8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Les Etats-Unis suffoque sous la chaleur et met à rude épreuves les hommes et les infrastructures, comme ce pont de New York à l'arrêt.
L’AFAUP est le réseau national des professionnels de l’agriculture urbaine qui échangent sur leurs modèles et leurs pratiques et contribuent au développement de toutes les agricultures urbaines.
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2023

La végétalisation de la ville et sa biodiversité sont indispensables pour rendre les cités de demain plus vivantes et, par là, plus vivables. Mais si la plupart des collectivités ont intégré cette réflexion, les actions ne suivent pas toujours. Plaidoyer pour un véritable « urbanisme écosystémique ».
Paris, Bordeaux, Montpellier, Grenoble ou Lyon travaillent sur des forêts urbaines adaptées, alors que 71 % des espèces d’arbres seront en situation de risque sanitaire d’ici à 2050.
La Bergerie urbaine, qui fait paître ses 45 bêtes dans la métropole, fait depuis cinq ans le pari que la ville n’est pas l’ennemie de l’agriculture. Rencontre.
L’accélération du réchauffement climatique menace deux tiers des espèces d’arbres et d’arbustes dans les centres urbains du monde entier. Avec des conséquences désastreuses pour les citadins.
La mairie de Paris porte plusieurs projets de création de forêts urbaines dans la capitale. Objectif : rafraichir la ville, de plus en plus touchée par des épisodes de fortes chaleur. Mais certains militants associatifs sont sceptiques, prédisant l'échec de ces initiatives et souhaitent la préservation des arbres existants.
Selon une étude publiée dans la revue scientifique The Lancet, si la couverture végétale d’une ville pouvait atteindre 30% de sa surface, cela pourrait réduire d’un tiers le nombre de décès prématurés liés aux canicules estivales.
Indécence urbaine : présentation du livre de Guillaume Faburel publié aux Editions Flammarion. Les grandes villes sont responsables des crises majeures de notre temps. Elles imposent des rapports consuméristes et productivistes au monde sans offrir en retour une écologie à la hauteur de la dévastation orchestrée par l’idéologie urbaine. L’équivalent d’une ville comme New York sort de terre tous le

2022

Comprenant les nombreux bienfaits générés par les végétaux en milieu urbain, et forcées de répondre à une demande sociale de plus en plus forte, les métropoles occidentales se sont lancées depuis quelques années dans une véritable course à la végétalisation. Un mouvement qui pourrait bien redessiner le paysage urbain du 21ème siècle.
Imaginons qu’en 2050 nous ayons pris en compte les aspirations des individus, notamment à ralentir, et pris au sérieux les enjeux environnementaux, à quoi ressemblerait la France devenue le modèle à suivre pour les pays de l’Union européenne ?
Des études démontrent que la capacité d’un individu à mobiliser son capital social, ainsi que la présence de lieux favorisant le lien social au sein d’un quartier, constituent des atouts clés pour affronter les crises écologiques, économiques ou encore sanitaires....Les inégalités en termes d’infrastructure sociale influencent la capacité des quartiers à faire face aux crises.
Les grandes métropoles ont tout intérêt à partager leurs expériences afin d’élaborer une vision à long terme contre le dérèglement du climat, estime la paléoclimatologue et coprésidente du groupe de travail 1 du GIEC.
Si le déclin de la forêt amazonienne est un phénomène bien connu, les forêts urbaines subissent aussi bien des dommages. Une équipe internationale de chercheurs a étudié pas moins de 3 129 espèces d’arbres et arbustes présents dans 164 villes à travers le globe pour prendre le pouls des plantes ligneuses en ville. Les résultats ont été publiés le 19 septembre dans la revue Nature Climate Change et ils sont ahurissants : entre 56 et 65% des espèces dans les forêts urbaines, à échelle mondiale, sont déjà dans une situation critique à cause des températures grimpantes et des précipitations qui se font désirer de plus en plus. Et ce chiffre pourrait monter entre 68 et 76% d’ici la date fatidique de 2050.