Scientifiques en Rébellion

OA - Liste

espace50x10

2025

Le président ultraliberal argentin Javier Milei va retirer l'Argentine de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), a annoncé mercredi le porte-parole de la présidence, citant de "profondes différences sur la gestion sanitaire", et "l'influence politique de certains Etats".
Les déclarations du président américain du mardi 4 février sur sa volonté de faire de Gaza la «Côte d’Azur du Moyen-Orient» se heurtent, en réalité, à bien plus d’obstacles que ne le laisse entendre le milliardaire républicain.
TotalEnergies, qui a vu fondre son bénéfice net en 2024 après deux années hors norme de super-profits, va réduire en 2025 ses investissements en faveur de la réduction des émissions de carbone.Le groupe prévoit des investissements nets de 17 à 17,5 milliards de dollars pour 2025, dans la fourchette annoncée, mais il a précisé qu'il allait réduire de 500 millions de dollars, de 5 à 4,5 milliards de dollars, la part dédiée aux "énergies bas carbone", surtout de l'électricité.
Quand les Etats-Unis - le plus gros donateur de l'OMS - annoncent qu'ils se retirent, prenez la décision qui s'impose en faisant appel à une cagnotte: c'est l'idée un peu folle d'une employée de l'organisation onusienne qui a déjà récolté plus de 100.000 dollars.
Un dépôt pétrolier a pris feu mercredi dans la région de Krasnodar (sud-ouest de la Russie), après une attaque de drones, a indiqué le gouverneur régional, Véniamine Kondratiev.Kiev a intensifié ses attaques aériennes contre les installations énergétiques et militaires russes ces derniers mois, une campagne décrite comme une juste réponse aux bombardements incessants de la Russie contre ses villes et son réseau énergétique.
Les trois pays baltes, la Lituanie, la Lettonie et l'Estonie, s'apprêtent à se déconnecter du réseau électrique russe samedi, et couper ainsi définitivement leurs liens énergétiques avec Moscou qui datent de l'ère soviétique, une démarche attendue depuis longtemps. Une horloge numérique géante installée à Vilnius fait le décompte des heures qui séparent les Baltes de la pleine intégration avec le réseau électrique européen. Des célébrations officielles sont prévues dans les trois pays, mais certains consommateurs craignent des perturbations potentielles.
Jusqu'ici considérées comme les mieux-disantes sur la transition climatique, plusieurs compagnies pétro-gazières européennes ont depuis fait machine arrière sur leurs objectifs d'énergies renouvelables, pour doper leur rentabilité.. L'avenir du pétrole incertain
Donald Trump a fait une annonce extraordinaire mardi, disant vouloir prendre "le contrôle" de la bande de Gaza dévastée par la guerre, une proposition qui pourrait "changer l'Histoire" selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Après un recul de ses résultats annuels, le géant norvégien de l'énergie Equinor a annoncé mercredi une baisse de ses ambitions dans les énergies renouvelables et une hausse de sa production d'hydrocarbures.Le groupe, qui visait jusqu'à présent entre 12 et 16 gigawatts (GW) de capacité dans les énergies renouvelables en 2030, a ramené cette fourchette à entre 10 et 12 GW.
Après les déclarations polémiques mardi soir du président américain, Paris a affirmé ce mercredi 5 février que «l’avenir de Gaza doit s’inscrire […] dans le cadre d’un futur Etat palestinien.»
Dans la foulée du retour de Donald Trump à la Maison Blanche, l’entreprise a supprimé de ses principes éthiques des promesses faites en 2018, qui prohibaient l’usage de ses technologies d’intelligence artificielle à des fins militaires ou de surveillance.
Les propos de Trump en faveur d'un déplacement forcé des Gazaouis ont trouvé un écho négatif dans l’ensemble de la communauté internationale, à l’exception des républicains américains et de la coalition nationaliste au pouvoir en Israël.
Un ambitieux projet australien, visant à approvisionner à terme le Japon et Singapour en hydrogène vert, a été mis en suspens par les autorités locales du Queensland qui lui ont retiré son soutien lundi soir. Ce projet prévoit la construction dans l'Etat du Queensland (nord-est) d'un site de production d'hydrogène qui après avoir été liquéfié, serait acheminé par bateau jusqu'au Japon et Singapour.
L'existence du réchauffement climatique causé par les gaz à effet de serre liés aux activités humaines fait l'objet d'un consensus depuis des dizaines d'années parmi les scientifiques. Il est néanmoins régulièrement remis en cause, notamment par le président américain Donald Trump dans une vidéo virale où il assure que les mots employés par les spécialistes ont varié au fil du temps, passant de "refroidissement global" à "réchauffement climatique" puis à "changement climatique". Sous-entendu: il n'y aurait en réalité aucun consensus. Mais ces propos sont trompeurs, déplorent plusieurs spécialistes du climat interrogés par l'AFP.
Selon l’enquête du « Monde » et Radio France, de nombreux échanges de courriels et de notes ministérielles montrent que l’Elysée et Matignon ont privilégié les intérêts de la multinationale au détriment de ceux des consommateurs.