Intempéries

OA - Liste

Vagues de chaleur, canicules, tempêtes, sécheresses, incendies, inondations, …

Résultats pour:
COP

juillet 2024

Si le thermomètre était proche ou inférieur aux normales de saison en Europe de l’Ouest, notamment en France, une grande partie du monde a subi des températures supérieures aux normes, voire exceptionnelles.
Monthly global surface air temperature anomalies (°C) relative to 1850–1900 from January 1940 to June 2024, plotted as time series for all 12-month periods spanning July to June of the following year. The 12 months from July 2023 to June 2024 are shown with a thick red line, while all other 12-month periods are shown with thin lines shaded according to the decade, from blue (1940s) to brick red (2020s).
Depuis ce lundi 1er juillet, l’ouragan Béryl balaie le sud-est des Antilles avec une force maximale. Il a fait au moins quatre morts, et d’importants dégâts matériels pour les habitants sur place.

juin 2024

Les associations mettent la pression sur la Chine, alors que la plupart des acteurs occidentaux se sont engagés à ne pas financer le projet.
Dans un contexte où l’urgence climatique se fait de plus en plus pressante, les méthodes traditionnelles de diplomatie semblent en décalage avec les besoins immédiats des pays en développement comme le Gabon. Dans le podcast écologique LIMIT, Laurent Testot, lauréat du prix de l’Académie française pour la promotion du respect de l’environnement, a souligné cette dissonance en déclarant : «Le temps long de la diplomatie n’est pas en phase avec le temps de l’urgence climatique». Adrien N’Koghe-Mba*revient, dans cette chronique, sur les conclusions décevantes de la réunion préparatoire de la COP29 à Bonn, en Allemagne, et appelle à des actions plus rapides et concertées pour affronter cette crise globale.
Le marché multiplie les controverses, mais constitue aussi l'une des rares sources de financement pour les pays du Sud.
Alors que le crise climatique atteint un niveau inégalé, les pays riches ont refusé d'avancer sur le sujet majeur des financements.
Les résultats des élections européennes ont eu des conséquences inattendues : la France se retrouve plongée dans une campagne électorale express après qu’Emmanuel Macron a décidé de dissoudre l’Assemblée nationale. Mais cette agitation ne doit pas faire oublier que la planète se réchauffe et que le climat se dérègle.
La COP16 Biodiversité devra faire le bilan de l'ambition collective. Mais à ce jour, très peu de pays ont mis à jour leurs plans biodiversité.
L’institut Copernicus annonce, ce mercredi 5 juin, que le mois de mai 2024 a été le mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre. Il s’agit du douzième mois consécutif pour lequel les records de températures mondiales sont battus.
Le futur président de la 29e conférence climatique des Nations unies en Azerbaïdjan a déclaré vendredi à l'AFP que son pays continuerait à augmenter sa production de gaz, "une énergie de transition", pour répondre à la demande internationale, "en parallèle" de ses investissements dans les énergies renouvelables.
Jancovici enterre l'accord de Paris par une simple démonstration
Le mois de mai 2024 a été le mois le plus chaud jamais enregistré au niveau mondial, avec une température moyenne de l'air en surface de 0,65°C au-dessus de la moyenne 1991-2020, a rapporté mercredi le Service Copernicus sur le changement climatique (C3S) dans un communiqué. Il s'agit, en l'occurrence, du 12e mois consécutif pour lequel la température moyenne mondiale a atteint une valeur record.
Abstract. Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) assessments are the trusted source of scientific evidence for climate negotiations taking place under the United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC). Evidence-based decision-making needs to be informed by up-to-date and timely information on key indicators of the state of the climate system and of the human influence on the global climate system. However, successive IPCC reports are published at intervals of 5–10 years, creating potential for an information gap between report cycles. We follow methods as close as possible to those used in the IPCC Sixth Assessment Report (AR6) Working Group One (WGI) report. We compile monitoring datasets to produce estimates for key climate indicators related to forcing of the climate system: emissions of greenhouse gases and short-lived climate forcers, greenhouse gas concentrations, radiative forcing, the Earth's energy imbalance, surface temperature changes, warming attributed to human activit
En l’état, les engagements des pays ne remplissent qu’à 70 % l’objectif qui vise à tripler les capacités d’énergie renouvelable dans le monde, un seuil fixé lors de la COP 28 de Dubaï, révèle un rapport de l’AIE ce mardi 4 juin.
L'humanité a fait de grands progrès dans la lutte contre le réchauffement de la planète, mais reste sur une trajectoire "désastreusement élevée" de hausse des températures, a déclaré le chef de l'ONU Climat en ouverture lundi à Bonn (Allemagne) de négociations préalables à la COP29. Sans les négociations menées sous l'égide de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CNUCC) depuis 1992, "nous serions condamnés à un scénario de réchauffement mondial allant jusqu'à 5 degrés, auquel la majorité de l'humanité ne survivrait sans doute pas", a affirmé Simon Stiell en lançant deux semaines de négociations techniques destinées à préparer la 29e COP, à Bakou (Azerbaïdjan), en novembre.
L'humanité a fait de grands progrès dans la lutte contre le réchauffement de la planète, mais reste sur une trajectoire "désastreusement élevée" de hausse des températures, a déclaré le chef de l'ONU Climat en ouverture lundi à Bonn (Allemagne) de négociations préalables à la COP29.
D'intenses pluies ont provoqué des inondations en Bavière, dans le sud de l'Allemagne. L'état d'urgence a été déclaré et plusieurs personnes ont dû être évacuées de leur habitation à l'aide de bateaux et d'un hélicoptère. L'état d'urgence a été déclaré samedi dans les arrondissements de Guntzbourg, Augsbourg, Aichach-Friedberg et Neu-Ulm. A Ausbourg, une digue et un barrage ont lâché. La situation est particulièrement tendue sur les cours d'eau Roth, Osterbach et Biber. Selon les autorités d'Ausbourg, le niveau d'eau pourrait encore fort augmenter au cours des prochaines heures. Elles s'attendent à un niveau d'inondation qui n'est censé être atteint qu'une fois par siècle.
Fabrice NICOLINO est journaliste d'investigation. Il est le créateur du mouvement « Nous voulons des coquelicots », et l'auteur de « Le grand sabotage climatique, révélations sur un système corrompu : ONU, multinationale, gouvernements » (Les liens qui libèrent) dans lequel il raconte une histoire de la pseudo-lutte contre le réchauffement climatique, bien différente du récit officiel. Dans cette interview par Olivier Berruyer pour Élucid, Fabrice Nicolino lève le voile sur l'hypocrisie des institutions qui prétendent agir pour climat, mais qui en réalité ne font qu'agiter de belles paroles, une novlangue qui rassure sans jamais ne permettre de prendre le problème à la racine. Ce système est en partie conduit par des individus complices des grands groupes industriels polluants. Aucun changement ne pourra advenir tant que ceux qui sont au pouvoir refuseront de remettre en cause l'ordre du monde.

