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Global Climat

2024

Global temperature (12-month mean) is still rising at 1.56°C relative to 1880-1920 in the GISS analysis through April (Fig. 1). [Robert Rohde reports that it is 1.65°C relative to 1850-1900 in the BerkeleyEarth analysis.[3]] Global temperature is likely to continue to rise a bit for at least a month, peak this summer, and then decline as the El Nino fades toward La Nina. Acceleration of global warming is now hard to deny. The GISS 12-month temperature is now 0.36°C above the 0.18°C/decade trend line, which is 3.6 times the standard deviation (0.1°C). Confidence in global warming acceleration thus exceeds 99%, but we need to see how far temperature falls with the next La Nina before evaluating the post-2010 global warming rate.
L’effondrement des écosystèmes serait dangereux pour l’économie. Il peut se répercuter au niveau global. La forêt amazonienne, les tourbières tropicales et les mangroves contiennent actuellement environ 220 gigatonnes de carbone. Si elles sont perturbées, elles peuvent subir des changements incontrôlables qui feraient basculer l’écosystème vers une savane non boisée. Leur effondrement provoquerait des émissions de carbone équivalentes à environ 20 ans d’émissions mondiales de CO2 actuelles. Cela pourrait empêcher le maintien d’un climatique de moins d’ 1,5°C, et aurait de nombreuses conséquences directes.
Exclusive: Planet is headed for at least 2.5C of heating with disastrous results for humanity, poll of hundreds of scientists finds
L’hiver passé, des nuages stratosphériques couleur de l’arc-en-ciel ont été observés en Europe. Ils apparaissent habituellement dans les régions les plus froides de la Planète en janvier. En déce…
Global projections of macroeconomic climate-change damages typically consider impacts from average annual and national temperatures over long time horizons1–6. Here we use recent empirical findings from more than 1,600 regions worldwide over the past 40 years to project sub-national damages from temperature and precipitation, including daily variability and extremes7,8. Using an empirical approach that provides a robust lower bound on the persistence of impacts on economic growth, we find that the world economy is committed to an income reduction of 19% within the next 26 years independent of future emission choices (relative to a baseline without climate impacts, likely range of 11–29% accounting for physical climate and empirical uncertainty). These damages already outweigh the mitigation costs required to limit global warming to 2 °C by sixfold over this near-term time frame and thereafter diverge strongly dependent on emission choices. Committed damages arise predominantly through changes in average tempe
Une revue publiée dans PLOS One cumpulse les risques du climat pour les infrastructures. Selon l’étude, les dommages annuels moyens s’élèvent actuellement à environ 700 milliards de dollars par an. Ce chiffre devrait être multiplié par plusieurs au cours du 21e siècle en raison du changement climatique et aussi de l’expansion des actifs d’infrastructure. Le climat aura notamment des conséquences sur le transport routier et ferroviaire : les hautes températures amènent des distorsions des rails, des changements importants de températures provoquent le dégel du permafrost et des déformations du terrain. Les précipitations intenses causent des inondations, des glissements de terrain, des perturbations de l’équipement électronique, des mouvements des rails, et des dépôts sur les voies. Les vents forts déracinent les arbres et transportent d’autres objets, par exemple des tôles ondulées, qui interrompent les lignes électriques et endommagent les rails.
Over the past year, there has been a vigorous debate among scientists – and more broadly – about whether global warming is “accelerating”.
Il y a quelques années, le Programme pour l’Environnement des Nations Unies (PNUE) a soigneusement élaboré un plan pour sauver la Planète. Les émissions de carbone planétaires devaient être réduites de 7,5% ou 8% par année dès 2020. Si ce plan avait été appliqué, elles auraient aujourd’hui baissé d’un tiers. Le PNUE note malheureusement à la fin de 2023 que les émissions de carbone ont atteint un nouveau record, même si celles de l’Europe diminuaient déjà à la fin de 2022. Il est devenu évident que ces objectifs ne seraient pas atteints et que chaque année nous ajoutons à l’atmosphère trop de CO2. D’autres plans de sauvetage de la biosphère ont donc été développés.
A long-term sea level dataset shows ocean surface heights continuing to rise at faster and faster rates over decades of observations. Global average sea level rose by about 0.3 inches (0.76 centimeters) from 2022 to 2023, a relatively large jump due mostly to a warming climate and the development of a strong El Niño. The total rise is equivalent to draining a quarter of Lake Superior into the ocean over the course of a year.
L’évaluation européenne des risques climatiques se penche sur les risques du changement climatique pour l’Homme, la société et l’environnement. Elle cite les chiffres du GIEC et remarque qu’i…
Elizabeth Kolbert on a record-breaking rise in global sea-surface temperatures, which suggests that scientists may not understand how fast the climate is changing.
Evidence shows a continuing increase in the frequency and severity of global heatwaves1,2, raising concerns about the future impacts of climate change and the associated socioeconomic costs3,4. Here we develop a disaster footprint analytical framework by integrating climate, epidemiological and hybrid input–output and computable general equilibrium global trade models to estimate the midcentury socioeconomic impacts of heat stress. We consider health costs related to heat exposure, the value of heat-induced labour productivity loss and indirect losses due to economic disruptions cascading through supply chains. Here we show that the global annual incremental gross domestic product loss increases exponentially from 0.03 ± 0.01 (SSP 245)–0.05 ± 0.03 (SSP 585) percentage points during 2030–2040 to 0.05 ± 0.01–0.15 ± 0.04 percentage points during 2050–2060. By 2060, the expected global economic losses reach a total of 0.6–4.6% with losses attributed to health loss (37–45%), labour productivity loss (18–37%) and i
Jusqu’à présent, le site global-climat.com publiait les données journalières de température qui n’étaient pas facilement accessibles, à moins d’utiliser des logiciels dédiés pour extraire les données. Il fallait en outre coder en Python, un langage informatique, pour extraire des données plus détaillées sur l’historique. Mais bonne nouvelle, Copernicus a lancé un nouvel outil, et il est remarquable. Une page dédiée, « Climate Pulse », permet de visualiser les données journalières (anomalies, valeurs absolues) sous forme de graphique, de fichier CSV et de carte d’anomalies. Le lien vers cette page est le suivant : https://pulse.climate.copernicus.eu.
Le mois de février 2024 dépasse de façon spectaculaire les records de chaleur dans le monde entier. La température des océans est très élevée. La glace marine Antarctique est très réduite. Le phéno…
Les océans contiennent de l’oxygène (O2). Celui-ci permet aux poissons et à tous les animaux marins de respirer, par les branchies ou par la peau pour certains organismes. Il se dissout dans l’eau qui affleure au contact de l’air à la surface des océans. Le plancton photosynthétique, algues minuscules en suspension, en forme aussi dans les mètres supérieurs où pénètre la lumière du soleil. L’eau froide est plus riche en oxygène que l’eau tiède. Un excès de nutriments, d’azote et de phosphore dans l’eau, peut provoquer une prolifération d’algues. Celle-ci est souvent suivie d’un décuplement de la population de bactéries qui consomment finalement tout l’oxygène. Ainsi se forme une zone morte, ou zone en hypoxie (pauvre en oxygène). Les poissons qui y pénètrent ne peuvent pas respirer et meurent. La pollution agricole est actuellement la principale cause de formation de ces zones, et elle doit être soigneusement contrôlée. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas. En Angleterre, 80% de rivières sont polluée
Mitigating climate change necessitates global cooperation, yet global data on individuals’ willingness to act remain scarce. In this study, we conducted a representative survey across 125 countries, interviewing nearly 130,000 individuals. Our findings reveal widespread support for climate action. Notably, 69% of the global population expresses a willingness to contribute 1% of their personal income, 86% endorse pro-climate social norms and 89% demand intensified political action. Countries facing heightened vulnerability to climate change show a particularly high willingness to contribute. Despite these encouraging statistics, we document that the world is in a state of pluralistic ignorance, wherein individuals around the globe systematically underestimate the willingness of their fellow citizens to act. This perception gap, combined with individuals showing conditionally cooperative behaviour, poses challenges to further climate action. Therefore, raising awareness about the broad global support for climat
Avec +0.70°C au-dessus de la moyenne 1991-2020, le mois de janvier 2024 est un nouveau record de chaleur. Le précédent record de 2020 (+0.58°C) est dépassé de 0.12°C. L’anomalie en janvier 2024 atteint 1.63°C au-dessus de la moyenne préindustrielle.
Anthropogenic emissions drive global-scale warming yet the temperature increase relative to pre-industrial levels is uncertain. Using 300 years of ocean mixed-layer temperature records preserved in sclerosponge carbonate skeletons, we demonstrate that industrial-era warming began in the mid-1860s, more than 80 years earlier than instrumental sea surface temperature records. The Sr/Ca palaeothermometer was calibrated against ‘modern’ (post-1963) highly correlated (R2 = 0.91) instrumental records of global sea surface temperatures, with the pre-industrial defined by nearly constant (<±0.1 °C) temperatures from 1700 to the early 1860s. Increasing ocean and land-air temperatures overlap until the late twentieth century, when the land began warming at nearly twice the rate of the surface oceans. Hotter land temperatures, together with the earlier onset of industrial-era warming, indicate that global warming was already 1.7 ± 0.1 °C above pre-industrial levels by 2020. Our result is 0.5 °C higher than IPCC estim
Le seuil de 1.5°C a été choisi pour éviter une déstabilisation dangereuse du climat terrestre. Au-delà, des éléments de la biosphère pourraient changer à grande échelle. La mort d’une forêt tropicale émettrait du gaz carbonique qui augmenterait l’effet de serre, la fonte des glaces polaires ferait monter le niveau des mers. Le rapport GTP (global tipping points : points de bascule globaux), écrit par l’Université d’Exeter, notamment le professeur Lenton du GIEC, a tenté une synthèse des connaissances actuelles dans ce domaine pour la COP28.
Fixée comme un objectif lors de l’Accord de Paris en 2015, la limite de 1,5°C d’augmentation des températures sur la planète s’éloigne.
La page « Température mondiale actuelle » change de période de référence. La période 1981-2010 est abandonnée au profit de 1991-2020, conformément à la recommandation de l’Organisation Météorologique Mondiale. Par exemple, la carte du 3 janvier 2024 montre les anomalies relatives à 1991-2020 au lieu de 1981-2010 (utilisée sur Global-Climat.com jusqu’à fin 2023).
James Hansen says limit will be passed ‘for all practical purposes’ by May though other experts predict that will happen in 2030s
Avec +1.044°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de décembre 2023 poursuit la série des records mensuels de chaleur. L’année 2023 dans son ensemble est la plus chaude jamais observée, frôlant pour la première fois le seuil de 1.5°C au-dessus de la température préindustrielle.
De graves orages sèment la destruction à divers endroits de la Planète, En Australie, en Amérique du Nord, et en Amérique du Sud. Ils sont favorisés par le réchauffement, notamment par a vapeur d&r…

2023

Les avions en vol rejettent des résidus du carburant consommé. Ces particules favorisent la condensation de cirrus, fins nuages vaporeux Ils empêchent la chaleur de se dissiper et contribuent au r…
Global warming is accelerating because the drive for warming, Earth’s energy imbalance, has doubled in the past decade. Measurement of the acceleration is hampered by unforced tropical (El Nino/La Nina) variability, but a good measuring stick is provided by warming between successive large El Ninos. Strengthening of the current (2023-24) El Nino has raised it to a level similar to the 1997-98 and 2015-16 El Ninos. The first six months of the current El Nino are 0.39°C warmer than the same six months of the 2015-16 El Nino, a global warming rate of 0.49°C/decade, consistent with expectation of a large acceleration of global warming. We expect the 12-month mean temperature by May 2024 to eliminate any doubt about global warming acceleration. Subsequent decline of the 12-month temperature below 1.5°C will likely be limited, confirming that the 1.5°C limit has already been passed.
