António Guterres

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António Guterres est un homme d’état portugais. Il est secrétaire général des Nations Unies depuis le 1er janvier 2017. Wikipedia

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Antonio Guterres climat

2024

Le secrétaire général de l'Onu Antonio Guterres a averti vendredi, lors de la conférence annuelle sur la sécurité à Munich (Allemagne), du risque de la communauté internationale d'être de plus en plus divisée malgré de grands "défis existentiels".
Le secrétaire général de l'ONU a jugé "affligeant" mardi que certains gouvernements sacrifient la lutte contre le réchauffement climatique et la faim pour "dépenser sans compter dans l'armement".

2023

Une dynamique inédite pour la fin des énergies fossiles anime la 28e conférence climatique des Nations unies à Dubaï, malgré l'hostilité de l'Arabie saoudite, de plus en plus isolée, et le flou qui entoure les termes d'un possible compromis à 24 heures de la fin. Un nouveau projet d'accord est attendu lundi matin, avant-dernier jour de la conférence. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a appelé pour sa part les négociateurs à assurer la sortie de "toutes les énergies fossiles".
World Meteorological Organization says 2023 will be hottest year on record, leaving ‘trail of devastation and despair’
Le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres a réclamé lundi des "mesures spectaculaires, maintenant", à quelques jours de la COP28 sur le climat, qualifiant la trajectoire actuelle de "sortie de route", alors que la planète se dirige vers un réchauffement de 2,5°C à 2,9°C d'ici 2100.
Le secrétaire général de l’ONU António Guterres appelle à arracher d’urgence «les racines empoisonnées de la crise climatique : les énergies fossiles».
L'humanité qui rechigne à se désintoxiquer des énergies fossiles a "ouvert les portes de l'enfer", a dénoncé mardi le secrétaire général de l'ONU lors d'un sommet sur l'ambition climatique en l'absence remarquée des Etats-Unis et de la Chine.
La rencontre organisée en marge de l’Assemblée générale a eu lieu à un peu plus de deux mois de la COP28 de Dubaï. Antonio Guterres a commencé par s’excuser. A cause d’une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies consacrée à l’Ukraine, le secrétaire général de l’ONU ne pouvait pas assister à l’ensemble des débats du Sommet sur l’ambition climatique, mercredi 20 septembre. Mais, avant de s’éclipser, M. Guterres a tonné. Contre le « comportement honteux » de ceux qui ne respectent pas l’objectif de la neutralité carbone en 2050. Contre ceux qui préparent un « monde réchauffé de 2,8 °C ». Contre l’inaction qui pousse l’humanité aux « portes de l’enfer ». « L’avenir n’est pas écrit : c’est à vous, les dirigeants, de l’écrire », a-t-il ajouté, sonnant la mobilisation générale.
Cette réunion, qui pourrait être la plus importante depuis 2019, est orchestrée par le secrétaire général de l’ONU, António Guterres. Si la France a été invitée, ni les Etats-Unis ni la Chine ne seront présents.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a averti mercredi que l'addiction de l'humanité aux énergies fossiles avait "ouvert les portes de l'enfer", en lançant un sommet sur la lutte contre le réchauffement climatique, sans la Chine ni les Etats-Unis. Evoquant les "chaleurs terribles" et les "incendies historiques" cette année, alimentés par les émissions de gaz à effet de serre, il a cependant souligné qu'il n'était pas trop tard "pour limiter la hausse des températures mondiales à 1,5°C".