mai 2024

Le géant pétrolier américain ConocoPhillips a annoncé mercredi vouloir racheter son concurrent Marathon Oil, valorisé à 22,5 milliards de dollars dont 5,4 milliards de dette nette, au moment où le secteur fait face à des pressions sur la sortie des énergies fossiles face au changement climatique.
La Cour européenne des droits de l’homme a estimé que « la radicalité de ses convictions politiques ne [suffisait] pas à matérialiser » un risque de débordement.
Le mois d’avril 2024 a été le onzième mois consécutif le plus chaud jamais enregistré, révèle le programme européen Copernicus. Il bat le précédent record établi en avril 2016.
Oubliez l’optimisme des leaders politiques qui répètent que le réchauffement planétaire peut encore être limité à un seuil viable. L’inaction climatique et l’influence du lobby des énergies fossiles nous ont placés irrémédiablement sur la trajectoire d’un dérèglement catastrophique pour l’avenir de l’humanité. Ce constat pour le moins inquiétant se dégage d’une enquête inédite du réputé quotidien britannique The Guardian, qui a sondé 380 auteurs et collaborateurs du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) qui ont contribué aux rapports produits depuis 2018. Ces rapports constituent l’assise scientifique des négociations climatiques mondiales. Les résultats obtenus auprès des spécialistes du climat indiquent que 77 % d’entre eux estiment que le réchauffement au cours du présent siècle dépassera les 2,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Ce réchauffement est nettement plus élevé que l’objectif convenu dans le cadre de l’Accord de Paris. En vertu de cette entente adoptée par l’
Sur les douze derniers mois, la température du globe a été en moyenne 1,61 degré plus élevée qu’à l’ère préindustrielle, dépassant la limite de 1,5 degré fixée par l’accord de Paris en 2015.
April was de elfde maand op rij met de warmste temperaturen die ooit zijn gemeten voor de tijd van het jaar. Dat meldt de Europese klimaatdienst Copernicus.

avril 2024

VN-klimaatbaas Simon Stiell hoopt dat de volgende klimaattoppen het met veel minder bezoekers kunnen stellen. De laatste top in Dubai was een recordeditie met bijna 84.000 deelnemers.
Le président azerbaïdjanais de la COP29 veut que le déblocage des milliards de dollars requis contre le réchauffement de la planète soit un "pilier" des négociations climatiques annuelles de l'ONU en novembre, a-t-il dit jeudi sans présenter encore de pistes concrètes d'avancées.
Le président azerbaïdjanais de la COP29 veut que le déblocage des milliards de dollars requis contre le réchauffement de la planète soit un "pilier" des négociations climatiques annuelles de l'ONU en novembre, a-t-il dit jeudi sans présenter encore de pistes concrètes.
Le Vieux Continent a subi de nombreux phénomènes météorologiques extrêmes en 2023. Conséquence directe, le nombre de jours de "stress thermique extrême", où la température ressentie a dépassé l'équivalent de 46° C, a augmenté, selon un rapport de Copernicus et de l'ONU publié lundi.
Inondations, chaleurs, incendies... De nombreux records climatiques ont été battus en 2023 en Europe, selon un bilan de Copernicus et de l’Organisation météorologique mondiale. L’inventaire, dévoilé par le climatologue Carlo Buontempo, est glaçant : « En 2023, l’Europe a affronté le plus grand incendie de forêt jamais enregistré, l’une des années les plus humides, des canicules marines extrêmes et des inondations dévastatrices généralisées. » Le 22 avril, une grande photographie de l’état du climat en (...)
Chaleur tourne. Les impacts du changement climatique se sont particulièrement fait ressentir en Europe lors de l’année la plus chaude jamais mesurée sur Terre, dévoilent l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et Copernicus, le service européen de surveillance de la planète.
Dès ce mardi 16 avril, des pluies diluviennes ont provoqué d’importantes inondations aux Emirats arabes unis et dans d’autres pays du Golfe.
La COP28 a eu lieu à Dubaï (Émirats arabes unis) du 30 novembre au 13 décembre 2023, se terminant avec un jour de retard sur le calendrier initial. Cette conférence de la Convention Cadre des Nations unies sur les Changements Climatiques a fait l’objet d’une attention particulière en raison notamment :
La Cour européenne des droits de l’homme vient de condamner l’État Suisse pour son inaction climatique. Elle donne raison à un groupe de dames âgées inquiètes de mourir lors de canicules de plus en plus nombreuses. "Une décision historique qui fait avancer les choses" nous explique Nadia Cornéjo, porte-parole de Greenpeace Belgique: "cela va résonner dans toutes les juridictions nationales et régionales d’Europe pour tous les contentieux climatiques où l’article 8 de la convention européenne des droits de l’homme sur le respect de la vie privée sera invoqué. Cela va pousser les juges à donner raison aux citoyens et aux ONG qui porteront plainte face à l’inaction de leur gouvernement en matière de climat".
Maart 2024 was de warmste maart-maand sinds het begin van de metingen. Daarmee houdt de golf van maandrecords aan. Sinds juni vorig jaar was elke maand warmer dan ooit gemeten, goed voor intussen 10 maandrecords op rij.
L’ONG Surfrider Foudation alerte lundi 8 avril sur la mauvaise qualité de l’eau du fleuve parisien, où doivent se tenir plusieurs courses olympiques. La mairie de Paris et la préfecture d’Ile-de-France affichent leur confiance.
Le ministère de la Transition écologique a dévoilé ce vendredi 5 avril plusieurs cartes des zones concernées par l’érosion du littoral, avec des projections à horizon 2028, 2050 et 2100.
Des élèves de plusieurs écoles situées dans le Tarn et de Haute-Garonne sont en grève ce jeudi 4 avril. Ils protestent contre l’implantation d’une usine d’enrobés à proximité de leurs villages destinée à l'A69.
Op donderdag 21 maart organiseerde het Internationaal Atoomenergieagentschap (IAEA) een conferentie bij het Atomium, symbool van de gouden jaren '50 van het atoom, ter versteviging van hun succesvolle lobbying op de klimaatconferentie COP28 in Dubai. Aviel Verbruggen herleidt hun discours tot zijn ware dimensie van platte leugens en fletse sprookjes en legt uit waarom het nog altijd over atoomenergie gaat, niet over kernenergie.