Les émissions mondiales de CO2 ont encore augmenté cette année pour atteindre un nouveau record, selon une étude du...
Avec +1.092°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de novembre 2023 poursuit la série des records de chaleur. Le précédent record de 2020 (+0.775°C) est dépassé de 0.32°C. L’année 2023 sera la plus chaude jamais observée et le seuil de 1.5°C au-dessus de la température préindustrielle devrait être atteint sur la moyenne annuelle.
The critical annual update revealing the latest trends in global carbon emissions
L’amincissement de la stratosphère mène à des changements de températures plus brutaux près du sol. Il provoque aussi une aggravation des turbulences.
La COP28, qui réunira près de 200 pays du 30 novembre au 12 décembre à Dubaï, sera l'occasion de finaliser un exercice inédit, instauré par l'Accord de Paris sur le climat: le bilan mondial ou "global stocktake".
Les responsables européens de prévention de catastrophes se sont réunis cette semaine à une conférence du DRMKC, Centre européen de gestion de risques de catastrophes. Ils ont souligné que la situation en Europe avait changé. Les désastres sont plus nombreux et plus importants. En particulier les inondations et les feux se répandent. La conférence était émaillée de déclarations telles que « je n’ai jamais rien vu de pareil en vingt ans de travail », des inondations incroyables, très, très graves », « les réalités changent sur une Planète en ébullition ».
James Hansen est un des plus grand climatologues du monde. Il a alerté le gouvernement des Etats-Unis sur le réchauffement climatique. Dans cette vidéo, les plus grands spécialistes actuels témoignent de l’excellence de ses prévisions climatiques. Il a aussi une énorme expérience du domaine. Je trouve son travail scientifique sur la montée du niveau de la mer publié en 2016 (lien, lien) très convaincant, plusieurs de ses conclusions et postulats ont été confirmés ces dernières années. Il se bat pour le climat depuis des décennies, et a été arrêté pour lors de manifestations pour le climat devant la Maison Blanche. Il a des grandes connaissances de climatologie. J’hésite donc réellement à le contredire mais j’ai quelques objections. Son travail apporte évidemment de nombreux éléments utiles, et il a le mérite d’être disponible aujourd’hui. Vu la situation climatique, nous ne pouvons pas attendre le prochain rapport du GIEC.
Avec +1.09°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois d’octobre 2023 est de très loin le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2019 (+0.69°C) est dépassé de 0.4°C. L’année 2023 sera sans aucun doute la plus chaude jamais observée.
Une évaluation menée par la Global Alliance for the Future of Food chiffre pour la première fois la forte dépendance des systèmes alimentaires aux combustibles fossiles.
Joint action is essential for planetary and human health Over 200 health journals call on the United Nations, political leaders, and health professionals to recognise that climate change and biodiversity loss are one indivisible crisis and must be tackled together to preserve health and avoid catastrophe. This overall environmental crisis is now so severe as to be a global health emergency. The world is currently responding to the climate crisis and the nature crisis as if they were separate challenges. This is a dangerous mistake. The 28th UN Conference of the Parties (COP) on climate change is about to be held in Dubai while the 16th COP on biodiversity is due to be held in Turkey in 2024. The research communities that provide the evidence for the two COPs are unfortunately largely separate, but they were brought together for a workshop in 2020 when they concluded: “Only by considering climate and biodiversity as parts of the same complex problem … can solutions be developed that avoid maladaptation and max
Les arbres sont la façon la plus fiable d’extraire le carbone de l’atmosphère.
Avec +1.128°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de septembre 2023 est de très loin le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2020 (+0.63°C) est dépassé de 0.5°C. A trois mois…
Nous sommes au début d’un phénomène El Niño qui provoque une augmentation des températures planétaires. Ces prochains mois, elles s’élèveront probablement de quelques dixièmes de degré, de plus en plus loin des valeurs connues de l’Humanité. James Hansen estime que le seuil de 1.5°C sera temporairement dépassé au printemps 2024. Ce seuil a déjà été momentanément franchi au cours des premiers jours de septembre. Les données ERA5 pour la période du 1er au 13 septembre, couplées aux archives du Met Office, montrent que la moyenne provisoire mensuelle est de 1.6°C sur les 13 premiers jours de septembre.
Techniques such as solar radiation management may have unintended consequences, scientists say
Study highlights conflict between Washington’s claims of climate leadership and its fossil fuel growth plans
To prevent catastrophe, these countries must stop new extraction projects n: Just 20 countries, led overwhelmingly by the United States, Canada and Russia, are responsible for nearly 90 percent of new greenhouse gas emissions threatened by new oil and gas fields and fracking wells planned between now and 2050. If these extraction projects are allowed to proceed, they will lock in climate chaos and an unlivable future.
Le «Global Stocktake», premier point d’étape des engagements pris par les Etats dans le cadre de l’accord de Paris sur le climat en 2015, est publié ce vendredi 8 septembre.
Avec +0.886°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois d‘août 2023 est de très loin le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2016 (+0.577°C) est dépassé de 0.31°C. L’année 2023 est partie pour être l’année la plus chaude jamais observée.
When attempting to quantify future harms caused by carbon emissions and to set appropriate energy policies, it has been argued that the most important metric is the number of human deaths caused by climate change. Several studies have attempted to overcome the uncertainties associated with such forecasting. In this article, approaches to estimating future human death tolls from climate change relevant at any scale or location are compared and synthesized, and implications for energy policy are considered. Several studies are consistent with the “1000-ton rule,” according to which a future person is killed every time 1000 tons of fossil carbon are burned (order-of-magnitude estimate). If warming reaches or exceeds 2 °C this century, mainly richer humans will be responsible for killing roughly 1 billion mainly poorer humans through anthropogenic global warming, which is comparable with involuntary or negligent manslaughter. On this basis, relatively aggressive energy policies are summarized that would enable im
In March and April 2023, some Earth scientists began to point out that average sea surface temperatures had surpassed the highest levels seen in a key data record maintained by NOAA. Months later, they remain at record levels, with global sea surface temperatures 0.99°C (1.78°F) above average in July. That was the fourth consecutive month they were at record levels.
As we mark 100 days until the COP28 UN climate summit, the urgency of addressing the climate crisis has never been more palpable. Global failures to mitigate emissions and adapt to the impacts continue to wreak havoc on the planet, and we’re seeing this in a range of ways. Unprecedented extreme weather events have occurred with frightening regularity in 2023. In March, over 500 people lost their lives when Cyclone Freddy struck Malawi. Last month, flooding in the Philippines caused by Typhoons Doksuri and Khanun displaced more than 300,000 people, and the recent wildfires that ravaged Hawaii – in part exacerbated by climate change – continue to make for distressing headlines. This list is likely to become even longer by the end of the year, when COP28 gets underway in the United Arab Emirates (UAE).
Sécheresse et Incendies Des catastrophes nouvelles surviendront probablement dans les prochaines décennies, et une meilleure anticipation nous protégerait beaucoup. Une analyse de l’évolution possi…
Avec +0.892°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de juillet 2023 avait été de loin le plus chaud des archives ERA5. Ce début août est parti sur les mêmes bases, avec une anomalie sur les 11…
Canicules En été 2022 l’Europe a subi des canicules sans précédent. L’Espagne et la France ont connu des températures exceptionnelles, les 40°C ont été dépassés en Espagne dès juin, et juille…
Avec +0.892°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de juillet 2023 est de très loin le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2019 (+0.563°C) est dépassé de 0.33°C. Les réanalyses comme ERA5 (ECMWF) intègrent de multiples observations dans un modèle permettant de suivre quasi quotidiennement l’évolution du climat. Elles sont produites par assimilation de données, un processus qui repose à la fois sur des observations et des modèles utilisant les lois de la physique et les observations passées. Les données sont actualisées de manière journalière, contrairement aux bilans mensuels des stations au sol.
Juillet 2023 est le mois le plus chaud jamais enregistré, soulignant l'urgence climatique et appelant à une action immédiate pour atténuer le réchauffement global.
Le vent destructeur Le 24 juillet 2023 la ville Suisse de la Chaux-de-Fonds, située à environ 70 km à l’est de Besançon, a été frappée par une violente tempête, avec des rafales à 217 km/h me…
Global coal consumption climbed to a new all-time high in 2022 and will stay near that record level this year as strong growth in Asia for both power generation and industrial applications outpaces declines in the United States and Europe, according to the IEA’s latest market update.
As the northern hemisphere burns, experts feel deep sadness – and resentment – while dreading what lies ahead this Australian summer
Our work complements and enhances the work of others in the fields of science, health, business, industry, culture, finance, academia, politics and civil society. Established in 2012, the GSCC is a collaborative network of people working across a number of different organisations operating across six continents and covering themes such as climate science and impacts, food and nature, finance and economics, energy, transport, industry, and multilateral climate processes.
Energy firms have made record profits by increasing production of oil and gas, far from their promises of rolling back emissions
Les dernières semaines ont apporté des inondations exceptionnelles en Asie.  Des pluies record ont touché le Japon, la Chine, la Mongolie, l’Inde et  le Pakistan. En Mongolie, des averses…
Avec +0.706°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de juin 2023 est le plus chaud des archives ERA5. Le précédent record de 2019 (+0.542°C) est largement battu alors qu’El Niño émerge à…
Les tempêtes de sable se multiplient dans le monde. Les particules les plus petites sont parfois emportées à des milliers de kilomètres. En 2020, nous nous sommes même réveillés en Europe dans un m…
Par Dorota Retelska * Le mois de juin a débuté par des températures planétaires élevées. Sa première moitié était la plus chaude depuis le début des mesures. Nous avons momentanément dépassé le seu…
Le 20 juin 2023 a été marqué par une chaleur exceptionnelle sur l’île de Corse, précisément dans la ville de Sartène, où le mercure a atteint des sommets inégalés. En effet, à la mi-journée, …
Le rapport « The State of the Climate in Europe 2022 » a été conjointement publié par l’Organisation Météorologique Mondiale et Copernicus. Ce rapport met en évidence des tendances alarmantes concernant le réchauffement climatique en Europe et ses conséquences sur la société et les écosystèmes. Le rapport confirme que l’Europe connaît un réchauffement climatique deux fois plus rapide que la moyenne mondiale depuis les années 1980. En 2022, la température moyenne en Europe a été d’environ 2,3°C au-dessus de la moyenne de l’ère pré-industrielle (1850-1900). La température moyenne annuelle en Europe en 2022 se situe entre la deuxième et la quatrième plus élevée jamais enregistrée.
Een internationaal team van wetenschappers werkt aan een systeem dat de achtjaarlijkse rapporten van het VN-klimaatpanel aanvult met een actuele stand van zaken per jaar. Klimaatexpert Piers Forster van de Universiteit van Leeds legt uit waarom dat zo belangrijk is, en wat de laatste bevindingen zijn.
