8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Exposés pendant cinq ans à des concentrations de fluoxétine (antidépresseur) similaires à celles trouvées dans les rivières, des poissons d'eau douce placés en aquarium ont perdu, au fil des générations, leur capacité d'ajuster leurs comportements de prise de risque, pointe une nouvelle étude.
Le réchauffement climatique et l’eutrophisation sont deux phénomènes qui affectent la biodiversité des milieux d’eau douce. Des scientifiques viennent de montrer que l’effet combiné de ces deux facteurs de stress entraîne une diminution de la présence des gros poissons, situés en haut de la chaîne alimentaire. L’eutrophisation se définit « comme un excès de substances nutritives dans les milieux aquatiques », selon l’INRAE. Elle résulte souvent de la pollution des milieux aquatiques par les engrais agricoles.
À l’échelle de la planète, seulement 3% de l’eau terrestre est de l’eau douce... À l’occasion de la Journée mondiale de l’eau, zoom sur une ressource précieuse et pourtant menacée.
Les algues toxiques prolifèrent dans la principale réserve d’eau douce d’Irlande du Nord. La prise de conscience du problème est très récente dans ce territoire marqué par la guerre civile, où les questions environnementales restent au second plan.

2023

Les signataires de la Déclaration globale sur les dauphins de rivière gardent espoir, tant les efforts de conservation des cétacés entrepris récemment par différents pays semblent porter leurs fruits.
Une nouvelle étude sur les limites planétaires a affiné les projections et montre que désormais les seuils fixés pour le cycle de l'eau bleue, comme avant lui celui de l'eau verte, sont dépassés. Mettant à mal notre résilience.
Le cycle de l'eau douce est la sixième limite planétaire à être franchie selon une actualisation publiée mercredi 13 septembre. Deux autres sont en sursis, l'acidification des océans et la présence des aérosols dans l'atmosphère. Si cela n'est pas irréversible, il y a urgence à inverser la tendance.
C’est désormais officiel, la limite planétaire sur l’eau douce est dépassée. C’était déjà partiellement le cas avec l’eau verte depuis avril 2022, et c’est désormais confirmé pour l’eau bleue. Une nouvelle étude d’une équipe internationale évalue pour la première fois toutes les limites planétaires, y compris celles sur la charge atmosphérique en aérosols.
La demande globale en eau augmente progressivement, notamment en raison des besoins de secteurs tels que l’agriculture et l’élevage. Ainsi, comprendre l’approvisionnement mondial en eau semble plus que jamais important. Quel est le volume d’eau douce sur Terre ? Comment cette dernière est-elle répartie ? Quels sont les pays les mieux approvisionnés ?
Lorsqu’on parle d’eau douce et de gestion de l’eau, on pense spontanément aux eaux de pluie, rivières, lacs, aquifères… bref, à l’eau « clair », que les activités humaines consomment directement. C’est l’eau bleue. On pense moins au cycle de l’eau qui passe par le végétal, pourtant essentiel et dont dépend l’eau bleue. Il est généralement le grand oublié des politiques publiques.
Bien qu’elle ait été considérablement moins étudiée que d’autres problèmes environnementaux, la salinisation présente des défis majeurs pour la biodiversité des eaux douces et des zones côtières.
La trentaine de barrages du pays connaît un faible niveau de remplissage, provoquant l’instauration d’un système généralisé de quotas et de coupures d’eau.
Le corps de la dernière femelle connue de cette espèce de tortue a été découvert le 21 avril sur les rives d'un lac.
Un rapport de référence appelle à une révision de la gestion mondiale des ressources en eau et de son gaspillage. Source : The Guardian, Fiona HarveyTraduit par les lecteurs du site Les-Crises Le m…
La députée Aurélie Trouvé (LFI) a provoqué de vives réactions en affirmant que le maïs irrigué consommait 25 % de l’eau douce. Si le chiffre exact est difficile à estimer, l’ordre de grandeur est correct.