António Guterres

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António Guterres est un homme d’état portugais. Il est secrétaire général des Nations Unies depuis le 1er janvier 2017. Wikipedia

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Gaza

2024

Une enquête publiée ce mardi 25 juin par le consortium «Forbidden Stories» révèle que plus de cent journalistes, essentiellement palestiniens, ont été tués. Tsahal a affirmé «ne pas blesser intentionnellement des journalistes».
Huit mois de guerre ont détruit plus de 55 % des structures à Gaza, selon le dernier rapport du centre satellitaire de l'ONU. Les principales villes de l’enclave ont été dévastées par les bombardements israéliens, les rendant presque totalement inhabitables. Pour de nombreux chercheurs, la situation actuelle s'apparente à un urbicide, littéralement, le meurtre des villes.
Depuis son installation en mai, la jetée temporaire installée par les États-Unis sur la côte de la bande de Gaza pour faciliter l'acheminement d'aide humanitaire enchaîne les difficultés. Déplacée la semaine dernière vers un port israélien en raison de mauvaises conditions météo, elle est de nouveau opérationnelle et les livraisons d'aide ont repris dans la nuit de mercredi à jeudi.
Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme a publié, mercredi, une évaluation de six opérations menées l'année dernière par l'armée israélienne à Gaza qui soulève "de sérieuses inquiétudes au regard du droit de la guerre, aux principes de distinction, de proportionnalité et de précaution".
Ernstige bodem- water en luchtvervuiling schaadt volksgezondheid en omgeving voor vele jaren.
L’armée israélienne a annoncé dimanche 16 juin l’instauration d’une pause humanitaire de onze heures chaque jour pour permettre l’acheminement d’aide dans le sud de la bande de Gaza. Aucun membre du gouvernement n’en avait, semble-t-il, été informé.
Les accusations d’antisémitisme proférées par les autorités israéliennes font mouche dans la population, prise dans les méandres de la politique israélienne sur fond de bruits de canons.
Le «Wall Street Journal» a eu accès à la correspondance entre le chef du Hamas à Gaza et ses divers représentants à l’extérieur de l’enclave, dans le cadre des discussions pour arracher une trêve.
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken a qualifié la réponse du Hamas de "signe d'espoir".
“The Wall Street Journal” a eu accès aux messages de Yahya Sinwar envoyés aux membres du Hamas participant aux négociations autour d’une trêve avec Israël. Abondamment repris dans la presse israélienne, ils révèlent le “froid mépris pour la vie humaine” du cerveau des massacres du 7 octobre.
Benny Gantz, membre du cabinet de guerre israélien dirigé par Benjamin Netanyahu, a quitté le gouvernement dimanche. Il était en désaccord avec le Premier ministre sur la conduite de la guerre à Gaza. Sa démission intervient après la libération de quatre otages lors d'un raid dans la bande de Gaza.
Samedi 8 juin, Tsahal a libéré 4 otages israéliens grâce à une opération spéciale dans le camp de Nuseirat, situé au centre de la bande de Gaza. Selon les chiffres fournis par le Hamas, ce raid aurait néanmoins causé la mort d’au moins 274 Palestiniens, ce qui a provoqué de fortes réactions au sein de la communauté internationale.
L'ambassadeur israélien aux Nations unies a annoncé vendredi avoir été notifié de l'ajout de l'armée israélienne à la "liste de la honte" de l'ONU, qui doit être publiée le 18 juin et recense les responsables de violations des droits des enfants dans des zones de conflit. Le Hamas aurait également été inclus, rapporte une source diplomatique.
Le président colombien Gustavo Petro a annoncé samedi la prochaine suspension des exportations de charbon de son pays vers Israël tant que la guerre dans la bande de Gaza se poursuivra."Nous suspendrons les exportations de charbon à Israël jusqu'à ce qu'il arrête le génocide", a écrit sur le réseau social X ce dirigeant de gauche.
Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a appelé jeudi à la cessation des hostilités le long de la ligne de démarcation fixée par les Nations unies entre Israël et le Liban, s’inquiétant d’un risque de "conflit plus large aux conséquences dévastatrices pour la région".