D’après un bulletin publié par le Climate Prediction Center de la NOAA ce 8 juin 2023, les conditions El Niño sont désormais présentes et devraient se renforcer progressivement au cours de l’hiver 2023-24 de l’hémisphère nord. Les chances qu’El Niño devienne un événement fort à son apogée sont estimées à plus de 50%. La température globale pourrait ainsi atteindre des sommets dans les mois à venir. C’est désormais officiel, la NOAA annonce l’arrivée d’u phénomène ‘El Niño, un phénomène climatique qui affecte les conditions météorologiques dans le monde entier.
Abstract. Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) assessments are the trusted source of scientific evidence for climate negotiations taking place under the United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC), including the first global stocktake under the Paris Agreement that will conclude at COP28 in December 2023. Evidence-based decision-making needs to be informed by up-to-date and timely information on key indicators of the state of the climate system and of the human influence on the global climate system. However, successive IPCC reports are published at intervals of 5–10 years, creating potential for an information gap between report cycles. We follow methods as close as possible to those used in the IPCC Sixth Assessment Report (AR6) Working Group One (WGI) report. We compile monitoring datasets to produce estimates for key climate indicators related to forcing of the climate system: emissions of greenhouse gases and short-lived climate forcers, greenhouse gas concentrations, radia
Almost every country in the world has signed up to the Paris Agreement’s goal of keeping warming well-below 2C and pursuing efforts to limit it to 1.5C.
Avec +0.556°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de mai 2023 est le 3e plus chaud des archives ERA5. Les réanalyses comme ERA5 (ECMWF) intègrent de multiples observations dans un modèle per…
Improved knowledge of glacial-to-interglacial global temperature change implies that fastfeedback equilibrium climate sensitivity (ECS) is 1.2 ± 0.3°C (2σ) per W/m2 . Consistent analysis of temperature over the full Cenozoic era – including “slow” feedbacks by ice sheets and trace gases – supports this ECS and implies that CO2 was about 300 ppm in the Pliocene and 400 ppm at transition to a nearly ice-free planet, thus exposing unrealistic lethargy of ice sheet models. Equilibrium global warming including slow feedbacks for today’s human-made greenhouse gas (GHG) climate forcing (4.1 W/m2) is 10°C, reduced to 8°C by today’s aerosols. Decline of aerosol emissions since 2010 should increase the 1970-2010 global warming rate of 0.18°C per decade to a post-2010 rate of at least 0.27°C per decade. Under the current geopolitical approach to GHG emissions, global warming will likely pierce the 1.5°C ceiling in the 2020s and 2°C before 2050. Impacts on people and nature will accelerate as global warming pumps up hydr
..on a higher-resolution illustration of World3’s ‘runaway global warming’ scenario (∼8–12 °C+). Our simulation indicates rapid decline in food production and unequal distribution of ∼6 billion deaths due to starvation by 2100. ..
Flash drought, characterized by unusually rapid drying, can have substantial impact on many socioeconomic sectors, particularly agriculture. However, potential changes to flash drought risk in a warming climate remain unknown. In this study, projected changes in flash drought frequency and cropland risk from flash drought are quantified using global climate model simulations. We find that flash drought occurrence is expected to increase globally among all scenarios, with the sharpest increases seen in scenarios with higher radiative forcing and greater fossil fuel usage. Flash drought risk over cropland is expected to increase globally, with the largest increases projected across North America (change in annual risk from 32% in 2015 to 49% in 2100) and Europe (32% to 53%) in the most extreme emissions scenario. Following low-end and medium scenarios compared to high-end scenarios indicates a notable reduction in annual flash drought risk over cropland. Flash droughts are projected to become more frequent unde
World is on track for 2.7C and ‘phenomenal’ human suffering, scientists warn. Up to 1 billion people could choose to migrate to cooler places, the scientists said, although those areas remaining within the climate niche would still experience more frequent heatwaves and droughts. However, urgent action to lower carbon emissions and keep global temperature rise to 1.5C would cut the number of people pushed outside the climate niche by 80%, to 400 million.
Current climate policies will leave more than a fifth of humanity exposed to dangerously hot temperatures by 2100, new research suggests. The paper, published in the journal Nature Sustainability, is entitled "Quantifying the Human Cost of Global Warming."
Since the late 1990s, I’ve covered energy, beginning with the rise and fall of Enron — first as a magazine writer before becoming a columnist and editor. For more than 11 years, I’ve been a columnist for Forbes. My focus has shifted from the ‘old energy economy’ to the ‘green energy economy.’ My stories, which cover the globe, have appeared in, and have been cited by, dozens of publications and broadcasts. I’m also the editor-at-large for Environment+Energy Leader and the Coalition for Rainforest Nations, which represents 53 rainforest countries worldwide. My job is to research and write about these countries, helping them get to net zero to fulfill their Paris pledges. My features and my columns have won several national awards. Twitter: @Ken_Silverstein. Email: ken@silversteineditorial.com
D’après l’Organisation météorologique mondiale (OMM), il y a 98% de chances que l’une des cinq prochaines années soit la plus chaude jamais enregistrée, battant l’année record de 2016. La probabilité qu’au moins une des cinq prochaines années dépasse 1.5 °C au-dessus des niveaux préindustriels est estimée maintenant estimée à 66%.
Potential external cost savings associated with the reduction of animal-sourced foods remain poorly understood. Here we combine life cycle assessment principles and monetarization factors to estimate the monetary worth of damage to human health and ecosystems caused by the environmental impacts of food production. We find that, globally, approximately US$2 of production-related external costs were embedded in every dollar of food expenditure in 2018—corresponding to US$14.0 trillion of externalities. A dietary shift away from animal-sourced foods could greatly reduce these ‘hidden’ costs, saving up to US$7.3 trillion worth of production-related health burden and ecosystem degradation while curbing carbon emissions. By comparing the health effects of dietary change from the consumption versus the production of food, we also show that omitting the latter means underestimating the benefits of more plant-based diets. Our analysis reveals the substantial potential of dietary change, particularly in high and upper-
Avec +0.502°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois d’avril 2023 est le 5e plus chaud des archives ERA5. Les réanalyses comme ERA5 (ECMWF) intègrent de multiples observations dans un mod…
Jamais il n’avait fait si chaud aussi tôt en Espagne. Des records de chaleur pour un mois d’avril ont été battus en Andalousie suite à l’intrusion d’une masse d’air ve…
Les océans du monde ont récemment subi un réchauffement rapide en surface. Les températures de surface de la mer sont à un niveau sans précédent depuis maintenant plus d’un mois. Alors que de…
Ce printemps est maussade en Europe centrale. Nous subissons encore les effets d'un réchauffement stratosphérique qui nous a envoyé de l'air froid, et continuera jusqu'à début mai. C'est un événement météorologique local et temporaire qui ne modifie pas le réchauffement global. En Asie par contre, la chaleur règne. Au Japon, les températures ont atteint des [...]
Wind and solar reached a record 12% of global electricity in 2022, and power sector emissions may have peaked.
Avec +0.705°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de mars 2023 est le 2e plus chaud des archives ERA5. Les réanalyses comme ERA5 (ECMWF) intègrent de multiples observations dans un modèle pe…
The damage functions in the models, which relate GDP to temperature and sea-level rise, account for impacts on agriculture, forestry, fisheries, floods, road infrastructure, energy supply and demand, and labor productivity. Using this novel approach, the researchers estimate that the avoided damages are 1.5-3.9 times higher than the costs of climate mitigation. In other words, one euro invested in climate solutions saves the world about 1.5 to 4 euros in effects from climate change.
Le réchauffement global est inéluctable, a rappelé le Giec lundi 20 mars. En France, cela pourrait se traduire par une hausse des température de 4° C. Sécheresse, eau rare... Voici à quoi s’attendre. On l’attend dans le courant du printemps. Le ministère de la Transition écologique a annoncé en février qu’il rendrait prochainement publique sa stratégie d’adaptation du pays, pour faire face à un réchauffement de 4 °C. Les détails manquent encore, mais cette réponse à une « trajectoire » jugée « pessimiste » (...)
La température moyenne sur les 12 premiers jours de mars 2023 a atteint les niveaux les plus élevés sur la période depuis mars 2016, l’année où un épisode El Niño exceptionnel avait conduit l…
Global CO2 emissions for 2022 increased by 1.5% relative to 2021 (+7.9% and +2.0% relative to 2020 and 2019, respectively), reaching 36.1 GtCO2. These 2022 emissions consumed 13%–36% of the remaining carbon budget to limit warming to 1.5 °C, suggesting permissible emissions could be depleted within 2–7 years (67% likelihood).
Avec +0.489°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de février 2023 est le 5e plus chaud des archives ERA5. Les réanalyses comme ERA5 (ECMWF) intègrent de multiples observations dans un modèle…
Le 21 février, la glace de mer de l’Antarctique a probablement atteint son extension minimale annuelle avec 1,79 million de kilomètres carrés, selon le National Snow and Ice Data Center (NSID…
Popularity of sport utility vehicles driving higher oil demand and climate crisis, say experts
Le climat de la Terre est déterminé par un équilibre entre la quantité d’énergie solaire absorbée et la quantité de rayonnement infrarouge thermique que la Terre émet vers l’espace. Un déséquilibre énergétique positif signifie que le système terrestre gagne de l’énergie, ce qui provoque le réchauffement de la planète.
Former UN secretary general calls for rich countries to honour promises made to the developing world after years of failure
Avec +0.437°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de janvier 2023 est le 7e plus chaud des archives ERA5. Les réanalyses comme ERA5 (ECMWF) intègrent de multiples observations dans un modèle…
The Global Tipping Points Report was launched at COP28 on 6 December 2023. The report is an authoritative assessment of the risks and opportunities of both negative and positive tipping points in the Earth system and society. Global Tipping Points is led by Professor Tim Lenton from the University of Exeter’s Global Systems Institute with the support of more than 200 researchers from over 90 organisations in 26 countries.
The climate crisis has begun to disrupt human societies by severely affecting the very foundations of human livelihood and social organisation. Climate impacts are not equally distributed across the world: on average, low- and middle-income countries suffer greater impacts than their richer counterparts. At the same time, the climate crisis is also marked by significant inequalities within countries. Recent research reveals a high concentration of global greenhouse gas emissions among a relatively small fraction of the population, living in emerging and rich countries. In addition, vulnerability to numerous climate impacts is strongly linked to income and wealth, not just between countries but also within them.
Une nouvelle page a été aménagée sur ce site pour répertorier les historiques de température annuelle de plusieurs pays. Les Etats recensés sont pour le moment la France, l’Italie, l’Es…
Après le record de 2021, le contenu en chaleur des océans a atteint un niveau encore plus élevé en 2022. Plus de 90% de l’excès de chaleur dû au réchauffement climatique est absorbé par les océans,…
Cette première partie de conférence traite de l'histoire de nos sociétés de consommation à la mode occidentale grâce aux énergies modernes esssentiellement f...
