8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

L'absorption du CO2 par la végétation et les sols a été particulièrement peu efficaces l'an dernier. "Chaque année, en moyenne, à travers la planète, sols et végétation absorbent environ 2 milliards de tonnes de carbone. Mais en 2023, on parle de 0, 4 à 0,7 tonne. En gros, un quart à un tiers de l'absorption moyenne sur la décennie", alerte le climatologue français Philippe Ciais, qui vient de publier une étude sur ces "puits de carbone terrestres".
L'énergéticien britannique Drax est le plus gros émetteur de CO2 au Royaume-Uni, alors qu'il reçoit des subventions massives pour son électricité qu'il présente comme verte, d'après une étude du centre de réflexion Ember, dont les conclusions sont réfutées par l'entreprise. Une nouvelle analyse du centre de réflexion Ember révèle que Drax est de loin le plus gros émetteur de CO2 au Royaume-Uni bien qu'il reçoive un demi-milliard de livres de subventions publiques pour brûler du bois", écrit Ember dans un communiqué accompagnant son étude, publiée vendredi.
D'après une étude, les avions modernes volant à haute altitude créent des traînées de condensation qui durent plus longtemps que celles des modèles plus anciens (volant plus bas). Ainsi, ces traînées persistantes contribueraient davantage au changement climatique que le carbone produit par la combustion du carburéacteur.
Une détérioration rapide du puits de carbone terrestre dans un avenir proche pourrait avoir des conséquences vraiment terribles.
Si les gains de l’intelligence artificielle pour réduire les émissions restent hypothétiques, les coûts énergétiques, déjà importants, vont devenir, eux, colossaux.
Si l'année 2023 a été si mauvaise, c'est notamment à cause de la forte sécheresse dans les tropiques, explique l'un des auteurs de l'étude, Philippe Ciais à France Inter.
Le cadre mondial de référence pour la décarbonation du secteur privé reconnaît que les crédits carbone sont "inefficaces".
Serions-nous à l’orée d’une boucle de rétroaction positive qui va emballer les changements climatiques ? D’après une étude publiée lundi 17 juillet, les puits de carbone terrestres, composés de sols et de forêts, ont massivement perdu en efficacité en 2023. Avec les sécheresses et les incendies qui se sont multipliés, leur rôle d’absorbeur mondial de CO2 a tourné en sous-régime, à environ un tiers, voire un cinquième de ses capacités moyennes.
Agriculture "bas carbone", le grand défi de notre génération
Les forêts et les sols ont seulement absorbé entre 1,5 milliard et 2,6 milliards de tonnes de CO2 en 2023, loin derrière les 9,5 milliards de 2022, notamment en raison de la sécheresse en Amazonie et du fait des incendies au Canada et en Sibérie.
Adrien Couzinier Reprise d’un post FaceBook du 30/07/2024. Le puits carbone végétal en 2023, y compris les émissions liées au changement d’affectation des terres, a diminué pour atteindre une valeur faible de 0,44 ±0,21 GtC en 2023, contre une moyenne de 2,04 GtC/an au cours de la période 2010-2022.
In 2023, the CO2 growth rate was 3.37 ± 0.11 ppm at Mauna Loa, 86% above the previous year, and hitting a record high since observations began in 1958[1], while global fossil fuel CO2 emissions only increased by 0.6 ± 0.5%[2,3]....
L’entrepreneur Thomas Guyot alerte, dans une tribune au « Monde », sur la contradiction entre la hausse du trafic aérien et ce que l’on sait de son incidence sur le climat.
Le Danemark est parvenu à un accord inédit pour taxer les émissions liés à l'élevage. Une première au niveau mondial.
Flanquée de 13 grues, la "tour à cyclones" en béton domine d'une centaine de mètres la campagne du Poitou, élément-clé d'une cimenterie ultramoderne en construction à Airvault (Deux-Sèvres), censée produire un ciment moins carboné sur fond de réchauffement climatique.Quelque 500 ouvriers s'affairent sur ce chantier "pharaonique" du géant allemand Heidelberg Materials qui investit environ 350 millions d'euros pour réduire de moitié, d'ici 2030, les émissions de CO2 du site.