8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Le « Sounion », un navire grec chargé d’un million de barils de pétrole, brûle en mer depuis le 21 août, après avoir été pris pour cible par le groupe yéménite.
Au lendemain de son redémarrage, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville s'est arrêté automatiquement mercredi, a annoncé EDF, qui assure que cet arrêt est la preuve que "le système de sécurité fonctionne bien". Des contrôles sont en cours.
Une nappe dense et huileuse recouvre en partie un estuaire de la réserve naturelle Yasuni, en Amazonie équatorienne, où le peuple indigène Waorani réclame à cor et à cri l'arrêt de l'extraction du pétrole. "Il est temps de dire ça suffit, ils ont assez abusé de nous", clame auprès de l'AFP Ene Nenquimo, la vice-présidente de l'organisation Nacionalidad Waorani (Nawe), des plumes multicolores sur la tête.
Le réacteur nucléaire EPR de Flamanville (Manche) a connu mercredi un "arrêt automatique" au lendemain de son démarrage, et les équipes d'EDF procèdent à des contrôles techniques et à des analyses avant de pouvoir relancer sa "divergence", c'est-à-dire la réaction nucléaire.
"Nous faisons la queue dès 6 heures du matin et nous n'aurons du carburant qu'à partir de 12, 13 ou 14 heures", s'impatiente Sola Adewusi, un chauffeur privé aux abords de l'une des stations-service de la mégalopole de Lagos, au Nigeria. "C'est à cause de nos dirigeants, ils sont mauvais", ajoute l'homme de 36 ans, agacé par des semaines de pénurie de carburant, qui aggrave la crise du coût de la vie dans le pays le plus peuplé d'Afrique.
Violences sexuelles, expropriations brutales, pollution : l'ONG Climate Rights International dénonce dans un rapport lundi de nombreuses atteintes aux populations et à l'environnement sur un site du mégaprojet pétrolier développé en Ouganda et Tanzanie par les compagnies française TotalEnergies et chinoise CNOOC.
L'Azerbaïdjan, où se tiennent dimanche des élections législatives anticipées, est historiquement un pays étroitement lié aux hydrocarbures, tirant l'essentiel de ses revenus de l'or noir et du gaz.- Une histoire ancienne -A la fin du XIIIe siècle, le voyageur-écrivain vénitien Marco Polo, cheminant sur la Route de la soie, décrivait déjà une "source" d'huile à brûler située dans cette région du Caucase.
Le 1er de chaque mois, retrouvez un tour du monde des Énergies.
A case in point: When Ecuador placed a windfall tax on foreign oil operations, French and U.S. companies filed claims—and were awarded more than $800 million.
Une récente étude a mis au jour un mode d’action du plastifiant sur une enzyme ayant un rôle crucial dans le développement du cerveau des garçons. Les chercheurs ont pu reproduire ce mécanisme sur des animaux de laboratoire.
L'Ukraine prévoit d'arrêter complètement le transit de gaz et de pétrole en provenance de Russie à partir du 1er janvier 2025, a indiqué vendredi le conseiller au président ukrainien Volodymyr Zelensky, Mykhaïlo Podoliak, dans une interview avec la chaîne de télévision Novyny.LIVE.
La Russie dispose d'une « flotte fantôme » qui lui permet de contourner les sanctions occidentales et qui risque d'entraîner une « catastrophe environnementale », alerte le CREA (Centre for Research on Energy and Clean Air) dans une nouvelle analyse.
ExxonMobil table sur une demande de pétrole quasiment inchangée en 2050 par rapport aux niveaux actuels, scénario qui tranche avec la plupart des hypothèses.Le géant américain de l'énergie voit l'appétit pour l'or noir atteindre un plateau en 2030, mais s'attend à ce que la demande reste "supérieure à 100 millions de barils par jour" (mb/j) jusqu'en 2050, selon des documents publiés lundi.Au deuxième trimestre 2024, la consommation de pétrole brut est montée à 102,8 mb/j, selon des chiffres publiés par l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA).
Les autorités de l'Est de la Libye ont annoncé lundi la "fermeture de tous les gisements et terminaux pétroliers" ainsi que "l'arrêt des exportations jusqu'à nouvel ordre", sur fond de crise politique majeure avec le gouvernement rival de Tripoli, reconnu par l'ONU. Cette décision qui correspond au blocage des principales infrastructures pétrolières du pays --majoritairement situées dans l'Est-- intervient en riposte à une prise de contrôle lundi matin de la Banque centrale de Libye (BCL) et au remplacement de son gouverneur par les autorités de Tripoli.
« Avec les récents changements structurels sur les marchés mondiaux du pétrole en réaction à la pandémie de Covid19, à l’invasion de l’Ukraine par la Russie et aux perturbations du transport maritime dans la mer Rouge, l’intérêt grandit pour les capacités de raffinage pouvant entrer en service dans les prochaines années pour répondre à la demande croissante », indique l'EIA américaine (Energy Information Administration) dans un rapport publié ce 22 août.