2023 GIEC synthèse

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A propos du rapport de synthèse du GIEC – mars 2023

2023

Une semaine après le scandale de la contamination aux PFAS, révélé par le magazine #Investigation de la RTBF, Jean-Luc Crucke député wallon et ex-ministre wallon est l’invité de Matin Première. Sous la bannière du MR, il a été le collègue de Céline Tellier (Ecolo) au sein du gouvernement wallon. Aujourd’hui chez Les Engagés et désormais sur les bancs de l’opposition, Jean-Luc Crucke et son parti demandent une commission spéciale pour faire la clarté sur le scandale PFAS.
Alors que la ministre régionale de l’Environnement, Céline Tellier, devra répondre aux questions ce mardi matin au Parlement de Wallonie sur la présence de PFAS, ces polluants éternels, dans les eaux de distribution. Pour comprendre ce dossier, il faut revenir à l’été 2021 lorsqu’éclate en Flandre est secouée par un scandale environnemental autour de l’usine 3M de Zwijndrecht. C’est à ce moment-là que l’on découvre le terme PFAS en Belgique. Dans la foulée, la ministre wallonne de l’Environnement, Céline Tellier tient à rassurer sur la situation en Wallonie. Le 28 juin 2021 elle déclare au micro de la RTBF : "Il y a une pollution qu’on appelle diffuse, qui est relativement faible dans notre Région, mais qui est présente effectivement à des niveaux contrôlables aujourd’hui. Sans nécessiter une intervention urgente comme on le voit en Flandre."
Certains fusibles seraient-ils déjà en train de sauter, avant l’audition de la ministre de l’Environnement ce mardi matin au Parlement wallon ? Nous apprenons que le fonctionnaire qui avait reçu l’alerte de la Société wallonne des eaux (SWDE) sur une contamination aux PFAS de l’eau potable à Chièvres ne fait plus partie du cabinet de la ministre wallonne Céline Tellier. Il aurait été évincé suite à l’éclatement du scandale et aux critiques sur la gestion des autorités dans ce dossier. Son mail explique dorénavant qu’il ne fait plus partie du cabinet, alors qu’il est pourtant toujours bien mentionné sur le site internet.
Ce lundi 24 avril à Ostende, les représentants des Etats côtiers ainsi que de la Commission européenne et du commissaire européen à l’Energie étaient tous réunis derrière un même objectif : faire de la mer du Nord "la plus grande centrale d’énergie verte d’Europe". Ils se sont accordés à multiplier par dix les capacités d’énergie éolienne en mer du Nord d’ici 2050 (300 Gigawatts (GW) contre 30 aujourd’hui).