8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

En seulement dix mois, le terrible bilan humain du conflit en fait déjà l’un des plus sanglants du siècle. Et l’ampleur des dégâts dans l’enclave palestinienne pourrait le rendre bien plus lourd.
Près de 400 combattants du Hezbollah ont été tués en marge de la guerre à Gaza, des pertes supérieures à celles du conflit de 2006.
Le sabotage du gazoduc russe Nord Stream en 2022 en mer Baltique a été validé au plus haut niveau à Kiev, affirme jeudi le Wall Street Journal, y compris au départ par le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme a demandé à la Russie de lui donner accès aux régions russes touchées par le conflit, y compris à celle de Koursk, théâtre d’une offensive surprise de Kiev.
L'Ukraine veut créer une "zone tampon" dans la région russe de Koursk, où ses forces ont lancé une offensive sans précédent le 6 août, afin de protéger sa population frontalière des bombardements russes, a annoncé mercredi un ministre ukrainien.
La région russe de Belgorod, zone frontalière avec l’Ukraine, passe ce mercredi 14 août en état d’urgence en réaction aux frappes de l’armée ukrainienne, qui mène une offensive en territoire russe depuis plus d’une semaine.
La Palestine en cartes, citations, faits et chiffres.
Une semaine après le lancement de l’offensive surprise dans la région de Koursk, Volodymyr Zelensky a revendiqué ce mardi 13 août le contrôle de dizaines de localités en territoire russe.
L'armée ukrainienne a déclenché le 6 août une offensive surprise dans la région russe frontalière de Koursk, s'emparant d'une trentaine de villages et poussant des dizaines de milliers de civils à fuir.
En prenant pied sur le territoire russe, l’armée ukrainienne inflige un revers cinglant à Vladimir Poutine et espère forcer Moscou à redéployer une partie de ses troupes, afin d’alléger, même temporairement, la pression à l’œuvre plus au sud.
L'offensive ukrainienne en Russie est "légitime" et s'arrêtera si Moscou accepte une "paix juste" et met fin à son invasion de l'Ukraine, a déclaré mardi la diplomatie ukrainienne.
Les forces ukrainiennes, qui ont lancé le 6 août une incursion armée d’une ampleur sans précédent dans la région frontalière russe de Koursk, occupent 28 localités dans cette zone, a annoncé lundi le gouverneur par intérim, Alexeï Smirnov.
La France, l’Allemagne et le Royaume-Uni ont affirmé lundi « qu’il ne peut plus y avoir aucun délai supplémentaire » pour négocier un cessez-le-feu dans le territoire assiégé.
Un incendie s'est déclaré dimanche soir dans le système de refroidissement de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les forces armées russes, Kiev et Moscou s'accusant mutuellement d'en être responsable. Selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui dispose d'une équipe sur place, "il n'y a pas d'impact sur la sûreté nucléaire" alors que les six réacteurs sont à l'arrêt.Le responsable de l'administration mise en place par les Russes dans la région, Vladimir Rogov, a indiqué tôt lundi que l'incendie avait été "complètement éteint".
Des "milliers" de soldats ukrainiens participent à l'incursion en cours dans la région russe de Koursk, selon un haut responsable, la Russie assurant de son côté stopper des avancées en profondeur sur son sol des troupes de Kiev.
Pour la première fois, le président ukrainien a évoqué samedi l’incursion de son pays sur territoire russe. Il a affirmé sa volonté de «mettre la pression sur l’agresseur».
La Russie a instauré samedi un régime spécial "d'opération antiterroriste" dans trois régions frontalières avec l'Ukraine, au cinquième jour d'une incursion armée ukrainienne dans celle de Koursk, qui fait courir des risques à une centrale nucléaire locale, selon l'agence nucléaire russe.
Plus de 76.000 personnes vivant dans la région russe de Koursk, frontalière de l'Ukraine, ont été évacuées vers "des lieux sûrs" depuis l'incursion des forces de Kiev, a indiqué samedi un responsable cité par des médias russes.
Les autorités du Hamas parlent d’une centaine de morts après une attaque samedi matin contre une école. Israël affirme qu’elle abritait un centre de commandement du mouvement armé palestinien.
Alors que les combats font rage depuis l’offensive de l’Ukraine dans la région frontalière de Koursk en Russie, Moscou a annoncé vendredi 9 août le lancement d’«opérations antiterroristes» à Belgorod, Briansk et Koursk.
Mardi 6 août, la Russie déclarait avoir repoussé avec succès près de 1000 soldats ukrainiens qui menaient avec des véhicules blindés des "tentatives de percée" dans la région frontalière de Koursk. "Les soldats du service des gardes-frontières et des forces armées russes ont empêché le franchissement de la frontière", affirmait Alexeï Smirnov, le gouverneur par intérim de la région de Koursk sur Telegram.
Le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a appelé dans un communiqué à "une retenue maximale afin d’éviter un accident nucléaire", alors que les combats ont fait rage vendredi, pour la quatrième journée consécutive, dans la région russe de Koursk. Les forces ukrainiennes ont lancé une offensive d’ampleur, poussant Moscou à y envoyer chars et canons en renfort.
Au quatrième jour de l’attaque surprise de l’armée ukrainienne en territoire russe, le Kremlin a déclaré vendredi que la situation dans la région de Koursk relevait de “l’urgence fédérale” et a ordonné l’envoi de renforts militaires.
Au troisième jour de l’offensive ukrainienne dans la région russe de Koursk, la presse internationale reste dubitative sur les objectifs de Kiev.
L’armée ukrainienne avance depuis mardi en territoire russe dans la région de Koursk. Une incursion sans précédent, aux objectifs flous, qui peut rapporter gros ou coûter très cher.
Les forces russes font toujours face jeudi à une incursion majeure des troupes ukrainiennes dans la région frontalière de Koursk, un revers inattendu pour la Russie dont l'armée était à son avantage jusque-là sur le front.Pour la présidence ukrainienne, cette offensive surprise, déclenchée mardi, est une conséquence de "l'agression" russe en Ukraine depuis près de deux ans et demi, au prix de dizaines de milliers de morts et de destructions massives.
L’incursion d’un millier de militaires ukrainiens dans la région de Koursk, mardi et mercredi, est la plus importante jamais effectuée sur le territoire russe depuis le début de la guerre.
L'état d'urgence a été instauré mercredi dans la région russe de Koursk – frontalière de l'Ukraine –, en proie depuis mardi à une importante incursion ukrainienne, selon les autorités russes. Des deux côtés de la frontière, des milliers de personnes ont dû être évacuées.
La Russie a annoncé mardi 6 août lutter contre une incursion de l'armée ukrainienne dans la région frontalière de Koursk, après plusieurs opérations du même type revendiquées ces derniers mois par des combattants pro-Kiev. Cinq civils ont été tués dans la journée par des frappes ukrainiennes dans cette région russe, selon son gouverneur par intérim, Alexeï Smirnov.
Neuf employés de l'Agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) "pourraient avoir été impliqués" dans les attaques du Hamas du 7 octobre en Israël, selon l'enquête interne des Nations unies qui portait sur 19 personnes accusées par Israël.