8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2022

Les zones d’exploitation du pétrole et du gaz de schiste sont dans un état de déplétion beaucoup plus avancé que ce que laissent entendre les statistiques de l’EIA, l’agence américaine d’information sur l’énergie. C’est du moins ce qu’avance le géologue canadien David Hughes, dans un rapport publié en décembre 2021 par le Post Carbon Institute.

2021

[4/5] - Extraction de gaz naturel dans l’Arctique russe, oléoduc géant en Ouganda, exploitation du gaz de schiste en Argentine... Le groupe Total s’implique, partout dans le monde, dans une kyrielle de projets aussi massifs que destructeurs de l’environnement.
Le groupe anglo-néerlandais Royal Dutch Shell a annoncé lundi la vente à son concurrent ConocoPhillips de ses actifs dans le bassin permien américain pour 9,5 milliards de dollars en espèces. A cheval entre l'ouest du Texas et l'est du Nouveau-Mexique, le bassin permien regorge de pétrole et gaz de schiste et produit environ 40% de l'or noir américain.
Il y a vingt ans, les questions environnementales étaient au cœur de la vie politique étasunienne. Mais après le 11 septembre, explique l’historien Romain Huret, le pays s’est lancé dans une course morbide à la militarisation et au développement effréné de leurs industries extractives — gaz de schiste notamment.
Pour empêcher un déclin de la production mondiale de pétrole d’ici à 2025, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) annonce qu’il faudrait multiplier par 2 ou 3 les extractions de pétrole de schiste. Or aux Etats-Unis, le pétrole de schiste continue à perdre de l’argent… Les conséquences du « supply crunch » qu’envisage l’AIE promettent d’être particulièrement rudes pour l’Europe.

2020

Le pétrole de schiste américain n’est pas mort, loin s’en faut. Mais il n’est plus la machine à cash qu’il fût. Les faillites à répétition, accentuées par la crise du Covid-19, le prouvent. On voit aussi désormais les parapétroliers tourner le dos à la fracturation hydraulique en Amérique du Nord. Après Baker Hughes, c’est désormais l’un des plus grands acteurs au monde du secteur, Schlumberger, qui vend ses activités sur le continent nord-américain.