Cédric Chevalier

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Le blog : Limite et transgression

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2024

Nombreux points sur le globe connaissent depuis plusieurs semaines des vagues de chaleur extrêmes accompagnées d’incendies difficilement contrôlables. Des situations appelées à se multiplier.
L'Amazonie brésilienne a connu au premier semestre 2024 une hausse spectaculaire de ses incendies. En cause : une sécheresse exceptionnelle qui a frappé le pays l'an passé.
En raison du déficit hydrique et de l’activité humaine, la plus grande zone humide de la planète brûle un peu plus chaque année, au risque de voir disparaître une biodiversité unique.
Ce n'est pas encore la saison sèche et pourtant, le Pantanal, plus grande zone humide de la planète, est déjà en proie aux flammes.
Des milliers de départs de feu ont eu lieu depuis le début de l’année dans cette importante zone humide, dans le centre-ouest du Brésil. ONG et autorités craignent que la saison sèche, qui vient à peine de débuter, ne donne lieu à des incendies encore plus importants qu’en 2020.
La plus grande zone humide de la planète, le Pantanal, sanctuaire de biodiversité au sud de l'Amazonie, est en proie aux incendies avant même le début de la saison sèche, le record de foyers pour un mois de juin ayant déjà été pulvérisé.
Le président brésilien a adopté une mesure visant à combattre les organisations criminelles qui contribuent à la déforestation de l’Amazonie, appelant son gouvernement à faire preuve d’« agilité » pour sa mise en place rapide.
Fondée en 2016 dans un contexte de vives tensions politiques, l’entreprise de médias Brasil Paralelo propose à ses 400 000 abonnés un vaste catalogue de films et de documentaires, et inonde les réseaux sociaux de contenus. Au programme : négationnisme climatique, faits alternatifs et réécriture de l’histoire.
La déforestation de la région du Cerrado au Brésil, une savane réputée pour la richesse de sa biodiversité, a fortement progressé en 2023. Pour la première fois, elle a été supérieure à celle de l’Amazonie, selon un rapport.
Les géants pétroliers TotalEnergies et Petrobras ont décidé de lancer l'extension de deux champs pétroliers au Brésil, a annoncé lundi dans un communiqué TotalEnergies, en "forte croissance" dans ce pays d'Amérique latine.
Le Brésil vit l’une des pires catastrophes naturelles de son histoire, avec les inondations dans le sud du pays. Le gouvernement local est pointé du doigt, accusé d’avoir mal anticipé, puis mal géré ce désastre. Rio de Janeiro (Brésil), correspondance 162 morts, 82 disparus, 580 000 déplacés, 178 000 personnes sans électricité… Les inondations en cours dans le Rio Grande du Sud, dans le sud du Brésil, sont encore loin d’être finies, mais elles sont déjà l’une des plus graves catastrophes naturelles de (...)
Dans un incident bouleversant au large des côtes du Brésil, une jeune orque femelle de seulement 4,8 mètres de long a été retrouvée morte sur la plage de Serra, dans l’État d’Espírito Santo.
Le sud du Brésil, dévasté par des inondations historiques dont le bilan ne cesse de s'alourdir, est de nouveau frappé par d'intenses pluies qui doivent encore se renforcer au cours du week-end, ce qui complique le travail des équipes de secours et fait craindre de nouveaux dégâts. Les fortes averses du début du mois dans cet Etat agricole du sud du pays ont provoqué le débordement des cours d'eau, affectant près de deux millions de personnes et faisant 136 morts et 806 blessés, selon le dernier bilan de la Défense civile samedi soir.
Avec 141 personnes toujours portées disparues vendredi, les autorités craignent que le bilan ne continue de s’alourdir alors que la région s’attend à de « fortes » précipitations tout au long du week-end.
Les initiatives se sont multipliées mardi pour venir en aide aux centaines de milliers de personnes touchées par les inondations dans le sud du Brésil. Le bilan humain ne cesse de s'aggraver et la région redoute de nouvelles pluies en fin de semaine.
Étage après étage, les équipes de secours mènent des opérations délicates à Porto Alegre, métropole du sud du Brésil frappée par des inondations sans précédent, pour sauver les résidents piégés chez eux.
Les pluies torrentielles qui ont dévasté le sud du Brésil ont cessé de tomber lundi, mais la région reste envahie par les eaux et l'inquiétude s'accroît pour l'approvisionnement en eau et nourriture après cette catastrophe qui a fait au moins 83 morts.
Une course contre la montre est engagée dimanche dans le sud du Brésil pour faire face aux inondations monstres qui ont dévasté l’État du Rio Grande do Sul, provoquant la mort de près de 70 personnes et chassant de leur domicile plus de 80 000 autres.
Les précipitations ont diminué pendant la nuit de samedi à dimanche mais devraient persister pendant vingt-quatre à trente-six heures. Les autorités mettent désormais en garde contre les glissements de terrain.
Les inondations qui dévastent le sud du Brésil depuis plusieurs jours ont chassé près de 70.000 personnes de leur domicile et fait une soixantaine de morts et des dizaines de disparus, situation "dramatique" et "sans précédent" qui touche notamment la grande métropole Porto Alegre. Après avoir évoqué 57 morts, la défense civile a fait état samedi soir d’un bilan de 55 morts, avec en outre sept décès faisant l’objet d’une "investigation". Il y a aussi 74 disparus et 107 blessés.


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