mars 2024

Connue pour sa résilience, cette fleur symbolise aussi la volonté de tout un pays de surmonter des années de conflit et d’inégalités, dans une région à la biodiversité particulièrement riche, lors de l’événement qui se tiendra à Cali en octobre 2024.
La revue scientifique «Nature» a publié ce mardi 26 mars une synthèse concernant les évolutions des régions viticoles à la lumière du changement climatique.
Il faut débloquer les moyens financiers nécessaires aux pays en développement pour qu'ils atteignent leurs objectifs de décarbonation avant de rehausser ces objectifs, a dit jeudi le président désigné de la COP29, l'Azerbaïdjanais Mukhtar Babayev."Le financement est un catalyseur essentiel de l'action climatique", a souligné M. Babayev, ministre de l'Ecologie et des Ressources naturelles de l'Azerbaïdjan qui accueillera la COP29 à Bakou fin 2024.
Il faut débloquer les moyens financiers nécessaires aux pays en développement pour qu'ils atteignent leurs objectifs de décarbonation avant de rehausser ces cibles, a dit jeudi le président désigné de la COP29, l'Azerbaïdjanais Mukhtar Babayev.
Copernicus vient de lancer son atlas interactif du climat, une carte du monde qui permet de consulter l'évolution du climat passé et futur, jusqu'en 2100. Découvrez les pays qui présentent l'évolution climatique la plus extrême pour le futur et parmi lesquels figurent la France.
Le président de la COP28, Sultan Al Jaber, a reçu mardi lors de la conférence sur l'énergie CERAWeek un prix célébrant son rôle dans l'accord qui appelle à "transitionner hors des énergies fossiles".Ministre de l'Industrie des Emirats arabes unis et directeur général de la compagnie énergétique nationale Adnoc, Sultan Al Jaber a été le premier patron à présider une COP, la conférence des Nations unies sur le climat.
Un père et ses deux enfants restent introuvables dans le Gard, tandis qu’un homme a disparu en Ardèche voisine. Ce lundi 11 mars, les secours se mobilisent pour les retrouver en même temps que la décrue se poursuit.
Un père et ses deux enfants restent introuvables dans le Gard, tandis qu’un homme a disparu en Ardèche voisine. Ce lundi 11 mars, les secours se mobilisent pour les retrouver en même temps que la décrue se poursuit.
Near-real time updates of key global climate variables from the the Copernicus Climate Change Service (C3S)
Jusqu’à présent, le site global-climat.com publiait les données journalières de température qui n’étaient pas facilement accessibles, à moins d’utiliser des logiciels dédiés pour extraire les données. Il fallait en outre coder en Python, un langage informatique, pour extraire des données plus détaillées sur l’historique. Mais bonne nouvelle, Copernicus a lancé un nouvel outil, et il est remarquable. Une page dédiée, « Climate Pulse », permet de visualiser les données journalières (anomalies, valeurs absolues) sous forme de graphique, de fichier CSV et de carte d’anomalies. Le lien vers cette page est le suivant : https://pulse.climate.copernicus.eu.

février 2024

L’année 2023 s'est terminée avec la COP28 à Dubaï, la conférence annuelle des Nations Unies sur le climat. L’un des enjeux clés de cette COP était la décision de sortir ou non de l’exploitation des énergies fossiles, une histoire qui se répète et qui se confronte aux intérêts américains.
"Écologie, développement local, performance financière, ça coche beaucoup de cases": Éric P., chef d'entreprise de 61 ans, a investi dans la ferme solaire de Marcoussis (Essonne) comme des centaines de copropriétaires locaux, aux côtés d'Engie et d'un syndicat intercommunal.
"L'élan politique peut s'estomper" et "il faut garder l'esprit de la COP28" en vie, a déclaré mardi son président Sultan Al Jaber, appelant à mobiliser non pas des milliards mais "des milliers de milliards" de dollars pour financer les promesses faites à Dubaï pour limiter le réchauffement climatique.
Près de trois mois après l'accord adopté à la COP28 pour tenter de limiter le réchauffement climatique, les pays participant doivent se concentrer sur le renforcement de leur plan de réduction des émissions et sur le financement de la transition, affirme à l'AFP le ministre danois du Climat Dan Jørgensen.
Les Emirats arabes unis, qui ont présidé la COP28, et leurs successeurs, l'Azerbaïdjan pour la COP29 et le Brésil pour la COP30, ont annoncé mardi avoir lancé un partenariat inédit pour "améliorer la coopération et la continuité" des négociations climatiques mondiales avec l'objectif de limiter le réchauffement à 1,5°C.
Cet outil, qui mesure la quantité de produits phytosanitaires épandus dans les champs, permet par ricochet de constater si le plan Ecophyto de réduction des pesticides suit correctement son cours. «Libé» fait le point.
Membres du comité de suivi du plan Ecophyto II +, 8 organisations condamnent le manque de considération de l'exécutif et la remise en cause de l’indicateur de mesure des pesticides dans les champs pour répondre à la colère des agriculteurs.
Des pays du monde entier se réunissent à partir de lundi et jusqu'au 17 février en Ouzbékistan pour se pencher sur le sort de ces espèces, qui incluent les tortues marines et les baleines. Albatros, tortues ou esturgeons... La situation d'espèces migratrices se détériore, alerte un rapport inédit publié lundi 12 février sous l'égide de l'ONU. Parmi les espèces répertoriées par la Convention de Bonn de 1979 sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage, qui publie le rapport, une sur cinq est menacée d'extinction et 44% voient leur population décroître. A titre d'exemple, 97% des 58 espèces de poissons répertoriées sont menacées d'extinction. Ce rapport est publié alors que les pays du monde entier signataires de la Convention de Bonn – plus de 130 nations mais pas les Etats-Unis ou la Chine – sont réunis pour une conférence (COP14) dans la cité historique de Samarcande en Ouzbékistan jusqu'au 17 février pour se pencher sur le sort de ces espèces migratrices.
Le mois de janvier 2024 a été le plus chaud jamais enregistré dans le monde et, pour la première fois, la barre de 1,5 °C de réchauffement par rapport à l’ère préindustrielle a été franchie sur 12 mois consécutifs, selon les données de l'observatoire européen Copernicus.
Une grand-messe du climat au milieu des champs de pétrole. Le choix de l'Azerbaïdjan pour accueillir la COP29 a fait rugir des militants environnementaux mais, selon des experts, il s'inscrit dans une stratégie bien huilée de Bakou pour changer son image de potentat autoritaire et pollueur.
Op de 28ste klimaattop beloofde voorzitter Al-Jaber in zijn toespraak na het klimaatakkoord vol trots “een betere toekomst voor de mensheid en de planeet”. Opvallend is dat hij hier mens en planeet apart benoemd. Deze scheiding tussen ‘natuur’ en ‘mens’ op COP28 is kenmerkend voor het antropocentrisme, een denkwijze waarin de mens centraal staat. Deze ideologie domineert niet alleen het taalgebruik van de klimaattop, maar ook dat van de media. In zijn boek ‘We Have Never Been Modern’ legt de bekende denker Bruno Latour, een socioloog, antropoloog en filosoof, uit wat de gevolgen zijn van deze loskoppeling: het geeft de mens de mogelijkheid om boven de natuur uit te stijgen, deze te beheersen en te manipuleren.

