Etienne de Callataÿ

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Les transports ont compté pour près de 31% de la consommation d'énergie finale en France en 2021, selon les dernières données officielles du Ministère de la Transition énergétique(1). Et les émissions de gaz à effet de serre du secteur (qui comptent pour près de 30% de l'ensemble des émissions nationales de GES) ont augmenté de 1,9% depuis 1990 alors que celles de l’ensemble des autres secteurs ont diminué de 30,5% durant cette période.
Les orages déclenchent un gonflement et une fragmentation des pollens, qui pénètrent plus facilement et plus loin dans les voies respiratoires
Le scénario catastrophe s’écrit sous nos yeux: bientôt, vous pourriez trouver porte close à l’hôpital, même si vous pissez le sang. En cause, les pouvoirs publics, qui n’ont pas anticipé cette tragédie, mais aussi un deux poids, deux mesures flagrant entre hôpital public et médecine libérale.
Les enchaînements entre climat, océan physique et vie marine contrôlent le changement climatique et montrent que l’Océan constitue le volant thermique et le thermostat du climat. L’humanité a aussi noué des relations multiples avec ces eaux (habitat, tourisme, transport, pollutions, pêche, aquaculture…) et en a tiré des solutions éprouvées qui ont déjà démontré leur potentiel (aménagements physiques, hydrauliques, génie écologique, etc.)....
À travers les accords de commerce multilatéraux et bilatéraux, les États ont consenti à réduire de manière démesurée leurs capacités de régulation. L’élargissement progressif de l’agenda des négociations commerciales a eu pour effet de multiplier les règles de discipline auxquelles ils se sont soumis de leur plein gré. Et les accords dits « de nouvelle génération » risquent d’aggraver encore la situation.
Figure de la lutte contre l’ultra-libéralisme, l’essayiste canado-américaine Naomi Klein dialogue avec celle qui, à 16 ans, a été désignée personnalité de l’année 2019 par “Time”, Greta Thunberg. Au menu de ce débat inédit organisé par le site “The Intercept”, les urgences climatique et sociale, bien sûr, mais aussi l’autisme et le harcèlement sur internet.
« Nous avons atteint un point critique », a annoncé Mike Farnworth, le ministre de la sécurité publique de Colombie-Britannique, lors d’un point presse. « Sur les conseils des responsables de la gestion des urgences et des incendies de forêt, et de la détérioration des conditions météorologiques, je déclare l’état d’urgence provincial. »
Editor’sNote: This essay by esteemed scientist James Hansen is a hybrid ofthe books’ foreword and an independent treatise on the accelerated warming of the planet
Plus de 100 désastres ont eu lieu pendant les six premiers mois de la pandémie, ressort-il du rapport sur les catastrophes dans le monde de la Fédération internationale des sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR), publié mardi.
La température moyenne de notre planète a augmenté de 1 °C depuis 1850 et celle de la France de 1,5 °C. Ce réchauffement, directement lié aux activités humaines, s'intensifie.
Le caractère écologiquement insoutenable de la trajectoire sociétale belge, européenne et mondiale, est largement documenté scientifiquement depuis plusieurs décennies. La possibilité de la poursuite de la croissance, impliquée notamment par les politiques régionales, nationales et européennes officielles (qui continuent à en faire l’objectif politique principal dans leurs textes stratégiques), repose sur un mécanismepostulé, ledécouplage absolu.Avec le découplage absolu hypothétique, on peut rebaptiser la croissance, «croissance verte«, c’est-à-dire une forme hypothétique de «croissance soutenable».
Sortir du confinement, c’est aussi ne plus se confiner à ne parler que du confinement. Et car nous en avons besoin, parlons énergie. Décision remontant à 2003, nous allons sortir du nucléaire, et cela avec un rayon d’arguments : radioactivité des déchets, danger des centrales - des suites d’une erreur humaine, d’une catastrophe naturelle ou d’un attentat -, concentration du risque d’indisponibilité, dépendance dans l’approvisionnement en matière première et prix de revient non compétitif.
Ce jeudi 11 juin, plus de cinquante scientifiques ont signé une déclaration appelant la Commission européenne, le Parlement européen et les États membres de l’Union européenne (UE) à agir pour mettre fin à la surpêche « en tant que réponse urgente et nécessaire aux crises de la biodiversité et du climat ». Les scientifiques ont ainsi exhorté l’Union européenne à fixer des limites de pêche qui respectent les avis scientifiques.
Un point  commun entre l’actrice Cécile de France, le champion du monde de foot Lilian Thuram et l'ex-directeur général de l'OMC Pascal Lamy? Entre le ministre wallon des Finances Jean-Luc Crucke (MR), le président du PS Paul Magnette et le chef de file des verts européens Philippe Lamberts? Un texte, publié ce mardi dans plusieurs quotidiens européens et cosigné par quelque 700 personnalités issues des 27 États membres de l’Union: des élus de la gauche radicale à la droite conservatrice, des scientifiques de renom, de jeunes activistes, capitaines d'ONG environnementales, employeurs, responsables syndicaux… Tous lancent un appel chiffré pour que la relance européenne soit à la hauteur du défi climatique.
