Cédric Chevalier

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Le blog : Limite et transgression

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2023

Dans la perspective d’une neutralité carbone en 2050, la captation du CO2 atmosphérique sera un enjeu majeur. Nous nous intéressons ici aux perspectives de coopération entre les Etats-Unis et la France ou l’Europe sur des puits de carbone en milieu agricole et forestier, présentant un important potentiel de stockage de carbone.

2022

Les entreprises impliquées dans l’extraction de combustibles fossiles, dont les plus importantes étaient en 2013 à l’origine d’environ les deux tiers des émissions mondiales de dioxyde de carbone, font aujourd’hui face à un mouvement grandissant de désinvestissement dans leurs activités. Les promoteurs de cette initiative mondiale, née en 2010 sur les campus américains ont pour objectif de lutter contre le réchauffement climatique en compressant les flux financiers en direction de l’industrie des énergies fossiles.
Le groupe pétrolier français TotalEnergies a annoncé mardi qu'il démarrerait en 2025 l'exploitation du champ de Ballymore situé au large du Golfe du Mexique, tablant sur 75.000 barils de pétrole par jour, dans un communiqué. La compagnie française s'est engagée vers la neutralité carbone, pour contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique, mais elle ne cesse de dire qu'elle veut continuer à répondre à la demande en gaz et en pétrole tant qu'il y en a, et qu'elle ne compte pas renoncer à développer de nouveaux gisements.
La réduction des émissions des gaz à effet de serre ne peut à elle seule sauver le monde des pires ravages du changement climatique, devrait souligner un rapport des experts de l'ONU publié lundi. Il faudra en plus recourir à des techniques d'"élimination" du CO2. Faute d'effort jusqu'à présent, il faut réduire les émissions mondiales de 5 ou 6% par an pour espérer respecter l'objectif de l'accord de Paris de limiter le réchauffement de la planète "bien en dessous" de 2°C par rapport au niveau pré-industriel, encore plus pour 1,5°C. Pour se faire un ordre d'idée, pendant l'arrêt de l'économie mondiale lié au Covid-19 en 2020, la baisse des émissions de CO2 a atteint "seulement" 5,6%, avant de repartir à la hausse. D'où le besoin de recourir à des techniques d'élimination du dioxyde de carbone (EDC), ou "émissions négatives". "Pour que l'EDC fonctionne, il faut (déjà) réduire les émissions de gaz à effet de serre de 80 ou 90%", estime Glen Peters, du Centre international de recherche sur
Le marché européen du carbone (EU ETS) bat des records. Après dix années de faiblesse structurelle entre 2008 et 2018, où le prix du CO2 oscillait entre 5 et 10 euros la tonne en Europe, le prix des quotas d’émission flirte aujourd’hui avec la barre des 90 euros par tonne. À un tel niveau, le prix du carbone renchérit fortement les technologies très émettrices et pénalise beaucoup d’entreprises qui n’ont pas modifié leurs processus de production.