janvier 2024

L'accord scellé à la COP28 doit conduire le Royaume-Uni à accélérer dans la lutte contre le changement climatique, a exhorté l'organisme indépendant chargé de conseiller le gouvernement dans un rapport publié mardi, s'inquiétant des "messages contradictoires" envoyés par le gouvernement.Cet accord historique conclu il y a près d'un mois à Dubaï "a des implications pour les politiques nationales et internationales du Royaume-Uni", souligne la Commission sur le changement climatique.
Le texte final de la COP 28 mentionne pour la première fois l'objectif d'une sortie des énergies fossiles. Salué comme une avancée par certains, critiqué par d'autres, cet accord est-il aussi historique qu'insuffisant ?
Azerbeidzjan, gastland van de volgende VN-klimaattop, heeft verschillende topmannen van olie- en gasbedrijven en enkele controversiële regeringsfiguren benoemd in het comité dat de top moet organiseren. Ook opvallend: er is geen enkele vrouw bij.
Le monde a installé l’an dernier 50% de capacités électriques renouvelables en plus par rapport à 2022, selon un rapport publié ce jeudi par l’Agence internationale de l’énergie.
À Dubaï, siège de la dernière « Cop » (Conference of parties), le lobby des énergies fossiles se trouvait en position confortable. Pas moins de 2.456 participants à l'événement entretenaient des liens avec le secteur du gaz et du pétrole. Tout indique qu'il en sera de même pour la suivante. La Cop 28 avait été organisé par Sultan al-Jaber, président de la principale compagnie pétrolière des Émirats arabes unis. La Cop 29 le sera par Mukhtar Babayev, qui cumule seize années de direction à SOCAR, le géant pétro-gazier d'Azerbaïdjan. L'omniprésence des intérêts fossiles aux dernières « Cop » fait ressortir le souvenir des premiers « sommets de la Terre », convoqués avec une certaine nostalgie. Pourtant, dès la conférence de Stockholm (1972), le secteur de l'or est présent. Il bénéficie d'un allié de taille : Maurice Strong, pétrolier et sous-secrétaire général de l'ONU. Naviguant entre le Club de Rome et les énergies fossiles, il allait avoir une influence considérable dans la configuration des sommets à
Les températures records de 2023 obligent les «warming stripes», ces rayures colorées utilisées pour représenter les températures moyennes enregistrées sur une année, à être révisées.
2023 a bien été l’année la plus chaude au niveau mondial. 'Une année exceptionnelle où les records climatiques sont...
L'année "2023 est l'année la plus chaude jamais enregistrée", confirme le programme Copernicus dans une étude publiée ce mardi.
Alors que les conférences des Nations unies sur le climat négocient une baisse de l’extraction des énergies fossiles pour limiter le réchauffement de la planète, Bakou prévoit de passer de 37 milliards de m³ de gaz en 2024 à 49 milliards de m³ en 2033.
L’année 2023 a été la plus chaude jamais mesurée. Si 2024 ne bat pas ce record, elle n’en sera pas loin. Pendant ce temps, les sommets mondiaux sur le climat – les COP – avancent trop lentement. Ce serait pourtant tout bénéfice si on accélérait, juge la climatologue française Valérie Masson-Delmotte.
L'or noir est à la fois l'unique ressource à exporter et l'unique source de revenu pour financer le budget de l'État.
On connaît désormais le nom du prochain président de la COP29, qui se tiendra à Bakou, en Azerbaïdjan, du 11 au 22 novembre 2024. Il s'agit de Mukhtar Babayev, actuel ministre de l'Environnement et des ressources naturelles azerbaïdjanais. À l'instar de Sultan Al Jaber, président émirati de la COP28, il vient lui aussi du secteur des énergies fossiles puisqu’il a passé 26 ans au sein de la société pétrolière et gazière publique d’État, Socar.
Pour la seconde année consécutive, un homme du pétrole présidera la conférence de l'ONU sur le climat, l'Azerbaïdjan ayant nommé son ministre de l'Ecologie et des Ressources naturelles Mukhtar Babayev, ancien de la compagnie pétrolière Socar, comme président de la COP29 qui se tiendra en novembre à Bakou.
Aujourd’hui ministre de l’Ecologie et des Ressources naturelles, Mukhtar Babayev a travaillé pendant plus de quinze ans dans la compagnie nationale pétrolière et gazière du pays.
La réutilisation des eaux dites «impropres à la consommation» pour certains usages domestiques, prévue dans le cadre du plan eau, est en consultation jusqu’à fin janvier. Il pourrait s’appliquer dès le 1er juillet 2024.