Le bombardement par Tsahal d’un établissement scolaire géré par l’UNRWA à Nuseirat, soupçonné d’abriter une base du Hamas, a tué au moins 40 personnes. L’armée israélienne concentre ses forces sur le centre de l’enclave palestinienne, où sont massés des dizaines de milliers de déplacés fuyant les combats.
Alors que les médiateurs accentuent la pression pour qu'Israël et le Hamas acceptent un plan de Cessez-le-feu à Gaza, le ministre israélien de la Défense a affirmé que le mouvement islamiste palestinien ne pourrait gouverner Gaza et que l'État hébreu était en train de "préparer une alternative de gouvernement".
Plus de 20 experts indépendants de l’ONU demandent aux Etats qui ne l’ont pas encore fait, dont la Suisse, de reconnaître l’Etat de Palestine. Lundi à Genève, ils ont également appelé les gouvernements à utiliser toutes leurs ressources politiques pour aboutir à un cessez-le-feu dans la bande de Gaza.
Environ 55% des bâtiments de la bande de Gaza, pour la plupart des logements, ont été endommagés ou détruits dans la...
La Défense civile de la bande de Gaza a annoncé mardi la mort de 21 personnes dans une frappe israélienne sur un camp de déplacés dans le sud du territoire palestinien, deux jours après un bombardement similaire à Rafah. La Maison-Blanche continue de juger qu’Israël n’a pas lancé contre cette ville du sud de la bande de Gaza une offensive “majeure”, susceptible de remettre en cause le soutien américain.
L'armée israélienne a annoncé mercredi avoir pris le contrôle d'une zone tampon entre la bande de Gaza et l'Égypte et a intensifié ses bombardements sur la ville frontalière de Rafah, devenue l'épicentre de la guerre contre le Hamas. Elle a également affirmé avoir découvert une vingtaine de tunnels dans le secteur frontalier.
L’Autorité palestinienne a accusé Israël d’avoir perpétré « un massacre » dimanche, en frappant un centre pour personnes déplacées à Rafah. L’attaque, qui a fait au moins 35 morts selon les autorités de Gaza, a été confirmée par l’armée israélienne, qui assure avoir visé « un quartier général du Hamas ».
En bombardant un camp de déplacés dans la grande ville du sud de Gaza, faisant plusieurs dizaines de morts, l’État hébreu répond avec horreur à la Cour internationale de justice, qui lui a ordonné de suspendre ses opérations militaires, estime le journal palestinien “Al-Quds”.
Après une frappe israélienne à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, qui a coûté la vie à 45 personnes, selon le ministère de la Santé à Gaza, l'État hébreu fait face à une vague de condamnations internationales.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a condamné lundi une frappe israélienne à Rafah qui a fait des dizaines de morts, soulignant que "ces horreurs doivent cesser".
La branche armée du Hamas palestinien a dit dimanche avoir visé Tel-Aviv avec un "important barrage de roquettes" dans un message publié sur le réseau social Telegram.
Le Premier ministre israélien s'est dit dimanche "fermement opposé" à la fin de la guerre à Gaza, au moment où s'intensifient les efforts diplomatiques en vue d'une reprise des négociations pour parvenir à une trêve dans le territoire palestinien.
La Cour internationale de justice a ordonné vendredi 24 mai à Israël d’arrêter son offensive militaire à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.
Le ministère des Affaires étrangères du gouvernement espagnol du socialiste Pedro Sánchez a averti samedi Israël que les ordonnances émises par la Cour internationale de justice (CIJ) sont "contraignantes" et a exigé leur respect.
Suite à une saisine de la part de l’Afrique du Sud, la Cour internationale de justice (CIJ) a sommé, ce 24 mai, l’État hébreu de mettre fin à ses opérations militaires à Rafah, ville de la bande de Gaza. En cas de non-respect de cette décision, Israël risque des sanctions.
La plus haute juridiction de l’ONU appelle également ce vendredi 24 mai l’Etat hébreu à laisser entre l’aide humanitaire par le point de contrôle de Rafah.
