Etienne de Callataÿ

OA - Liste

"Réveillez-vous: votez climat pour que les générations futures puissent vivre sur une terre habitable", était le message du mouvement des Grands-parents pour le climat lors de l'action organisée vendredi midi devant le Parlement européen, à Bruxelles.
Des militants de Letzte Generation ont envahi à l’aube, ce samedi 18 mai, le deuxième aéroport d’Allemagne en termes de fréquentation. Ils dénoncent les subventions publiques accordées au secteur aérien.
Le chef de l'UNRWA tire la sonnette d'alarme.
Contrairement à une idée reçue largement répandue, les personnes les plus âgées d'entre nous se sentent concernées par l'avenir de notre planète et ce qui attend les jeunes générations.
Le groupe allemand Letzte Generation multiplie les actions coups de poing pour alerter sur l'état du climat et ces activistes se trouvent désormais dans le collimateur de la justice et des autorités. Mais cette pression ne semble pas entraver leur popularité grandissante auprès de nombreux jeunes, sensibles à la cause climatique.
L’Allemagne qualifie le collectif militant Letzte Generation (dernière rénovation) d’organisation criminelle et mène quinze perquisitions contre sept activistes verts. Deux sont soupçonnés d’avoir voulu saboter un pipeline.
Depuis plus d’un an, la «dernière génération» bloque des routes très fréquentées en Allemagne, notamment à Berlin. Alors qu’au début de 2022, ils n’étaient que 30 militant·e·s à se joindre aux blocages de rues, ils sont désormais plus de 800, selon leurs propres dires, à s’être inscrits pour participer à la plus grande vague de protestation jamais vue à Berlin. Ils ne se laissent pas non plus décourager par les peines de prison de plusieurs mois auxquelles deux activistes climatiques ont été condamnés dernièrement. Les deux hommes s’étaient collés sur une route à Heilbronn [ville du Bade-Wurtemberg] en février dernier. En raison de délits antérieurs, les peines n’ont pas été assorties d’un sursis. Beaucoup de gens se demandent: jusqu’où ira la «dernière génération»? Et quel est le but de ces actions?
Une étude permet de mieux comprendre comment l’Amazonie pourrait réagir au changement climatique d’ici à la fin du siècle. Le franchissement d’un point de bascule au-delà duquel l’ensemble de la forêt se transformerait en savane semble par exemple assez peu probable. Les résultats ont été publiés dans la revue Earth System Dynamics ce 24 novembre.
Il existe un sentiment inédit, et répandu chez les plus jeunes, d’être né géo-prolétaire, c’est-à-dire quelqu’un dont les générations précédentes ont accaparé non pas la force de travail, mais le futur vivable sur la Terre.
Les aires protégées ne permettent pas toujours la régénération de la biodiversité, selon une étude publiée dans la revue Nature mercredi 20 avril. Les chercheurs des universités de Cambridge et d’Exeter se sont penchés sur près de 27 000 espèces d’oiseaux vivant dans 1 506 zones humides protégées dans le monde. « Les zones protégées peuvent prévenir la perte d’habitat », en empêchant de possibles déforestations, a indiqué au Guardian Hannah Wauchope, autrice principale de l’étude et chercheuse au Centre d’écologie et de conservation de l’Université d’Exeter. « Cependant, nous comprenons beaucoup moins l’impact des zones protégées sur la biodiversité. » Le classement de nombreuses aires n’a montré aucun effet positif sur la faune locale, a-t-elle précisé : tout dépend de comment elles sont gérées.
C’est l’autre actualité dramatique, celle dont-on parle peut-être moins fréquemment ces dernières semaines, bien qu’elle touche toutes les générations vivantes et à venir. Le dernier rapport du GIEC a été rendu public hier, il n’est pas réconfortant, mais permet un peu d’optimisme. Nous avons atteint un point de non-retour, mais nous pouvons encore nous adapter, pour limiter les dégâts, et les victimes.
À l’heure où notre vieux monde menace de s’effondrer, « Résiliences » a pour objectif d’accompagner ses lectrices et ses lecteurs dans l’invention d’un art de vivre respectueux de la nature. Pour parvenir à accorder notre empreinte écologique aux limites de la seule planète dont nous disposons, il convient de revisiter en profondeur chaque aspect de notre vie quotidienne : alimentation, habitat, énergie, transports, vêtements, santé, travail, loisirs, culture… Dès aujourd’hui, chacun de nous peut s’engager efficacement pour restaurer l’intégrité de la biosphère et transmettre aux générations futures une planète où il fera bon vivre. Faisons de l’indispensable transition écologique, une opportunité pour redonner du sens à notre vie, conquérir notre autonomie et réveiller notre créativité !
Les forêts tropicales comptent parmi les meilleurs outils au monde pour lutter contre le dérèglement climatique et le recul de la biodiversité : elles emmagasinent d’énormes quantités de carbone, abritent des milliers de plantes et d’animaux et constituent le lieu de vie des peuples autochtones qui les entretiennent. Toutes ces raisons éclairent l’engagement pris lors de la COP26 de Glasgow fin 2021, par plus d’une centaine de dirigeants mondiaux, de mettre fin à la déforestation d’ici à 2030.
Un demi-siècle après le début de la résistance à l’extension du camp militaire du Larzac, la lutte y est toujours vivante. Le système de gestion des fermes et terres agricoles qui y règne mêle décisions collectives et valorisation de l’usage contre la propriété privée. Il attire des nouvelles générations prêtes à reprendre le flambeau.
Les modèles scientifiques avaient vu juste : les catastrophes et autres phénomènes météorologiques extrêmes correspondent aux prévisions réalisées dès les années 1980 par les climatologues. Alors qu'il est de plus en plus difficile d'ignorer le réchauffement climatique, en percevons-nous vraiment les enjeux ?
Il ne sert plus à rien de prévoir de vivre dans un monde au bord de la catastrophe. Plus que l’argent et le prestige, les jeunes semblent miser sur la réinvention d’eux-mêmes et de la planète : avec les connaissances ancestrales et la technologie, le féminisme et la construction du Commun.
Le désherbant Roundup, développé par Monsanto (Bayer) dans les années 1970, est à ce jour l’herbicide non sélectif le plus utilisé en volume et également un des pesticides que l’on retrouve le plus souvent dans les denrées alimentaires. La recherche autour du glyphosate, son principe actif, est très controversée. Certains scientifiques mettent en évidence un lien avec des pathologies allant du cancer à la maladie cœliaque et à l’autisme. D’autres recherches, généralement financées par l’industrie, indiquent quant-à-elles que l’herbicide n’a pas d’effets indésirables.
Sur la base d’une recherche approfondie de plus de trois ans et d’images d’archive très peu connues, ce film raconte l’histoire de l’obsolescence programmée, depuis 1920 (lorsqu’un cartel fut formé pour limiter la durée de vie des ampoules électriques) jusqu’aux produits électroniques de dernière génération. Et aussi inattendu que cela puisse paraître, tout commence au plafond de la caserne de pompier de la ville de Livermore !
"Comment est-ce possible que l’espèce la plus évoluée intellectuellement détruise sa seule maison ? Il me semble qu’il existe une déconnexion entre la partie futée du cerveau et l’amour et la compassion propres au cœur humain. Nous prenons des décisions pour le seul profit à court terme sans penser aux générations futures ou à la santé du système planétaire. "


Listing généré avec