8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Pour comprendre la recharge des nappes d’eau souterraine, on se fie généralement à leur seul niveau. Pourtant, d’autres instruments, les lysimètres, sont également utiles.
Plus d’un quart des stations de contrôle des eaux souterraines en France, première source d’eau potable du pays, ont mesuré une contamination au-dessus des normes environnementales, selon une enquête du journal Le Monde publiée mercredi.
L’état des réserves françaises a continué de s’améliorer en mars grâce aux pluies importantes. 58 % d’entre elles affichent des niveaux supérieurs aux normales, mais le Languedoc-Roussillon reste dans le rouge.
Près de la moitié des réserves souterraines du pays affichent un niveau supérieur à la normale, selon l’organisme chargé de leur surveillance. Mais le manque d’eau reste inquiétant en Occitanie et notamment dans les Pyrénées-Orientales.
« Téhéran s’enfonce peu à peu dans le sol », titrait le 5 décembre 2018 la journaliste Emeline Férard pour le magazine GEO (1) : en certains endroits, le sol se serait enfoncé jusqu’à 25 centimètres par an – et, avec lui, le bâti de la capitale iranienne. La cause de cet affaissement ? Un drainage excessif des nappes phréatiques, conséquence directe d’une gestion inadaptée de la problématique hydrique en Iran et du creusement de puits illégaux à travers le pays.
Le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) a souligné, mardi, dans un bulletin, que la situation concernant le niveau des nappes phréatiques dans les Pyrénées-Orientales (sud de la France) – touchées par une sécheresse historique l'année dernière –, demeure "très préoccupante".
Cette mise en garde intervient après une année marquée par une sécheresse historique en Pyrénées-Orientales, département à l’activité agricole et touristique importante qui a subi de nombreuses restrictions d’eau.
Le temps pluvieux est une bonne nouvelle pour le remplissage de ces réserves d’eau, dont «56 % des niveaux sont au-dessus des normales mensuelles en décembre». Excepté sur le pourtour méditerranéen, toujours à sec.

2023

L'année 2023 a été marquée par de sombres records côté climat et biodiversité. Sans renier ces mauvaises nouvelles, «Libération» revient sur six nouvelles environnementales enthousiasmantes.
Les fortes précipitations d’octobre et de novembre ont fait remonter le niveau des nappes dans le nord du pays, annonce le BRGM ce jeudi 14 décembre. Mais l’établissement public reste prudent pour l’an prochain.
Si les pluies du printemps et de l’été ont permis de maintenir, voire d’améliorer l’état des nappes, les pluies tombées à la mi-octobre ont été en revanche insuffisantes, note le Bureau de recherches géologiques et minières, décrivant une situation « peu satisfaisante ».
Les fortes chaleurs et le manque de précipitations en septembre et octobre creusent toujours plus le déficit en eau. Selon les derniers chiffres officiels, 68 % des réserves souterraines ont encore des niveaux anormalement bas.
Dans le sud de la France, l’augmentation de l'exploitation des carrières de graviers pourrait mettre en danger les eaux souterraines.
Selon un rapport publié ce lundi 21 août, la sécheresse des sols concernait 28 % du territoire européen début août, contre 55,8 % l’année dernière. Mais le niveau des nappes phréatiques reste très bas.
Le pays comptait « 72 % de nappes qui sont en dessous des normales de saison » au 1ᵉʳ août, contre 68 % un mois auparavant, a annoncé le gouvernement jeudi.
Hautement toxiques 42 000 tonnes de déchets sont stockées et menacent la plus grande réserve en eau potable d’Europe. Un collectif d’élus locaux de gauche se positionnent contre l’enfouissement définitif de ces déchets dangereux.
Plusieurs centaines de personnes se sont mobilisées en défense de l’eau le 1ᵉʳ juillet en Ariège. Une mobilisation à l’issue de laquelle des activistes ont pénétré et accroché des banderoles dans une gravière du groupe Lafarge.
Le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu a indiqué mercredi sur CNews que deux tiers des nappes phréatiques en France métropolitaine sont sous les normales, faisant état "d'inquiétudes très vives" sur certaines zones comme le couloir rhodanien et la Méditerranée.
Au 1er mai, une très large majorité des nappes phréatiques françaises (68 %) restait à des niveaux préoccupants malgré les pluies tombées en abondance sur certaines régions ces deux derniers mois, a constaté mercredi le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM).
Mi-mai, le niveau moyen des nappes phréatiques de 31 départements est encore «bas», voire «très bas». La situation s’est même dégradée dans plusieurs départements.
L’or bleu français est menacé et certaines municipalités commencent à en tenir compte. La ville de Grigny a demandé à l’usine Coca-Cola, installée sur la commune, d’arrêter de puiser dans la nappe phréatique l’eau nécessaire à la production de ses boissons. Ce bras de fer autour de la ressource en eau entre satisfaction des besoins incontournables des populations et exigences industrielles préfigure des remises en cause massives de modèles économiques de plus en plus fragiles.
Paris (AFP) – Il a plu en mars, mais pas partout et surtout pas assez: avec 75% des nappes à des niveaux modérément bas à très bas, le spectre d’une sécheresse estivale se renforce, notamment pour une cinquantaine de départements qui pourraient connaître une situation pire que l’été dernier.
Les pluies du mois de mars n’y ont rien fait : près de 20 % des nappes phréatiques ont des niveaux très bas, a annoncé le Bureau de recherches géologiques et minières. Le risque de sécheresse cet été est donc « avéré ».
Les nappes sont au plus bas à la sortie de l’hiver, ce qui fait courir un grand risque de sécheresse pour les mois à venir, a averti ce jeudi le Bureau de recherches géologiques et minières lors de la présentation de son bulletin mensuel.
La demande du ministre de l’agriculture, Marc Fesneau, de voir réévaluée la décision de l’Anses d’interdire le S-métolachlore, un pesticide responsable d’une vaste contamination des nappes phréatiques, est inédite et inquiétante.
Marc Fesneau a annoncé jeudi avoir demandé à l’Anses une « réévaluation » de l’interdiction d’un herbicide majeur, responsable d’une pollution quasi généralisée des nappes phréatiques.
En février dernier, seulement 9mm de pluie sont tombés en province du Luxembourg. Un chiffre bien inférieur aux moyennes de saison avec une situation similaire un peu partout en Wallonie.
La sécheresse, en 2023, s’annonce à nouveau historique. Le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) dresse un tableau bien aride de nos sous-sols en ce début mars. « 80 % des nappes sont sous les normales, a indiqué Violaine Bault, hydrogéologue, lors d’une conférence de presse le 13 mars. Et 45 % sont à des niveaux bas, à très bas. » Parmi les secteurs les plus « préoccupants », selon le Bureau : le couloir Rhône-Saône, les nappes de la plaine du Roussillon, celles des causses calcaires — autour du (...)
Le Bureau des recherches géologiques et minières fait état d’une « grande incertitude » quant à la recharge des nappes au printemps.
Christophe Béchu, ministre de la transition écologique, s’est inquiété, mercredi, du faible niveau des nappes phréatiques. Le pays n’a pas connu un tel manque de précipitations sur cette durée depuis le début des mesures de pluviométrie par Météo-France, en 1959.