L’installation de la jetée temporaire américaine sur la côte de Gaza a permis le débarquement en une semaine de 97...
Pollution des sols, sources d’eau contaminées, champs dévastés. En plus du lourd bilan humain, le préjudice écologique subi par les habitants de Gaza est immense. Des observateurs soulignent la nécessité de criminaliser la destruction de l’environnement à des fins militaires.
Un nouveau convoi de camions transportant de l’aide humanitaire pour #Gaza a été bloqué par des colons qui ont détruit les colis, le 13 mai, au point de passage de #Tarqumia, en Cisjordanie. Deux activistes israéliennes pour la paix ont tenté de s’interposer. Elles les ont confrontés, prenant des soldats de l’armée israélienne à témoin, et ont tout filmé.
Lundi 20 mai, Kharim Khan, le procureur de la Cour pénale internationale, a demandé que soient émis des mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien, son ministre de la Défense, le chef du Hamas à Gaza et deux autres responsables du mouvement palestinien. Un coup dur pour les dirigeants de l’État hébreu qui redoutaient cette décision et qui avaient tenté de s’y opposer, commente la presse internationale.
Un groupe de militants pacifistes israéliens ont tenté de protéger dimanche un convoi humanitaire à destination de la bande de Gaza, pour empêcher qu'il soit attaqué par des activistes israéliens comme d'autres ces derniers jours, a constaté une correspondante de l'AFP.
La construction de cette jetée flottante avait été annoncée en mars dernier. Le 17 mai au matin, les premiers colis d’aide humanitaire à destination des Gazaouis ont commencé à être débarqués pour pouvoir être distribués.
Après des jours de blocage de l'aide humanitaire dans le territoire palestinien menacé de famine, les premiers chargements ont commencé à être débarqué vendredi par la jetée provisoire américaine arrimée la veille sur la côte de la bande de Gaza.
Les Etats-Unis se sont dits lundi "préoccupés" et ont appelé leur allié israélien à enquêter après un reportage de CNN sur les conditions dégradantes auxquelles seraient soumis certains prisonniers palestiniens en Israël. A partir d’informations fournies par des lanceurs d’alerte, la chaîne d’information a diffusé un reportage choc vendredi dernier, au sujet de la base militaire israélienne de Sde Teiman, située dans le désert du Néguev, dans le sud d’Israël.
Le Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient a annoncé avoir arrimé jeudi une jetée provisoire sur la côte de Gaza, devant permettre d'y acheminer plus d'aide humanitaire. À terme, les États-Unis espèrent l'arrivée de l'équivalent de "150 camions par jour" dans le territoire palestinien, soumis à d'intenses bombardements israéliens, et dont les principaux points d'entrée sont bloqués depuis plus d'une semaine.
De violents combats ont eu lieu lundi entre les soldats israéliens et le Hamas à Rafah et à Jabaliya, dans le sud et dans le nord de la bande de Gaza. Des Palestiniens ont continué de fuir des secteurs de Rafah, mais certains disent ne pouvoir partir faute de moyens.
Le Caire va s’associer à la plainte sud-africaine accusant Israël de génocide dans la bande de Gaza. Une décision prise après l’entrée de l’armée israélienne, le 6 mai, dans le “corridor de Philadelphie”, à la frontière entre l’Égypte et l’enclave palestinienne. Les accords de paix entre les deux pays seraient-ils menacés ?
Soixante-seize ans après la création de l’Etat d’Israël et face au désastre en cours dans la bande de Gaza, la reconnaissance d’un Etat palestinien pourrait contribuer à abréger la souffrance des Palestiniens et protéger l’Etat hébreu contre lui-même.
«The New York Times» s’est procuré sept dossiers des services de renseignement du mouvement islamiste entre 2016 et 2023. Via un réseau d’informateurs, le Hamas y compilait des renseignements sur des milliers de Palestiniens.