2021

Depuis la nuit des temps, la forêt joue un rôle important dans l’environnement en luttant contre le réchauffement climatique en stockant le carbone atmosphérique. Derrière les océans, les forêts sont considérées comme d’importants puits de carbone. 190 millions de tonnes de dioxyde de carbone ont été absorbées cette année.
Total savait et Total n'a rien fait, sinon fabriquer du doute. En écho au récent coup de tonnerre scientifique et médiatique sur l'attitude délétère de la multinationale face au changement climatique, nous publions la traduction intégrale en français de l'étude de Global Environmental Change, enrichie de précisions et de nouveaux documents.
La tarification du carbone et les taxes sur le carbone sont désormais proposées par les institutions internationales et l’économie dominante comme les principales solutions pour mettre fin au réchauffement climatique et au changement climatique destructeur.
Les meilleures connaissances disponibles montrent qu’au contraire, le réchauffement devrait plus ou moins s’arrêter lorsque les émissions de dioxyde de carbone (CO2) seront nulles, ce qui signifie que l’Homme a le pouvoir de choisir son avenir climatique.
Plus de 90 aéroports européens se sont engagés à atteindre la « neutralité carbone » dès 2030, un objectif en avance de 20 ans sur les promesses du secteur mais qui n’inclut pas les émissions de gaz à effet de serre des avions eux-mêmes, a annoncé jeudi l’instance les fédérant.
l’Agence internationale de l’énergie (AIE) vient de dévoiler les trajectoires qui permettraient d’atteindre, ou non, l'objectif de neutralité carbone au niveau mondial, d’ici 2050.La lutte contre le réchauffement climatique repose sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre GES (CO2 en tête) via une baisse massive de la consommation des énergies carbonées; elle repose aussi sur le développement des puits de carbone, avec l’augmentation des capacités de stockage des forêts et des sols, ainsi que sur le déploiement de technologies de captage et stockage du CO2...
Un rapport historique de l’Agence internationale de l’énergie appelle toutes les nations à agir plus rapidement et de manière plus agressive pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
C’est peu dire que la situation climatique est sérieuse. Non seulement parce que les conséquences du réchauffement climatique sont de plus en plus tangibles, mais aussi parce que le thème est devenu central dans l'agenda politique. Qui aurait pu s'attendre à ce que la Chine  fixe l'année dernière des objectifs ambitieux? Et que les États-Unis lui emboîteraient le pas lors d'un sommet international sur le climat qu’ils avaient eux-mêmes organisé?
’Ademe a récemment rendu un avis tranché sur « la neutralité carbone ». Face à la multiplication des engagements des organisations, l’agence a voulu identifier les contributions possibles des acteurs à cet objectif et aider à distinguer les ambitions réelles des effets d’annonce. L’Ademe estime que la neutralité carbone est une notion qui ne peut être définie qu’à l’échelle de la planète ou d’un État.
Les médias affirment souvent que le monde est confronté à un “réchauffement déjà acté pour l’avenir” en raison des émissions passées, ce qui signifie que des températures plus élevées sont “verrouillées”, “sur les rails” ou “inévitables”, quels que soient les choix de société pris aujourd’hui.
Des chercheurs ont étudié la stabilité du permafrost dans le passé. 400.000 ans que son dégel est limité. Et ce n'est pas une bonne nouvelle. Car le carbone prisonnier de ce sol gelé en permanence est considéré comme un amplificateur potentiellement puissant du réchauffement climatique. Un carbone qui pourrait être libéré brutalement lorsque le permafrost connaîtra un dégel.
les animaux, particulièrement les plus volumineux, sont de formidables réservoirs à CO2. Tout au long de leur longue vie (entre 100 et 200 ans), les cétacés piègent, selon les espèces et leur volume, jusqu’à 33 tonnes de CO2. C’est beaucoup mieux qu’un arbre qui capte en moyenne 20 kg de CO2 par an.
Avec la participation des plus gros pollueurs de la planète, y compris la Chine, le sommet virtuel réuni par le président des Etats-Unis, Joe Biden, a relancé la dynamique mondiale sur le climat et montré que, dans ce domaine, la coopération est possible.
