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2024

Si nous devions faire croître l’économie mondiale de 3 % par an, comme le prévoient la plupart des institutions et gouvernements, il faudrait donc 23 ans et des poussières pour que la taille du l’économie double. (70/3 = 23.33, je vous laisse vérifier). Dit comme ça, on ne voit pas le problème...
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a revu mercredi légèrement à la baisse sa prévision de croissance de la demande de pétrole pour 2024, sous l'effet d'un repli constaté au premier trimestre dans les pays de l'OCDE et notamment en Europe.La demande mondiale de pétrole devrait ainsi croître de 1,1 million de barils par jour (mb/j) en 2024, soit 140.000 barils par jour de moins que prévu par l'AIE dans son précédent rapport mensuel. La demande totale cette année devrait dépasser les 103 mb/j, estime l'agence basée à Paris.
La crise écologique est une menace existentielle pour la vie sur Terre. Le GIEC estime que, sur notre trajectoire actuelle, il est très probable que nous dépassions même la limite des 2 degrés ¹ et que plusieurs points de basculement soient franchis ², au-delà desquels le réchauffement climatique s’accélérera de manière incontrôlée et les phénomènes météorologiques extrêmes deviendront la norme, ce qui conduira à une extinction massive.³ En outre, avec l’effondrement de la biodiversité et les pollutions de toutes sortes, 6 des 9 limites planétaires ont été franchies ⁴, causant des dommages irréversibles à la vie sur Terre et mettant en péril la sécurité alimentaire et hydrique. Face au plus grand défi jamais posé à l’humanité, nous devons prendre des mesures immédiates pour limiter cette catastrophe en cours.
[Enquête 2/2] Les secteurs aérien et maritime usent de l’argument de l’hydrogène « vert » pour justifier leurs ambitions de croissance. Au risque d’une « cannibalisation » de l’électricité disponible. « D’ici 2030, tous nos avions et hélicoptères seront capables de voler avec 100 % de carburants durables », promet Airbus sur son site. L’avionneur européen annonce même la mise en service du premier avion commercial carburant à l’hydrogène dès 2035. Un volontarisme enthousiaste qui s’inscrit dans la droite ligne de (...)
Des économistes ont, pour la première fois, calculé précisément les effets (positifs) d’une diminution de la croissance sur l’évolution du climat, observe l’historien Jean-Baptiste Fressoz, dans sa chronique.
L'appétit du monde pour le pétrole "continue de s'essouffler" sous l'effet de l'électrification du parc automobile et de la fin du rattrapage de la consommation post-covid, a indiqué vendredi l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans son rapport mensuel."La croissance de la demande mondiale de pétrole est actuellement en plein ralentissement et devrait tomber à 1,2 million de barils par jour cette année et à 1,1 million de barils par jour en 2025", a souligné l'Agence de l'énergie de l'OCDE basée à Paris.
La part de l'économie britannique consacrée à la transition énergétique a progressé de 9% l'an dernier, dopant une économie par ailleurs atone, mais davantage de stabilité politique et d'investissements sont nécessaires, selon un rapport publié mardi.
La demande mondiale de pétrole devrait connaître une croissance marquée en 2024, nourrie par les pays non-membres de l'OCDE, en premier lieu la Chine, et les besoins de transport, estime l'OPEP dans son rapport mensuel publié mardi.Enchaînant les années record, le monde devrait consommer 104,4 millions de barils par jour (mb/j) en moyenne cette année, puis 106,2 millions en 2025, après avoir appelé 102,1 mb/j en 2023, selon les estimations de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, identiques à son rapport de janvier.
La demande de pétrole est partie pour connaître en 2025 une "croissance robuste", vers un nouveau record, selon des premières prévisions de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) publiées mercredi dans son rapport mensuel.Le monde consommerait 106,2 millions de barils de pétrole en moyenne chaque jour, contre une estimation de 104,4 millions en 2024 et 102,1 en 2023.
Le monde a installé l'an dernier 50% de capacités électriques renouvelables en plus par rapport à 2022, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE), qui anticipe un rythme inédit dans les années à venir, bien qu'insuffisant encore face au réchauffement climatique.Quelque 507 gigawatts (GW) ont été mis en service, soit 50% de plus qu'en 2022, selon le rapport Renouvelables 2023 publié jeudi par l'AIE.Les trois quarts de ces installations nouvelles de 2023 ont été dans le solaire photovoltaïque.