Une offensive terrestre israélienne sur Rafah conduirait à une "catastrophe humanitaire colossale", a prévenu vendredi le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, au moment où les opérations militaires contre le Hamas dans cette ville surpeuplée paralysent l'entrée de l'aide dans la bande de Gaza.
Les habitants de l’enclave palestinienne ont de plus en plus de difficultés à avoir accès à de l’eau potable et propre, principalement en raison de la destruction des puits et des usines de traitement lors du conflit. Avec des conséquences sanitaires inquiétantes.
Tsahal a appelé ce lundi 6 mai les Gazaouis présents dans l’est de la ville à rejoindre des «zones humanitaires», assurant débuter une «opération d’ampleur limitée» dans la ville du sud de la bande de Gaza.
Les 88 parlementaires, auteurs d’une lettre adressée au président, précisent cependant que doivent être exclus de cette possible suspension de l’aide américaine les systèmes israéliens de défense antimissile, comme le Dôme de fer.
Le Hamas doit donner sa réponse à la contre-proposition de pause des combats amendée par Israël. Sous couvert d’anonymat, un membre du mouvement islamiste palestinien a affirmé qu’il n’y avait «aucun problème majeur» dans le texte.
Une proposition de cessez-le-feu dans la bande de Gaza a été présentée au Hamas, prévoyant une cessation des hostilités pendant 40 jours associée à la libération d’otages et de prisonniers, a déclaré lundi à Ryad le ministre britannique des Affaires étrangères, David Cameron.
Un port temporaire et une jetée en mer vont bientôt voir le jour sur la bande de Gaza, afin de faciliter la livraison de cargaisons au peuple palestinien.
L'ONU a réclamé mardi une enquête internationale sur les fosses communes découvertes dans les deux principaux hôpitaux de la bande de Gaza, soulignant la nécessité d'une enquête indépendante face au "climat d'impunité" actuel.
La défense civile à Gaza poursuit ses recherches de corps et de restes humains enterrés dans un charnier découvert dans la ville de l’enclave palestinienne, d’où les troupes israéliennes se sont retirées le 7 avril. Il s’agit de la deuxième grande fosse commune découverte en une semaine.
Les Etats-Unis pourraient imposer dans les jours à venir des sanctions au sulfureux bataillon Netzah Yehuda, accusé de violations des droits humains contre des civils palestiniens en Cisjordanie.
«Lutter contre le terrorisme des extrémistes palestiniens exige de s’attaquer aux causes qui sont à l’origine de leurs actions», selon Bernard Adam, ancien directeur du Groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité.
« Le Moyen-Orient est au bord du précipice. Les derniers jours ont vu une escalade dangereuse, par les mots et les actions », a déclaré jeudi le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Il a dénoncé la situation des 2,4 millions de Palestiniens endurant « la mort, la destruction, le déni d’aide humanitaire vitale », et la faim.
Behalve de grote menselijke tol is er in Gaza ook sprake van ernstige vernielingen van natuur en milieu. Dat roept vragen op over de langetermijngevolgen van deze oorlog. Moet ook het milieu beschouwd worden als oorlogsslachtoffer dat bescherming en gerechtigheid verdient?
Il reste encore 129 Israéliens entre les mains du Hamas, dont 34 sont morts selon Tel Aviv. L’organisation islamiste palestinienne dit avoir besoin de «temps et de sécurité» pour les retrouver, car ils se trouvent détenus par «différents gr
L’Union européenne a annoncé ce vendredi 12 avril avoir sanctionné les branches militaires du Hamas et du Jihad Islamique pour des pratiques «systématiques» lors de l’attaque terroriste du 7 octobre sur l’Etat hébreu.
Face aux destructions environnementales à Gaza et en Cisjordanie, le mouvement écologiste israélien est clivé. Alors que beaucoup soutiennent les efforts de guerre ou restent silencieux, certains luttent pour un futur partagé.
Ancien ministre au Liban, professeur en relations internationales, ex-émissaire de l’ONU et essayiste, Ghassan Salamé est un observateur avisé du Moyen-Orient qui côtoie les acteurs du conflit israélo-palestinien depuis des décennies. À l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage, il a accordé un long entretien à France 24. Ce premier volet est consacré au conflit à Gaza et à ses conséquences à long terme pour la région.