Avec +0,494°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, l’année 2022 est la 5e plus chaude des archives ERA5. Par rapport à la nouvelle période de référence 1991-2020 utilisée par ERA5, l’anom…
Jamais il n’avait fait aussi chaud un 31 décembre en France. La température moyenne a atteint 14,05°C, largement devant le précédent record pour un 31 établi en 2017 avec 10,95°C. Voici la li…

2022

L’année 2022 sera l’année la plus chaude jamais enregistrée au Royaume-Uni, selon les chiffres provisoires du Met Office. La France, l’Espagne et l’Allemagne connaissent éga…
La prévision annuelle de température mondiale du Met Office pour 2023 suggère que l’année prochaine sera l’une des années les plus chaudes jamais observées. D’après le Met Office,…
Improved knowledge of glacial-to-interglacial global temperature change implies that fast- feedback equilibrium climate sensitivity is at least ~4°C for doubled CO2 (2×CO2), with likely range 3.5-5.5°C. Greenhouse gas (GHG) climate forcing is 4.1 W/m2 larger in 2021 than in 1750, equivalent to 2×CO2 forcing. Global warming in the pipeline is greater than prior estimates. Eventual global warming due to today’s GHG forcing alone – after slow feedbacks operate – is about 10°C. Human-made aerosols are a major climate forcing, mainly via their effect on clouds. We infer from paleoclimate data that aerosol cooling offset GHG warming for several millennia as civilization developed. A hinge-point in global warming occurred in 1970 as increased GHG warming outpaced aerosol cooling, leading to global warming of 0.18°C per decade. Aerosol cooling is larger than estimated in the current IPCC report, but it has declined since 2010 because of aerosol reductions in China and shipping. Without unprecedented global actions to
Avec +0.40°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de novembre 2022 est le 9e plus chaud des archives ERA5. Les réanalyses comme ERA5 (ECMWF) intègrent de multiples observations dans un modèle permettant de suivre quasi quotidiennement l’évolution du climat. Elles sont produites par assimilation de données, un processus qui repose à la fois sur des observations et des modèles utilisant les lois de la physique et les observations passées. Les données sont actualisées de manière journalière, contrairement aux bilans mensuels des stations au sol.
Météo France vient d’annoncer que 2022 sera l’année la plus chaude en France depuis le début des relevés en 1900, quelle que soit la température du mois de décembre.
Le réchauffement pendant les mois d’été en Europe est beaucoup plus rapide que la moyenne mondiale. Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Stockholm suggère qu’en plus des émissions de gaz à effet de serre, une part substantielle de la hausse des températures est liée à la diminution des aérosols en Europe centrale et orientale. A cause des gaz à effet de serre, le climat est aussi devenu plus sec à travers le continent, en particulier dans le sud de l’Europe, ce qui entraîne des vagues de chaleur plus importantes et un risque accru d’incendies.
Une équipe internationale d’une centaine de scientifiques, coordonnée par INRAE, le CNRS et l’Université d’Alicante (Espagne), a mené une première étude mondiale afin d’évaluer l’impact du pâturage sur les écosystèmes arides de la planète, où se situent 78 % des parcours. Leurs résultats, publiés le 24 novembre dans la revue Science, montrent que le pâturage est bénéfique sous des climats relativement froids, et dans des zones géographiques montrant une forte biodiversité animale et végétale. A l’inverse, ces effets deviennent largement délétères dans les régions plus chaudes de la planète et pauvres en biodiversité. Les conclusions de cette étude peuvent contribuer à développer une gestion plus durable des pâturages, ainsi qu’à établir des actions de gestion et de restauration efficaces visant à atténuer les effets du changement climatique et de la désertification.
CO₂ emissions of the global economy
Selon la dernière évaluation du Global Carbon Project, un organisme scientifique qui dresse chaque année un inventaire des sources et des puits de carbone à l’échelle mondiale, les émissions de carbone fossile ont poursuivi leur rebond post-Covid, rendant de plus en plus irréalistes les espoirs de limiter le réchauffement global à 1,5 °C. Le rapport est disponible en accès libre sur le site du projet.
The climate talks are going into overtime with little progress toward the emissions cuts required to meet the goals of the Paris Agreement.
Pas si fossile à faire. Tirées vers le haut par l’usage accru des énergies fossiles, les émissions de CO2 se maintiennent à des niveaux records en 2022, alerte le Global carbon project dans son nouveau bilan annuel.
Les travaux de l’équipe scientifique du Global Carbon Project montrent que les émissions mondiales de CO2 d’origine fossile sont supérieures en 2022 à celles de 2021. Elle seraient même légèrement au-dessus du précédent maximum de 2019 enregistré avant la pandémie.
Niveau record d’émissions anthropiques de CO2, hausse de la concentration de méthane, réduction de l’absorption de CO2 par les océans et les écosystèmes terrestres… Les signaux scientifiques d’alerte se multiplient sur les risques d’emballement destructeur du réchauffement de la planète, confirme le Global Carbon Project. Comment réagira la COP 27 ?
Alors que la première semaine à la COP27 s’achève, la nouvelle édition du Global Carbon Project, publiée ce vendredi 11 novembre, ne montre aucune évolution significative en matière de réduction des émissions carbone au niveau mondial, avec encore des niveaux records prévus pour 2022. Si bien que l’objectif de limiter le réchauffement à 1,5°C semble bel et bien enterré.
Avec +0.653°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois d’octobre 2022 est le 4e plus chaud des archives ERA5.
La France connaît un nouvel épisode de chaleur remarquable en cette seconde moitié d’octobre. Le mois devrait se solder par l’anomalie la plus élevée depuis le début des relevés.
Des records de chaleur pour une fin octobre ont été battus le dimanche 23/10/2022 dans le sud de la France. Des records mensuels ont été battus en Corse (Figari), dans les Pyrénées-Orientales (Caixas) et dans l’Aude (Granès). Au niveau de l’Hexagone, l’indicateur thermique national est à un niveau record pour la période du 1er au 23 octobre 2022. Une vaste zone dépressionnaire sur l’Atlantique a apporté sur la France de l’air très doux en provenance des Canaries et de la péninsule Ibérique. Cette configuration météo s’inscrit dans le contexte d’une année particulièrement chaude en France. Voici les records mensuels et quelques-uns des records pour une troisième décade battus le dimanche 23 :
Concerns about climate change shrank across the world last year, with fewer than half of those questioned in a new survey believing it posed a “very serious threat” to their countries over the next 20 years.
Avec +0.547°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de septembre 2022 est le 5e plus chaud des archives ERA5.
L’été 2022 a été l’un des plus chauds jamais observés. D’après la NASA, l’anomalie pour la période de juin à août 2022 a atteint un niveau record depuis le début des relevés en 1880. Pour la réanalyse ERA5, la moyenne sur juin-juillet-août 2022 se classe au troisième rang, derrière 2019 et 2016. Le comparateur ci-dessous permet de voir les cartes d’anomalies de la NASA et d’ERA5 pour juin-juillet-août en déplaçant le curseur vers la droite ou vers la gauche.
The World Health Organization (WHO) and almost 200 other health associations have made an unprecedented call for a global fossil fuel non-proliferation treaty. A call to action published on Wednesday, urges governments to agree a legally binding plan to phase out fossil fuel exploration and production, similar to the framework convention on tobacco, which was negotiated under the WHO’s auspices in 2003. “The modern addiction to fossil fuels is not just an act of environmental vandalism. From the health perspective, it is an act of self-sabotage,” said the WHO president, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Avec +0.472°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois d’août 2022 est le 4e plus chaud des archives ERA5. Les réanalyses comme ERA5 (ECMWF) intègrent de multiples observations dans un modèle permettant de suivre quasi quotidiennement l’évolution du climat. Elles sont produites par assimilation de données, un processus qui repose à la fois sur des observations et des modèles utilisant les lois de la physique et les observations passées. Les données sont actualisées de manière journalière, contrairement aux bilans mensuels des stations au sol.
La Nouvelle-Zélande a connu son hiver le plus chaud et le plus humide depuis le début des relevés en 1909. Le record hivernal de chaleur est battu pour la troisième année consécutive.
Les vagues de chaleur se sont multipliées ces derniers mois à la surface du globe. L’été 2022 a été marqué par des épisodes particulièrement précoces, intenses et longs.
Global public subsidies for fossil fuels almost doubled to $700bn in 2021, analysis has shown, representing a “roadblock” to tackling the climate crisis. Despite the huge profits of fossil fuel companies, the subsidies soared as governments sought to shield citizens from surging energy prices as the global economy rebounded from the Covid-19 pandemic.
Atmospheric soot loadings from nuclear weapon detonation would cause disruptions to the Earth’s climate, limiting terrestrial and aquatic food production. Here, we use climate, crop and fishery models to estimate the impacts arising from six scenarios of stratospheric soot injection, predicting the total food calories available in each nation post-war after stored food is consumed. In quantifying impacts away from target areas, we demonstrate that soot injections larger than 5 Tg would lead to mass food shortages, and livestock and aquatic food production would be unable to compensate for reduced crop output, in almost all countries. Adaptation measures such as food waste reduction would have limited impact on increasing available calories. We estimate more than 2 billion people could die from nuclear war between India and Pakistan, and more than 5 billion could die from a war between the United States and Russia—underlining the importance of global cooperation in preventing nuclear war.
The eyes of history will pierce the fog of politics. Science has exposed the course upon which our quest for energy has set our planet. Consequences will fall mainly on young people, their children, and grandchildren — unless decisive political leadership abandons wishful thinking and superficial half-measures. Climate change is a global matter and demands a global perspective.
Avec +0,545°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de juillet 2022 est le 2e plus chaud des archives ERA5. Les réanalyses comme ERA5 (ECMWF) intègrent de multiples observations dans un modèle permettant de suivre quasi quotidiennement l’évolution du climat. Elles sont produites par assimilation de données, un processus qui repose à la fois sur des observations et des modèles utilisant les lois de la physique et les observations passées. Les données sont actualisées de manière journalière, contrairement aux bilans mensuels des stations au sol.
A new database of extreme weather studies makes clear how far policymaking is lagging behind the reality of climate chaos
« C’est normal qu’il fasse chaud, c’est l’été ». On peut trouver de nombreux messages de ce type minimisant les alertes météo sur les réseaux sociaux. S’il y a déjà eu des épisodes similaires dans le passé, c’est qu’il n’y a rien d’anormal. Le recensement des vagues de chaleur depuis 1947 ne devrait pourtant laisser aucun doute. Météo France a comptabilisé 45 vagues de chaleur depuis 1947. Sur les 35 dernières années, elles ont été 3 fois plus nombreuses que sur les 35 années précédentes. Depuis le milieu des années 1980, les records de chaleur sont systématiquement plus nombreux que les records de froid. On a observé au XXIe siècle deux fois plus de records chauds que la normale mais quatre fois moins de records froids.
Increasing risks posed by climate change are causing rare extreme events that can kill more than 10 million people or lead to damages of $10 trillion-plus, posing threats of total societal collapse, a UN report finds.
Après la vague de records de chaleur absolus établis dans l’ouest de la France lundi, c’est le nord du pays qui a connu des températures inédites ce mardi 19 juillet 2022.
De nombreux records absolus de chaleur ont été battus ce lundi dans l’ouest du pays, parfois dans les grandes largeurs. La chaleur se décale vers l’est du pays, qui devrait connaître des températures très élevées dans la journée de mardi.
Un mois après une canicule qui a battu de nombreux records en juin 2022, un nouvel épisode de chaleur se distingue par des températures inédites pour un mois juillet en France.
