Bruno Colmant

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2024

Pendant deux siècles, l'homme a cru pouvoir dominer la Nature. Aujourd'hui, nous savons que nous allons devoir vivre en fonction de ses propres lois. C'est une époque unique dans l'histoire de l'Humanité qui est en passe de se terminer d'ici… 25 ans. Nous ne pouvons plus tergiverser. Il faut agir.
À compter de ce 1er août, l’humanité a consommé l’ensemble des ressources que la Terre peut générer en une année. Ce « jour du dépassement » illustre l’immense pression que les humains infligent continuellement à la planète. Calculée tous les ans par l’ONG Global Footprint Network, la date de ce jour symbolique signifie qu’environ 1,75 Terre serait nécessaire pour couvrir le mode de vie actuel de l’humanité. En d’autres termes, lors des 5 prochains mois, les ressources naturelles consommées par l’activité humaine ne pourront être régénérées par la planète bleue, créant des tensions qui s’accumulent année après année. « Bien que cela puisse sembler contre-intuitif, actuellement il est possible de consommer plus que ce que la nature régénère, dans la mesure où nous pouvons par exemple couper les arbres plus rapidement qu’ils ne repoussent, surexploiter les stocks existants de poissons, etc. De cette manière, comme en comptabilité financière, on peut dépenser plus que ce que l’on gagne », explique Mathis Wackern
Avec humour et bienveillance, le biologiste et naturaliste Marc-André Selosse déconstruit les préjugés qui nous ont empêchés de comprendre la nature (y compris humaine) et d’ajuster nos actions en conséquence. Il nous montre de plus près ce monde que nous pensions connaître, en contant les histoires des microbes, des plantes et des animaux qui nous entourent depuis fort longtemps. Intelligence des plantes, compétition naturelle, autonomie, équilibres naturels, séductions humaines et parades animales... Le lecteur ressort enthousiaste de ces explorations, parfois troublé dans ses convictions quotidiennes, et enfin relié à cette nature qu’il pensait éloignée de lui.
Saviez-vous que la 1ère loi de protection de la nature en France visait à protéger les paysages au caractère artistique ? Depuis cette loi de 1906, que reste-t-il de cette idée d'une nature-musée ?
Alors que les élections législatives doivent se tenir le 4 juillet au Royaume-Uni, de nombreuses organisations écologistes, dont Extinction Rebellion et WWF, ont organisé cette marche pour faire pression sur les représentants.
Le Conseil (États membres) de l'Union européenne a adopté définitivement, lundi à Luxembourg, le projet de règlement européen sur la restauration des écosystèmes dégradés. Ce vote a été soutenu par 20 États membres représentant 66,07% de la population de l'UE, soit une majorité qualifiée. Seuls six pays ont voté contre. La Belgique s'est abstenue. Le vote met fin à deux années de dure controverse politique au sein de l'Union européenne. Projet phare du Pacte vert européen dans son volet biodiversité, cette législation fixe aux États membres l'objectif de restaurer au moins 20% des écosystèmes dégradés (terres et des mers) de l'UE d'ici 2030 et l'ensemble des écosystèmes ayant besoin d'être restaurés d'ici 2050.
La loi controversée sur la restauration de la nature pourrait finalement être adoptée après un revirement inattendu de l’Autriche. Le vote du Conseil de l’Union européenne est prévu ce 17 juin. Adoptée par le Parlement européen à l’issue de débats houleux, la loi sur la restauration de la nature vise à enrayer la destruction des écosystèmes naturels. Cependant, ses détracteurs, comme les Pays-Bas, estiment qu’elle constitue une entrave pour les agriculteurs et les entreprises.
« L’écologie à la française » conçue par Emmanuel Macron n’a pas de quoi nous rendre fiers, démontre l’auteur de cette tribune. Elle ne respecte pas le droit de la nature face aux intérêts économiques. Antoine Gatet est président de France Nature Environnement (FNE) et représentant de FNE au Conseil économique, social et environnemental (Cese). Monsieur le président de la République, Le 4 mai, dans un entretien accordé à La Tribune Dimanche, vous avez décrit votre conception de « l’écologie à la française (...)
Birdlife(a) et d’autres ONG environnementales européennes dressent le bilan de la dernière législature pour les groupes politiques européens, et tous les partis nationaux(b). Décryptage
Si la protection de l'environnement figure parmi les critères qui orientent le vote des Belges, c'est souvent le climat qui est au cœur du débat. Pourtant, les événements récents montrent que la nature est aussi éminemment politique. Le déclin de la biodiversité met en péril la viabilité des territoires et sa protection ne peut reposer exclusivement sur la création de réserves. Natagora plaide pour que chaque décision politique soit guidée par la nécessité impérieuse de préserver cette trame complexe et indispensable à notre existence. Découvrez les 7 priorités que nos équipes ont présentées aux présidents et présidentes de partis.
Voter pour la biodiversité, c’est possible! Découvrez comment dans ce numéro.
Des dizaines d'ONG de défense de l'environnement s'inquiètent d'un "démantèlement des mesures vertes" au sein de l'Union européenne et pressent les responsables politiques d'"arrêter avant qu'il ne soit trop tard", dans une lettre ouverte publiée lundi. "La nature n'est pas en conflit avec la capacité de notre société à prospérer, elle est à son fondement même. Mais certains politiciens dans les capitales européennes, et dans les institutions de l'UE à Bruxelles, accélèrent les crises de la nature et du climat, risquant les vies des personnes qu'ils représentent", met en garde la lettre publiée sur leurs sites internet respectifs.
L’analyse de 186 études d’évaluation de différentes mesures de conservation de part le monde prouve l’efficacité globale de ces dispositifs. Mais il faut en faire plus pour éradiquer la chute du vivant en cours.
Des activistes de Greenpeace ont déposé jeudi matin une pomme géante devant le Parlement européen. Ils exhortent les députés européens à ne pas offrir de "cadeau empoisonné" aux agriculteurs via la suppression des mesures de protection de la nature de la politique agricole commune (PAC).
Depuis Sainte-Soline, le Gouvernement n’a eu de cesse de criminaliser les défenseurs de la nature et d’étouffer la démocratie environnementale, dans une logique de contrôle et de répression de la société civile.
Depuis la signature des accords de Paris en 2015, les principaux groupes bancaires de l'Union européenne ont octroyé un total de 256 milliards d'euros de crédit aux entreprises qui menacent les forêts, les savanes et d'autres écosystèmes confrontés à des situations climatiques critiques, selon un rapport du cabinet d'études néerlandais Profundo, rendu public par Greenpeace International, Milieudefensie, Harvest et Global Witness.
Après le revirement de la Hongrie, le vote de l’une des pièces maîtresses du Pacte vert par les ministres de l’Environnement de l’UE a été annulé à la dernière minute. Son avenir semble incertain.
A l’aube d’un soulèvement des terres et des hommes qu’incarnent aujourd’hui les luttes écologiques, comme celle contre l’A69, la précarité du «Droit vivant» n’a jamais été aussi forte. Dans son essai du Contrat Social, Rousseau nous renseignait sur la nécessité d’une association entre citoyens pour atteindre une société légitime et égalitaire œuvrant pour le bien commun. Avec le dérèglement climatique, les effondrements et les délitements socio-économiques provoqués par le capitalisme, il demeure essentiel de redéfinir les contours de ce bien commun et de l’intérêt général pour construire une société écologique et vivable.
Après une âpre bataille politique qui a contribué à l’édulcorer, la législation a fait l’objet d’un accord mi-novembre entre les négociateurs du Parlement européen et des Etats membres. Un compromis entériné ce mardi 27 février en plénière.
Restaurer, c’est revenir à un état initial et antérieur. Mais lequel ? Et lorsqu’il est question de la nature, est-ce seulement possible ?