Àla une de la presse ce vendredi matin, une nouvelle information sur la guerre à Gaza : Israël a utilisé l’intelligence artificielle pour localiser 37.000 cibles. Nom du système : Lavende. Difficile, selon le Washington Post, de trouver un sobriquet plus aérien que celui-là. À l’origine de l’information, six officiers des services de renseignements israéliens qui ont témoigné dans une enquête détaillée par deux médias israéliens.
À cause de la surpopulation et du très faible niveau d’hygiène, de plus en plus de cas d’infection au virus de l’hépatite A sont enregistrés dans le sud de la bande de Gaza, où sont entassés des centaines de milliers de déplacés. Et la situation risque de s’aggraver, raconte le site “Daraj”.
Le président américain Joe Biden a pressé jeudi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de "conclure sans délai un accord" pour un "cessez-le-feu immédiat" dans la bande de Gaza.
La communauté internationale demande des comptes aux autorités israéliennes, qui attribuent la mort des employés de World Central Kitchen à une “erreur d’identification”, alors que les premiers éléments de l’enquête semblent indiquer un raid délibéré.
Selon un rapport, les dégâts causés aux infrastructures vitales de la bande de Gaza par l’offensive israélienne se montaient déjà fin janvier à quelque 18,5 milliards de dollars. Soit à peu près l’équivalent du produit intérieur brut des Territoires occupés, précise “Bloomberg”.
L'armée israélienne a annoncé lundi que 600 de ses soldats ont été tués depuis le 7 octobre 2023, date du début de la guerre avec le mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza.
La Cour internationale de justice (CIJ) a ordonné jeudi à Israël d'assurer "une aide humanitaire de toute urgence" à la bande de Gaza assiégée, où des combats opposent l'armée israélienne et le mouvement islamiste palestinien Hamas dans le secteur de plusieurs hôpitaux.
Après des semaines de négociations, la résolution, qui exige également la libération des otages, a été approuvée par 14 des 15 membres. En s’abstenant, les Etats-Unis ont permis l’adoption du texte.
Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a salué lundi l’adoption par le Conseil de sécurité d’une résolution exigeant un cessez-le-feu "immédiat" à Gaza et la libération des otages, estimant que ne pas l’appliquer serait "impardonnable".
Le patron de l'ONU Antonio Guterres s'est rendu samedi aux portes de la bande de Gaza dévastée par la guerre et au bord de la famine, où il a appelé à un cessez-le-feu entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas pour mettre fin au "cauchemar".
Les Etats-Unis avaient déposé à l’ONU un projet appelant à un cessez-le-feu immédiat et durable, rappelant le risque de famine dans l’enclave palestinienne. Jusqu’ici, Washington, principal allié d’Israël, a mis son veto à plusieurs résolutions appelant à des cessez-le-feu.
L’armée israélienne mène depuis quatre jours une opération dans le complexe hospitalier Al-Chifa, dans la bande de Gaza, où elle a annoncé, jeudi, avoir déjà tué "plus de 140" combattants palestiniens.
Washington a confirmé lundi la mort du chef adjoint de la branche armée du groupe islamiste palestinien, Marwan Issa. C’est le responsable le plus haut placé tué sur ce territoire par l’armée israélienne depuis le début de la guerre.
Depuis plusieurs semaines, le risque de famine est évoqué dans la bande de Gaza, sans pour autant qu'elle ne soit décrétée. L'ONU a annoncé lundi que d'ici fin mai, en l'absence de mesures "urgentes", le nord de l'enclave basculerait au niveau le plus élevé d'insécurité alimentaire, tant en termes d'ampleur que de gravité. France 24 revient sur les critères stricts pour déclarer l'état de famine dans un territoire.
L’Organisation mondiale de la santé s’est, elle, dite « terriblement préoccupée » par les combats près de l’hôpital Al-Shifa. Le Hamas a dénoncé un « crime de guerre », affirmant que des milliers de personnes étaient réfugiées dans l’hôpital.