décembre 2023

L'année 2023 a été marquée par de sombres records côté climat et biodiversité. Sans renier ces mauvaises nouvelles, «Libération» revient sur six nouvelles environnementales enthousiasmantes.
Les deux climatologues estiment, dans une tribune au « Monde », que nous sommes encore très loin du « plan d’action solide » annoncé par le président de la Conférence des parties pour maintenir « à portée de main » l’objectif de l’accord de Paris.
On peut s’interroger au vu des résultats à quoi ont servi ces 28 manifestations. Souvenons-nous, la COP21 à Paris fut une vaste tromperie, on promettait le nirvana avec un accord non contraignant de décroître de 2 milliards de tonnes de CO2 par an passant de 30 à 16 milliards de tonnes. Résultat : nous sommes à plus de 40 milliards de tonnes. On en vient au désespoir à moins de faire de l’errance climatique une cause mondiale par la création d’un conseil de sécurité de la Terre qui aura à édicter des injonctions contraignantes avec la nécessité de payer pour la pollution causée. Peut-être qu’on y arrivera si ce n’est pas trop tard à la COP 40 avec une prise de conscience.
La COP28 à Dubaï vient de se terminer et il est temps de faire les comptes. Comme chaque année, la présidence de la COP a annoncé un accord “historique”. Bon, comme pour un horoscope chacun pourra interpréter ce qu’il veut dans l’accord final et ça, on va le creuser après mais juste une chose avant et de démarrer… Si Total énergies estime que cet accord conforte sa stratégie d’augmenter la production de Pétrole et Gaz de 2 à 3% par an à 2027… ça sent pas bon. Bref, on va parler de la sortie des énergies fossiles, les histoires de pertes et préjudices, de finance climatique et faire un petit peu d’anglais...
Il est bien difficile de juger des résultats de la COP28, qui s’est réunie, début décembre, à Dubaï. Les uns retiennent les engagements marquants et concrets comme le triplement des capacités renouvelables, d’ici à 2030, ou l’engagement d’un certain nombre de compagnies pétrolières à éliminer les fuites de méthane. Les autres relèvent les précautions de langage qui réduisent la portée de l’engagement à sortir graduellement des énergies fossiles, ou l’incapacité des pays du Nord à contribuer significativement à la décarbonation du Sud.
Quelle différence entre l'empreinte carbone et la comptabilité carbone du GIEC ? La comptabilité carbone du GIEC ne prend pas en compte les émissions importées. (émissions de consommation.) Quels arguments permettent d'affirmer que l'UE doit être neutre en carbone en 2033 ? Pour respecter les accords de Paris, on nous annonce qu'il faut être neutre en carbone en 2050, mais les émissions passées n'ont pas été prise en compte. Si on les prend en compte, il faut alors être neutre en 2033. Pourquoi le changement de comportement ne fait pas partie de la sobriété selon Saheb ? Car le changement de comportement ne se produit que grâce aux normes sociales que les politiques inventent. Si vous n'avez pas de politique de sobriété, vous n'aurez pas de normes sociales, et donc vous n'aurez pas de changement de comportement.
La COP28 récemment réunie à Dubaï a fait l’objet d’amples débats autour de la nécessité d’engagements des États de sortir des fossiles, en plus du respect des engagements de réduction des émissions de carbone pris après l’accord de Paris de 2015. Les militants du climat proposent de mettre en place des mécanismes contraignants ciblant les exploitations de charbon, de pétrole et de gaz dans tous les pays disposant de ressources, sans tenir compte des responsables des émissions directes de CO2 que sont les consommateurs de fossiles.
Une toux de longue durée, persistante ? Une pneumonie qui résiste à un antibiotique classique ? Vous êtes peut-être...
La COP 28 a récemment suscité l'inquiétude, mais a tout de même débouché sur un accord historique, malgré certaines zones d'ombre.
Historisch of een gemiste kans? MO*journalist John Vandaele fileert het slotakkoord van de COP28 in Dubai. Hij stelt vast dat veel zal afhangen van wat met het akkoord zal gebeuren en van de strijd die op allerlei manieren en niveaus wordt gevoerd.
C’est un accord historique ! Voilà ce que l’on a pu lire ou entendre à la fin de la COP28 à Dubaï, reprenant ainsi les mots de son président Sultan Al-Jaber. Pourtant, comme souvent, la réalité est plus complexe. Il y a bien quelque chose d’inédit puisque c’est la toute première fois en 30 ans que le texte final d’une conférence internationale sur le climat appelle à une transition hors des énergies fossiles. Et c’est un signal très fort. Mais l’accord ne parle pas de sortie des énergies fossiles, le fameux “phase out”, demandé en vain par les activistes et une centaine d’États jusqu’aux dernières heures des négociations. Selon l’avis de nombreuses ONGs et scientifiques, l’accord est encourageant mais reste bien en dessous de ce qu’il faudrait pour préserver l’habitabilité de notre planète. Il présente de nombreuses limites, notamment le manque de moyens accordés aux pays les plus vulnérables pour faire face aux effets du dérèglement climatique et opérer leur transition mais aussi des paris technologiques ris
Il faut arrêter d’accepter l’hypocrisie et le cynisme, une fois de plus des invités de marque à la table de la COP28. Certes, les grands prédateurs de la vie de la Terre peuvent fêter les conclusions qu’ils ont imposées au monde et qui vont tout droit dans la direction de leurs intérêts et priorités. Mais que penser des centaines de millions d’asiatiques du Sud, d’africains subsahariens, de moyen-orientaux, en particulier, victimes des grandes inondations et des grandes sécheresses dont la responsabilité primaire revient aux plus grands et riches producteurs d’énergies fossiles ?
La conférence des Nations unies sur le climat de Dubaï a été décrite comme la COP qui marque le début de la fin pour les énergies fossiles. Ces combustibles sont responsables d’environ 80 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
Alors que la bataille fait rage pour savoir si oui ou non la COP28 a été un succès et s’il est justifié de parler d’un accord "historique", il suffit peut-être de se tourner vers les pétroliers pour trouver la réponse. Sultan al Jaber, le président du sommet, à la tête de la compagnie pétrolière nationale Adnoc, a affirmé dans un entretien au Guardian publié vendredi 15 décembre qu’il continuerait à investir dans les hydrocarbures malgré l’accord trouvé à Dubaï.
Un accord mentionnant la « transition hors des énergies fossiles » a été adopté à la COP28. Mais il n’inquiète guère les producteurs de pétrole, dont l’activité ne va pas être affectée à court terme.
Désormais "la direction est claire": à la COP28 le monde a dit "adieu aux énergies fossiles", s'est félicité vendredi le patron de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), pour qui chacun peut désormais demander des comptes à son gouvernement ou aux industries pétro-gazières quant à leurs politiques énergétiques.Dans un entretien à l'AFP, Fatih Birol voit cependant un grand oubli dans la réunion de Dubaï: le financement de la transition énergétique des pays du Sud, clé de la lutte contre le réchauffement climatique mondial.Q: Comment accueillez-vous cet accord ?