Nouveau rendez-vous dans l'agenda climatique de cette rentrée. Antonio Guterres reçoit ce mercredi 20 septembre les pays les plus mobilisés pour son Sommet de l'ambition climatique. Ils seront une trentaine environ, avec des absences particulièrement remarquées comme celle de la Chine et des États-Unis. Novethic fait le point sur les principaux contributeurs au changement climatique en une infographie.
Le patron de l'ONU, Antonio Guterres, a qualifié vendredi le G20 de famille "dysfonctionnelle", alors que le sommet s'ouvrait à New Delhi, en Inde. La réunion a pour but de chercher des compromis en matière de climat et d'économie, mais reste divisée sur le dossier de la guerre en Ukraine.
L’expression employée par Antonio Guterres, dont la traduction française fait débat, ne correspond pas à une définition scientifique. Elle s’inscrit dans une volonté de pousser les décideurs à agir contre le dérèglement climatique.
"L'effondrement climatique a commencé", a déploré le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, dans un communiqué en réaction à l'annonce du record mondial de températures pendant l'été de l'hémisphère nord par l'observatoire européen Copernicus.
« L’effondrement climatique a commencé », a déploré mercredi le chef de l’ONU dans un communiqué en réaction à l’annonce du record mondial de températures pendant l’été dans l’hémisphère nord. Juillet et août ont été les mois les plus chauds jamais enregistrés, a annoncé mercredi l’Observatoire européen Copernicus.
L'été (juin-juillet-août) a connu les températures mondiales moyennes les plus élevées jamais mesurées, annonce mercredi l'observatoire européen Copernicus, pour qui 2023 sera probablement l'année la plus chaude de l'Histoire. "L'effondrement climatique a commencé", a déploré le secrétaire général de l'ONU António Guterres, dans un communiqué.
The UN Secretary-General’s Early Warnings for All Initiative (EW4All) is rapidly gaining ground. Action plans are being rolled out around the world to ensure that people know when dangerous weather is headed their way. Tajikistan has held a two-day national consultation, co-chaired by the Deputy Prime Minister and the UN Resident Coordinator in Tajikistan, and bringing together key stakeholders from state and international organizations, media and civil society. Ethiopia also held an inception workshop.
L’humanité est entrée dans « l’ère de l’ébullition » climatique, a averti jeudi Antonio Guterres, le chef des Nations unies alors que l’autorité météorologique mondiale a affirmé que juillet 2023 sera « très certainement le mois le plus chaud jamais mesuré »
In a speech about climate change from April 4th of this year, UN General Secretary António Guterres lambasted “the empty pledges that put us on track to an unlivable world” and warned that “we are on a fast track to climate disaster” (1). Although stark, Guterres’ statements were not novel. Guterres has made similar remarks on previous occasions, as have other public figures, including Sir David Attenborough, who warned in 2018 that inaction on climate change could lead to “the collapse of our civilizations” (2). In their article, “World Scientists’ Warning of a Climate Emergency 2021”—which now has more than 14,700 signatories from 158 countries—William J. Ripple and colleagues state that climate change could “cause significant disruptions to ecosystems, society, and economies, potentially making large areas of Earth uninhabitable”
