8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Un rapport de l’association Conséquences, publié ce jeudi 23 mai, compile de nombreuses données publiques et en déduit que 16 millions d’habitations seront exposées à ce phénomène lié au changement climatique en 2050.

2023

Une maison sur deux en France est exposée au risque de retrait-gonflement des argiles, qui provoque des fissures lors d'un épisode de sécheresse. Dès lors, selon de nouvelles données publiées par la Caisse centrale de réassurance (CCR), c'est ce risque de sécheresse géotechnique qui apparaît comme le plus coûteux dans une France qui se réchauffe de plus en plus vite, avec une hausse annuelle moyenne de 750 millions d'euros d'ici 2050.
Réchauffement climatique oblige, les maisons se fissurent de plus en plus. Un député de la majorité a rendu un rapport sur ce phénomène de « retrait-gonflement des argiles » et plaide pour plus de prévention.
Les deux barrages qui ont rompu à Derna, provoquant des inondations meurtrières dans l’est de la Libye, présentaient dès 1998 des fissures qui n’ont jamais été réparées, selon plusieurs rapports et études.
Et si ce pouvoir de la fiction était plutôt utilisé pour changer la trajectoire funeste de nos sociétés et inventer un nouveau récit ? Et si l’art nous donnait l’envie de résister et de nous battre pour un monde plus juste et soutenable ? Pour en parler, Paloma Moritz reçoit Alain Damasio, le plus politique des auteurs de science fiction, célèbre pour la puissance de son imaginaire et ses critiques incisives de la société de contrôle 2.0. Un auteur qui a choisi de raconter des luttes enviables plutôt que de décrire un monde enviable. Son espoir quand il écrit est que son roman donne envie au lecteur de changer de sa vie et la société qui la structure.
L'étude, menée par l'assureur Axa Climate, liste plusieurs conséquences de la crise climatique dans les prochaines décennies.
Nucléaire : ce que l’on sait sur la fissure détectée à la centrale EDF de Penly
EDF a identifié 320 soudures jugées à risque de fissures dans ses centrales nucléaires, et souhaite avoir contrôlé 90% des soudures "prioritaires" parmi celles-ci d'ici la fin de l'année, selon sa stratégie communiquée à l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) après la récente découverte d'une importante fissure dans le réacteur de Penly 1 (Seine-Maritime)."L'ASN prend acte de cette évolution de la stratégie et considère qu'il est de la responsabilité d'EDF de la mettre en oeuvre", indique le gendarme du nucléaire dans un communiqué jeudi.
EDF a remis à l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sa stratégie de contrôle de réacteurs révisée après la découverte de fissures importantes sur les tuyauteries de certaines centrales, a indiqué mercredi l'ASN, qui est en train d'étudier son contenu.Les documents ont été reçus en fin de semaine dernière, et sont en train d'être instruits par l'ASN, qui prendra une position "dans les prochains jours", a-t-on appris auprès du gendarme du nucléaire.Du côté d'EDF, on ne fait "pas de commentaire pour le moment".
Au total, EDF va devoir vérifier 200 soudures dans l’ensemble de son parc, selon l’Autorité de sûreté du nucléaire.
EDF a détecté un autre défaut "non négligeable" dû à un phénomène dit de fatigue thermique sur une soudure d'une tuyauterie de secours dans deux réacteurs, selon l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) jeudi, une complication de plus qui pourrait bouleverser le calendrier de maintenance des centrales françaises.
Taille importante, localisation inédite : la fissure découverte sur l’un des réacteurs de la centrale de Penly interroge. D’autres réacteurs pourraient être concernés par ce même défaut. Nouveau coup dur pour EDF. Ce dernier a découvert une nouvelle fissure, inédite par sa profondeur et sa localisation, sur le réacteur no 1 de 1 300 mégawatts (MW) de la centrale nucléaire de Penly (Seine-Maritime). Un nouvel épisode dans la série noire de la corrosion sous contrainte, qui pourrit la vie de l’électricien (...)
L’ASN, le gendarme nucléaire français, a classé cet événement au niveau 2 de l’échelle INES, qui va de zéro à sept.
Une fissure plus grande que prévu, une stratégie à revoir et de nouvelles incertitudes pour la production nucléaire française en 2023: de nouveaux défis se dressent pour EDF après la découverte d'une corrosion "importante" dans un circuit de secours d'un réacteur à Penly (Seine-Maritime).- "Corrosion sous contrainte", de quoi parle-t-on ? -Bien connue dans l'industrie, la corrosion sous contrainte signifie qu'un matériau se dégrade et se fissure au contact d'un environnement chimique, sur quelques millimètres.
La découverte d'une grande fissure sur un réacteur d'EDF déjà concerné par le phénomène de corrosion sous contrainte qui touche le parc nucléaire depuis octobre 2021 "est au-delà de ce qui est acceptable, d'un point de vue sûreté", estime Karine Herviou, directrice générale adjointe de l'IRSN, considérée en France comme la police scentifique de la sûreté nucléaire.