Le déchargement de 200 tonnes de vivres transportées par le navire Open Arms s’est achevé ce samedi 16 mars dans la bande de Gaza. C’est la première fois depuis le début de la guerre, que de l’aide humanitaire est acheminée par la mer.
Le mouvement islamiste avait critiqué la nomination de l’économiste Mohammad Mustafa au poste de premier ministre de l’Autorité palestinienne, susceptible d’« aggraver les divisions » entre Palestiniens.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a validé le plan d’invasion de Rafah. Son cabinet annonce vendredi que les préparatifs pour évacuer les civils peuvent débuter.
Un premier bateau chargé de vivres pour la population affamée par plus de cinq mois de guerre est arrivé vendredi au large de la bande de Gaza, au moment où les Palestiniens se rassemblaient sous tension pour la première grande prière depuis le début du ramadan.
Un premier bateau chargé de vivres est en route mercredi pour la bande de Gaza où la population est menacée par la famine, en plus des bombardements, après cinq mois de guerre entre Israël et le Hamas sans trêve à l'horizon.
Selon les chiffres du ministère de la santé de la bande de Gaza, administrée par le Hamas, plus de 12 300 enfants sont morts sur le territoire palestinien entre octobre et la fin du mois de février.
Israël doit faire de la protection des civils et de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza sa priorité "numéro un", a déclaré mercredi le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken. "Nous attendons du gouvernement israélien qu’il fasse de cette question une priorité. Protéger les civils, apporter aux gens l’aide dont ils ont besoin, voilà ce qui doit être la priorité numéro un, même s’ils font ce qui est nécessaire pour défendre le pays et faire face à la menace posée par le Hamas", a déclaré M. Blinken à la presse.
Une famine est "imminente" dans le nord de Gaza, prévient le PAM, le Programme alimentaire mondial. 2,2 millions de personnes, soit l’immense majorité de la population, sont menacées, selon l’ONU. Des personnes sont pourtant déjà mortes de faim. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a récemment déploré le décès de 10 enfants qui n’ont pas survécu, faute de nourriture, dans un hôpital gazaoui. Le ministère de la Santé de Gaza, contrôlé par le Hamas, décompte "27 personnes mortes de malnutrition et de déshydratation dans des hôpitaux du nord de Gaza". Pourquoi la famine n’est-elle, dès lors, qualifiée que "d’imminente"?
Le couloir maritime vers Gaza pourrait permettre d'assurer un approvisionnement en aide "durable, régulier et fiable", a déclaré mardi la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, alors qu'un premier navire a quitté Chypre vers l'enclave palestinienne. C'est la première fois depuis 2005 qu'un bateau est autorisé à approvisionner Gaza en aide, a souligné Mme von der Leyen, qualifiant la livraison de "soutien vital supplémentaire".
Le navire, qui s’apprête à quitter Chypre, appartient à l’organisation caritative espagnole Open Arms et transportera des denrées alimentaires fournies par l’organisation caritative américaine World Central Kitchen.
Bande de Gaza (Territoires palestiniens) (AFP) – L'Union européenne et les États-Unis ont annoncé, vendredi, l'ouverture prochaine d'un corridor maritime entre Chypre et Gaza pour acheminer l'aide humanitaire dans le territoire palestinien affamé et bombardé sans cesse par Israël, après cinq mois de guerre.
Une organisation caritative américaine a annoncé vendredi qu'elle chargeait de l'aide pour Gaza sur un bateau à Chypre. Il s'agirait de la première cargaison destinée à ce territoire dévasté par la guerre, via à un couloir maritime que la Commission européenne espère voir s'ouvrir ce weekend.
Engagée depuis des décennies pour protéger les civils des armes explosives, l’ONG Handicap International n'a de cesse de mettre en garde contre la contamination par les restes d’explosifs de guerre israéliens dans la bande de Gaza. Les conséquences sont très lourdes : pertes humaines, blessures complexes et invalidantes, traumatismes psychologiques, ou encore freins à l’acheminent de l’aide humanitaire et à la reconstruction...
