Energies fossiles

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mai 2024

La demande mondiale d'or noir ne devrait pas faiblir en dépit des incertitudes géopolitiques, indique mardi l'Opep dans son rapport mensuel sur le pétrole, qui maintient ses prévisions de croissance de la demande communiquées en avril.Le monde devrait ainsi consommer 104,5 millions de barils de pétrole par jour (mb/j) en moyenne en 2024, puis 106,3 mb/j en 2025 après 102,2 mb/j en 2023, selon les projections mensuelles de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).

avril 2024

L'appétit pour les transports, notamment aériens, devrait continuer à soutenir la demande mondiale d'or noir en 2024, indique jeudi l'Opep dans son rapport mensuel sur le pétrole qui maintient inchangées ses projections communiquées en mars.

février 2024

La demande mondiale de pétrole devrait connaître une croissance marquée en 2024, nourrie par les pays non-membres de l'OCDE, en premier lieu la Chine, et les besoins de transport, estime l'OPEP dans son rapport mensuel publié mardi.Enchaînant les années record, le monde devrait consommer 104,4 millions de barils par jour (mb/j) en moyenne cette année, puis 106,2 millions en 2025, après avoir appelé 102,1 mb/j en 2023, selon les estimations de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, identiques à son rapport de janvier.

janvier 2024

La demande de pétrole est partie pour connaître en 2025 une "croissance robuste", vers un nouveau record, selon des premières prévisions de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) publiées mercredi dans son rapport mensuel.Le monde consommerait 106,2 millions de barils de pétrole en moyenne chaque jour, contre une estimation de 104,4 millions en 2024 et 102,1 en 2023.

décembre 2023

Le pays a annoncé jeudi cette décision en raison de son opposition à la révision de ses quotas de production, fixés par l’organisation afin de soutenir les prix du baril.
En s’accordant sur une "transition hors des énergies fossiles" dont les contours manquent de clarté (cette transition étant ni contraignante, ni chiffrée), la COP28 rajoute du flou dans un marché déjà peu lisible. L’OPEP, le cartel du pétrole, a en effet annoncé début décembre une baisse volontaire de ses extractions pour soutenir les prix du baril et maximaliser les rentrées financières de ses membres. A l’opposé de cette stratégie, les extracteurs de schiste américains produisent à des niveaux records pour donner confiance à leurs investisseurs.
Des militants ont fait une brève irruption dimanche dans le pavillon de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) à la COP28, pour appeler à une sortie des énergies fossiles. Une poignée d'activistes sont arrivés lors d'un événement organisé au pavillon de l'Opep à Dubaï, où ils ont été invités à s'asseoir avant de s'exprimer durant quelques minutes.
Un pyromane n’acceptera jamais qu’on réduise progressivement son stock d’allumettes pourtant il faut le contraindre. Résumé d’une tempête qui a lieu en ce moment à la COP28 à Dubaï. Alors, voici la scène : la COP28, en pleine effervescence à Dubaï, entre dans son sprint final. Imaginez une course où au lieu de coureurs, on …
A trois jours de la fin de la COP28, les pays partisans de la sortie du pétrole, du gaz et du charbon font feu sur l'Opep samedi après que le chef du cartel dominé par l'Arabie saoudite a appelé à s'opposer à tout compromis visant les énergies fossiles.
La ministre espagnole de la Transition écologique a dénoncé samedi la position 'répugnante' de l’Opep, après que le...
La ministre de la transition énergétique française, Agnès Pannier-Runacher, s’est dite « stupéfaite » et « en colère », tandis que son homologue espagnole a dénoncé une « position répugnante ».
L’organisation des pays exportateurs de pétrole a écrit à ses membres pour leur demander le rejet d’un accord ciblant les énergies fossiles à la COP28. Agnès Pannier-Runacher fait part ce samedi 9 décembre de sa colère.
Les pays membres de l'Opep bataillent contre toute formule prévoyant une "sortie" des énergies fossiles dans l'accord en cours de négociation à quelques jours de la fin de la COP28, provoquant des tensions et les vives réactions de la France et de l'Espagne notamment.
Le secrétaire général de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a demandé "en urgence" à ses 23 pays membres ou associés de "rejeter proactivement" tout accord ciblant les énergies fossiles dans les négociations climatiques à la COP28 de Dubaï, dans un courrier consulté vendredi par l'AFP.
Le secrétaire général de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a demandé "en urgence" à ses 23 pays membres ou associés de "rejeter proactivement" tout accord ciblant les énergies fossiles dans les négociations climatiques à la COP28 de Dubaï, selon son courrier consulté vendredi par l'AFP.
Oil cartel warns ‘pressure may reach a tipping point’ and that ‘politically motivated campaigns put our prosperity’ at risk
Le président brésilien Lula a confirmé samedi à Dubaï que son pays allait rejoindre l'Opep+, dans le but de "convaincre les principaux pays producteurs de pétrole" de préparer la transition énergétique "sans combustibles fossiles". L'invitation du Brésil avait été annoncée jeudi, lors d'une réunion de l'Opep+, alliance formée par les 13 membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et dix pays partenaires, dont la Russie. L'adhésion doit avoir lieu en janvier.