La conférence sur le climat vient de se terminer à Dubaï sur un accord historique qui devrait marquer “le début de la fin” des énergies fossiles. Pourtant, le président de la COP28, Sultan Al Jaber, a affirmé poursuivre son investissement dans le pétrole.
Les occasions de se réjouir sont rares. Alors, ne boudons pas celle-ci. Hier, après deux semaines de réunions et une dernière nuit d’intenses négociations, près de 200 pays se sont mis d’accord sur un texte appelant à “transitionner hors des énergies fossiles”. C’est la toute première fois, dans le cadre du processus des Nations unies sur les changements climatiques, que les États reconnaissent collectivement la nécessité de renoncer au pétrole, au gaz et au charbon, dont la combustion représente l’une des principales sources d’émissions de gaz à effet de serre.
Malgré les cris de triomphe qu’aura provoqué la publication de sa déclaration finale, la COP 28, qui vient de s’achever, n’aura rien décidé de sérieux. Les 200 délégations, réunies autour de 100 000 participants, n’auront réussi à s’entendre que : 1/ Sur la création d’un petit fond pour compenser une toute petite partie des dommages bientôt causés par les désastres climatiques ; 2/ Sur le déploiement, déjà décidé par ailleurs, et encore très insuffisant, d’énergies renouvelables ; 3/ Sur la mention timide de l’énergie nucléaire comme une partie des solutions ; et, 4/ Sur la nécessité théorique de se diriger vers l’élimination progressive de l’usage des énergies fossiles. On considère ainsi comme un grand triomphe une prise de conscience qui aurait dû avoir lieu il y a 40 ans au moins.
John Kerry a attendu la fin de la COP28, mercredi, pour le dire : l'émissaire américain a bien cru, dans les dernières 48 heures, que la conférence de Dubaï se dirigeait vers un fiasco.La raison ? Il n'a pas nommé de pays mais on devine dans son récit les contours de l'Arabie saoudite, du Koweït et, plus généralement, des Etats pétroliers du groupe arabe.
A rebours de l'ovation suscitée à Dubaï, l'accord de compromis auquel est parvenue la COP28 reçoit un accueil très réservé dans certains pays d'Asie et d'Océanie parmi les plus vulnérables au changement climatique.L'accord, adopté mercredi par consensus et qualifié d'"étape historique" par le président américain Joe Biden, ouvre la voie à l'abandon progressif des combustibles fossiles, principaux responsables du réchauffement.
En s’accordant sur une "transition hors des énergies fossiles" dont les contours manquent de clarté (cette transition étant ni contraignante, ni chiffrée), la COP28 rajoute du flou dans un marché déjà peu lisible. L’OPEP, le cartel du pétrole, a en effet annoncé début décembre une baisse volontaire de ses extractions pour soutenir les prix du baril et maximaliser les rentrées financières de ses membres. A l’opposé de cette stratégie, les extracteurs de schiste américains produisent à des niveaux records pour donner confiance à leurs investisseurs.
In deze rubriek brengt veellezer Marc Vandepitte markante feiten, cijfers of quotes van over heel de wereld die in de andere media weinig of geen aandacht kregen, maar zeker het vermelden waard zijn om de chaotische wereld van vandaag te begrijpen. Deze keer richt hij zijn blik op de klimaattop in de Verenigde Arabische Emiraten en de blijvende uitdagingen ten aanzien van de klimaatopwarming.
Op een cruciaal moment voor mondiale klimaatactie stemden de landen die de klimaattop van de Verenigde Naties (COP28) bijwoonden in met een geleidelijke afschaffing van fossiele brandstoffen, maar ze beloofden niet om deze volledig te verwijderen. Landen misten ook de kans om zich ertoe te verbinden klimaat- en natuurrampen parallel aan te pakken.
Les pays du monde entier se réunissent mercredi à Dubaï à la COP28 pour débattre et éventuellement approuver un compromis qualifié d'historique par des Européens pour son appel inédit à abandonner progressivement les énergies fossiles.
Tôt ce mercredi 12 décembre, la présidence émiratie a livré une nouvelle proposition de texte moins catastrophique que la précédente mais toujours problématique sur les technologies de capture de C02.
Vous êtes en terminale ou en première spécialité histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques (HGGSP) ? La Lettre de l’éduc est pour vous. Chaque semaine, Benjamin Daubeuf, professeur agrégé d’histoire-géographie, vous conseille la lecture d’un article d’actualité qui résonne particulièrement avec votre programme. Cette semaine, analyse de la position délicate du pays hôte du sommet sur le climat et de ses voisins, dont l’économie repose sur l’exportation d’hydrocarbures.
La présidence émiratie de la COP28 a présenté mercredi un nouveau projet d'accord qui devra être approuvé par près de 200 pays par consensus. Le texte appelle à "transitionner hors des énergies fossiles", "en accélérant l'action dans cette décennie cruciale" dans le but d'atteindre la neutralité carbone en 2050. Cependant, il ne parle plus de "sortie" du pétrole, du gaz et du charbon, comme le réclamaient plus d'une centaine de pays.
Les pays du monde entier ont approuvé mercredi par consensus à la COP28 à Dubaï une décision appelant à une "transition" vers l'abandon des énergies fossiles, pour la première fois dans l'histoire des conférences sur le climat de l'ONU. Dès l'ouverture de la séance plénière de clôture, les délégués ont adopté la décision préparée par les Émirats arabes unis, déclenchant une ovation debout et un tonnerre d'applaudissements des délégués. Il s'agit d'une décision "historique pour accélérer l'action climatique", a déclaré Sultan Al Jaber, président de la conférence de l'ONU et patron de la compagnie pétrolière émiratie, Adnoc.
Après une nuit de prolongation, les pays du monde entier ont approuvé à la COP28 de Dubaï un compromis qualifié d'historique pour son appel inédit à abandonner progressivement les énergies fossiles, principales responsables du réchauffement climatique.Le texte issu de douloureuses négociations a été adopté par consensus à Dubaï, aucune voix ne s'élevant parmi les quelque 200 nations représentées en séance plénière avant le coup de maillet entérinant son adoption.
New path to transition away from fossil fuels marred by lack of finance and loopholes COP28 in Dubai sends an important signal on the end of fossil fuels but leaves more questions than answers on how to ensure a fair and funded transition that is based on science and equity
Voici les réactions à l'adoption mercredi à la COP28 de Dubaï d'un accord de compromis global appelant notamment pour la première fois à abandonner progressivement les énergies fossiles, principales responsables du réchauffement climatique.L'accord a été salué par la présidence émiratie de la conférence, les Etats-Unis, l'Union européenne, la France et les Pays-Bas, les pays arabes et dans une moindre mesure l'Australie.L'ONU et les Samoa, qui s'exprimait au nom des petites îles, ont été plus mesurées, appelant à aller plus loin dans la transition énergétique.