Juin a été le mois le plus chaud jamais enregistré, selon ce que révèle l’observatoire de l’Union européenne Copernicus. Vendredi matin, le secrétaire général de l'ONU a d'ailleurs dit que l'humanité a perdu le contrôle des changements climatiques. Il estime que la planète se dirige vers une situation catastrophique après deux records mondiaux de chaleur battus en une seule semaine. Écoutez le scientifique et analyste à l’observatoire du changement climatique Copernicus de l’Union européenne, Julien Nicolas, aborder avec l'animateur Louis Lacroix la déclaration d'António Guterres au sujet du réchauffement climatique.
This week, the world broke the daily temperature record. This is yet another demonstration that climate change is out of control and one reason more for increased #ClimateAction ambition and justice. Emissions continue to grow while leaders persist in delaying the key measures needed to change this. This is the moment when we all need to assume our responsibilities. #climatechange
À l’occasion du Sommet pour un nouveau pacte mondial et financier, organisé à Paris par Emmanuel Macron, le secrétaire général de l’ONU est sur notre antenne. Il dénonce la “pitoyable” réponse du monde face à l’urgence climatique, qui nous conduit à une “catastrophe”.
Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a dénoncé ce jeudi l’insuffisance des politiques de lutte contre le réchauffement climatique qui, selon lui, conduit toujours à une «catastrophe».
Le secrétaire général des Nations unies, qui organisera le 20 septembre un sommet sur l'action climatique à New York, estime que "les pays sont loin de tenir leurs promesses et leurs engagements climatiques".
Les pays doivent éliminer progressivement le charbon et les autres combustibles fossiles pour éviter une « catastrophe » climatique, a averti le Secrétaire général de l'ONU, jeudi à New York.
United Nations Secretary-General António Guterres made clear Monday that securing a livable planet depends on stopping the "bottomless greed of the fossil fuel industry and its enablers."
Un "grand mensonge": le secrétaire général de l'ONU a appelé mercredi à poursuivre les majors pétrolières, comme les cigarettiers l'ont été, pour avoir caché pendant des années les informations dont elles disposaient sur le réchauffement climatique. "Certains producteurs d'énergies fossiles étaient parfaitement conscients dans les années 1970 que leur produit phare allait faire brûler la planète", a affirmé Antonio Guterres au cours d'un discours au Forum de Davos.
Une étude de la revue « Science » affirme que la société ExxonMobil disposait de prédictions sur le réchauffement climatique dès les années 1980.
En s’inspirant des amendes infligées aux géants du tabac dans les années 1990, les Nations Unies envisagent d’attaquer en justice les groupes pétroliers qui ont délibérément caché l’impact de leurs activités sur le dérèglement climatique.
Certains géants pétroliers ont colporté le grand mensonge" sur le réchauffement climatique, a dénoncé mercredi à Davos le secrétaire général des Nations Unies Antonio Guterres, quelques jours après la publication d’une étude sur ce que savait la major américaine ExxonMobil de ce risque il y a quarante ans.

