8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Les traités d’investissement tel le Traité sur la charte de l’énergie (TCE) s’opposent à l’ambition climatique des États. Peut-on résoudre cette anomalie et redonner cohérence au droit international ?

2023

Quelque 150 manifestants ont réclamé, dimanche midi au Carrefour de l'Europe (Gare centrale de Bruxelles), des initiatives des Nations unies contre les investissements dans les énergies fossiles.
Au moment où de plus en plus de scientifiques nous mettent en garde contre les risques climatiques de notre dépendance aux énergies fossiles, l’Association canadienne des producteurs pétroliers (ACPP) prévoit que les investissements dans la production de pétrole et de gaz naturel atteindront 40 milliards de dollars cette année. Il s’agit de la troisième année d’affilée de croissance des investissements.

2022

L'Afrique s'est engagée à atteindre des émissions nettes de carbone nulles, mais elle a besoin de plus d'argent et de temps pour s'éloigner des combustibles fossiles sans compromettre son développement économique, ont rappelé cette semaine divers responsables africains lors de rendez-vous internationaux. Des responsables du Ghana, d'Afrique du Sud et de l'Union africaine ont ainsi déclaré lors de conférences sur l'énergie cette semaine que le continent n'était pas prêt à abandonner le charbon, le pétrole et le gaz. "L'Afrique est pleinement convaincue et engagée en faveur d'un taux net zéro et soutient l'agenda climatique, mais là où nous divergeons, c'est sur le calendrier", a déclaré à l'AFP la commissaire à l'énergie de l'Union africaine (UA) Amani Abou-Zeid, en marge du sommet Green Energy Africa au Cap.
Qualifiant "d'accablant" le nouveau rapport du Giec, le secrétaire général de l'Onu, Antonio Guterres, a dénoncé lundi les mensonges de "certains gouvernements et responsables d'entreprises" en matière de lutte contre le changement climatique. "La science nous explique que ce sera le résultat de nos politiques énergétiques actuelles", a-t-il poursuivi, accusant " des pays et entreprises gros émetteurs (de gaz à effet de serre) de ne pas seulement détourner les yeux, mais de mettre de l'huile sur le feu". "Ils étouffent notre planète, au nom de leurs intérêts acquis et de leurs investissements historiques dans les énergies fossiles, alors que des solutions renouvelables moins chères offrent des emplois verts, la sécurité énergétique et une plus grande stabilité des prix."
Le Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) publie ce lundi 4 avril le dernier volet de son rapport consacré aux moyens de faire face à l’urgence climatique. Tandis que les deux précédents volets de ce 6e rapport des experts du climat de l’ONU ont confirmé l’urgence climatique, ce nouveau rapport titré AR6 Climate Change 2022: Mitigation of Climate Change (6e rapport d’évaluation sur le changement climatique : l’atténuation du changement climatique) doit permettre aux gouvernements de trouver des solutions pour limiter le réchauffement à 2°C. Il passe en revue les possibilités existantes pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. La sortie rapide des énergies fossiles (le pétrole et le charron), l’électrification, la décarbonation de l’économie ainsi que la capture et le stockage du carbone figurent parmi les solutions mises en avant. Le Giec constate aussi un ralentissement dans l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre et une insuffisance des investissements.
Les grandes banques et fonds d'investissement financent toujours des milliards pour l'extraction des énergies fossiles responsables du réchauffement climatique, en contradiction avec leurs engagements de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, selon un rapport publié vendredi.
Fondatrice et directrice de l’ONG Reclaim Finance, Lucie Pinson a été récompensée par le prix Goldman pour l’environnement pour sa bataille contre les investissements des banques et des assurances dans les énergies fossiles. Imagine l’a rencontrée.

2021

Alors que le nouveau variant du Covid-19 met un coup de pression sur le pétrole et ses prix, les débats sur la sortie des énergies fossiles semblent de plus en plus animés à l'aube de l'année 2022.
Il existe cependant encore un certain nombre d'exceptions. Il s'agit notamment des interventions qui menacent la sécurité nationale des États-Unis. Des investissements pourraient également être nécessaires pour élargir l'accès à l'énergie dans des zones vulnérables. La politique ne s'applique pas non plus aux projets existants, y compris ceux que les États-Unis ont soutenus sous différents gouvernements.
Après une semaine d’hésitation, la France a rejoint une nouvelle alliance s’engageant à mettre un terme d’ici à la fin 2022 au financement à l’étranger de projets d’énergies fossiles. Mais la portée de cet engagement reste limitée.
Tandis que les subventions aux énergies fossiles pourraient de nouveau fortement progresser sur l'ensemble de l'année 2021, l'OCDE et l'Agence internationale de l'énergie (AIE) appellent à les réorienter vers des investissements plus favorables à la protection du climat.
Malgré une catastrophe climatique qui grève déjà leurs revenus, les acteurs financiers ne sont guère incités à renoncer aux investissements dans les énergies fossiles. À l’approche de la COP 26, il faut amplifier la lutte.
Réduire la place du pétrole pour limiter le changement climatique: l'équation est difficile pour certains pays producteurs, confrontés à une transition douloureuse et qui, pour certains, mettent en garde sur une baisse trop rapide des investissements dans les fossiles.
The nations that make up the G7 have pumped billions of dollars more into fossil fuels than they have into clean energy since the COVID-19 pandemic, despite their promises of a green recovery. A new analysis reveals that the countries attending committed $189 billion to support oil, coal, and gas between January 2020 and March 2021. In comparison, the same countries spent $147 billion on clean forms of energy. The support for fossil fuels from seven of the world’s richest nations included measures to remove or downgrade environmental regulations as well as direct funding of oil, gas and coal.