Le réchauffement climatique global s’intensifie, provoquant le dégel des glaciers mondiaux. Au Tibet, une équipe de scientifiques chinois a ainsi relevé 1 000 anciennes espèces microbiennes piégées depuis des millénaires au sein des massifs glaciaux que l’on nomme le « troisième pôle » terrestre.
Greenhouse gas has undergone rapid acceleration and scientists say it may be due to atmospheric changes
Avec +0,482°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois de juin 2022 est le 3e plus chaud des archives ERA5.
Le trimestre avril-mai-juin 2022 a été le plus chaud en France depuis 1900 avec une température moyenne de 16,9°C. La moyenne sur trois mois dépasse très légèrement celle d’avril-mai-juin 2003 (16,8°C), rapporte François Jobard, météorologiste à Météo France.
After all, Western economies – and their economic growth – depend utterly on labour and resources from the South...
A new Imperial analysis has found that biogas and biomethane, while more climate friendly, leak up to twice as much methane as previously thought. Although biogas and biomethane remain climate-friendlier than non-renewable alternatives, the researchers call for better monitoring and fixing of leaks to ensure biogas and biomethane continue to live up to their green credentials.
La France subit une canicule exceptionnellement précoce. Le thermomètre a commencé à grimper le mercredi 15 juin, les maximales ont approché les 40°C localement sur la journée de jeudi et des records pour un mois de juin sont tombés vendredi. Des températures encore plus élevées sont attendues samedi 18 juin.
Le contenu en chaleur des océans a encore battu un record en 2021. Plus de 90% de l’excès de chaleur dû au réchauffement climatique est absorbé par les océans. Ces derniers fournissent actuellement la meilleure estimation du déséquilibre énergétique de la Terre.
Un nouvel article évalue à quel moment le dépassement des objectifs 1,5°C et 2°C sera engagé malgré un arrêt des émissions anthropiques impactant le climat. L’étude montre que nous sommes déjà engagés à atteindre à court terme un pic de réchauffement supérieur à 1,5°C, avec une probabilité de 42 %, même si les émissions de CO2 tombaient dès maintenant à zéro. Un arrêt brutal des émissions permettrait cependant de ramener la température sous 1,5°C à plus long terme.
The publication provides a summary on the state of the climate indicators in 2021 including global temperatures trends and its distribution around the globe; most recent finding on Green House Gases concentration, Ocean indicators; Cryosphere with a particular emphasis on Arctic and Antarctic sea ice, greenland ice sheet and glaciers and snow cover; Stratospheric Ozone; analysis of major drivers of inter-annual climate variability during the year including the El Niño Souther Oscillation and other Ocean and Atmshperic indices; global precipitation distribution over land; extreme events including those related to tropical cyclones and wind storms; flooding, drought and extreme heat and cold events. The publication also provides most recent finding on climate related risks and impacts including on food security, humanitarian and population displacement aspects and impact on ecosystems.
Vegetated areas above the treeline in the Alps have increased by 77% since 1984, the study says. While retreating glaciers have symbolised the speed of global heating in the Alpine region, researchers described the increases in plant biomass as an “absolutely massive” change.
Climate tipping points in the Antarctica, the Arctic and the Amazon are at risk of being reached before or at the current level of global warming of 1.2 degrees Celsius, requiring a “major rethink” of global climate goals and the action necessary to achieve them, according to a recent report.
Food supply expert paints grim global picture hunger 05.23.2022 By Arvin Donley NEW YORK, NEW YORK, US — Global wheat inventories currently stand at about 10 weeks of global consumption, a food supply expert said during a special meeting of the United Nations Security Council on May 19. Sara Menker, chief executive officer of Gro Intelligence, an organization that gathers and analyzes global food and agricultural data, said she disputes official government agency estimates that put global wheat inventories at 33% of annual consumption, countering inventories are closer to 20%. “It is important to note that the lowest grain inventory levels the world has ever seen are now occurring while access to fertilizers is highly constrained, and drought in wheat growing regions around the world is the most extreme it’s been in over 20 years,” Menker said. “Similar inventory concerns also apply to corn and other grains. Government estimates are not adding up.” Menker told the security council that while much of the blame
Long before the current political divide over climate change, and even before the U.S. Civil War (1861-1865), an American scientist named Eunice Foote documented the underlying cause of today’s climate change crisis. The year was 1856. Foote’s brief scientific paper was the first to describe the extraordinary power of carbon dioxide gas to absorb heat – the driving force of global warming. Carbon dioxide is an odorless, tasteless, transparent gas that forms when people burn fuels, including coal, oil, gasoline and wood.
The Bank of England governor warned last week of ‘apocalyptic’ food price rises. Yet war in Ukraine, climate change and inflation are already taking their toll all over the world. Apocalypse is an alarming idea, commonly taken to denote catastrophic destruction foreshadowing the end of the world. But in the original Greek, apokálypsis means a revelation or an uncovering. One vernacular definition is “to take the lid off something”.
A brutal heatwave that has enveloped parts of southern Asia since the end of April looks set to intensify, says the latest forecast from the Met Office. Nick Silkstone is a meteorologist with the Met Office’s Global Guidance Unit. He said: “Temperatures are expected to peak on Saturday, when maximum values could reach around 49-50°C in the hottest locations, such as Jacobabad, and the Sibi area of Pakistan.
When people talk about ways to slow climate change, they often mention trees, and for good reason. Forests take up a large amount of the planet-warming carbon dioxide that people put into the atmosphere when they burn fossil fuels. But will trees keep up that pace as global temperatures rise? With companies increasingly investing in forests as offsets, saying it cancels out their continuing greenhouse gas emissions, that’s a multibillion-dollar question.
D’après l’Organisation météorologique mondiale, il est extrêmement probable que l’une des cinq prochaines années soit la plus chaude jamais enregistrée, battant l’année record en cours de 2016. La probabilité qu’au moins une des cinq prochaines années dépasse 1,5 °C au-dessus des niveaux préindustriels est estimée maintenant de près de 50%.
There is a 50:50 chance of the annual average global temperature temporarily reaching 1.5 °C above the pre-industrial level for at least one of the next five years – and the likelihood is increasing with time, according to a new climate update issued by the World Meteorological Organization (WMO).
Des chercheurs ont récemment mis en lumière un mécanisme par lequel les changements de banquise en Arctique parviennent à influencer le climat de régions situées bien au-delà du cercle polaire. Les résultats ont été publiés dans la revue Nature Communications le 19 avril dernier.
A new study describes a period of rapid global climate change in an ice-capped world much like the present—but 304 million years ago. Within about 300,000 years, atmospheric carbon dioxide levels doubled, oceans became anoxic, and biodiversity dropped on land and at sea.
Les changements climatiques liés à un scénario de fortes émissions de CO2 pourraient rendre les cyclones tropicaux puissants deux fois plus fréquents d’ici le milieu du siècle, selon une nouvelle étude publiée dans Science Advances. L’analyse prévoit également que les vitesses maximales du vent associées à ces cyclones pourraient augmenter d’environ 15 %.
Malgré les dommages causés au climat, la planète compte encore des projets de construction ou d'extension de centrales électriques au charbon dans 34 pays différents, surtout en Chine, dénonce le rapport annuel du Global Energy Monitor publié mardi.
À quelques jours du second tour d’une élection présidentielle pauvre en débat sur la crise climatique, l’écologue Élodie Vercken revient dans un entretien avec Usbek & Rica sur les raisons de sa grève scientifique ainsi que sur l’urgence d’une action politique globale face à l’aggravation du réchauffement climatique.
The world may be facing a devastating “hidden” collapse in insect species due to the twin threats of climate change and habitat loss.
Le changement climatique a augmenté les précipitations de 5% lors de la saison record des ouragans de l’Atlantique en 2020. Au cours des 14 tempêtes qui ont atteint le statut d’ouragan, les précipitations ont été 8 % plus importantes, selon une étude publiée dans Nature Communications.
For the first time the world is in a position to limit global heating to under 2C, according to the first in-depth analysis of the net zero pledges made by nations at the UN Cop26 climate summit in December.
As climate crisis allows new maritime routes to be used, sooty shipping emissions accelerates ice melt and risk to ecosystems
La concentration atmosphérique de méthane a atteint un nouveau record, selon la NOAA. En 2021, l’augmentation des niveaux de méthane dans l’atmosphère a été de 17 ppb (parties par milliard), soit la plus grosse augmentation annuelle enregistrée depuis le début des mesures en 1983. En 2020, l’augmentation était de 15 ppb, et constituait déjà un record.
Rapid decarbonization of energy is non-negotiable if we are to avert catastrophic global heating, says the latest UN climate report.
The Working Group III report provides an updated global assessment of climate change mitigation progress and pledges, and examines the sources of global emissions. It explains developments in emission reduction and mitigation efforts, assessing the impact of national climate pledges in relation to long-term emissions goals.
Une plateforme de glace de la taille de la ville de Rome s’est effondrée en Antarctique de l’Est le 15 mars 2022, dans une zone longtemps considérée comme relativement épargnée par le changement climatique. L’effondrement s’est produit au début d’une « vague de chaleur » exceptionnelle dans la région de l’Antarctique de l’Est, qui a vu par endroits des température dépasser de 40°C les normales de saison.
La Grande Barrière de corail a été frappée par un sixième épisode de blanchissement massif des coraux, selon l’autorité australienne du parc marin. Les relevés aériens montrent que presque aucun récif n’échappe à la chaleur. C’est la première fois qu’un blanchissement massif se produit au cours d’une année La Niña normalement supposée être une période de récupération pour les coraux.
Following record-level declines in 2020, near-real-time data indicate that global CO2 emissions rebounded by 4.8% in 2021, reaching 34.9 GtCO2. These 2021 emissions consumed 8.7% of the remaining carbon budget for limiting anthropogenic warming to 1.5 °C, which if current trajectories continue, might be used up in 9.5 years at 67% likelihood.
Environmentalists once saw abstraction as the biggest obstacle to climate action. How, they wondered, could one focus the public on the distant future? Today, we confront the opposite problem, with the very immediacy of the crisis generating a strange paralysis. When the Intergovernmental Panel on Climate Change warned that global heating made extreme flooding more common, its new report at the end of February spurred relatively little discussion – in part because of the water covering swathes of Queensland and New South Wales. As tinnies plucked desperate residents from the deluge, who could give due weight to the warning from Prof Brendan Mackey, one of the IPPC authors, that the science clearly projected “an increase of heavy rainfall events?”
Selon un rapport de l’Agence Internationale de l’Energie, les émissions mondiales de dioxyde de carbone liées à l’énergie ont augmenté de 6 % en 2021 pour atteindre 36,3 milliards de tonnes. Un niveau record atteint dans un contexte d’économie mondiale en fort rebond après la crise de Covid-19. Avec une augmentation de 2 milliards de tonnes de CO2, c’est la plus forte hausse annuelle jamais enregistrée. L’utilisation accrue du charbon a été le principal facteur d’augmentation des émissions mondiales de CO2 liées à l’énergie.
The Working Group II contribution to the IPCC Sixth Assessment Report assesses the impacts of climate change, looking at ecosystems, biodiversity, and human communities at global and regional levels. It also reviews vulnerabilities and the capacities and limits of the natural world and human societies to adapt to climate change.