2022

Le patron de l’ONU, António Guterres, a comparé lundi l’inaction des pays de la planète face à la crise climatique à un “suicide collectif”. Comme certains dirigeants de pays vulnérables, il a appelé à “revoir” le fonctionnement du système financier international afin de pouvoir mieux aider certains pays victimes de catastrophes.
Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, António Guterres, s’est exprimé dans le cadre de la COP27, avec une allocution pour le moins offensive.
Depuis sa prise de fonction, en janvier 2017, le secrétaire général des Nations unies ne cesse de marteler, dans des discours incendiaires, l’urgence à agir dans cette « bataille pour nos vies ».
Il s’agit pour nous d’une question de vie ou de mort, pour notre sécurité aujourd’hui et pour notre survie demain », a lancé lundi le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, lors d’une déclaration à la presse au siège de l’organisation à New York, à l’occasion de l’ouverture à Kinshasa d’une réunion préparatoire à la conférence annuelle sur le climat (COP27) de novembre en Egypte.
Il est "grand temps d'une discussion sérieuse" et "d'actions significatives" concernant les dommages causés par le changement climatique déjà subis notamment par les pays en développement, a plaidé mercredi le secrétaire général de l'ONU.
"Fractures", monde "paralysé", besoin de "solidarité": les dirigeants qui se sont succédé mardi à la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU ont mis en garde contre les divisions dangereuses d'un monde qui subit déjà un amoncellement de crises, de la guerre en Ukraine au réchauffement. "La crise du pouvoir d'achat se déchaîne, la confiance s'effrite, les inégalités explosent, notre planète brûle" et malgré tout, "nous sommes bloqués par un dysfonctionnement mondial colossal", a déploré le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres en ouvrant cette semaine de haut niveau de l'Assemblée générale, qui a repris en personne après deux années marquées par le Covid-19. "Ces crises menacent l'avenir même de l'humanité et le destin de la planète", a-t-il estimé. "Ne nous berçons pas d'illusion (...) Un hiver de grogne mondiale se profile à l'horizon."
Lors de son discours d’ouverture de l’Assemblée générale de l’ONU, mardi 20 septembre, le secrétaire général a dénoncé une action climatique « mise en veilleuse » alors que « nous avons rendez-vous avec la catastrophe climatique ».
UN Secretary-General António Guterres called for strengthened international solidarity to address pressing global issues. "My objective is to make it clear that …we need cooperation, we need dialogue, and the present terrible geopolitical divides are not allowing it to happen. We need to change course," Mr. Guterres said in a wide-ranging interview with UN News ahead of the General Assembly's annual high-level week. The UN chief is just back from a solidarity visit to flood-ravaged Pakistan, where he called repeatedly for fast – and serious – to not only end what he called "climate carnage" but to provide more support for the countries that are the most-impacted but have done very little to cause the phenomenon.
António Guterres, secrétaire général de l’ONU, souhaite que les pays développés aident les pays frappés durement par le réchauffement climatique en taxant les profits des énergies fossiles
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a appelé mardi à la "solidarité" et la "coopération" pour faire face aux défis multiples d'un "monde en danger", à l'ouverture de la 77e Assemblée générale des Nations unies.
Le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres a pointé du doigt "l'addiction de l'humanité aux énergies fossiles" après une récente série de catastrophes climatiques et alors qu'un rapport publié mardi souligne que le monde "va dans la mauvaise direction". "Inondations, sécheresses, canicules, feux et tempêtes extrêmes ne font que s'aggraver et battent des records avec une fréquence inquiétante", a souligné M. Guterres dans un message vidéo. "Canicules en Europe. Inondations colossales au Pakistan. Sécheresses graves et prolongées en Chine, dans la corne de l'Afrique et aux États-Unis. Il n'y a rien de naturel dans l'échelle nouvelle de ces désastres", a-t-il jugé. "Ils représentent le prix de l'addiction de l'humanité aux énergies fossiles", selon le secrétaire général de l'ONU, qui appelle à une sortie du charbon et au développement des énergies renouvelables.
"Arrêtez cette folie": les pays en développement paient le "prix" de la dépendance mondiale aux énergies fossiles, a dénoncé samedi le secrétaire général des Nations Unies, au deuxième jour de sa visite à travers un Pakistan dévasté par de catastrophiques inondations.
« Je n’ai jamais vu de carnage climatique de cette ampleur », a déclaré Antonio Guterres lors d’une visite au Pakistan, pays dévasté par des inondations monstres.
Le Pakistan fait face à “une mousson sous stéroïdes”, prévient António Guterres, le secrétaire général de l’ONU, après que les inondations phénoménales ont submergé un tiers du pays.
