8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Voilà un record dont on se passerait bien. Juin 2024 a été le mois de juin le plus chaud jamais enregistré, selon les données les plus récentes de Copernicus, le programme européen d’observation de la Terre. La température de l’air sur le globe a été, en moyenne, de 16,66 °C en juin 2024, soit 0,67 °C de plus que la température moyenne à la même période de l’année entre 1991 et 2020, et 1,5 °C de plus qu’entre 1850 et 1900. Cela fait donc douze mois consécutifs que la planète connaît, chaque mois, un (...)
Monthly global surface air temperature anomalies (°C) relative to 1850–1900 from January 1940 to June 2024, plotted as time series for all 12-month periods spanning July to June of the following year. The 12 months from July 2023 to June 2024 are shown with a thick red line, while all other 12-month periods are shown with thin lines shaded according to the decade, from blue (1940s) to brick red (2020s).
Si le thermomètre était proche ou inférieur aux normales de saison en Europe de l’Ouest, notamment en France, une grande partie du monde a subi des températures supérieures aux normes, voire exceptionnelles.
Sous l'effet des rejets de gaz à effet de serre de l'humanité, les records de températures mondiales continuent de tomber depuis plus d'un an: juin 2024 est devenu le mois de juin le plus chaud jamais mesuré, effaçant le record déjà battu en 2023.
De violents incendies font rage depuis quelques jours dans le nord de la Californie, frappée par une vague de chaleur exceptionnellement "dangereuse", selon les météorologues.
Ce week-end et en début de semaine prochaine, la Californie et le sud-ouest des États-Unis vont connaître une vague de chaleur brutale et particulièrement longue, prévient la presse américaine. De nombreux records de température pourraient tomber.
Les feux de forêts se multiplient en Californie où des températures allant jusqu’à 47 degrés ont été enregistrées vendredi 5 juillet.
Après une année de chaleur record en 2023, près de 5 milliards de personnes ont vécu sous des températures extrêmes rien qu’au mois de juin 2024. En Inde, en Arabie saoudite, en Chine, au Mexique ou encore aux États-Unis, les canicules meurtrières se multiplient, avec des températures approchant, voire surpassant, les 50°C.
Depuis le mois de mai, des vagues de chaleur se succèdent à travers le nord du sous-continent indien, provoquant des centaines de morts, en particulier dans les grandes villes. Les habitants les plus pauvres en sont les premières victimes.
Dans le nord de l’Etat américain, un incendie a déjà ravagé 1 400 hectares ce jeudi 4 juillet, poussé par une sécheresse historique et des températures records.
Un incendie violent fait rage dans le nord de la Californie, poussant des milliers d’habitants à évacuer cette zone de l’Ouest américain frappé par une vague de chaleur exceptionnellement "dangereuse", selon les météorologues. Déjà plus de 1400 hectares de prairies et de forêt ont été consumés près d’Oroville, où les autorités ont demandé à plus de 10.000 personnes de quitter les lieux alors que l’ouest des États-Unis se prépare à une longue et intense canicule.
La canicule va persister cet été en Chine selon les services météorologiques du pays, ont rapporté les médias d’Etat, dans un contexte de réchauffement climatique mondial. Le géant asiatique est le premier émetteur mondial de gaz à effet de serre qui, selon les scientifiques, sont à l’origine du réchauffement de la planète qui rend lui-même les phénomènes météorologiques extrêmes plus fréquents et plus intenses.
Des milliers de personnes ont été évacuées de plusieurs zones de Californie en raison de feux de forêts provoqués par une vague de chaleur. L'incendie le plus dangereux, baptisé '"Thompson", se situe à Oroville, à 110 kilomètres au nord de Sacramento, rapporte le Los Angeles Times.
Au moins une fois par jour, ventilateurs, climatiseurs et frigidaires cessent de fonctionner en Egypte, au gré des coupures d'électricité, exaspérant la population qui étouffe sous des températures caniculaires.Les ascenseurs s'arrêtent, les télévisions et les réseaux wifi s'éteignent le temps de ces coupures, qui jusque-là duraient une heure ou deux mais qui, depuis quelques jours, dépassent les trois heures. Depuis un an, les pénuries d'énergie et de devises étrangères qui frappent l'Egypte ont conduit le gouvernement à instaurer ces délestages planifiés.
Les températures ne sont pas redescendues sous les 40°C plusieurs jours de suite dans le sud du pays, tuant des centaines de personnes qui n’ont pas pu fuir la chaleur, ont annoncé des responsables de santé mardi 25 juin.