Si les mesures de confinement décrétées pour lutter contre la pandémie de Covid-19 ont eu un effet immédiat sur les émissions de gaz à effet de serre, elles ont aussi jeté une lumière nouvelle sur l’ampleur du défi climatique. La mise à l’arrêt de pans entiers de l’économie et la réduction drastique des déplacements ont entraîné sans surprise des réductions impressionnantes des émissions, que documente une équipe de chercheurs dans une étude publiée mardi Nature Climate Change. Mais elles ne suffiraient pas à atteindre en 2020 l'effort nécessaire chaque année pour espérer limiter le réchauffement à 1,5°C.
La dégradation des conditions de vie sur Terre, à cause de la pollution et du réchauffement climatique, aura des conséquences délétères sur la santé, expliquent les autrices et auteurs de cette tribune. En tant que soignantes et soignants, ils soutiennent le plan de sortie de crise proposée par la Convention citoyenne pour climat.
La crise du Covid-19 aura au moins une vertu: une prise de conscience de la fragilité du monde et des limites d'un système économique sérieusement mis à mal. Une enquête réalisée la semaine dernière auprès de 1.073 Belges (marge d'erreur de 3%) pour le compte de Fairtrade Belgium révèle qu'une part tangible de la population compte acheter davantage de produits locaux (42% des sondés), issus du commerce équitable (23%), en vrac (19%) et bio (14%).
Des conditions climatiques presque invivables. Si rien n’est fait pour limiter les émissions de gaz à effet de serre, un tiers de l’humanité pourrait vivre, d’ici à cinquante ans, dans des endroits aussi chauds que le Sahara aujourd’hui. Ces 3,5 milliards de personnes sortiraient alors de la « niche climatique » dans laquelle les humains ont prospéré depuis six mille ans. Voilà les conclusions d’une étude publiée lundi 4 mai dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences, qui met en lumière les risques maximaux auxquels le monde pourrait être soumis dans les prochaines décennies à moins que nous ne parvenions à inverser la tendance.
Le manque d’eau touche 40 % des terres cultivables du pays, avec d’importantes disparités régionales. La sécheresse, chronique depuis 2015, est particulièrement grave cette année.
La neutralité carbone en Europe d'ici 2050 : effet d’annonce ou révolution copernicienne? - La Libre /*! normalize.css v3.0.0 | MIT License | git.io/normalize */html{font-family:sans-serif;-ms-text-size-adjust:100%;-webkit-text-size-adjust:100%}body{margin:0}article,aside,details,figcaption,figure,footer,header,hgroup,main,nav,section,summary{display:block}audio,canvas,progress,video{display:inline-block;vertical-align:baseline}audio:not([controls]){display:none;height:0}[hidden],template{display:none}a{background:0 0}a:active,a:hover{outline:0}abbr[title]{border-bottom:1px dotted}b,strong{font-weight:700}dfn{font-style:italic}h1{font-size:2em;margin:.67em 0}mark{background:#ff0;color:#000}small{font-size:80%}sub,sup{font-size:75%;line-height:0;position:relative;vertical-align:baseline}sup{top:-.5em}sub{bottom:-.25em}img{border:0}svg:not(:root){overflow:hidden}figure{margin:1em 40px}hr{-moz-box-sizing:content-box;box-sizing:content-box;height:0}pre{overflow:auto}code,kbd,pre,samp{font-family:monospace,monosp
Insécurité alimentaire, chute du tourisme, mort des animaux… Au Zimbabwe, en Zambie ou en Afrique du Sud, cyclones et sécheresses ont des répercussions désastreuses. Depuis cinq ans maintenant, toute la pointe sud du continent africain, où les températures grimpent deux fois plus vite que sur le reste du globe, souffre d’un important déficit de pluies
Si la pandémie de Covid-19 a mis à l’arrêt une grande partie des activités mondiales faisant baisser les émissions de C02 en 2020, ce répit pourrait être de courte durée. Ces dernières décennies, la crise climatique s’est aggravée et les pays les plus riches ainsi que les ménages les plus aisés en sont les premiers responsables. C’est le constat du nouveau rapport d’Oxfam qui met en lumière les inégalités en matière d’émissions de CO2. Les principales données sont résumées en une infographie.
Dans 1 000 litres d’eau dans l’océan, il y a en moyenne 8,3 millions de morceaux de plastique, révèle une étude. C’est un million de fois plus que prévu.
Ce mois-ci, ce sont 10.000 scientifiques, et 10 millions de manifestants, et nul ne serait surpris si le mois prochain, c'étaient 100.000 scientifiques signant au bas de la pétition, et 100 millions de manifestants dans les rues. Que se passera-t-il quand ce seront 1 million de scientifiques signataires, et 1 milliard de personnes défilant en cortège?
Jean-Marc Jancovici était invité dans l'émission de Guillaume Erner sur France Culture le jeudi 7 novembre 2019 sur le thème : Transition énergétique : avons-nous encore le temps ?
Le retrait annoncé des Etats-Unis n'y changera pas grand chose : les engagements chiffrés des pays signataires de l'accord de Paris ne permettaient déjà pas d'inverser les émissions de gaz à effet de serre (GES) responsables du réchauffement climatique, selon une étude publiée mardi.


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