Antonio Guterres, le secrétaire général de l'ONU, a dénoncé la "cupidité" des grandes entreprises pétrolières et gazières qui réalisent des profits "scandaleux" sur "le dos des plus pauvres" grâce à la crise provoquée par la guerre en Ukraine, appelant les gouvernements à les taxer.
Le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres a mis en garde dimanche au Surinam contre la "vulnérabilité" des Caraïbes face au changement climatique, plaidant également pour des mécanismes de financement destinés aux pays en développement endettés.
La seule solution pour assurer la sécurité énergétique de tous passe par l’abandon des combustibles fossiles polluants et l’accélération de la transition énergétique, alerte le secrétaire général des Nations unies dans une tribune au « Monde ».
Le monde doit se mobiliser pour préserver la santé menacée des océans et éviter ses conséquences catastrophiques pour l'environnement et l'humanité, a déclaré lundi le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres.
Le secrétaire général de l'ONU a lancé vendredi une attaque en règle contre l'industrie des combustibles fossiles, l'accusant de tenir "l'humanité à la gorge" et appelant les dirigeants des grandes économies à agir pour "mettre fin à l'ère des énergies fossiles". "Le premier devoir d'un dirigeant, c'est de protéger les populations des dangers clairs et actuels. Rien ne pourrait être plus clair ou présent que le danger de l'expansion des combustibles fossiles", a dit Antonio Guterres dans un discours à l'adresse du Forum des grandes économies sur l'énergie et le climat (MEF). Cette réunion virtuelle, organisée par le président américain Joe Biden, réunit les pays "représentant 80% du PIB, de la population et des émissions de gaz à effet de serre du monde", selon la Maison Blanche. "Même à court terme, les combustibles fossiles n'ont aucun sens politique ou économique. Pourtant, nous semblons piégés dans un monde où les producteurs de combustibles fossiles et les financiers tiennent l'human
António Guterres compares climate inaction to tobacco firms dismissing links between smoking and cancer
Pour le secrétaire général des Nations Unies, les énergies fossiles font clairement partie du passé. Antonio Guterres a prononcé un discours lors de la cérémonie des diplômes de l’université de Seton Hall aux États-Unis en conseillant fermement aux étudiants de ne pas travailler pour les entreprises détruisant le climat. Un appel qui fait écho aux mobilisations de plus en plus nombreuses de jeunes diplômés qui ne veulent pas utiliser leurs compétences dans des entreprises ne répondant pas à leurs valeurs.
Antonio Guterres leur a demandé, dimanche, de tenir les promesses d’aide financière aux pays en développement.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a été plus que clair le jour de l'ouverture des discussions des 195 Etats membres du Giec il y a deux semaines : la dépendance au pétrole, au charbon et au gaz est une "folie". "Nous marchons les yeux fermés vers la catastrophe climatique" et "si nous continuons comme ça, nous pouvons dire adieu à l'objectif de 1,5°C. Celui de 2°C pourrait aussi être hors d'atteinte", a-t-il insisté, en référence aux objectifs de l'accord de Paris.
Qualifiant "d'accablant" le nouveau rapport du Giec, le secrétaire général de l'Onu, Antonio Guterres, a dénoncé lundi les mensonges de "certains gouvernements et responsables d'entreprises" en matière de lutte contre le changement climatique. "La science nous explique que ce sera le résultat de nos politiques énergétiques actuelles", a-t-il poursuivi, accusant " des pays et entreprises gros émetteurs (de gaz à effet de serre) de ne pas seulement détourner les yeux, mais de mettre de l'huile sur le feu". "Ils étouffent notre planète, au nom de leurs intérêts acquis et de leurs investissements historiques dans les énergies fossiles, alors que des solutions renouvelables moins chères offrent des emplois verts, la sécurité énergétique et une plus grande stabilité des prix."
Le monde marche "les yeux fermés vers la catastrophe climatique", a alerté lundi le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, déplorant qu'en dépit de "l'aggravation" de la situation, les grandes économies continuent de laisser leurs émissions de gaz à effet de serre augmenter. L'objectif de limitation de la hausse des températures à +1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle, objectif le plus ambitieux de l'accord de Paris, est en "soins critiques", a-t-il déclaré lors d'une conférence sur le développement durable organisée par The Economist à Londres. Selon l'ONU, il faudrait réduire de 45% les émissions d'ici 2030 pour espérer limiter la hausse des températures à +1,5°C. Mais les émissions sont toujours en hausse et la planète a gagné en moyenne environ +1,1°C depuis l'ère pré-industrielle, multipliant canicules, sécheresses, tempêtes ou inondations catastrophiques.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a dénoncé lundi l'"abdication criminelle" des dirigeants mondiaux dans la lutte contre le réchauffement, en réponse à un rapport scientifique décrivant la "souffrance" de l'humanité frappée par les catastrophes climatiques.

