminutif presque affectueux pour les néonicotinoïdes. Les défenseurs de la biodiversité maudissent pourtant cette famille de pesticides, plus connue sous l’appellation d’insecticides "tueurs d’abeilles".
Une enquête de Public Eye et Unearthed expose pour la première fois l’ampleur des exportations d’insecticides à base de néonicotinoïdes depuis l’Union européenne, où ils sont interdits. En quatre mois seulement, les fabricants ont annoncé l’exportation de près de 3900 tonnes, en grande partie vers des pays qui sont des zones cruciales pour la biodiversité, comme le Brésil. Le géant bâlois Syngenta est le numéro un de ce commerce toxique.
Ce printemps 2021 a été marqué par le retour dans les champs de betteraves des insecticides à base de néonicotinoïdes. Après 20 ans de débats, ils avaient été interdits en France en 2016 (pour une application en 2018), avant de l’être également dans l’Union européenne en 2018.Comment s’explique ce revirement de la part du gouvernement français ? Au cœur de ce débat emblématique entre impératifs économiques et urgence environnementale, les deux camps ont mobilisé des valorisations financières comme fer de lance de leurs revendications.
La Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) est à l’origine d’une action en justice au tribunal judiciaire de Lyon contre les fabricants et distributeurs d’imidaclopride. Ce puissant pesticide fait partie des néonicotinoïdes à l’origine du déclin de plusieurs espèces en zone rurale, en particulier des oiseaux.




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