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Connaissance des Énergies

2024

Les pays les plus pauvres et vulnérables au changement climatique ont laissé éclater leur colère samedi contre la présidence azerbaïdjanaise de la conférence de l'ONU à Bakou, estimant n'avoir pas été entendus sur leurs besoins financiers et promettant de continuer à se battre en prolongation.Après plus de 24 heures de retard, la séance de clôture de la COP29 a enfin débuté samedi soir, par un appel du président de la conférence, Moukhtar Babaïev, à ce que les pays surmontent leurs "divisions".Cette séance pourrait durer une partie de la nuit et inclure des suspensions.
La ministre des Affaires étrangères allemande, venue à Bakou pour le sprint final de la COP29, a accusé samedi la présidence azerbaïdjanaise du sommet des Nations unies sur le climat d'être sous l'influence de certaines puissances pétrolières, visant implicitement l'Arabie saoudite, sans la nommer.
Quelque 33.000 foyers restent privés d'électricité samedi en début d'après-midi, principalement en Normandie et dans les Pays de la Loire, après le passage de la tempête Caetano l'avant-veille, a annoncé le gestionnaire du réseau électrique Enedis."Ce samedi à 14H00, il reste 33.000 clients privés d'alimentation. Plus de 85% des clients qui avaient été privés d'électricité ont été réalimentés", a expliqué Enedis dans un communiqué. Un précédent bilan à 8H00 faisait état de 47.000 foyers sans courant.
L'Union européenne, premier bailleur mondial pour le climat, a relevé samedi son engagement financier pour les pays en développement, mais quoiqu'il arrive d'ici la nuit, nombre de pays semblent résignés à repartir mécontents de la conférence sur le climat de l'ONU à Bakou.La présidence azerbaïdjanaise de la COP29 prévoit de publier vers 14H00 (10H00 GMT) son ultime proposition de compromis, avant de le soumettre à l'approbation des près de 200 pays réunis ici vers 18H00 (14H00 GMT), 24 heures après la fin théorique de la conférence.
L'Iran a annoncé vendredi la mise en service de "nouvelles centrifugeuses avancées", en représailles à l'adoption d'une résolution critique à Vienne condamnant les activités nucléaires de Téhéran, pointé du doigt pour son manque de coopération.Un texte « politiquement motivé »Le texte, élaboré par Londres, Paris et Berlin associés à Washington, a été approuvé jeudi par 19 des 35 Etats membres du Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), selon des sources diplomatiques interrogées par l'AFP.
Le négociateur de l'Union européenne à la COP29, Wopke Hoesktra, a estimé jeudi que le projet d'accord publié dans la nuit était "inacceptable" en l'état.
Le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) examine jeudi une résolution admonestant l'Iran pour son manque de coopération sur le dossier nucléaire, avec le risque d'une riposte immédiate de Téhéran.Les Occidentaux persistent et signent: après déjà un rappel à l'ordre en juin, ils ont soumis un nouveau texte, mettant en avant l'absence d'avancées ces derniers mois.
La première grosse tempête de neige hivernale en Finlande a privé d'électricité jusqu'à 80.000 foyers jeudi, les forts vents mettant à mal le réseau, a indiqué à l'AFP l'office météorologique finlandais.La tempête Jari a commencé à toucher la Finlande mercredi et la vitesse des vents a atteint 90 km/h jeudi, accompagnée de fortes chutes de neige et de pluie.Jusqu'à 80.000 foyers ont été privés de courant au plus fort de la tempête et ils étaient encore 49.000 dans cette situation à la mi-journée.
Nations riches et en développement sont entrées jeudi dans la dernière phase des négociations autour du montant de l'aide financière à la COP29, et les cartes commencent à s'abattre, avec une demande plus précise de l'énorme groupe de pays du G77+Chine.Une plénière baptisée « kouroultaï »Le représentant de cette alliance de 134 pays du Sud a réclamé à l'UE, au Japon ou aux États-Unis "au moins" 500 milliards de dollars de financements par an pour le climat d'ici 2030.
Le groupe des pays arabes refusera tout texte ciblant "les énergies fossiles", a indiqué jeudi son représentant, le Saoudien Albara Tawfiq, à la conférence climatique de l'ONU à Bakou, à l'avant-dernier jour théorique de la COP29."Le groupe arabe n'acceptera aucun texte qui cible des secteurs spécifiques, y compris les combustibles fossiles", a déclaré en plénière ce négociateur saoudien dont le pays préside cette année le groupe arabe à l'ONU Climat.