Le fier président de la COP28 n'avait plus de temps à perdre: après deux nuits d'ultimes négociations éreintantes, il n'a fallu que cinq minutes à Sultan Al Jaber pour adopter d'un coup de maillet nerveux un accord historique sur l'abandon progressif des énergies fossiles, malgré la déception des Etats insulaires.
Après une nuit de prolongation, les pays du monde entier ont approuvé mercredi à la COP28 de Dubaï un compromis qualifié d'historique pour son appel inédit à abandonner progressivement les énergies fossiles, principales responsables du réchauffement climatique.
Après deux semaines de pourparlers et une dernière nuit d’intenses négociations, les délégations de tous les pays du monde réunies à Dubaï se sont mises d’accord mercredi 13 décembre sur un texte appelant à “transitionner hors des énergies fossiles”. Une première.
Après les longues heures de négociations, place au casse-tête lié à la traduction de cette formulation clé de l’accord final.
Pour la première fois, les pays du monde entier ont approuvé mercredi lors de la 28e conférence sur climat de l'ONU à Dubaï un compromis historique ouvrant la voie à l'abandon progressif des énergies fossiles causant le réchauffement, malgré les nombreuses concessions faites aux pays riches en pétrole et en gaz.
Un accord a finalement été trouvé ce mercredi 13 décembre à la COP28 de Dubaï. Celui-ci vise à "abandonner progressivement les énergies fossiles", une première dans l'histoire des COP. Reste de nombreuses failles qu'il faudra combler.
La COP28 a évité l’échec, au terme d’une nuit blanche de négociation. L’accord mentionne la « transition hors des énergies fossiles ». Mais sans date ni obligation.
COP de fin. À Dubaï, pour la première fois de l’histoire, un texte de conférence mondiale sur le climat pointe clairement du doigt les énergies fossiles. Mais en laissant la porte ouverte à des technologies hasardeuses et faute de financements suffisants pour les pays du Sud, la COP28 aura encore ménagé les principaux contributeurs à la crise climatique : les pays occidentaux et leurs fournisseurs de charbon, de gaz et de pétrole.
Après trois décennies de tergiversations autour de la cause principale du réchauffement climatique, les négociations de l'ONU sur le climat, réunis à la COP28 de Dubaï, ont appelé le monde à "effectuer une transition hors" (transitioning away en anglais) des énergies fossiles.
La COP28 à Dubaï vient de se terminer et c’est l’heure du bilan. La présidence de la COP a annoncé un accord historique, mentionnant les énergies fossiles. La presse française s’est immédiatement emparée de la nouvelle en en faisant un gros titre, reprenant mot pour mot la communication de la présidence de la COP28. Mais le diable se cache dans les détails. Et ici, il y a beaucoup de détails. S’il est facile de déclarer “que les COP ne servent à rien”, la réalité est bien plus complexe et d’innombrables sujets y sont abordés, sujets qui n’avanceraient jamais autant sans ces COP. Où en sommes-nous depuis la COP27 ? Avons-nous encore une chance de maintenir un réchauffement mondial à +1.5°C depuis le début de l’ère industrielle ?
Le groupe pétro-gazier TotalEnergies a salué mercredi l'accord trouvé à Dubaï à la COP28 qui trace la voie de l'abandon progressif des énergies fossiles, estimant qu'il conforte sa "stratégie de transition", a commenté le groupe auprès de l'AFP."TotalEnergies salue l'accord trouvé à Dubaï qui appelle à la +transition dans les systèmes énergétiques+ d'une manière +juste, ordonnée et équitable+", a indiqué le groupe en reprenant les termes pesés du texte de 21 pages approuvé mercredi par consensus.
Le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele a réagi après l'adoption de l'accord final de la Cop 28.
Près de 200 pays sont parvenus à un consensus, mercredi, à la COP28, sur un texte final qui appelle à une "transition hors des énergies fossiles" pour lutter contre le réchauffement climatique. Un accord immédiatement salué par la communauté internationale, malgré "des lacunes".
Les pays du monde entier ont approuvé, ce mercredi 13 décembre lors de la COP28 de Dubaï, un accord mentionnant une «transition hors des énergies fossiles». Mais l’analyse du texte est très hétérogène en fonction des pays.
En première ligne contre le changement climatique, les représentants des îles pays n’étaient pas présentes lors de l’adoption du texte final voté au sommet onusien, qu’ils jugent insuffisant.
Suffisamment ambigu pour satisfaire tout le monde, l’accord adopté mercredi à Dubaï sur la «transition hors des énergies fossiles» est le résultat de la diplomatie hors pair du président émirati de la COP 28. En réalité, tout reste à faire.
La Russie, l'un des plus gros producteurs de gaz et de pétrole, a appelé mercredi à éviter une sortie "chaotique" des énergies fossiles, tout en saluant la nature de "compromis" de l'accord adopté à la COP28 de Dubaï."Nous avons, à chaque occasion, souligné les conséquences d'une sortie chaotique, et sans le soutien de la science, du charbon, du pétrole et du gaz", a déclaré le chef de la délégation russe, Rouslan Edelgueriev, cité par l'agence de presse TASS.
« Accord historique ». C'est ainsi qu'est présenté le texte de décision de la COP28 validé ce mercredi 13 décembre, reprenant le qualificatif de la Présidence émiratie de la COP sans recul et distance critique. Si l'appel à une « transition hors des énergies fossiles » est évidemment un résultat positif, il comporte de nombreuses faiblesses qui en limite la portée. Explications.
Après près de trois décennies de tergiversations autour de la cause principale du réchauffement climatique, les négociations de l'ONU sur le climat, à la COP28 de Dubaï, ont appelé le monde à "effectuer une transition hors" (transitioning away en anglais) des énergies fossiles.
Voici les réactions à l'adoption mercredi à la COP28 de Dubaï d'un accord de compromis global appelant pour la première fois à abandonner progressivement les énergies fossiles, les principales responsables du réchauffement climatique.L'accord a été salué par la présidence émiratie de la conférence, les Etats-Unis, l'Union européenne, la France, la Russie, l'Espagne, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, les pays arabes, l'Afrique du Sud et dans une moindre mesure l'Australie.
Clément Sénéchal, expert des enjeux climatiques et ancien porte-parole chez Greenpeace, fustige le manque d’ambition des résultats de l’accord de la COP 28 à Dubaï.
Bijna tweehonderd landen hebben woensdagochtend na nachtelijke vergaderingen de slottekst van de VN-klimaattop in Dubai goedgekeurd, zonder harde belofte over de uitfasering van olie, aardgas en steenkool. De reacties die we sprokkelden bij delegatieleden lopen uiteen: van 'historische koersverandering' tot 'ronduit teleurstellend'.
Après une nuit blanche et quelques heures de prolongation, les Parties sont finalement parvenues à un accord de compromis à Dubaï. Le texte d'accord prévoit une transition hors des énergies fossiles pour atteindre la neutralité carbone en 2050.
Que retenir de la COP28 ? Outre l'appel à abandonner les énergies fossiles, le sommet de Dubaï a permis d'avancer sur les pertes et dommages, la prise en compte de l'agriculture ou encore les énergies renouvelables. Il a en revanche échoué à avancer sur les financements, l'adaptation ou encore les marchés carbone.