2021

Après deux semaines d'âpres négociations, la COP26 a pris fin, samedi 13 novembre, avec un accord en demi-teinte, déjà largement critiqué et dont le patron de l'ONU, Antonio Guterres, a lui-même relevé les faiblesses.
Les promesses de réduction des émissions de CO2 pour limiter le réchauffement sonnent creux tant que le monde ne sort pas des énergies fossiles, a déclaré jeudi le secrétaire général de lONU à la COP26.
« Les promesses sonnent creux quand l’industrie des énergies fossiles continue de recevoir des milliers de milliards de subventions (…) ou quand des pays continuent à construire des centrales à charbon », a déclaré, jeudi 11 novembre, le secrétaire général de l’Organisation des nations unies (ONU), Antonio Guterres, à la veille de la fin de la COP26. « Les annonces ici à Glasgow sont [toutefois] encourageantes, mais elles sont loin d’être suffisantes », a-t-il estimé.
L’accord annoncé mercredi à la COP26 par la Chine et les États-Unis pour renforcer leur ambition climatique est "un pas dans la bonne direction", a salué dans la foulée le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres. Le vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans, a également salué cette annonce.
The United Nations secretary general, António Guterres, on Monday issued a blistering critique of the world’s failure to rein in global warming, calling on countries to return every year to review their climate targets — not every five years, as the Paris climate agreement spells out. “Even if the recent pledges were clear and credible — and there are serious questions about some of them — we are still careening towards climate catastrophe,” he said at the opening ceremony of COP26, the U.N. climate summit in Glasgow.
"Il est temps de dire 'Assez'", a lancé Antonio Guterres devant environ 120 dirigeants de tous les continents et des milliers de délégués et d'observateurs. "Assez de brutaliser la biodiversité. Assez de nous tuer nous-mêmes avec le carbone. Assez de traiter la nature comme des toilettes. Assez de brûler et forer et extraire toujours plus profond. Nous creusons nos propres tombes", a-t-il martelé, dénonçant notre "addiction aux énergies fossiles".
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a appelé vendredi le G20 à remettre "sur le bon chemin" les efforts mondiaux pour limiter le réchauffement climatique.
Entre ceux qui réclament qu’on agisse pour le climat, comme Greta Thunberg ou António Guterres, et ceux qui boycottent le rendez-vous, comme Xi Jinping ou Vladimir Poutine, tour d’horizon des acteurs qui peuvent changer la donne.
“Les pays sont en train de gâcher une opportunité énorme d’investir des ressources budgétaires pour faire repartir l’économie d’une façon durable, efficace et qui préserve la planète, a regretté António Guterres. Alors que les dirigeants mondiaux se préparent pour la COP26, ce rapport est un nouvel avertissement retentissant. Combien nous en faudra-t-il ?”
De secretaris-generaal van de Verenigde Naties, António Guterres, wil dat de internationale scheepvaart en luchtvaart radicaal gaan verduurzamen. Alleen zo kan de doelstelling van 1,5 graad nog gehaald worden, zegt hij.
Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations unies, l’a lui-même avoué à demi-mot, ce jeudi, dans un discours devant une cinquante de ministres : «Echouer reste une possibilité mais nous ne pouvons, ne devons pas, l’accepter.»
Antonio Guterres, ONU. A un mois de la COP26 sur le climat, les dirigeants de la planète sont pressés de toutes parts d'agir vite et fort pour brider un réchauffement "catastrophique", mais entre crise du Covid-19 et colère des plus vulnérables, les négociations s'annoncent houleuses.
Cela fait des années que des appels à l’engagement des pays se succèdent et s’accroissent. Mais trop peu, trop lent, alerte une nouvelle fois l’ONU à six semaines de la COP26 à Glasgow. Les engagements déposés par les États signataires de l’Accord de Paris mènent le monde à un réchauffement de +2,7°C, très loin de l’objectif de 1,5°C espéré pour limiter ses retombées destructrices, s’est alarmée l’organisation internationale.
Le monde avance "dans la mauvaise direction", a déploré vendredi le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, en critiquant un endormissement de la planète face à l’urgence de mener des actions en matière climatique comme dans le domaine de la vaccination contre le Covid-19.
