Démographie

OA - Liste

Résultats pour:
focusclimat co2 réchauffement climatique healthforfuture docsforclimate santé

2021

The climate crisis is damaging the mental health of hundreds of millions of people around the world but the huge costs are hidden, scientists have warned. Heatwaves are increasing rates of suicide, extreme weather such as floods and wildfires are leaving victims traumatised, and loss of food security, homes and livelihoods is resulting in stress and depression. Anxiety about the future is also harming people’s mental health, especially the young, the scientists said in a report.
Nous sommes des membres du corps soignant, de toutes les professions qui le composent. Nous sommes dans nos villes, nos campagnes. Nous sommes libéraux, salariés, fonctionnaires. Soigner est notre but, le système de santé, notre outil de travail. En tant qu’utilisateur de cet outil, nous souhaitons manifester notre inquiétude. En effet, les prochaines décennies seront celles de la contrainte écologique. Notre système santé n’y est pas préparé. Nous craignons pour sa survie.
Les résultats d’une étude publiée le lundi 8 février montrent que la saison pollinique en Amérique du Nord s’est considérablement allongée en trente ans. La concentration de pollen a également évolué, en partie à cause d’un climat plus chaud.

2020

Les systèmes de santé sont mal préparés pour faire face aux dangers grandissants liés au changement climatique et aucun pays - riches ou pauvres - n'est à l'abri, comme l'a prouvé la crise du Covid-19, avertissent des experts dans un rapport publié jeudi.
Une opinion signée par plus de 250 scientifiques
Face à la crise historique engendrée par la pandémie de coronavirus, organisons notre sécurité alimentaire - La Libre /*! normalize.css v3.0.0 | MIT License | git.io/normalize */html{font-family:sans-serif;-ms-text-size-adjust:100%;-webkit-text-size-adjust:100%}body{margin:0}article,aside,details,figcaption,figure,footer,header,hgroup,main,nav,section,summary{display:block}audio,canvas,progress,video{display:inline-block;vertical-align:baseline}audio:not([controls]){display:none;height:0}[hidden],template{display:none}a{background:0 0}a:active,a:hover{outline:0}abbr[title]{border-bottom:1px dotted}b,strong{font-weight:700}dfn{font-style:italic}h1{font-size:2em;margin:.67em 0}mark{background:#ff0;color:#000}small{font-size:80%}sub,sup{font-size:75%;line-height:0;position:relative;vertical-align:baseline}sup{top:-.5em}sub{bottom:-.25em}img{border:0}svg:not(:root){overflow:hidden}figure{margin:1em 40px}hr{-moz-box-sizing:content-box;box-sizing:content-box;height:0}pre{overflow:auto}code,kbd,pre,samp{font-family:
Depuis le début de l'épidémie de coronavirus, les gouvernements européens, pris au dépourvu, prennent des mesures de santé publique compréhensibles, mais sans se coordonner entre eux, alors qu'ils constituent l'Union économique la plus intégrée et le marché le plus riche de la planète. Les citoyens européens, eux, le paient cash. Avec près de 71.000 malades et plus de 3.300 morts mercredi, l'Europe a dépassé l'Asie en nombre de victimes.