Coup d’œil

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Climat : Gulf stream

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2024

Après un été 2023 record en termes de chaleur sous-marine, l’eau de la Méditerranée est à nouveau en surchauffe. Quelles sont les conséquences sur la nature, sur la pêche et l’aquaculture ? Un expert nous répond.
La décision était attendue par les municipalités concernées. Selon deux arrêtés parus au Journal officiel le 3 août, l’état de catastrophe naturelle a été reconnu dans près de 320 communes, essentiellement pour des épisodes de sécheresse et d’inondations survenues en 2023 et sur la première moitié de l’année 2024. C’est le cas de Bordeaux, Bergerac ou encore de Thionville. Les autres communes, dont Nîmes et Cannes, le sont au titre de la sécheresse. En tout, plus de 2 000 communes en avaient fait la demande. (...)
La surmédiatisation des eaux minérales naturelles trahit une méconnaissance dans le grand public de leur production et élude les véritables enjeux qu’affronte la ressource en eau en France.
Pendant deux siècles, l'homme a cru pouvoir dominer la Nature. Aujourd'hui, nous savons que nous allons devoir vivre en fonction de ses propres lois. C'est une époque unique dans l'histoire de l'Humanité qui est en passe de se terminer d'ici… 25 ans. Nous ne pouvons plus tergiverser. Il faut agir.
En juillet, les fonds fédéraux destinés à soutenir l’infrastructure dans les régions minières à fort potentiel ont commencé à être distribués, avec un engagement de 75 millions de dollars d’Ottawa pour moderniser trois routes dans le Golden Triangle en Colombie-Britannique. Le 15 juillet, Jonathan Wilkinson, ministre canadien de l’Énergie et des Ressources naturelles, a annoncé ce financement pour les travaux sur certains segments d’autoroute dans le nord-ouest de la province, aux côtés des ministres provinciaux Josie Osborne et Rob Fleming. Ce financement est le premier octroyé dans le cadre du Fonds pour les infrastructures des minéraux critiques (FIMC) de 1,5 milliard de dollars lancé l’automne dernier par Ressources naturelles Canada (RNCan).
Under current emission trajectories, temporarily overshooting the Paris global warming limit of 1.5 °C is a distinct possibility. Permanently exceeding this limit would substantially increase the probability of triggering climate tipping elements. Here, we investigate the tipping risks associated with several policy-relevant future emission scenarios, using a stylised Earth system model of four interconnected climate tipping elements. We show that following current policies this century would commit to a 45% tipping risk by 2300 (median, 10–90% range: 23–71%), even if temperatures are brought back to below 1.5 °C. We find that tipping risk by 2300 increases with every additional 0.1 °C of overshoot above 1.5 °C and strongly accelerates for peak warming above 2.0 °C. Achieving and maintaining at least net zero greenhouse gas emissions by 2100 is paramount to minimise tipping risk in the long term. Our results underscore that stringent emission reductions in the current decade are critical for planetary stabili
Mathis Wackernagel est l’économiste à l’origine du concept d’empreinte écologique qui permet de mesurer la pression qu'exerce l’humanité sur les ressources naturelles. Cette année, toutes les ressources régénérées par la planète en une année seront consommées dès le 1er août. Ce « jour du dépassement » symbolise ainsi la consommation déraisonné de ressources naturelles par l’espèce humaine. Dans cet entretien avec GoodPlanet Mag’, Mathis Wackernagel revient sur le concept d’empreinte écologique qu’il a co-créé, sur l’évolution du jour du dépassement au fil des années mais aussi sur l’impact de la croissance démographique et du numérique sur les ressources naturelles.
À compter de ce 1er août, l’humanité a consommé l’ensemble des ressources que la Terre peut générer en une année. Ce « jour du dépassement » illustre l’immense pression que les humains infligent continuellement à la planète. Calculée tous les ans par l’ONG Global Footprint Network, la date de ce jour symbolique signifie qu’environ 1,75 Terre serait nécessaire pour couvrir le mode de vie actuel de l’humanité. En d’autres termes, lors des 5 prochains mois, les ressources naturelles consommées par l’activité humaine ne pourront être régénérées par la planète bleue, créant des tensions qui s’accumulent année après année. « Bien que cela puisse sembler contre-intuitif, actuellement il est possible de consommer plus que ce que la nature régénère, dans la mesure où nous pouvons par exemple couper les arbres plus rapidement qu’ils ne repoussent, surexploiter les stocks existants de poissons, etc. De cette manière, comme en comptabilité financière, on peut dépenser plus que ce que l’on gagne », explique Mathis Wackern
Avec humour et bienveillance, le biologiste et naturaliste Marc-André Selosse déconstruit les préjugés qui nous ont empêchés de comprendre la nature (y compris humaine) et d’ajuster nos actions en conséquence. Il nous montre de plus près ce monde que nous pensions connaître, en contant les histoires des microbes, des plantes et des animaux qui nous entourent depuis fort longtemps. Intelligence des plantes, compétition naturelle, autonomie, équilibres naturels, séductions humaines et parades animales... Le lecteur ressort enthousiaste de ces explorations, parfois troublé dans ses convictions quotidiennes, et enfin relié à cette nature qu’il pensait éloignée de lui.
1 frigo sur 3 disparaît chaque année ! 200.00 frigos échappent ainsi à la filière de recyclage. Ca représente les émissions de C02 d’une voiture qui ferait plus de 35.000 fois le tour du monde.