8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Pour les autorités sanitaires, l’évaluation du risque pour la population américaine reste toutefois «faible».
Une revue de près de 1 000 études, parue ce mercredi 8 mai, montre que les activités humaines augmentent le risque infectieux touchant les plantes, les animaux et les individus.
L’Organisation mondiale de la santé a fait part ce jeudi 18 avril de sa crainte face à la propagation croissante de la souche H5N1, au «taux de mortalité extraordinairement élevé», à de nouvelles espèces, y compris les humains.
Vendredi dernier, les CDC ont émis une alerte concernant le premier cas aux États-Unis de transmission à l'Homme du virus H5N1 par un mammifère (bovin).

2023

Les élevages sont sous haute surveillance pour freiner le développement de bactéries résistantes aux antibiotiques. Mais les organisations internationales se heurtent à l’explosion du modèle d’élevage industriel.
Dans l’est de la RDC, à la lisière d’un parc naturel dévasté par le braconnage et la déforestation, médecins, vétérinaires et environnementalistes s’allient pour prévenir le risque de voir émerger un nouveau pathogène de la faune sauvage, sur le mode du Covid-19. Médecins du Monde et Vétérinaires sans frontières, deux ONGs belges et leurs partenaires congolais, misent sur la formule “Une seule santé” pour éviter l’émergence d’une telle pandémie. Reportage.
Les pangolins indonésiens sont très prisés en Chine, alerte la version indonésienne de “The Conversation”. Depuis la pandémie de Covid-19, Pékin a pourtant interdit l’utilisation des écailles et de la viande de ce petit mammifère pour concocter des remèdes de médecine traditionnelle.
Selon l’OMS, un variant de ce type de virus a entraîné depuis 2020 un nombre sans précédent de morts d’oiseaux sauvages et de volailles dans de nombreux pays d’Afrique, d’Asie et d’Europe.
Les conditions restent propices à l’émergence de nouveaux pathogènes capables de causer des pandémies. La dégradation environnementale et l’accélération des mouvements de personnes et de marchandises s’ajoutent à l’extraordinaire capacité d’adaptation des bactéries, virus et champignons.
L’élevage industriel et le commerce d’animaux aux États-Unis représentent un « risque sérieux de [déclencher de] futures pandémies, et le gouvernement américain n’a pas de stratégie globale pour faire face à ces menaces ». C’est le message d’alerte lancé par un rapport, publié le 6 juillet par des chercheurs étasuniens de la Harvard Law School et de l’université de New York.
Qu’est-ce que la pandémie Covid-19 nous apprend de notre relation santé-environnement ?00:00 : Introduction par Anneliese Depoux01:54 : Comorbidités liées au...
Variole du singe, Sras, Mers, Ebola, grippe aviaire, zika, VIH et sans doute Covid-19... Les zoonoses, maladies transmises à l'homme par des animaux, se sont multipliées ces dernières années, laissant craindre de...
En Espagne, un élevage de visons a été contaminé par la grippe aviaire. Un événement très inquiétant, car cette espèce est très proche de l’humain, et que le virus circule de plus en plus. Pneumonie, museau en sang, tremblements, élévation brutale de la mortalité. De drôles de symptômes ont touché les visons d’une exploitation intensive de production de fourrure, début octobre 2022, dans la province espagnole de Galice. Le principal suspect, le Covid-19, a été écarté. C’est un virus bien plus dangereux qui a (...)
Depuis plus d’un an, la grippe aviaire décime les élevages et les oiseaux européens. Les experts craignent qu’une série de mutations déclenche une pandémie chez l’humain. L’épidémie de grippe aviaire progresse. Depuis un an, les annonces de foyers d’infection pleuvent. Les élevages français, anglais, hongrois sont décimés. Les oiseaux sauvages aussi. Les autorités sanitaires procèdent à des abattages massifs d’élevages infectés, en vain. Alors que l’épidémie persiste, l’humain est-il le prochain sur la liste (...)

2022

Alors que les épidémies de variole du singe et de coronavirus continuent leur progression, un nouveau virus a récemment été détecté en Chine. Selon la revue médicale "The New England Journal of Medicine", une nouvelle zoonose, une maladie infectieuse se transmettant de l'animal à l'homme, a été observée dans les provinces chinoises de Shandong et Henan. Plus précisément, il s'agit d'un nouveau henipavirus, dont les formes les plus connues sont le Nipahvirus et le Hendravirus. Le premier est particulièrement létal, avec un taux de mortalité oscillant entre 40 et 75%, selon l'OMS. Trente-cinq cas de ce nouveau virus, dénommé "Langya" par les experts, ont pour l'heure été enregistrés. Les patients atteints de Langya ont développé différentes sortes de symptômes, dont la fièvre (100 % des patients), la fatigue (54 %), la toux (50 %), la perte d'appétit (50 %), les douleurs musculaires (46 %), les nausées (38 %), les maux de tête (35 %) et les vomissements (35 %).