novembre 2023

L'Organisation mondiale des pays exportateurs de pétrole (Opep) reste positive sur la demande de brut mondiale et l'économie, a affirmé mardi le secrétaire général de l'alliance Haitham al-Ghais.

octobre 2023

Pas de répit dans la demande d'or noir : l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) s'attend à une hausse continue de la demande mondiale de pétrole d'ici à 2045, selon de nouvelles projections à rebours des efforts requis pour limiter le réchauffement planétaire.

avril 2023

L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) prévoit que la demande mondiale de pétrole va augmenter de 2,3 millions de barils par jour en 2023 par rapport à l'année dernière pour atteindre 101,9 millions de barils en moyenne, selon le dernier rapport mensuel du cartel, qui confirme sa prévision globale du mois dernier.

décembre 2022

Dans le contexte de transition énergétique et numérique mondial, la demande en métaux est appelée à croître considérablement et rapidement dans les prochaines décennies. Tel est plus particulièrement le cas des métaux nécessaires aux batteries des véhicules électriques - cobalt, lithium, nickel - dont la demande pourrait, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), être multipliée respectivement par 21, 42 et 19 à l’horizon 2040(1) dans un scénario climatique contraint (scénario de développement durable : SDS). Les matériaux stratégiques ou critiques constituent ainsi aujourd’hui un enjeu majeur des politiques de décarbonation mondiales qui impose de réfléchir à trois questions : la disponibilité géologique des minerais ; la dépendance stratégique des pays consommateurs ; la cartellisation de certains marchés de métaux, à l’image de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).

octobre 2022

L'Opep voit la demande mondiale de pétrole croître jusqu'en 2035, tirée par les pays en développement, notamment l'Afrique, l'Inde et d'autres pays d'Asie, principalement pour alimenter les transports et la pétrochimie, selon son rapport annuel rendu public lundi. Alors que la demande mondiale en 2021 était estimée à 96,9 millions de barils par jour (mb/j), elle grimperait à 109,5 mb/j d'ici 2035, horizon à partir duquel elle se stabiliserait à 109,8 mb/j au cours de la décennie suivante, estime ce rapport du cartel de producteurs de pétrole.
La réunion de l’OPEP+ aura duré 30 minutes. La décision est tombée : -2 millions de barils par jour en moins sur les marchés. Officiellement, le motif est "l'incertitude qui entoure les perspectives de l'économie mondiale et du marché pétrolier". Comprenez : avec la récession qui arrive, mieux vaut baisser les extractions avant que les prix ne s’écroulent. Cependant, des autres lectures peuvent être faites : un bras de fer avec le G7, un clin d’oeil à Joe Biden dont les élections de mi-mandat redoutent la hausse des prix de l’essence. Quid de l’inflation et de la récession. On analyse tout ça !
Un casse-tête politique doublé d'un camouflet diplomatique: la décision de l'Opep+ de réduire sa production, qui pourrait faire flamber les prix à la pompe, tombe mal pour Joe Biden, à un mois d'élections législatives cruciales. Dans un communiqué, il s'est dit "déçu de la décision à courte vue" du cartel de pays producteurs et exportateurs d'or noir. "Il est clair qu'avec sa décision aujourd'hui, l'Opep+ s'aligne avec la Russie", a ensuite déclaré, en durcissant le ton, sa porte-parole Karine Jean-Pierre. Les 13 membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, menés par l'Arabie saoudite, et leurs dix partenaires conduits par la Russie ont convenu d'une baisse de "deux millions" de barils par jour pour le mois de novembre.

septembre 2022

Les pays de l'Opep+ ont décidé lundi de réduire leur production pour soutenir les prix face aux craintes de récession, une première depuis plus d'un an et les coupes drastiques opérées en raison de la pandémie de Covid-19. Les représentants des treize membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et leurs dix alliés ont convenu de "revenir aux quotas du mois d'août", soit une baisse de 100.000 barils comparé à septembre, a annoncé dans un communiqué l'alliance, dont le siège est à Vienne.