Au moins 20 personnes sont mortes de malnutrition et de déshydratation à Gaza, a affirmé, mercredi, le Hamas. Depuis plusieurs mois, ONG et organisations internationales alertent sur les ravages de la malnutrition sur une population palestinienne privée d'accès aux soins. Jean-Raphaël Poitou, responsable Moyen-Orient à Action contre la Faim, s'inquiète d'une forte augmentation du nombre de décès si aucun accord de cessez-le-feu n'est rapidement trouvé entre Israël et le mouvement islamiste.
Ce port temporaire, qui prendrait la forme d’un ponton flottant, devrait permettre d’acheminer davantage d’aide humanitaire dans l’enclave, par voie maritime.
Selon le ministère de la santé du Hamas, 115 personnes ont été tuées, toutes par des tirs israéliens, dans le drame du 29 février, dont les circonstances restent encore loin d’être éclaircies.
Ce projet pour acheminer de l’aide humanitaire, annoncé par les Etats-Unis et l’UE, pourrait aboutir dès dimanche, selon la présidente de la Commission. Israël, qui assiège l’enclave et ne laisse entrer l’aide qu’au compte-gouttes depuis le 9 octobre, s’est « félicité » de ce projet.
Une trentaine d'artistes et universitaires belges ont lancé une pétition en ligne pour appeler au boycott d'Israël, alors que les bombardements et l'offensive terrestre menés par l'État hébreu ont fait plus de 30.000 morts à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.
Le président américain doit annoncer dans son discours sur l’état de l’Union ce jeudi 7 mars que les Etats-Unis vont mettre en place un moyen de distribuer davantage d’aide humanitaire dans l’enclave palestinienne guettée par la famine.
Ils sont une "toute petite minorité", leur voix est quasiment inaudible, et ils le savent. Mais quelques dizaines de jeunes activistes israéliens ont malgré tout organisé jeudi un très symbolique convoi d’aide alimentaire vers la bande de Gaza, vite refoulé par la police.
Depuis le début de l’offensive israélienne, les États-Unis ont procédé à plus de 100 livraisons d’armes à leurs alliés israéliens, malgré les inquiétudes croissantes sur les tactiques militaires employées à Gaza, souligne le “Washington Post”.
Cinq mois après le début de la riposte israélienne à Gaza en réponse aux massacres du Hamas, le 7 octobre 2023, l’étroite bande de terre palestinienne a été rendue en bonne partie inhabitable. Il est inutile d’invoquer la solution des deux Etats si ce territoire martyrisé reste un champ de ruines.
Tout comme le «oui mais» après le 7 octobre nous a meurtris, rien ne justifie une telle accumulation de morts civils, rien ne justifie de laisser la famine gagner la bande de Gaza,
Symbole d'unité nationale dans le conflit face au Hamas, le cabinet de guerre israélien est secoué par la rivalité politique entre le Premier ministre Benjamin Netanyahu et le centriste Benny Gantz, en tête des intentions de vote.
Les rebelles yéménites ont attaqué le navire dans le golfe d’Aden ce mercredi 6 mars. Un responsable américain annonce deux morts et six blessés.
Critiquées régulièrement par Israël en raison de leur supposé silence sur le sujet, les Nations Unies documentent dans un rapport publié lundi 4 mars des violences sexuelles commises par le mouvement terroriste palestinien.
La vice-présidente américaine Kamala Harris a appelé dimanche à un "cessez-le-feu immédiat" pour "au moins six semaines" dans la bande de Gaza. "Etant donné l'ampleur des souffrances à Gaza, il doit y avoir un cessez-le-feu immédiat pour au moins les six prochaines semaines, ce qui est actuellement sur la table des négociations" entre Israël et le Hamas, a déclaré Mme Harris lors d'un discours commémorant une marche pour les droits civiques à Selma, dans l'Alabama.
Les tensions sont encore montées lundi entre Israël, qui a accusé l'UNRWA d'employer "plus de 450 terroristes" à Gaza, et l'agence onusienne qui a rapporté des "tortures" subies par ses employés arrêtés dans le territoire palestinien.