Le Premier ministre indien Narendra Modi, en visite de deux jours au Guyana, a réaffirmé jeudi l'intérêt de son pays pour le pétrole guyanien lors d'un discours devant le Parlement de ce petit pays du nord de l'Amérique du sud, disposant des plus grandes réserves de pétrole per capita de la planète. "L'Inde entre dans une nouvelle ère. La demande d'énergie augmente rapidement en Inde et le pays diversifie ses sources d'énergie. À cet égard, nous considérons le Guyana comme une source d'énergie importante", a-t-il déclaré.
Nations riches et en développement sont entrées jeudi dans la dernière phase des négociations autour du montant de l'aide financière à la COP29, et les cartes commencent à s'abattre, avec une demande plus précise d'une alliance de pays en développement.Le représentant de cette alliance de 134 pays du Sud a réclamé aux pays développés concernés (Union européenne, Japon, Etats-Unis...) "au moins" 500 milliards de dollars de financements par an pour le climat d'ici 2030.
Le géant pétrolier britannique BP a annoncé jeudi un investissement groupé de sept milliards de dollars pour démultiplier les ressources gazières d'une usine existante dans la province indonésienne de Papouasie, dans l'extrême est du pays."L'investissement devrait permettre de débloquer environ 3.000 milliards de pieds cubes de ressources gazières supplémentaires", a annoncé dans un communiqué BP, opérateur de cette installation de production de gaz naturel liquéfié, Tangguh LNG, au nom d'un consortium dont il détient un peu plus de 40%.
Un programme nucléaire "troublant": les diplomates occidentaux ont dressé jeudi à Vienne un réquisitoire sévère contre l'Iran et fait adopter une nouvelle résolution critique, dénoncée par Téhéran comme "politiquement motivée".Le texte, élaboré par Londres, Paris et Berlin associés à Washington, a été approuvé par 19 des 35 Etats membres du Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), ont indiqué à l'AFP des sources diplomatiques.
Le président français Emmanuel Macron et son homologue chilien Gabriel Boric ont lancé jeudi depuis le Chili "l'appel de Valparaiso", une initiative commune destinée à renforcer les relations bilatérales en matière de protection des écosystèmes marins et côtiers.Cet appel vise à "entraîner tous nos partenaires dans la préparation de ce chemin qui nous mène jusqu'à Nice", a expliqué Emmanuel Macron lors d'un discours depuis Valparaiso, grande ville chilienne sur l'océan Pacifique.
La France pourrait mieux exploiter ses "mines urbaines" de métaux, c'est-à-dire le recyclage de ses déchets métalliques, en particulier le cuivre issu du démantèlement de réseaux électriques, de démolition de bâtiments ou d'épaves de voitures, selon un rapport publié mercredi.
A deux jours de la fin de la COP29 à Bakou, les pays riches se voient réclamer entre 440 et 900 milliards de dollars par an d'aide climatique pour le monde en développement, ont rapporté mercredi les ministres chargés de débloquer les négociations.Les pays développés sont pour leur part toujours silencieux sur le montant qu'ils sont prêts à contribuer, au-delà de leur promesse précédente de 100 milliards annuels, pour le "Nouvel objectif collectif quantifié" (NCQG selon son sigle anglais) de finance climatique que doit établir la conférence de l'ONU.
Des émissaires des pays développés sont réunis cette semaine à l'OCDE pour discuter de l'arrêt d'un soutien financier public aux industries fossiles, espérant une évolution de la position américaine avant l'arrivée du climatosceptique Donald Trump à la Maison Blanche en janvier.Ces discussions qui ont démarré lundi se poursuivent jusqu'à jeudi auprès de l'Organisation de coopération et de développement économiques, basée à Paris, "mais il est possible qu'elles se poursuivent après", a indiqué à l'AFP une source proche des négociations.
Vingt-cinq pays, riches pour la plupart, se sont engagés mercredi à la COP29 à ne plus ouvrir de centrale au charbon, dans l'espoir d'emmener d'autres pays vers la fin du charbon.Le Royaume-Uni, qui vient de fermer sa dernière centrale au charbon, le Canada, la France, l'Allemagne et l'Australie, très gros producteur de charbon, ont signé cet appel volontaire pendant la conférence sur le climat de l'ONU en Azerbaïdjan. La Chine, l'Inde et les Etats-Unis n'y sont pas.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a salué mercredi un engagement "concret" de l'Iran, après la mise en place par Téhéran de mesures pour stopper l'expansion de son stock d'uranium hautement enrichi. «»"Je pense que c'est un pas concret dans la bonne direction", et ce "pour la première fois", a-t-il déclaré devant la presse, au premier jour du Conseil des gouverneurs de l'instance onusienne, à Vienne.
