8 mars

OA - Liste

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A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Les autorités sanitaires américaines ont annoncé vendredi qu'une personne avait été testée positive à la grippe aviaire sans contact connu avec un animal, une première aux Etats-Unis.
Malgré l’engouement majeur de nombreux élus pour le développement éolien, je ne peux, en tant qu’agriculteur et ornithologue, que déplorer le manque apparent d’intérêt de la part de ces mêmes élus de réfléchir aux conséquences de ce développement sur la faune aviaire.
usqu’au troisième quart du XXe siècle, un virus de la grippe aviaire qui se serait propagé à un poulet ou à un porc domestique se serait rapidement retrouvé dans une impasse. Presque tous les poulets étaient élevés dans des fermes familiales, dans des troupeaux de quelques dizaines d’unités: 400 formait déjà un très grand élevage. Les porcs étaient élevés en nombre beaucoup plus restreint. Par conséquent, même si le virus était très contagieux, il aurait rapidement manqué de nouveaux hôtes à infecter. Les choses ont changé avec ce que l’on a appelé «l’altération la plus profonde de la relation entre l’animal et l’homme depuis 10 000 ans» [6], à savoir l’expansion rapide d’exploitations d’alimentation animale concentrée (CAFO), plus précisément appelées «fermes industrielles».
Quatre nouveaux cas humains de grippe aviaire ont été confirmés aux Etats-Unis par les autorités sanitaires dimanche, ce qui porte à huit le nombre de personnes infectées depuis le printemps par cette maladie d’origine animale.
Impact sur les chaînes d’approvisionnement, contagion aux bovins, transmission à l’Homme, vaccins : tout comprendre à la grippe aviaire.
Une quatrième personne, cette fois dans le Colorado, a été infectée par la grippe aviaire aux Etats-Unis en lien avec une épidémie chez les vaches, ont annoncé mercredi les autorités sanitaires américaines.
La grippe aviaire décime des espèces déjà menacées par le changement climatique et la perte d’habitat.
Le ministre de l’Agriculture australien a beau affirmer qu’il n’y a “aucune raison de s’inquiéter de ruptures de stock”, malgré l’épidémie de grippe aviaire dans le sud-est du pays, les consommateurs se ruent sur les rayons. La chaîne de supermarchés Coles a annoncé limiter l’achat à deux boîtes d’œufs par personne.
Le virus H5N1 continue de se répandre dans les élevages laitiers américains. Modérément inquiets, les scientifiques déplorent un manque de transparence qui permettrait de mieux contrôler le risque que ce virus d’origine animale mute et devienne transmissible entre humains.
L’OMS a rapporté mercredi le premier décès humain dû à une infection par un virus de la grippe H5N2. Il s'agit d'un homme de 59 ans décédé à Mexico. Aucune transmission à l'homme n'avait jusqu'à présent été attestée. L'OMS estime cependant que le risque actuel pour la population est "faible".
Un premier cas humain de grippe aviaire de type H5N2, une souche différente de celle en lien avec l'épidémie en cours chez les vaches aux États-Unis, a été détecté au Mexique, a annoncé l'OMS mercredi. Ce premier humain est infecté est décédé, a annoncé mercredi l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Des cas de grippe aviaire ont été détectés chez des alpagas d'un élevage du nord-ouest des Etats-Unis, a annoncé mardi le ministère américain de l'Agriculture, au moment où ce virus se propage dans les élevages aux Etats-Unis et que deux cas humains y ont été recensés.
Pour les autorités sanitaires, l’évaluation du risque pour la population américaine reste toutefois «faible».
Un deuxième cas de transmission du virus de la grippe aviaire de la vache à l’homme a été identifié mercredi dans le Michigan par les autorités sanitaires américaines. Ces dernières assurent que le risque de pandémie demeure “faible”, en l’absence de transmission d’humain à humain. Mais les scientifiques restent prudents.
Récemment, au Texas, des chats sont décédés peu de temps après avoir développé de graves symptômes tels que la cécité, après avoir consommé du lait cru (non pasteurisé) de vaches infectées par le H5N1. Une première, qui suscite de nouvelles inquiétudes.