Les entreprises intensifient leur greenwashing pour parer à toute mesure visant à maîtriser leurs émissions de GES. Après avoir passé cinq ans à ne rien faire pour atteindre les objectifs déjà compromis fixés par l'Accord de Paris de 2015, des dizaines de grands pollueurs comme Nestlé et Shell prennent aujourd'hui des engagements « zéro net », principalement pour satisfaire les besoins de relations publiques des acteurs financiers qui les alimentent en capitaux. Ce changement dans le greenwashing des entreprises n'aidera en rien à réduire les émissions, mais risque de générer un accaparement massif de forêts et de terres agricoles, en particulier dans les pays du Sud. Les grandes entreprises alimentaires et agro-industrielles sont les principaux acteurs de cette escroquerie meurtrière. L'action climatique continuera d'être sabotée par le greenwashing des entreprises tant que les gens n'auront pas repris le contrôle des financements, des territoires et des gouvernements qui sont sous la mainmise des entr
Il faut absolument augmenter la taxation des émissions carbone si on veut renouer avec une croissance plus durable après la pandémie. C’est un des messages délivrés par l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) dans un nouveau rapport publié mercredi et intitulé "Objectif croissance 2021".
Jean Pisani-Ferry, professeur d’économie, est l' invité éco. Pourquoi pensez-vous que la taxe carbone n’est pas suffisante pour atteindre la neutralité carbone?
En amont de la COP26 prévue en novembre à Glasgow, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) et la présidence britannique de la conférence climat COP26 réunissaient aujourd’hui le monde de l’énergie pour une réunion internationale à distance. Baptisée “Sommet Net Zéro“, la réunion visait à trouver les moyens de limiter les émissions de gaz à effet de serre du secteur de l’énergie, source de trois quarts des émission mondiales. Ces acteurs craignent un “très fort rebond” cette année avec la reprise économique.
il faut distinguer deux choses : l’efficacité et l’injustice. Pour changer de comportement, il ne suffit pas seulement d’être désincité, il faut avoir une capacité réelle à changer. Et plus on augmente le prix de la taxe, plus elle a un impact important, mais avec des effets violents sur les populations. La taxe carbone vise les comportements individuels, Or, la majorité des efforts sont à trouver dans les structures collectives : le monde économique et industriel, l’État.
Le système de compensation carbone Corsia [1] sera inefficace pour réduire les effets négatifs du secteur aérien sur le climat : c’est le principal résultat d’une étude de la Commission européenne, publiée le jeudi 18 mars, en avant-première, par le Réseau Action Climat (RAC).
La surface agricole utilisée pour alimenter la population française est « approximativement de 26 millions d’hectares », près de 37% de cette surface(2) étant situé hors de France selon les estimations de l’Agence de la transition écologique (Ademe). Dans l’étude ci-après, l’Ademe évalue cette empreinte « sol » mais aussi les empreintes énergie et carbone de la production agricole permettant de nourrir les Français. Les impacts de différents régimes alimentaires et des différents types de productions y sont estimés.
Comment concilier hausse des exigences climatiques et compétitivité ? Les eurodéputés ont voté, le 10 mars, en faveur d'une taxe aux frontières pour les produits issus des pays dont les normes environnementales sont moins ambitieuses. En contrepartie, les quotas de droits à polluer alloués gratuitement au sein de l'Union européenne devraient être supprimés.
Le collectif Supaéro Décarbo et le think tank The Shift Project ont rendu, mercredi 3 mars, un rapport sur la décarbonation du secteur aérien. Conclusion : l'activité aéronautique doit nécessairement décroître, par rapport aux +4% de croissance actuelle, pour garder une chance de limiter le réchauffement climatique à +2°C d'ici 2100.
L’Europe se prépare à lancer un pavé dans la mare du commerce mondial. À moins que ce ne soit un caillou: la Commission donnera le ton en juin en mettant sur la table sa proposition de mécanisme d’ajustement carbone aux frontières. En attendant, le Parlement plaide pour un outil ambitieux, qui couvrirait 94% des émissions industrielles de gaz à effet de serre.