2023

Marine Calmet, avocate spécialisée dans les droits de l’environnement, participe ce samedi à la conférence «Comment sanctionner les délits à la nature et mieux protéger les espaces».
Près de 7.000 milliards de dollars de financements publics et privés soutiennent chaque année des activités ayant un impact négatif sur la nature et alimentant directement le changement climatique – soit environ 30 fois le montant dépensé chaque année pour des solutions fondées sur la nature, selon un rapport choquant de l’ONU publié samedi lors de la COP28 à Dubaï.
Le quotidien burkinabè “Sidwaya” est parti à la rencontre de Djenma Héma, l’heureux propriétaire d’une exploitation verdoyante, dans laquelle l’agriculture est pensée comme parfaitement intégrée aux cycles naturels et à l’environnement humain.
We Are Nature est issue d’une mobilisation citoyenne portée par de nombreux collectifs citoyens et associations qui agissent pour défendre la nature bruxelloise, dans l’intérêt de tous et en premier lieu des personnes et des groupes les plus vulnérables.
Un vote sur la loi de restauration de la nature aura lieu au parlement européen la semaine prochaine. Des activistes et des personnalités de la société civile soulignent l’importance du rôle que peuvent jouer certains des eurodéputés belges et les invitent à orienter leur voix en faveur de la préservation de la biodiversité.
De plus en plus de militants d'extrême droite prônent désormais un retour à la terre et tiennent un discours écologiste pour renforcer leur base militante. Mais qui sont ces groupuscules et en quoi consiste cette écologie dite "identitaire"? Décryptage.
Le texte arrivera en plénière en juillet avec la proposition de le rejeter.
Les militants associatifs sont de plus en plus victimes d’intimidations et de violences de la part d’une partie du monde agricole productiviste, dénoncent les auteurs de cette lettre-tribune. Ils appellent l’État à ne plus détourner les yeux.
Les ministres de l'Environnement des 27 États membres de l'UE ont trouvé mardi à Luxembourg une approche commune.
Terrestrial ecosystems have taken up about 32% of the total anthropogenic CO2 emissions in the past six decades1. Large uncertainties in terrestrial carbon–climate feedbacks, however, make it difficult to predict how the land carbon sink will respond to future climate change2. Interannual variations in the atmospheric CO2 growth rate (CGR) are dominated by land–atmosphere carbon fluxes in the tropics, providing an opportunity to explore land carbon–climate interactions3–6. It is thought that variations in CGR are largely controlled by temperature7–10 but there is also evidence for a tight coupling between water availability and CGR11. Here, we use a record of global atmospheric CO2, terrestrial water storage and precipitation data to investigate changes in the interannual relationship between tropical land climate conditions and CGR under a changing climate. We find that the interannual relationship between tropical water availability and CGR became increasingly negative during 1989–2018 compared to 1960–1989


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