2023

L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a décidé de revoir "légèrement" à la hausse pour 2023 sa prévision de croissance de la demande de pétrole, portée par les besoins de la pétrochimie en Chine. "La demande mondiale de pétrole continue à dépasser les attentes", souligne mardi son rapport mensuel sur le pétrole, qui anticipe cependant une croissance fortement réduite en 2024. A ce stade, la guerre entre Israël et le Hamas engagée début octobre "n'a eu aucun impact matériel sur l'approvisionnement", relève par ailleurs l'agence.
Omniprésente, la technique nous a été imposée par des choix politiques, explique l’historien François Jarrige. Pour lui, c’est à nous de construire une autre société. Car aucune technique n’est « miraculeuse ».
Les négociations historiques au sommet africain sur le climat doivent s'achever mercredi, les dirigeants cherchant une voix unie sur la scène mondiale pour mettre en valeur le potentiel de croissance verte du continent si le monde renforce son aide en matière de financement et d'endettement.Lors du sommet qui s'est ouvert lundi à Nairobi, le président kényan William Ruto a défendu un discours axé sur l'accélération d'une transition énergétique propre en Afrique, où les populations sont parmi les plus vulnérables au changement climatique.
Les ventes de voitures électriques devraient encore fortement progresser dans le monde en 2023, avec une croissance prévue de 35% dans le monde. Pour l’Agence internationale de l’énergie, la rapide électrification des transports va se traduire par une réduction de la consommation de 5 millions de barils par jour d’ici 2030.
Je voudrais rebondir sur cet article de la RTBF qui évoque une étude réalisée par le groupe de réflexion environnemental britannique Ember : ‘C’est le début de la fin de l’âge fossile’ : l’électricité décarbonée va-t-elle prochainement prendre le dessus sur l’électricité fossile ? – rtbf.be On y trouve une bonne synthèse de l’évolution de l’usage des combustibles fossiles, des énergies renouvelables et des émissions de gaz à effet de serre au niveau mondial.
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) prévoit que la demande mondiale de pétrole va augmenter de 2,3 millions de barils par jour en 2023 par rapport à l'année dernière pour atteindre 101,9 millions de barils en moyenne, selon le dernier rapport mensuel du cartel, qui confirme sa prévision globale du mois dernier.
Les liens entre PIB et énergie sont forts, comme l’ont montré de manière spectaculaire les chocs pétroliers des années 1970 et la crise énergétique qui a commencé fin 2021. Pour un ingénieur, ce lien est une évidence : pas de production économique sans énergie. Mais un économiste risque d’avoir une réponse différente… Comme nous allons le voir, certains économistes ont par exemple estimé qu’un embargo complet sur le gaz russe n’aurait qu’un impact de 0,5% sur le PIB allemand, ce qui est loin de la réalité.
Les énergies bas-carbone, surtout les renouvelables, devraient couvrir pour ces trois années à venir "presque toute" la croissance attendue de la demande mondiale d'électricité, permettant de contenir les émissions de CO2 du secteur électrique, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
Dans cette interview par Olivier Berruyer pour Élucid, Philippe Bihouix dresse le bilan des impasses énergétiques et climatiques dans lesquelles nous sommes. Face à la raréfaction des ressources, face au réchauffement climatique, la « croissance verte » est une illusion. De même, croire que la technique nous sauvera n'a pas de sens. Une solution s'offre pourtant bel et bien à nous : celle de la transition low tech.
L’année 2022 a été marquée par des catastrophes climatiques et par la guerre énergétique liée à la guerre en...