Cinq ans après l'Accord de Paris, la croissance des émissions de CO2 a commencé à ralentir. Sous l'effet ponctuel de la crise du Covid-19, qui a provoqué une baisse des émissions d'environ 7% en 2020 pour plafonner à 34 milliards de tonnes. Mais pas seulement. Entre 2016 et 2019, les émissions ont baissé dans 64 pays, analyse une étude publiée mercredi dans la revue Nature Climate Change. Une baisse qui s'est limitée en moyenne à 0,16 milliard de tonnes par an, soit "un dixième de ce qui serait nécessaire au niveau mondial pour atteindre les objectifs climatiques de Paris", indiquent les auteurs. Objectifs pour lesquels une réduction annuelle de 1,5 milliard de tonnes est nécessaire. Parmi les 150 pays où les émissions ont augmenté, la croissance annuelle moyenne aura été de 0,37 milliard de tonnes.
La croissance promise au trafic aérien mondial d'ici à 2050 n'est pas compatible avec les objectifs de l'Accord de Paris sur le climat, même si des avions "décarbonés" entraient en service à l'horizon promis, a prévenu mercredi un groupe de réflexion français. Selon "The Shift Project", "aucune trajectoire réaliste ne peut conduire à l'objectif sans réduire la croissance du trafic" anticipée.
Des observations de terrain ont révélé la présence d’un mécanisme jusqu’alors inconnu par lequel le dégel des sols polaires conduit au rejet de carbone dans l’atmosphère. Autrement dit, l’altération du pergélisol pourrait avoir un impact climatique plus important que prévu. Les résultats ont récemment été publiés dans la revue Nature communications.
De quoi s’agit-il? Concrètement, cinq entreprises européennes, des grands groupes mondiaux leaders dans leur secteur et des entreprises de taille moyenne ou petite, ont pris l’engagement public, et vérifiable par la Commission selon la méthode qu’elle préconise, de mesurer et de réduire les émissions de gaz à effet de serre de leurs produits ou plus généralement de leurs activités. Elles ont aussi promis – progrès tellement attendu – de faire en sorte que les consommateurs bénéficient d’une information claire et vérifiable sur l’empreinte carbone.
Les procédés artificiels de capture et de stockage du carbone (CSC) suscitent la convoitise des investisseurs. Derrière le filtre « vert », explique l’auteur de cette tribune, se trouve la promesse d’une activité coûteuse à l’excès qui servira à favoriser l’exploitation d’hydrocarbures.
Selon certains chercheurs, réduire nos émissions de CO2 n’est pas suffisant pour déjouer le dérèglement climatique en cours. Afin de mettre toutes les chances de notre côté, il faudrait démocratiser les moyens de capture de ce même CO2. La technologie existe, mais la question suivante se pose : l’humanité doit-elle massivement parier dessus ?
Le Système d’échange de quotas d’émission de l’Union européenne (SEQE-UE), le principal levier de l’UE pour lutter contre les émissions de CO2, semble ne pas avoir obtenu les résultats escomptés. Des groupes industriels de premier plan, souvent avec l’accord de leurs propres gouvernements, profitent des faiblesses du système et continuent à produire de l’énergie fossile. L’une des solutions pour réduire les émissions de CO2 - les gaz à effet de serre étant l’une des principales causes du réchauffement climatique - est de les taxer...
2020 reste au coude-à-coude avec 2016 pour le record de l’année la plus chaude: selon la NASA, elle arriverait 1ère, selon l’agence NOAA, elle terminerait 2ème. En tout cas, ces deux années se classent en tête d’une inquiétante série: les sept années les plus chaudes enregistrées sont les sept dernières années. Et 2021, tout juste commencée, aurait déjà plus de 95% de chances de finir dans le Top 8… Comme un parfum d’emballement.
Plutôt que de privilégier la réduction des émissions de gaz à effet de serre, les politiques climatiques se tournent massivement vers les projets de compensation carbone. Mais l’impact de ces projets reste sujet à caution et ne permet pas de réduire les émissions. Voici six mythes autour de la compensation carbone qu’il est temps de détricoter!