Pour Antonio Guterres, cette nouvelle publication scientifique « est un code rouge pour l’humanité ». « Les sonnettes d’alarme sont assourdissantes et les preuves sont irréfutables : les émissions de gaz à effet de serre provenant de combustibles fossiles et de la déforestation étouffent notre planète et mettent des milliards de personnes en danger immédiat », affirme le secrétaire général des Nations unies.
The climate crisis is accelerating at unprecedented pace, according to a new United Nations state-of-the-science report. It is "a code red for humanity," said UN Secretary-General António Guterres — and given that the report concludes the entirety of the warming is due to human greenhouse gas emissions, avoiding the worst of its consequences is up to us.
Le rapport des experts climat de l’ONU (Giec) publié lundi, véritable "alerte rouge" pour l’humanité, doit "sonner le glas" des énergies fossiles qui "détruisent la planète", a réagi le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres.
Human activity is changing the climate in unprecedented and sometimes irreversible ways, a major UN scientific report has said. The landmark study warns of increasingly extreme heatwaves, droughts and flooding, and a key temperature limit being broken in just over a decade. The report "is a code red for humanity", says the UN chief.
Het alarmerende VN-klimaatrapport weekt heel wat reacties los. Van VN-baas Antonio Guterres over Boris Johnson tot federaal klimaatminister Zakia Khattabi (Ecolo), Vlaams minister Zuhal Demir (N-VA) en EU-vicepresident Frans Timmermans: een overzicht. "Niets doen zou misdadig zijn." De Klimaatcoalitie vraagt intussen een "Green New Deal" van de Belgische beleidsmakers.
2021 doit être l'année de l'action contre le changement climatique "dont les répercussions sont déjà trop coûteuses pour les populations de la planète", a exhorté l'ONU lundi, avant un Sommet sur le climat voulu par Joe Biden.
2021 doit être l'année de l'action contre le changement climatique "dont les répercussions sont déjà trop coûteuses pour les populations de la planète", a exhorté l'ONU, avant un Sommet sur le climat voulu par Joe Biden. Les pays "doivent agir maintenant pour protéger les populations contre les effets désastreux du changement climatique", a mis en garde le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres,
Les Nations unies ont publié ce vendredi un état des lieux des contributions nationales à l'accord de Paris. Pour rappel, dans le cadre de celui-ci, les pays signataires se sont engagés à actualiser et à communiquer tous les cinq ans les politiques et mesures qu’ils entendent mettre en œuvre au niveau national pour concrétiser l’objectif de ce traité, à savoir limiter la hausse de la température mondiale à 1,5°C.
L’ONU a rendu public un rapport dans lequel il souligne que les objectifs climatiques ne peuvent être atteints. Pour son secrétaire général António Guterres, il est urgent que les États réorientent leurs politiques économiques pour inverser la tendance.

2020

Déjà en novembre dernier, M. Guterres, avait constaté que les efforts du monde pour arrêter les changements climatiques avaient été «totalement inadéquats» et que le réchauffement du climat s’approchait vite du «point de non-retour» . Les hausses généralisées des températures qui entraînent des conditions météorologiques extrêmes provoquent les catastrophes climatiques qui se font sentir partout sur la planète avec des conséquences dévastatrices pour les humains et les animaux.
L’humanité mène « une guerre suicidaire » contre la nature qui réagit et « répond par des ouragans, des incendies et de graves sécheresses dans diverses régions du monde », a déclaré le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, lors de la cérémonie d’ouverture de « Lisbonne - Capitale verte européenne » qui s'est tenue samedi dans la capitale du Portugal.

2019

2018

Dans un discours prononcé lundi au siège des Nations Unies à New York, le Secrétaire général de l’Organisation, António Guterres, a appelé les dirigeants mondiaux à ne plus perdre de temps pour protéger la planète et sa population des conséquences désastreuses du changement climatique, alors que « le monde change sous nos yeux ».

2017