Depuis Bakou, les délégués et ONG présents à la conférence sur le climat de l'ONU (COP29) ont relevé des avancées sur la finance climatique dans la déclaration finale des dirigeants du G20 réunis à Rio dans la nuit de lundi à mardi, sans y voir d'impulsion décisive.Mais ils ont en revanche souligné clairement leur déception face à l'absence d'engagement à accélérer la transition vers l'abandon des énergies fossiles, une formulation qui était un acquis de la COP28 de Dubaï l'an dernier et n'a pas été repris à Rio.
Les participants de la conférence sur le climat de l'ONU (COP29) notent mardi les avancées générales sur la finance climatique pour les pays en développement contenues dans la déclaration du G20 à Rio, mais préviennent que le plus dur reste à accomplir à Bakou. D'autant que, le communiqué de Rio s'accompagne d'un silence des 20 puissances sur la sortie des énergies fossiles, une formulation arrachée à la COP28 de Dubaï mais qui n'a pas été reprise, ce qui sème la consternation parmi les ONG.- "Ordre de marche"-
La sortie des énergies fossiles "reste toujours d'actualité" et il faut "maintenir la pression" pour que cet objectif soit réaffirmé au niveau international, a estimé mardi la ministre française de la Transition écologique et de l'Energie dans un entretien aux Echos.Cette question d'une réduction progressive du recours au pétrole, charbon et au gaz pour tenter d'enrayer le réchauffement climatique faisait partie de l'accord obtenu l'an dernier à la COP28 de Dubaï. Mais depuis, elle semble progressivement reléguée au second plan voire remise en cause par certains.
Le président-élu des États-Unis Donald Trump a annoncé samedi la nomination au poste de secrétaire à l'Energie de Chris Wright, magnat de la fracturation hydraulique, PDG de l'entreprise Liberty Energy, qui devra "réduire les formalités administratives", pour stimuler les investissements dans les combustibles fossiles. "En tant que secrétaire à l'Energie, Chris sera un leader clé, stimulant l'innovation, réduisant les formalités administratives et inaugurant un nouvel +âge d'or de la prospérité américaine et de la paix mondiale+", a déclaré Donald Trump dans un communiqué.
Dans le cadre de la transition énergétique, les tensions d'approvisionnement autour des matières premières stratégiques pourraient être « significativement réduites » par le développement des politiques de recyclage, souligne l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans un premier rapport consacré à ce sujet publié ce 18 novembre(1).
Des scientifiques appellent à exclure l'absorption de CO2 qui se fait par le milieu naturel, notamment grâce aux forêts, dans la comptabilisation par les pays de leurs objectifs climatiques, sans quoi des règles "vagues" risqueraient de voir la planète se réchauffer plus qu'anticipé.
Les frappes aériennes menées par Israël fin octobre contre l'Iran ont touché "un élément du programme nucléaire" de la République islamique, a déclaré lundi le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. "Ce n'est pas un secret, ça été publié, un élément du programme nucléaire a été touché dans cette attaque mais le programme en soi et sa capacité à fonctionner n'ont pas encore été éliminés", a dit à la Knesset (Parlement) M. Netanyahu, dont le pays est considéré par les experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient.
Des scientifiques appellent à exclure l'absorption de CO2 qui se fait par le milieu naturel, notamment grâce aux forêts, dans la comptabilisation par les pays de leurs objectifs climatiques, sans quoi des règles "vagues" risqueraient de voir la planète se réchauffer plus qu'anticipé.
Climatosceptique, PDG d'une entreprise et soutenu par les compagnies pétrolières américaines: Donald Trump a nommé au poste de secrétaire à l'Energie Chris Wright, PDG de l'entreprise Liberty Energy, avec pour feuille de route la dérégulation du secteur. "En tant que ministre de l'Energie, Chris sera un leader clé, stimulant l'innovation, réduisant les barrières administratives et inaugurant un nouvel +âge d'or de la prospérité américaine et de la paix mondiale+", a déclaré Donald Trump dans un communiqué.
