8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Une quatrième personne, cette fois dans le Colorado, a été infectée par la grippe aviaire aux Etats-Unis en lien avec une épidémie chez les vaches, ont annoncé mercredi les autorités sanitaires américaines.
Une étude a récemment démontré la présence de microplastiques dans le pénis humain. Plusieurs chercheurs se demandent aujourd’hui si cette problématique pourrait causer des problèmes érectiles et reproducteurs.
D’après les travaux d’une équipe de recherche, les champignons pourraient constituer une menace plus importante pour la santé humaine. En cause, la hausse des températures liée au changement climatique, explique le magazine “Science”.
Jamais en manque de raccourcis pour nous faire douter de l’existence d’un réchauffement global, les dénégateurs de la science climatique mettent en avant à intervalles réguliers l’argument selon lequel il ne serait, en fait, pas prouvé que le CO2 émis par les êtres humains en soit la cause. En une phrase, ce cliché pose la question de savoir si nous sommes sûrs que le CO2 émis par les humains est vraiment la cause du réchauffement climatique ?
Le virus H5N1 continue de se répandre dans les élevages laitiers américains. Modérément inquiets, les scientifiques déplorent un manque de transparence qui permettrait de mieux contrôler le risque que ce virus d’origine animale mute et devienne transmissible entre humains.
Le décès du premier cas humain de grippe aviaire H5N2 est "multifactoriel", a indiqué l’Organisation mondiale de la santé vendredi. L’OMS a annoncé mercredi qu’un premier cas humain de H5N2, confirmé en laboratoire, avait été signalé au Mexique, en précisant qu’il était décédé le 24 avril. Selon le ministère mexicain de la Santé, l’homme de 59 ans souffrait "de maladie rénale chronique, de diabète de type 2" et, "depuis longtemps d’hypertension artérielle systémique". Il était alité depuis trois semaines avant l’apparition des symptômes, qui se sont manifestés le 17 avril par de la fièvre, un essoufflement, des diarrhées, des nausées et un malaise général, a indiqué l’OMS, à qui le cas a été notifié le 23 mai.
L’OMS a rapporté mercredi le premier décès humain dû à une infection par un virus de la grippe H5N2. Il s'agit d'un homme de 59 ans décédé à Mexico. Aucune transmission à l'homme n'avait jusqu'à présent été attestée. L'OMS estime cependant que le risque actuel pour la population est "faible".
Un premier cas humain de grippe aviaire de type H5N2, une souche différente de celle en lien avec l'épidémie en cours chez les vaches aux États-Unis, a été détecté au Mexique, a annoncé l'OMS mercredi. Ce premier humain est infecté est décédé, a annoncé mercredi l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Le réchauffement climatique causé par l'humain a augmenté à un "rythme sans précédent", selon le travail d'une soixantaine de chercheurs publié mercredi. "C'est une décennie critique", avertissent-ils.
La disparition de ces écosystèmes capables de piéger le CO₂ serait “catastrophique pour la nature et les populations”, alertent les experts qui ont mené la toute première évaluation des mangroves dans le monde.
La préhistoire a commencé avec l'apparition des premiers hommes, il y a 2,5 millions d'années. Combien d'humains ont vécu sur Terre depuis ?
Pour les autorités sanitaires, l’évaluation du risque pour la population américaine reste toutefois «faible».
Un deuxième cas de transmission du virus de la grippe aviaire de la vache à l’homme a été identifié mercredi dans le Michigan par les autorités sanitaires américaines. Ces dernières assurent que le risque de pandémie demeure “faible”, en l’absence de transmission d’humain à humain. Mais les scientifiques restent prudents.
Des microplastiques viennent d’être découverts dans des testicules. Cette pollution pourrait participer au déclin mondial de la fertilité. Explications.
D’importantes quantités de microplastiques ont été détectées dans les testicules de tous les sujets testés dans le cadre d'une récente étude. Ces particules seraient impliquées dans la baisse de la qualité des spermatozoïdes et de la fonction testiculaire globale.