Le chef de l'UNRWA tire la sonnette d'alarme.
Des milliers de personnes sont à nouveau descendues dans les rues de nombreuses villes israéliennes samedi soir pour manifester contre le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu et pour exiger la libération des otages restant encore détenus par le groupe islamiste palestinien Hamas.
Après une annonce vendredi de Joe Biden, les Etats-Unis ont réalisé leurs premiers largages de nourriture par les airs. Mais ces ravitaillements aériens, risqués et plus coûteux que par la route, ne seraient «utiles qu’à la marge».
Un haut responsable américain a assuré samedi qu’Israël avait “plus ou moins” donné son accord pour une trêve dans la guerre à Gaza et que désormais “la balle était dans le camp du Hamas” pour qu’elle entre en vigueur.
Le ministère de la Santé du Hamas a annoncé jeudi que le nombre de morts dans la bande de Gaza était de "plus de 30.000" depuis le début du conflit avec Israël le 7 octobre. "Le nombre de martyrs (tués, ndlr) est de plus de 30.000", a indiqué le ministère dans un communiqué, en faisant état d’au moins 79 nouvelles morts dans des frappes israéliennes nocturnes.
Le ministère du territoire administré par le Hamas fait état d’au moins 104 morts et 760 blessés dans la ville de Gaza, accusant l’armée israélienne de « massacre ». Cette dernière dit que « des dizaines de Gazaouis ont été blessés par des bousculades et des piétinements ».
Des soldats de Tsahal ont tiré à balles réelles sur des Palestiniens qui se ruaient sur des camions d’aide humanitaire à Gaza. Des sources israéliennes, qui ont confirmé ces tirs, ont indiqué que les soldats se sont sentis «menacés».
L'Égypte, le Qatar, les États-Unis, la France et d'autres pays tentent de négocier depuis plusieurs semaines un nouveau cessez-le-feu entre Israël et le Hamas. Une délégation israélienne menée par le chef du Mossad, les services de renseignement extérieurs, était à Paris le week-end dernier pour des discussions sur un possible accord de trêve à Gaza, incluant la libération d'otages sur les 130 toujours entre les mains du Hamas.
Plusieurs responsables de l’ONU ont déploré ce mardi 27 février devant le Conseil de sécurité la propagation de la famine dans l’enclave palestinienne, assiégée et bombardée par Israël. Le nord du territoire est particulièrement menacé.
Des correspondants et présentateurs travaillant pour des médias britanniques et américains dénoncent l’interdiction qui leur est faite de se rendre dans l’enclave, où ne sont présents qu’une poignée de médias étrangers.
Dans l’enclave palestinienne menacée par la famine et pilonnée sans relâche, le bilan de la riposte israélienne ­à l’attaque terroriste du Hamas du 7 octobre a franchi la barre des 30 000 morts. En grande majorité des femmes et des enfants.
L'armée israélienne a présenté un plan d'"évacuation" des civils des "zones de combat" dans la bande de Gaza, ont annoncé lundi les services de Benjamin Netanyahu, toujours déterminé à lancer une offensive militaire contre la ville surpeuplée de Rafah.
La démission du Premier ministre Mohammed Shtayyeh doit permettre la constitution d’un gouvernement rassembleur à la tête de l’Autorité palestinienne, assure la presse internationale. Mais la tâche s’annonce ardue, en raison des mésententes palestiniennes.
Répondant à la publication du premier plan israélien pour l’après-guerre avec le Hamas, le chef de la diplomatie américain a réaffirmé son opposition à la réoccupation militaire de Gaza, et en a profité pour dénoncer les colonies en Cisjordanie.
Les guerres et tensions géopolitiques en cours correspondent à l’un des pires scénarios du Giec sur l’avenir du climat. Ce modèle a ses limites et n’a pas de valeur prédictive à long-terme, modèrent toutefois des scientifiques.
L’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a atteint un "point de rupture", a mis en garde jeudi son patron Philippe Lazzarini dans une lettre au président de l’Assemblée générale de l’ONU.