Vague de chaleur, inondations, sécheresse, menaces pour l’agriculture… Les effets du réchauffement climatique sont désormais visibles et irréversibles, alors que nous sommes encore loin de nous y être préparés, y compris en France, affirme le deuxième volet du sixième rapport du GIEC, publié ce 28 février.
Au cours des dernières décennies, le réchauffement de l’Arctique a été beaucoup plus rapide qu’au niveau global. De nombreuses études indiquent que l’Arctique se réchauffe deux fois, voire trois fois plus vite que le reste de la planète en moyenne… Un phénomène connu sous le nom d’Amplification arctique (AA). Une nouvelle analyse utilisant plusieurs ensembles de données d’observation qui couvrent la région arctique montre qu’au cours des 40 dernières années, l’Arctique s’est en fait réchauffé presque quatre fois plus vite que le globe dans son ensemble.
Il faut urgemment s'attaquer aux rejets de méthane, émis lors de la production d'énergies fossiles en quantité massive et très sous-estimées, a réclamé mercredi l'Agence internationale de l'énergie (AIE), afin de lutter contre le réchauffement, tout en récupérant du gaz. Selon le Global Methane Tracker 2022 de l'AIE, les émissions de méthane liées aux secteurs du pétrole, gaz et charbon sont reparties à la hausse, avec +5% en 2021 -- sans toutefois retrouver leur sommet de 2019.
Une nouvelle étude suggère que les pires scénarios tablant sur un réchauffement de 4 à 5°C ne sont plus plausibles si l’on prend en compte les observations et les projections de l’Agence Internationale de l’Energie. Toutefois, les scénarios jugés plausibles indiquent également que le monde n’est toujours pas en mesure de limiter le réchauffement du XXIe siècle à 1,5 °C ou à moins de 2 °C.
There’s a new horse race in 2022. It’s one that we would rather lose than win. If our analysis is right, the world will probably blow through the 1.5°C global warming ceiling this decade; if we’re wrong, it could be delayed a decade. We argue[1],[2] that the apparent acceleration of global warming in the past decade is driven by an acceleration in the growth rate of human-made climate forcings, especially reduced human-made aerosol cooling – an effect that is not going away and may grow.
Momentum to phase out unabated coal use is growing globally. This transition is critical to meeting the Paris climate goals but can potentially lead to large amounts of stranded assets, especially in regions with newer and growing coal fleets. Here we combine plant-level data with a global integrated assessment model to quantify changes in global stranded asset risks from coal-fired power plants across regions and over time. With new plant proposals, cancellations, and retirements over the past five years, global net committed emissions in 2030 from existing and planned coal plants declined by 3.3 GtCO2 (25%). While these emissions are now roughly in line with initial Nationally Determined Contributions (NDCs) to the Paris Agreement, they remain far off track from longer-term climate goals. Progress made in 2021 towards no new coal can potentially avoid a 24% (503 GW) increase in capacity and a 55% ($520 billion) increase in stranded assets under 1.5 °C. Stranded asset risks fall disproportionately on emergin
Tree diversity is fundamental for forest ecosystem stability and services. However, because of limited available data, estimates of tree diversity at large geographic domains still rely heavily on published lists of species descriptions that are geographically uneven in coverage. These limitations have precluded efforts to generate a global perspective. Here, based on a ground-sourced global database, we estimate the number of tree species at biome, continental, and global scales. We estimated a global tree richness (≈73,300) that is ≈14% higher than numbers known today, with most undiscovered species being rare, continentally endemic, and tropical or subtropical. These results highlight the vulnerability of global tree species diversity to anthropogenic changes.
Onshoring critical minerals mining doesn’t address the root causes of predatory extraction.
Commission’s move widely criticised as undermining efforts to keep global heating below 1.5C
Les dernières expériences de modélisation du 20e et du 21e siècle montrent une forte augmentation de la variabilité des températures de surface de la mer liées à ENSO dans le cadre des quatre principaux scénarios d’émissions du GIEC. La variabilité des températures de la surface de la mer renforce l’intensité et l’impact global du phénomène El Niño – Oscillation australe (ENSO).
La déstabilisation du glacier Thwaites, situé en Antarctique occidental, inquiète fortement les glaciologues. Le dérèglement du fonctionnement des courants aériens et océaniques, exacerbé par les effets du réchauffement climatique, menace de causer la disparition de ce glacier. À lui seul, il aurait la capacité d’élever le niveau global des mers de 65 cm. Cependant, ce scénario catastrophe ne s’arrête pas là.
The Keeling Curve is an iconic graph showing how levels of carbon dioxide (CO2) have been building up in the atmosphere, driving an increase in global temperatures.
Berkeley Earth, a California-based non-profit research organization, has been preparing independent analyses of global mean temperature changes since 2013. The following is our report on global mean temperature during 2021.
L'édition 2022 du "Global Risks Report" du Forum économique mondial pointe la crise climatique, l'aggravation des fractures sociales, l'augmentation des cyber risques et une reprise mondiale disparate comme principaux risques globaux cette année.
L'édition 2022 du "Global Risks Report" du Forum économique mondial pointe la crise climatique, l'aggravation des fractures sociales, l'augmentation des cyber risques et une reprise mondiale disparate comme principaux risques globaux cette année. Selon le rapport publié mardi et réalisé par l'organisateur du forum de Davos, les dirigeants mondiaux doivent adopter "une réponse multipartite coordonnée" pour résoudre ces problèmes systémiques.
The fossil fuel production gap — the difference between global fossil fuel production projected by governments’ plans (red line) and those consistent with 1.5°C- and 2°C-warming pathways (blue and green lines), as expressed in carbon dioxide (CO2) emissions released when the extracted fuels are burned — remains large.

2021

Avec le rebond de la production industrielle mondiale, la demande de charbon dans le monde devrait augmenter de 6 % en 2021, ce qui la rapprochera des niveaux records qu’elle avait atteint en 2013 et 2014. Le plafonnement de la consommation de charbon ces dernières années et la baisse en 2020 avaient suscité des espoirs de déclin de cette source d’énergie très émettrice de CO2.
Le nombre de vagues de chaleur de grande étendue survenant simultanément en plusieurs points de l’hémisphère Nord a été multiplié par six entre les années 1980 et les années 2010.
Pour la première fois, des chercheurs ont démontré que le courant circumpolaire antarctique s’accélérait sous l’effet du réchauffement global. Jusqu’à présent, le peu de données disponibles empêchait toute conclusion solide.
World leaders must commit to boosting cycling levels to reduce carbon emissions and reach global climate goals quickly and effectively
Climate change has important implications for the health and futures of children and young people, yet they have little power to limit its harm, making them vulnerable to climate anxiety. This is the first large-scale investigation of climate anxiety in children and young people globally and its relationship with perceived government response.
François Durand-Dastès a été sollicité par Total pour rédiger une contribution dans le magazine interne de l’entreprise en 1971. Dans cet article intitulé « La pollution atmosphérique et le climat », il dénonce l’impact négatif de la production des énergies fossiles sur le climat et la perspective, à terme, d’un réchauffement climatique global dû aux activités anthropiques.
Le SDES (service des données et études statistiques) du Ministère de la Transition écologique(1) a révisé en octobre 2021 le calcul de l’ensemble de la série historique de l’empreinte climat des Français. Ce correctif statistique rapproche les estimations nationales de celles fournies par l’OCDE et le Global Carbon Project pour le seul CO2.
After almost six years of negotiations over the tangle of convoluted rules required to integrate the world’s burgeoning carbon markets – which were first put forward in article 6 of the 2015 Paris climate agreement – negotiators announced they had agreed a common set of tools. These would allow carbon markets to operate globally, and unleash trillions of dollars of green investments through so-called carbon offset programmes.
October global temperature was close to an October record for the 1880-2021 period of near-global instrumental data (Fig. 1, left), despite the cooling effect of a fairly strong, double-dip La Nina (Fig. 1, right). The October global temperature – the 4th warmest October in the period 1880-present – was +1.23°C relative to 1880-1920.
Emerging ice-sheet modeling suggests once initiated, retreat of the Antarctic Ice Sheet (AIS) can continue for centuries. Unfortunately, the short observational record cannot resolve the tipping points, rate of change, and timescale of responses. Iceberg-rafted debris data from Iceberg Alley identify eight retreat phases after the Last Glacial Maximum that each destabilized the AIS within a decade, contributing to global sea-level rise for centuries to a millennium, which subsequently re-stabilized equally rapidly.
L’accord adopté à l’issue de la COP26 de Glasgow est largement insuffisant pour limiter à 1,5 °C la hausse globale des températures. Les demandes de financement des pays pauvres qui en subiront le plus les effets ont été écartées tandis que les promesses de sortie des énergies fossiles ont été affaiblies.
Exclusive: Greta Thunberg among young people filing legal suit for climate crisis to be declared a global level 3 emergency
Le premier “brouillon” de la décision finale de la COP26 ne mentionne pas les énergies fossiles et leur responsabilité évidente dans le réchauffement. Un “oubli flagrant” dénonce Greenpeace tandis que le pétrole, le charbon et le gaz ont pléthore de “négociateurs” infiltrés à Glasgow, selon Global Witness.
In Paris, all governments solemnly promised to come to COP26 with more ambitious 2030 commitments to close the massive 2030 emissions gap that was already evident in 2015. Three years later the IPCC Special Report on 1.5°C reinforced the scientific imperative, and earlier this year it called a climate “code red.” Now, at the midpoint of Glasgow, it is clear there is a massive credibility, action and commitment gap that casts a long and dark shadow of doubt over the net zero goals put forward by more than 140 countries, covering 90% of global emissions.
Selon l'ONG Global Witness, qui a épluché la liste des délégations à la conférence sur le climat, le lobby des énergies fossiles, principales émettrices de gaz à effet de serre, est mieux représenté dans les couloirs de la conférence que les pays les plus durement touchés par les conséquences du réchauffement climatique.
Les émissions mondiales de CO2 dues à la combustion d’énergies fossiles et à l’industrie devraient « rebondir en 2021 près du niveau d'avant COVID après une baisse sans précédent en 2020 », selon le bilan annuel du Global Carbon Project (GCP)(1), publié ce 4 novembre en pleine COP26(2).
Stijgende temperaturen, minder regenval en meer hittegolven en droogtes zullen landbouwopbrengsten wereldwijd ernstig beïnvloeden, al in de komende tien jaar. Dat blijkt uit een nieuw grootschalig onderzoek van onder meer NASA.
In the Paris Agreement, over 200 countries decided upon limiting global warming to below 2 degrees Celsius. Belgium, The Netherlands and Luxembourg ratified the agreement and consecutively, in November 2018, they signed the Benelux Talanoa Declaration, emphasizing their common pathway in achieving these goals. In addition, the Benelux Talanoa Declaration calls upon the creation of a platform to enhance further dialogue between the Benelux countries, as well as with stakeholders committed and working towards to the climate objectives on a policy, technical, scientific, practical or more conceptual level.
The United Nations secretary general, António Guterres, on Monday issued a blistering critique of the world’s failure to rein in global warming, calling on countries to return every year to review their climate targets — not every five years, as the Paris climate agreement spells out. “Even if the recent pledges were clear and credible — and there are serious questions about some of them — we are still careening towards climate catastrophe,” he said at the opening ceremony of COP26, the U.N. climate summit in Glasgow.
