Bruno Colmant

OA - Liste

Résultats pour:
températures records

2024

Alors, ce mois de juillet ? Il a fait chaud ? Ce qui intéresse les experts du climat, ce n’est pas la météo à un moment précis, mais la tendance des moyennes à long terme. Et elle est claire : Copernicus, le Service du Changement climatique, dépendant de la Commission européenne, vient de livrer ses données pour juillet 2024.
Le continent blanc, qui se réchauffe le plus vite dans le monde, a enregistré des températures anormalement élevées en juillet et début août.
Le mois de juin 2024 a été le plus chaud dans le monde. Depuis un an, des records de températures sont battus chaque mois. Pourtant, en Occitanie, on constatait jusqu'ici une fraîcheur anormale pour la période estivale. Comment cela est-ce possible ? La météo ne fait pas le climat.
Sous l'effet des rejets de gaz à effet de serre de l'humanité, les records de températures mondiales continuent de tomber depuis plus d'un an: juin 2024 est devenu le mois de juin le plus chaud jamais mesuré, effaçant le record déjà battu en 2023.
Copernicus vient de lancer son atlas interactif du climat, une carte du monde qui permet de consulter l'évolution du climat passé et futur, jusqu'en 2100. Découvrez les pays qui présentent l'évolution climatique la plus extrême pour le futur et parmi lesquels figurent la France.
Near-real time updates of key global climate variables from the the Copernicus Climate Change Service (C3S)
La Tunisie face à l’épreuve du changement climatique (3). La fréquence des périodes caniculaires et des infrastructures inadaptées risquent de peser lourd sur l’avenir du secteur touristique.
L’année 2023 a été classée comme la plus chaude enregistrée depuis 1850, avec 14,98 °C de moyenne sur l’ensemble du globe. La tendance continue en 2024. Le principal coupable : le réchauffement lié aux gaz à effet de serre d’origine humaine.
La température moyenne au cours des 12 derniers mois est la plus haute jamais enregistrée. Elle dépasse de 1,52 °C la température moyenne de la période préindustrielle, franchissant ainsi le seuil limite fixé dans l’accord de Paris.
Le niveau inédit de 21,1 °C en moyenne dans les eaux de surface a été atteint en août 2023, et de nouveau en janvier 2024. Un symptôme du réchauffement aux conséquences majeures sur la biodiversité et la capacité du milieu marin à stocker le CO₂.

2023

Alors qu’une vague de chaleur s’installe dans l’Hexagone cette semaine, lundi 4 septembre 2023 a été la journée la plus chaude observée pour un mois de septembre avec une température moyenne de 25,1 °C.
Un alignement rare de phénomènes aussi divers que l'activité solaire, les gaz à effet de serre et El Niño, pourrait donner des températures records et mettre en péril l'équilibre climatique de notre planète.
L’Amérique latine bout, en plein hiver austral. Le Chili et l’Argentine ont enregistré, début août, des records de chaleur de chaleur, rapporte Sciences et Avenir. Dans les Andes, des températures de 30 à 35 °C ont été relevées entre 1 000 et 1 400 mètres d’altitude, relève Futura Sciences. À Vicuña, au Chili, le thermomètre a atteint les 37 °C le 1ᵉʳ août. Du jamais vu depuis 1951. Plus au sud, à Santiago, le mercure a atteint 24 °C le 2 août.
Winter temperatures have neared 40 degrees Celsius in parts of South America, which is up to 20C higher than normal for this time of year and the equivalent of Sydney hitting 35C in the first week of August.
It’s the middle of winter in South America, but that hasn’t kept the heat away in Chile, Argentina and surrounding locations. Multiple spells of oddly hot weather have roasted the region in recent weeks. The latest spell early this week has become the most intense, pushing the mercury above 100 degrees Fahrenheit, while setting an August record for Chile.
Après trois semaines de canicules qui ont frappé un grand nombre de régions du monde, l'Autorité météorologique des Nations unies a indiqué, jeudi, que le mois de juillet de 2023 sera "très clairement le mois le plus chaud jamais mesuré" sur la planète.
Cet été, les incendies sont favorisés par une sécheresse et des températures parfois extrêmes. En Grèce, en Italie et en Espagne, la barre des 45°C a plusieurs fois été franchie ces derniers jours. Quel est le lien entre ces canicules et le réchauffement climatique ? Une nouvelle étude démontre les conséquences du bouleversement du climat.
Les statisticiens peinent à prédire les records spectaculaires de chaleur. Une difficulté qui aggrave le manque de réactivité face aux canicules.
Le brûlantissime mois de juillet fait rôtir la planète entière. Morts, forêts ravagées et nuits super tropicales sont les conséquences de la chaleur caniculaire qui s’étend dans l’hémisphère Nord.
Des Alpes aux Pyrénées, le thermomètre s'affole chez nos voisins.
Les températures devraient atteindre des niveaux records en Italie dans les prochaines heures. 20 villes, de Bolzano au pied des Alpes jusqu’à Palerme en Sicile, en passant par Venise, Rome, Naples et Cagliari en Sardaigne sont placées en alerte rouge, une situation d’urgence pour ses possibles effets négatifs sur la santé.
Le mercure continue de tutoyer, voire dépasser, les 40°C dans plusieurs régions d'Europe et notamment en Grèce où plusieurs incendies se sont déclarés lundi entraînant l'évacuation de zones balnéaires, tandis qu'un nouveau record de température a été établi ce week-end dans l'ouest de la Chine à 52,2°C.
De nombreux pays d’Asie, d’Europe et d’Amérique du Nord subiront une chaleur étouffante : plus de 40 °C en Italie, des régions d’Espagne à 15 °C au-dessus des normales, des records attendus aux Etats-Unis. En France, sept départements sont en vigilance orange.
Un dôme de chaleur sévit depuis le début de la semaine au-dessus des Etats désertiques du Sud-Ouest, entraînant de sérieux risques pour la santé.
Depuis trois mois, la température de la surface de l’océan, ce régulateur du climat, s’envole. En France, le golfe de Gascogne et la Méditerranée voient le thermomètre grimper de 3°C à 5°C au-dessus des normales.
Depuis quarante ans, la température à la surface des océans bat tous les records. Cependant, un pic s'est installé dans la durée.
Le phénomène météorologique El Nino a de fortes probabilités de se former cette année et pourrait faire grimper les températures jusqu’à battre de nouveaux records de chaleur, a mis en garde l’ONU mercredi. L’Organisation météorologique mondiale (OMM) estime désormais qu’il y avait 60% de chances qu’El Nino se développe d’ici la fin juillet et 80% de chances d’ici la fin septembre. « Cela modifiera les conditions météorologiques et climatiques dans le monde entier », a expliqué le chef de la division des services régionaux de prévision climatique de l’OMM, Wilfran Moufouma Okia, en conférence de presse à Genève.
L’Organisation météorologique mondiale estime à 60 % les chances qu’El Niño se développe d’ici la fin juillet et 80 % de chances d’ici la fin septembre. Le phénomène accroît le risque d’évènements climatiques extrêmes.
En proie à une vague de chaleur printanière inédite, l'Espagne, pays européen en première ligne face au changement climatique, s'attend à des records de températures jeudi et vendredi en particulier dans le sud où le thermomètre pourrait atteindre les 37 degrés.
L'année 2022 a battu quantité de records en termes de températures, sécheresse du sol ou encore pénuries d’eau en France, a détaillé, vendredi, Météo-France.


Listing généré avec