2020

Un défi de taille pour l'Union européenne. Au-delà de cet objectif, l'UE souhaite aller plus loin encore en voulant doubler son trafic ferroviaire à grande vitesse. L'exécutif européen a rappelé en effet l'importance de ces objectifs : "Il est nécessaire de réduire de 90% les émissions de gaz à effet de serre dans le secteur des transports d'ici 2050 pour que l'Europe devienne à cette date neutre en carbone".
De quoi la compensation écologique est-elle le nom ? Reforestation, conservation d’espaces sauvages, production d’énergies décarbonées : que révèle la compensation carbone de nos modes de vie et de notre mal-être ?
Le monde doit réduire la production d'énergies fossiles de 6% par an d'ici 2030 pour espérer limiter le réchauffement à +1,5°C, alors que les prévisions tablent sur une hausse, selon un rapport qui s'inquiète des investissements post-Covid prévus en la matière.
Les rails sur lesquels le secteur énergétique mondial est placé ne laissent pas d’espoir de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C et il est plus que temps de corriger la trajectoire, alerte le Programme des Nations unies pour l’Environnement (Unep). Dans un rapport établi avec quatre institutions de recherche, l’agence spécialisée évalue l'écart entre les engagements climatiques pris lors de la conférence de Paris et la production prévue de charbon, pétrole et gaz.
Le découplage est l’idée que l’économie peut croître sans aggraver dans les mêmes proportions son impact sur l’environnement – c’est alors un découplage relatif – ou en réussissant à diminuer cet impact de façon absolue – on parle alors de découplage absolu. Deux types de découplage sont souvent distingués : l’un se concentre sur l’usage de ressources, l’autre sur les « impacts environnementaux » ...
1. Personne n’y échappera. La première similitude entre la pandémie et le changement climatique est tout simplement l’impact mondial de celles-ci. En effet, aucun pays ne semble épargné, que ce soit des effets négatifs de la pandémie (sanitaires et/ou économiques) ou des impacts du réchauffement climatique.
En annonçant divers effondrements dont celui du système capitalo-consumériste, la collapsologie bouscule les croyances en la pérennité de ce système qui structure nos sociétés et la vision du monde qui en découle. Prisonniers de la doxa (opinions dominantes) de leur société, les citoyens ne veulent pas y croire,...
Le retour du confinement est un coup dur pour tous les Français et les Européens. Au printemps, nous avions cru à un "monde d’après" mais nos espoirs semblent douchés. Relevons la tête ! À la faveur des nombreux appels à changer de modèles, les lignes ont bougé ces derniers mois : La Chine s’engage sur le climat, l’agroalimentaire se fait plus économe, le Mercosur est rejeté… Il y a "des raisons d’y croire" ! Et pendant tout ce confinement, Novethic vous montrera toutes ces bonnes initiatives.
Il y a trois semaines, la Chine a surpris en s’engageant à atteindre la neutralité carbone d’ici à 2060. La Chine joue un rôle central dans la lutte contre le changement climatique, étant aujourd’hui le plus grand émetteur de CO2 au monde (environ 29% du total) – et de loin. Des raisons d’être sceptique ? ..Un tournant géopolitique ?
La moitié des coraux de la Grande Barrière, en Australie, ont péri ces 25 dernières années, ont affirmé mercredi des scientifiques, qui avertissent que le réchauffement climatique est en train de bouleverser de façon irréversible cet écosystème sous-marin. Une étude publiée dans le journal scientifique Proceedings of the Royal Society tire la sonnette d'alarme sur l'ampleur du déclin de tous les types de coraux depuis le milieu des années 1990 sur le site du nord-est de l'Australie, inscrit en 1981 au patrimoine mondial de l'Unesco.
Une nouvelle étude confirme que la Terre réagit bien plus vite à sa fièvre que ce que les scientifiques n’osaient encore imaginer. Celle-ci concerne le réchauffement des océans, pouvant de plus en plus perturber la circulation des courants propices à la vie, favoriser les tempêtes les plus violentes, et accélérer « naturellement » le dérèglement climatique, y compris de manière brutale.
La part des "émissions importées" ne cesse de croitre et atteint désormais 53% de notre empreinte carbone totale.
Dans le cadre des débats internationaux sur les réponses à apporter au réchauffement climatique, l’attribution de la responsabilité des émissions de gaz à effet de serre (GES) est une question difficile, délicate et politiquement très sensible. C’est le cas quand on s’interroge sur la différence de responsabilité individuelle entre hauts et bas revenus. Hormis les difficultés techniques, la manière de comptabiliser les émissions d’un individu ou d’un territoire permet tout aussi bien de masquer que de dévoiler des injustices, présentes et passées. Quand il s’agit de différencier les responsabilités individuelles en fonction du revenu, la méthode habituellement utilisée est intitulée « comptabilité à la consommation ».
Xi Jinping vient d’annoncer que la Chine atteindrait la neutralité carbone d’ici 2060. Cela dans un contexte de revigoration des investissements dans le charbon. Des comportements contradictoires et une véritable énigme climatique, mais des engagements à prendre toute de même très sérieusement.
Différence entre émissions négatives et réduction des émissions, La séquestration du carbone, Les risques de la séquestration de carbone, Quel déploiement de la CSC aujourd'hui ? La CSC dans les modèles de transition énergétique, Que fait-on dans les installations existantes de CSC ? Le CO2 pour la récupération assistée de pétrole. Aspects économiques, politiques, •La CSC en Europe
Une température de 33,1°C a été mesurée mardi vers 1Ah00 à Uccle, faisant de ce 15 septembre 2020 le jour de septembre le plus chaud depuis le début des mesures. Lundi avait déjà été une journée record.
La crise du Covid a entraîné le report de tous les grands événements climat et biodiversité prévus en 2020, pourtant censée être une année déterminante. De quoi inquiéter les observateurs, qui craignent que ces sujets majeurs ne passent au second plan. Tous les yeux sont désormais rivés vers les plans de relance et la somme qu'ils consacreront à l'environnement. Toute la semaine, Novethic se penche sur les effets néfastes à long terme du Covid-19. 
La Pologne est le seul pays membre de l’Union européenne à ne pas s’être engagé à suivre l’objectif de « neutralité carbone » d’ici à 2050(1). Selon une étude de l’Institut économique polonais (PEI) publiée le 19 août(2), Varsovie pourrait envisager d'atteindre cette cible entre 2056 et 2067. En Pologne, les énergies fossiles ont compté pour 93% de la consommation d’énergie primaire en 2019 (44,6% pour le seul charbon)
La Vallée de la Mort est l’endroit le plus bas, le plus chaud et le plus sec d’Amérique du Nord.
Entre Gandhi et Greta Thunberg: à 17 ans, la Chinoise Howey Ou cherche à sensibiliser ses compatriotes aux risques du changement climatique, une mission solitaire et difficile dans un pays qui ne tolère pas le militantisme hors du parti au pouvoir.
De nouvelles images satellites de la NASA montrent que les calottes glaciaires de la baie Saint-Patrick, située au Canada, ont complètement disparu.. Mark Serreze, directeur du Centre national des données sur la neige et la glace, est très pessimiste pour l'avenir des calottes glaciaires. En 2017, il alertait déjà la société du phénomène de fonte des glaces en prédisant que celles-ci allaient disparaître "d'ici 5 ans".


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