As a leading climate scientist, Paola Arias doesn’t need to look far to see the world changing. Shifting rain patterns threaten water supplies in her home city of Medellín, Colombia, while rising sea levels endanger the country’s coastline. She isn’t confident that international leaders will slow global warming or that her own government can handle the expected fallout, such as mass migrations and civil unrest over rising inequality. With such an uncertain future, she thought hard several years ago about whether to have children.
Le réchauffement climatique pourrait avoir été atténué par la variabilité interne de la circulation océanique, d’après une étude publiée dans Nature Communications. Si cela est vrai, on peut craindre qu’il soit plus difficile de contenir le réchauffement sous les 2 °C dans les décennies à venir.
Fresh emissions targets from Saudi Arabia and Australia – two of the world’s largest fossil-fuel producers – are due to arrive just in time for global climate talks in Glasgow. These would commit the two countries to reducing domestic emissions to net zero by around mid-century – though both are expected to continue exporting fossil fuels for decades to come.
The Working Group I contribution to the Sixth Assessment Report addresses the most up-to-date physical understanding of the climate system and climate change, bringing together the latest advances in climate science, and combining multiple lines of evidence from paleoclimate, observations, process understanding, and global and regional climate simulations.
Chronic kidney disease linked to heat stress could become a major health epidemic for millions of workers around the world as global temperatures increase over the coming decades, doctors have warned.
Christophe Bonneuil, directeur de recherche au CNRS, Pierre-Louis Choquet, sociologue à Sciences po, et Benjamin Franta, chercheur en histoire à l'université américaine de Stanford, ont étudié les archives du groupe pétrolier, devenu TotalEnergies, ainsi que des revues internes et des interviews, selon cet article publié dans la revue Global Environmental Change.
Scientists have warned that hydrogen could be a significant “indirect” contributor to the greenhouse effect when it leaks through infrastructure and interacts with methane in the atmosphere.
The scientific consensus that humans are altering the climate has passed 99.9%, according to research that strengthens the case for global action at the Cop26 summit in Glasgow.
With global warming intensifying the water cycle, floods and droughts are increasing, and many countries are unprepared.
De globale pandemie was een vingeroefening voor wat ons mogelijk te wachten staat met de klimaatopwarming. Uit de voorbije crisisperiode vallen daarom heel wat interessante en belangrijke lessen te trekken.
Rarely has there been so much anticipation of a climate summit as there is for COP26 in Glasgow at the end of this month.
The most important climate talk at the highest political level—since the Paris climate conference in 2015—is set to take place in Glasgow, Scotland this year, from October 31 to November 12. This is the 26th Conference of Parties (COP26) of the United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC). This is not only the largest global climate summit, but also the largest global event as the sheer existence of the world will depend on the outcome of this year's conference.
Les forêts européennes sont jusqu'à dix degrés plus froides en été et jusqu'à 12 degrés plus chaudes en hiver, ressort-il d'une étude à grande échelle de la KU Leuven, de l'UAntwerp et de l'UGent. C'est la première fois que l'effet isolant des forêts est cartographié de manière aussi détaillée. L'étude a été publiée lundi dans la revue scientifique Global Change Biology.
Greta Thunberg has excoriated global leaders over their promises to address the climate emergency, dismissing them as “blah, blah, blah”.
A UN analysis today revealed a bleak upward trajectory for global carbon dioxide emissions, despite new CO2-curbing plans by scores of countries, including major emitters such as the US and the European Union’s 27 member states.
There are several ways to remove carbon from the atmosphere. One is called bioenergy with carbon capture and storage, or Beccs. Here, vast acres of fast-growing plants are grown and then harvested and burned to generate electricity or make biofuel for vehicles.
Comment faire le lien entre des événements météorologiques extrêmes récents et le dérèglement climatique global causé par les activités humaines ? Entretien avec le chercheur au CNRS Robert Vautard, membre du réseau World Weather Attribution.
Researchers examined the economic cost of the climate crisis and found it would cut about 37% from global GDP this century, more than twice the drop experienced in the Great Depression. For every tonne of carbon dioxide emitted, the global economy would be $3,000 worse off by the end of the century, they estimated.
The UN General Assembly in September, 2021, will bring countries together at a critical time for marshalling collective action to tackle the global environmental crisis.
Le climat de la Terre est déterminé par un équilibre entre la quantité d’énergie solaire absorbée et la quantité de rayonnement infrarouge thermique que la Terre émet vers l’espace. Un déséquilibre énergétique positif signifie que le système gagne de l’énergie, provoquant un réchauffement de la planète. D’après une étude publiée par des chercheurs de la NOAA et de la NASA le 15 juin 2021, le déséquilibre énergétique de la Terre a approximativement doublé au cours de la période de 14 ans allant de 2005 à 2019.
Le GIEC a publié le 9 août 2021 le rapport du Groupe de travail I sur « Les bases scientifiques physiques » du changement climatique dans le cadre du Sixième rapport d’évaluation du GIEC (AR6). Voici un résumé des analyses dédiées aux températures.
Global weather is constantly in motion. The Southern Hemisphere is currently in Winter, and strong weather patterns will start a warming event in its Stratosphere. These events are rare, but powerful, having historically been strong enough to affect the entire globe.
Australian scientists have challenged the latest UN-backed global warming report, saying it underestimated the likelihood major weather events driven by processes in the Pacific will become more extreme as the planet heats.
Texte de Jean-David Zeitoun, docteur en médecine, docteur en épidémiologie clinique et auteur de La grande extension : histoire de la santé humaine. En 2006, le British Medical Journal écrivait que « le changement climatique en lien avec le réchauffement global est le problème de santé publique le plus urgent dans le monde ».
The IPCC is unequivocal: we must take urgent action to curb global heating and prevent catastrophe. Will our policymakers and the Cop26 conference be up to the task?
The Gulf Stream has weakened substantially in the past decades, as new data and studies show. Weather in the United States and Europe depends strongly on this ocean current, so it’s important we understand the ongoing changes and what they will mean for our weather in the future.
July global temperature (+1.16°C relative to 1880-1920 mean) was within a hair (0.02°C) of being the warmest July in the era of instrumental measurements (Fig. 1, left). That’s remarkable because we are still under the influence of a fairly strong La Nina (Fig. 1, right). Global cooling associated with La Ninas peaks five months after the La Nina peak,[1] on average.
La température globale à la surface de la planète a été plus élevée de 0,01 °C par rapport au précédent mois de juillet le plus chaud, en 2016 (alors égalé par juillet 2019 et 2020).
Global greenhouse gas emissions must peak in the next four years, coal and gas-fired power plants must close in the next decade and lifestyle and behavioural changes will be needed to avoid climate breakdown, according to the leaked draft of a report from the world’s leading authority on climate science.
Dit jaar zien we wereldwijd enorme branden die land, bos en gemeenschappen verwoesten. Waarom komen deze catastrofale branden steeds vaker voor en wat zijn de gevolgen? Hoogleraar Fire and Global Change Victor Resco de Dios: ‘Welkom in een nieuw tijdperk van bosbranden.’
As the world battles historic droughts, landscape-altering wildfires and deadly floods, a landmark report from global scientists says the window is rapidly closing to cut our reliance on fossil fuels and avoid catastrophic changes that would transform life as we know it. The state-of-the-science report from the United Nations' Intergovernmental Panel on Climate Change says the world has rapidly warmed 1.1 degrees Celsius higher than pre-industrial levels, and is now careening toward 1.5 degrees — a critical threshold that world leaders agreed warming should remain below to avoid worsening impacts.
The Working Group I contribution to the Sixth Assessment Report addresses the most up-to-date physical understanding of the climate system and climate change, bringing together the latest advances in climate science, and combining multiple lines of evidence from paleoclimate, observations, process understanding, and global and regional climate simulations.
The report’s conclusion that staying below 2°C this century will only happen if emissions reach net zero by 2050 is well publicised. But there is one, rather more urgent addendum to that: global emissions must peak some time in the middle of this decade. In other words, within the next few years.
Global heating above 1.5C will be “catastrophic” for Pacific island nations and could lead to the loss of entire countries due to sea level rise within the century, experts have warned.
2020 has been another critical year in which climate change and global warming fought for media attention amid competing interests in other stories, events and issues around the globe. Yet, climate change and global warming garnered coverage through stories manifesting through primary and often intersecting, political, economic, scientific, cultural as well as ecological and meteorological themes.
If Earth had a pulse, it might be The Atlantic Meridional Overturning Circulation (AMOC) – a swirl of ocean currents that carries tropical heat north towards polar waters. Over the past century this global heartbeat has eased, slowing to a speed not seen in more than a millennium. New research based on a range of indices has now bolstered views that the weakening isn't a trivial one, and critical transition is imminent.
Une équipe de chercheurs européens a récemment montré que pour 67 % des surfaces terrestres, la reforestation augmenterait la quantité de nuages bas et aurait ainsi un effet refroidissant sur le climat global. Ces conclusions confirment que le reboisement et la préservation des forêts se présentent comme des moyens efficaces de lutte et d’adaptation au changement climatique.
Het globale voedselsysteem is de belangrijkste oorzaak voor de ecologische crisis en de klimaatontregeling. Het duwt natuurlijke systemen tot voorbij de veilige grenzen voor de mensheid, schrijven Jeremy Coller van het investeerdersnetwerk FAIRR, hoogleraar Johan Rockström van het Potsdam Institute for Climate Impact Research en Gunhild Stordalen, oprichter van stichting EAT.
The Atlantic Meridional Overturning Circulation (AMOC), a major ocean current system transporting warm surface waters toward the northern Atlantic, has been suggested to exhibit two distinct modes of operation. A collapse from the currently attained strong to the weak mode would have severe impacts on the global climate system and further multi-stable Earth system components. Observations and recently suggested fingerprints of AMOC variability indicate a gradual weakening during the last decades, but estimates of the critical transition point remain uncertain.
Slechts 5% van de elektriciteitscentrales zijn verantwoordelijk voor 73% van de globale CO2-uitstoot van de sector. Die supervervuilers aanpakken zou een grote stap voorwaarts betekenen in de strijd tegen de opwarming van de aarde, stelt nieuw onderzoek.
While the early months of 2021 have been cooler than much of the past decade, global temperatures have risen in recent months as the effects of La Niña have started to fade.
The Global Alliance for a Green New Deal is inviting politicians from legislatures in all countries to work together on policies that would deliver a just transition to a green economy ahead of Cop26 UN climate talks in Glasgow this November.
Scientists know that global warming is changing clouds, but they haven’t been sure whether those changes would heat or cool the planet overall. It’s an important question, because clouds have been the main source of uncertainty in projecting just how sensitive the climate is to increasing greenhouse gas concentrations, and because clouds have a huge effect on the climate system.
Le rôle de puits de carbone de la plus grande forêt tropicale de la planète est menacé par la déforestation et le réchauffement climatique. Une étude montre que le sud-est de l’Amazonie a été une source de carbone sur la période 2010-2018.
It’s Beginning to Feel Like We’ve Finally Pushed the Planet Past its Final Tipping Point. We have “extreme events” the kind scientists have long feared. But they’ve even shocked scientists with how suddenly extreme and frequent they are. And “This is not a localised freak event, it is definitely part of a coherent global pattern.”