2022

Confronté aux défis du changement climatique, l'Irak doit oeuvrer pour un modèle de développement "plus vert" notamment en diversifiant et "décarbonisant" son économie, a estimé mardi la Banque mondiale (BM) après avoir présenté à Bagdad un nouveau rapport. Le pays a besoin de 233 milliards de dollars d'investissements jusqu'en 2040 pour "répondre aux principaux besoins de développement de l'Irak et permettre de s'engager sur la voie d'une croissance verte", évalue le rapport de la BM - soit 6% du PIB chaque année. Pénuries d'eau, désertification galopante, températures en hausse: l'Irak est considéré par l'ONU comme un des cinq pays au monde les plus exposés à certaines conséquences du changement climatique, frappant de plein fouet certains secteurs comme l'agriculture.
Le produit intérieur brut (PIB) français devrait stagner cet automne, mais les craintes sur l'approvisionnement en énergie et l'inflation élevée font peser de "lourdes menaces" sur la croissance en Europe, a indiqué jeudi l'Insee. Dans sa note de conjoncture, l'Institut national de la statistique a maintenu sa prévision de croissance de 2,6% en 2022 pour la France, mais n'exclut pas un repli de l'activité au quatrième trimestre en cas de difficultés d'approvisionnement en énergie et d'arrêts de production.
Gel des factures énergétiques, baisses d'impôts mais aussi durcissement de minima sociaux et dérégulation: Londres dévoile vendredi un cocktail de mesures pour stimuler la croissance et atténuer l'inflation, avec des effets secondaires potentiellement sévères pour les finances publiques. Avec une inflation au plus haut en 40 ans à près de 10%, une économie qui s'achemine vers la récession et une livre sterling déprimée, le gouvernement de la nouvelle Première ministre Liz Truss espère administrer une potion revivifiante pour les ménages comme les entreprises.
Les choix que l'Indonésie « fait maintenant et dans les décennies à venir auront une incidence importante sur les marchés mondiaux de l'énergie et sur les efforts internationaux pour atteindre les objectifs climatiques collectifs », souligne l’Agence internationale de l’énergie (AIE) dans un nouveau rapport(1) consacré au 4e pays le plus peuplé du monde.
Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Philippe Bihouix, ingénieur spécialiste de l'épuisement des ressources minérale auteur de "L'Âge des low-tech", "Le bonheur était pour demain" et "Quel futur pour les métaux ?" Un honneur de recevoir ce monsieur avec qui nous allons enfin parler métaux, minerais, la croissance économique, les pertes d'énergies, la voiture électrique, l'internet, le Bitcoin et les NFTs et nous enfonceront une porte ouverte (quoi que les non-initiés ne le savent pas) avec la croissance verte, mythe ou réalité ?! Ordre de grandeur au menu !
Métaux, minéraux, mine verte.. 10 minutes avec Aurore Stéphant
Les fossiles continuent de dominer largement le secteur de l’énergie, en dépit de la hausse inédite des capacités de production de l’éolien et du solaire.
Le GNL (gaz naturel liquéfié) désigne le gaz naturel transformé sous forme liquide. Le transport du gaz naturel devenu GNL permet de diversifier les sources d’approvisionnement en gaz sans dépendre des gazoducs terrestres. Il se développe fortement à l’échelle mondiale : en 2021, 20 pays exportent du GNL dans le monde, dont 9 en Afrique et au Moyen-Orient.
A vrai dire, la dépendance actuelle de l’Europe est immense et implique de développer, tant du point de vue de l’énergie que du point de vue des matières premières, des analyses approfondies sur les possibilités de réduire les besoins et donc la demande.
Le marché du gaz naturel liquéfié (GNL), actuellement très recherché en Europe comme alternative au gaz russe, est marqué par un "déséquilibre structurel" entre la demande et l'offre, note l'association professionnelle du secteur dans un rapport publié jeudi. Les importations mondiales de GNL ont atteint 372,3 millions de tonnes en 2021, en croissance de 4,5% par rapport à 2020, indique le Groupe international des importateurs de gaz naturel liquéfié (GIIGNL) dans son rapport annuel.