Le réseau énergétique ukrainien, déjà très fragile, a fait face dimanche à une nouvelle attaque russe "massive", ont annoncé les autorités nationales, des frappes faisant au moins deux morts et une dizaine de blessés à travers le pays.Une "attaque massive sur le système énergétique est en cours", a prévenu le ministre de l'Energie German Galouchtchenko. Les forces russes "attaquent les installations de génération et de transmission d'électricité dans toute l'Ukraine", a-t-il ajouté.
L'Ukraine appliquera lundi des "mesures de restriction" de consommation d'électricité sur tout son territoire, après une vaste attaque russe qui a fortement endommagé ses infrastructures énergétiques, a annoncé dimanche le gestionnaire du réseau électrique ukrainien Ukrenergo."Demain 18 novembre, toutes les régions seront contraintes d'appliquer des mesures de restriction de consommation", en raison des "dommages causés aux installations électriques pendant l'attaque massive de missiles et de drones", a écrit l'opérateur sur les réseaux sociaux.
Venu passer la journée à la COP29 à Bakou, le PDG de la compagnie pétrolière française TotalEnergies, Patrick Pouyanné, a défendu vendredi les actions de son entreprise et du secteur, accusé d'influence indue sur la diplomatique climatique."Oui, on est une partie du problème" climatique, mais "on est dans une logique de progrès continu", même "si on ne va jamais assez vite" aux yeux de la société, a déclaré à l'AFP Patrick Pouyanné.
Le monde de l'énergie converge vendredi à la COP29 à Bakou, où les ONG dénoncent la présence en masse et l'influence des lobbyistes des énergies fossiles sur les négociations de l'ONU, organisée cette année encore dans un grand pays producteur de pétrole.Un serpent géant représentant les intérêts fossiles à l'entrée de la COPLe PDG de la major française TotalEnergies, Patrick Pouyanné, est l'une des figures du monde du pétrole et du gaz à Bakou vendredi, avec de nombreux autres patrons, ministres de l'Énergie et consultants du monde entier.
L'ancien vice-président américain Al Gore juge "absurde" d'organiser les COP sur le climat dans des "pétro-Etats" tels que l'Azerbaidjan et appelle à réformer le système actuel.Dans un entretien à l'AFP en marge de la COP29 à Bakou, le prix Nobel de la paix et président de l'ONG The Climate Reality Project, 76 ans, dit aussi espérer que l'élection de Donald Trump n'aura pas d'effet significatif.
Venu passer la journée à la COP29 à Bakou, le PDG de la compagnie pétrolière française TotalEnergies Patrick Pouyanné a défendu vendredi les actions de son entreprise et du secteur, accusé d'influence indue sur la diplomatique climatique.« Je sais que l'urgence est là »"Oui, on est une partie du problème" climatique, mais "on est dans une logique de progrès continu", même "si on ne va jamais assez vite" aux yeux de la société, a déclaré à l'AFP Patrick Pouyanné.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, s'est rendu vendredi sur deux importants sites nucléaires en Iran, au moment où Téhéran affirme vouloir lever "doutes et ambiguïtés" sur son programme controversé.
Le président élu des États-Unis, Donald Trump, a annoncé vendredi la création d'un Conseil national de l'énergie (CNE), dont la mission sera de "superviser le chemin vers la domination énergétique des Etats-Unis", désignant le gouverneur du Dakota du Nord Doug Burgum à sa tête.M. Burgum a également été désigné jeudi ministre de l'Intérieur, chargé non pas de la police mais de la gestion des terres fédérales.
Les géants de l'énergie fossile affichent des ambitions pour réduire drastiquement les rejets de méthane, un puissant gaz à effet de serre, mais ces objectifs comportent d"importantes lacunes", au risque d'"exacerber la crise climatique", affirme jeudi un rapport du centre de réflex
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a été reçu jeudi à Téhéran par le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi, au moment où la montée en puissance du programme nucléaire de l'Iran cristallise les tensions avec les pays occidentaux. Abbas Araghchi était en 2015 le négociateur en chef côté iranien des pourparlers sur le nucléaire avec les grandes puissances.
Pour décarboner l'industrie et respecter les engagements climatiques de la France, les usines françaises consommeront en 2050 deux fois plus d'électricité qu'actuellement, soit 207 térawattheures contre 103 Twh en 2023, selon une étude du centre de réflexion La Fabrique de l'industrie parue jeudi. L'industrie a besoin d'électricité pour remplacer les énergies fossiles émettrices du CO2 qui réchauffe l'atmosphère, telles le gaz ou le fioul, dans tous ses procédés de séchage, chauffage de fluides, ou traitements thermiques.



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