Climate change and deforestation have flipped a large swathe of the Amazon basin from absorbing to emitting planet-warming carbon dioxide (CO2), a transformation that could turn humanity's greatest natural ally in the fight against global warming into a foe, researchers reported on Wednesday.
Global temperature in June was +1.13°C (relative to the 1880-1920 base period, which is our best estimate of preindustrial temperature); it was +0.85°C relative to the 1951-1980 base period. High temperature anomalies were notable in northwest North America, northeast Siberia, and a horseshoe-shaped area covering much of Europe and western Asia (Fig. 1). The Pacific Northwest heatwave continued into July with daily temperatures exceeding prior records by several degrees, an extreme that merits discussion.
A la fin du mois de juin 2021, le nord-ouest des États-Unis et l’ouest du Canada ont connu une vague de chaleur exceptionnelle. Si la tendance de fond au réchauffement climatique augmente l’intensité de ce type d’événement, les valeurs atteintes ont surpris les scientifiques. Une analyse du World Weather Attribution – un consortium d’experts climatiques du monde entier travaillant sur l’attribution d’événements extrêmes – évalue l’impact du réchauffement climatique dans la survenue de cet épisode caniculaire.
how much global warming is each country's pledge leading to ?
Vouloir limiter le réchauffement climatique global à +2°C et communiquer en ce sens est une erreur. Une erreur car une immense majorité de la population française (voire mondiale) ne sait pas ce que cela signifie, et/ou n’en connait pas les conséquences. C’est parfois même un choix délibéré de certaines entreprises ou politiques souhaitant un certain Business as Usual, qui établissent leur stratégie économique sur ces +2°C, évoquant un certain “pragmatisme”.
What could bring down the industrial civilization? Would it be global warming (fire) or resource depletion (ice)? At present, it may well be that depletion is hitting us faster. But, in the long run, global warming may hit us much harder. Maybe the fall of our civilization will be Fire AND ice.
the sediments below oxygen-depleted waters are a significant source of nitrous oxide (N2O). This gas is released into the atmosphere when deep water rises to the surface in a process known as upwelling. Nitrous oxide, more commonly known as “laughing gas,” is a potent greenhouse gas, 300 times more powerful than carbon dioxide. Global emissions of N2O are increasing as a result of human activities that stimulate its production.
Climate change will affect every aspect of our lives – including the buildings we live and work in. Most people in the US, for example, spend about 90% of their time indoors. Climate change is fundamentally altering the environmental conditions in which these buildings are designed to function.
Une canicule exceptionnelle vient de toucher l’ouest canadien et le nord-ouest des États-Unis en cette fin juin 2021. De nombreux records de chaleur ont été battus, voire pulvérisés par endroits.
la carte des émissions de co2, par pays, avec évolution dans le temps, type de source ou combustibles,..
On Sunday this week Zakaria ended his program with a concise description of an effective approach to address climate change – in just a few minutes he described how carbon fee-and-dividend could be made near-global. I won’t try to summarize his take – it’s impossible to match his clarity and brevity, which includes great illustrations.
Les premiers 50°C de l’année 2021 dans le monde ont été relevés le 31 mai à Jacobabad et à Larkana, au Pakistan. En juin, cette barre des 50°C a été par la suite plusieurs fois dépassée dans diverses régions du globe et de nombreux records de chaleur sont tombés.
Climate scientists are increasingly concerned that global heating will trigger tipping points in Earth’s natural systems, which will lead to widespread and possibly irrevocable disaster, unless action is taken urgently. The impacts are likely to be much closer than most people realise, a a draft report from the world’s leading climate scientists suggests, and will fundamentally reshape life in the coming decades even if greenhouse gas emissions are brought under some control.
Une étude menée par des scientifiques de l’Imperial College de Londres et de l’Université d’East Anglia, apporte de nouveaux éléments montrant que les changements affectant les nuages ​​​​amplifieront le réchauffement mondial à long terme.
Those are the key findings of Global Energy Monitor’s first comprehensive survey of global coal mine proposals, based on data from our new Global Coal Mine Tracker. We found more than 400 new mine proposals that could produce 2,277m tonnes per annum (Mtpa), of which 614Mtpa are already being developed. The plans are heavily concentrated in a few coal-rich regions across China, Australia, India and Russia.
More than half the world’s rivers stop flowing for at least one day per year, according to the first detailed global map of river flow. More rivers than that are expected to run dry if climate change and water management issues aren’t addressed.
Pendant des décennies, la plateforme de glace aidant à retenir l’un des glaciers les plus rapides de l’Antarctique s’est progressivement amincie. L’analyse des images satellite révèle un processus plus dramatique ces dernières années : de 2017 à 2020, de gros icebergs au bord de la plateforme se sont détachés et le glacier s’est accéléré.
Un large ensemble de simulations réalisées à l’aide d’un modèle novateur permet de mieux quantifier le risque d’effet domino ou cascade climatique – une forme de réaction en chaine – pour différents niveaux de réchauffement global. Les résultats révèlent la dimension interconnectée des éléments pouvant bifurquer, tels l’inlandsis groenlandais, et l’importance de les étudier via une approche intégrée. L’étude paraît ce mois-ci dans la revue scientifique Earth System Dynamics.
Pour la première fois, GIEC et de l’IPBES publient un rapport conjoint sur les liens entre le changement climatique et la perte de biodiversité. Les crises climatiques et de la biodiversité doivent être pensées et traitées ensemble, en veillant à éviter de nuire à l’une en cherchant à protéger l’autre, soulignent des experts de l’ONU à quelques mois de deux importantes réunions internationales sur ces sujets.
Emissions rose to 419 parts per million in May, the highest such measurement in the 63 years that the data has been recorded
The world’s coal producers are currently planning as many as 432 new mine projects with 2.28 billion tonnes of annual output capacity, research published on Thursday showed, putting targets for slowing global climate change at risk. China, Australia, India and Russia account for more than three quarters of the new projects,
The world must rewild and restore an area the size of China to meet commitments on nature and the climate, says the UN, and the revival of ecosystems must be met with all the ambition of the space race. Existing conservation efforts are insufficient to prevent widespread biodiversity loss and ecosystem collapse, the global body has warned at the launch of the decade on ecosystem restoration, an urgent call for the large-scale revival of nature in farmlands, forests and other ecosystems.
Proposals for coordinated climate action at the global level all too easily run into free-rider and fairness problems, leaving many of the most popular policy proposals dead on arrival. But a simple framework that gives all countries similar incentives would overcome these problems.
Il y a 40% de chances de voir la température mondiale atteindre 1,5°C au-dessus du niveau préindustriel au cours des cinq prochaines années, selon une nouvelle mise à jour climatique publiée par l’Organisation météorologique mondiale.
There is about a 40% chance of the annual average global temperature temporarily reaching 1.5°C above the pre-industrial level in at least one of the next five years – and these odds are increasing with time, according to a new climate update issued by the World Meteorological Organization (WMO). There is a 90% likelihood of at least one year between 2021-2025 becoming the warmest on record, which would dislodge 2016 from the top ranking, according to the Global Annual to Decadal Climate Update, produced by the United Kingdom’s Met Office, the WMO lead centre for such predictions.
Les efforts de recherche se poursuivent pour mieux évaluer la rétroaction des nuages sur le réchauffement climatique. De récents travaux annoncent avoir réussi à réduire l’incertitude associée à cette dernière. Ils projettent un impact amplificateur modéré, lié à une dissipation partielle des nuages bas et de leur effet parasol. Les résultats paraissent dans la revue Nature ce 13 mai. 
Sous la houlette du laboratoire d'études en géophysique et océanographie spatiales du CNES, une équipe internationale a mesuré l'évolution de l'ensemble des glaciers mondiaux sur une période de 20 ans. En moyenne, leur masse diminue de 267 milliards de tonnes par an, soit une perte cumulée de 4% en seulement 20 ans. Les auteurs confirment que ce phénomène s'accélère au niveau global avec la hausse des températures, et explique certains ralentissements au niveau local.
Une nouvelle étude de modélisation montre l’importance de limiter le réchauffement climatique pour éviter une fonte accélérée des glaces de l’Antarctique.
Fossil fuels, cattle and rotting waste produce greenhouse gas responsible for 30% of global heating
Manuel à destination des enseignants du primaire et du secondaire
Le dioxyde de carbone a atteint sur la dernière semaine d’avril 2021 une concentration record de 420 ppm, selon la NOAA. La concentration est maintenant 50% plus élevée qu’avant la révolution industrielle.
The best available evidence shows that, on the contrary, warming is likely to more or less stop once carbon dioxide (CO2) emissions reach zero, meaning humans have the power to choose their climate future.
En 2020, la température moyenne globale à la surface de la Terre a été de 1,2°C plus chaude que la moyenne des années 1850 à 1900. Elle prend la deuxième place parmi les années les plus chaudes, à seulement 0,02°C de 2016, qui reste la plus chaude jamais enregistrée. Tandis que la concentration en gaz carbonique, principal gaz à effet de serre, s’accroît régulièrement d’année en année, la température moyenne globale augmente de façon irrégulière
Global warming is a "threat multiplier" for habitats and species already under pressure – by understanding how the problems are linked, we can solve two crises at once
Meet the 1.5°C target. “It’s still possible,if only we have the political will”. But what is the extent of our political will, and more importantly, what are the deeper social dynamics driving it? Is it not only possible, but in fact plausible that we will reach deep decarbonisation by 2050 and meet the target? is there enough societal momentum and political will to make that future materialise ?

2020

The methane emissions leaking from the world’s coalmines could be stoking the global climate crisis at the same rate as the shipping and aviation industries combined.Coalmines are belching millions of tonnes of methane into the atmosphere unchecked, because policymakers have overlooked the rising climate threat, according to new research.
Flying is a highly controversial topic in climate debates. It accounts for around 2.5% of global CO₂ emissions, but 3.5% when we take non-CO₂ impacts on climate into account.
Parties intégrantes du cycle de l'eau, les nappes d'eaux souterraines nécessitent d'être mieux prises en compte et intégrées dans les politiques de gestion de l'eau, surtout avec les conséquences du changement climatique qui se profilent.
Based on preliminary analysis, the global average atmospheric carbon dioxide in 2020 was 412.5 parts per million (ppm for short), setting a new record high amount despite the economic slowdown due to the COVID-19 pandemic. In fact, the jump of 2.6 ppm over 2019 levels was the fifth-highest annual increase in NOAA's 63-year record. Since 2000, the global atmospheric carbon dioxide amount has grown by 43.5 ppm, an increase of 12 percent.
Today, the average global temperature has increased by more than 1°C compared to pre-industrial values (Figure 1-1); atmospheric CO2 concentrations have risen from 280 to more than 400 ppm. At the current pace of emissions, the carbon budget that is left for staying below the 2°C target of the Paris Agreement will be depleted in a few tens of years. For the 1.5°C target, this budget will be exhausted before the decade is out.
Unlike carbon dioxide, atmospheric methane concentrations are rising faster than at any time in the past two decades. The fossil fuel, agriculture and waste sectors are equally responsible.
Une étude publiée en mai dernier évalue les changements futurs du stress thermique. La hausse d’environ 1°C de la température globale au-dessus des niveaux préindustriels a déjà augmenté la population annuelle exposée à des niveaux dangereux de chaleur et d’humidité. L’exposition pourrait considérablement augmenter si le réchauffement global se poursuit.