Le système alimentaire mondial est l'un des secteurs les plus fragilisés par les effets du dérèglement climatique, tout en étant l'un des responsables. Face à ce constat, l'Organisation des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO) a dévoilé dimanche une feuille de route pour concilier éradication de la faim dans le monde et objectifs climatiques. Un document inédit alors que le sujet est souvent laissé de côté à la table des négociations.
La COP28, censée se terminer mardi, semble bien partie pour jouer les prolongations alors qu'un compromis sur les énergies fossiles est encore loin de se dégager à Dubaï. Le dernier projet d'accord mis sur la table est jugé par beaucoup trop faible pour répondre à la crise climatique.
La COP28, dont la clôture était prévue pour mardi, semble prolonger ses débats alors qu’un consensus sur les énergies fossiles demeure hors de portée à Dubaï. Le dernier projet d’accord présenté est largement critiqué pour son manque d’ambition face à la crise climatique, suscitant des désaccords entre les pays pétroliers, dirigés par l’Arabie saoudite, et des nations telles que les États européens, les États-Unis, et les îles du Pacifique.
La COP28, censée se terminer mardi, semble bien partie pour jouer les prolongations alors qu'un compromis sur les énergies fossiles est encore loin de se dégager à Dubaï, le dernier projet d'accord mis sur la table étant jugé par beaucoup trop faible pour répondre à la crise climatique.
Les négociations de la COP28 se sont poursuivies tard dans la nuit de mardi autour du compromis proposé par le président émirati, très largement rejeté par les pays pour son manque d'ambition sur la sortie des énergies fossiles.Aux premières heures du dernier jour théorique de la 28e climatique Conférence des Nations unies à Dubaï, les pays occidentaux, des Etats insulaires ainsi que des pays africains et latino-américains ont réitéré leur opposition au texte lors d'une réunion à huis clos, selon des négociateurs joints par l'AFP.
La centaine de pays en faveur d'une sortie des énergies fossiles, dont ceux de l'Union européenne et de nombreux pays insulaires, négocient à Dubaï, au dernier jour de la COP28, pour arracher un accord face à l'opposition de l'Opep et de l'Arabie saoudite, mais rien n'indique que les Emirats trouveront un compromis mardi.L'heure limite de 07H00 GMT fixée la semaine dernière par le président de la COP28, Sultan Al Jaber, est passée sans accord, comme de nombreux négociateurs le prévoyaient.
Des responsables arabes ont critiqué mardi avec force la proposition de sortie progressive des énergies fossiles discutée à la COP28, lors d'une conférence sur la coopération régionale dans le domaine du pétrole à Doha.Au dernier jour théorique de la 28e conférence de l'ONU sur le climat à Dubaï, un bras de fer est engagé entre pays partisans de la sortie des énergies fossiles, dont ceux de l'Union européenne (UE), et le bloc mené par l'Arabie saoudite qui s'y oppose.
À 12 ans, la jeune indienne Licypriya Kangujam est montée sur scène lors d’une cession de négociations des Nations unies pour demander la sortie des énergies fossiles, alors que l’accord préliminaire de la Cop 28 ne le stipule pas à ce stade.
Le projet de texte proposé par la présidence émiratie de la COP28 ne parle pas de la fin des énergies fossiles. Il est rejeté par les Européens, les ONG, et les États menacés par la montée des eaux.
Quelle sera la bonne formule permettant un accord sur les énergies fossiles? Au dernier jour prévu de la COP28 à Dubaï, les négociateurs défendent mardi leurs "lignes rouges" mais signalent aussi les compromis qu'ils sont prêts à faire pour éviter un échec.L'heure limite de 07H00 GMT fixée la semaine dernière par le président émirati de la COP28, Sultan Al Jaber, est passée sans accord, comme de nombreux négociateurs le craignaient.
Les négociateurs de la COP28 à Dubaï ont passé des nuits blanches en quête d'un improbable consensus sur les énergies fossiles. Mais il n'y a même pas consensus sur ce que signifie précisément le consensus selon les règles de l'ONU Climat. Le texte central de la COP28 devra être adopté par les 195 signataires de l'accord de Paris (194 pays et l'Union européenne) par consensus, mais il n'y aura pas de vote, et le concept est vague juridiquement, et différent de l'unanimité. En théorie, un seul pays peut objecter à l'adoption de l'accord final.
Malgré la multiplication des sommets internationaux sur le climat, comme la COP28 en cours à Dubaï, la concentration en gaz à effet de serre dans l’atmosphère continue d’augmenter. Sans pour autant que cela atteste de leur totale inutilité.
Les tractations de la COP28 se poursuivent de nuit mardi à Dubaï dans l'attente d'un nouveau projet d'accord par la présidence émiratie, désireuse de parvenir à un consensus inédit sur les énergies fossiles dont l'Arabie saoudite et ses alliés exportateurs de pétrole refusent d'acter la sortie.Depuis 24 heures, le président émirati de la COP28, Sultan Al Jaber, s'évertue à sauver une COP qu'il avait annoncée comme "historique" et capable de sauver l'accord de Paris sur le climat et son objectif de limiter l'élévation de la température mondiale à 1,5°C.
La nuit est tombée mardi à Dubaï avec l'attente d'un nouveau projet d'accord par la présidence émiratie, désireuse de parvenir à un consensus sur les énergies fossiles, défendues ardemment par l'Arabie saoudite et ses alliés exportateurs de pétrole.Selon une source proche de la présidence de la COP28, un nouveau texte pourrait être publié dès mardi soir. Mais les délégués des pays restent très prudents tant que l'ONU n'aura pas publié officiellement de nouveau texte, les négociations continuant de nuit à Dubaï.
Les tractations de la COP28 se poursuivent de nuit mercredi à Dubaï dans l'attente d'un nouveau projet d'accord par la présidence émiratie, désireuse de parvenir à un consensus inédit sur les énergies fossiles dont l'Arabie saoudite et ses alliés exportateurs de pétrole refusent d'acter la sortie.
Dans la dernière ligne droite des négociations au sommet climat de l’ONU, les pays du Golfe ainsi que le groupe africain, défenseurs des énergies fossiles, se sont montrés inflexibles. L’espoir d’arracher un compromis sur la sortie du gaz,
Journalisten Amy Goodman en Dennis Moynihan van de alternatieve VS-zender Democracy Now! stellen op de klimaatconferentie COP28 in Dubai een enorme aanwezigheid vast van lobbyisten voor de fossiele energiebedrijven. Hun aanpak van de klimaatverandering is er op gericht ze nog erger te maken.
Fossiele energiebedrijven sponsoren de klimaatconferentie COP28 in oliestaat Dubai. Ze doen nog meer onbaatzuchtige dingen voor het klimaat, zoals een oorlog uitlokken. Voor de Venezolanen die op 3 december 2023 stemden in een referendum over de betwiste regio Essequibo gaat dit niet om een conflict met buurland Guyana maar over een conflict dat ExxonMobil uitlokt tegen de bevolking van Venezuela én Guyana.
Vanop de klimaattop COP28 vraagt VN-jongerenvertegenwoordiger Simon Sterck zich af wat de Leuvense student kan doen tegen de klimaatcrisis. 'Nee, dit is niet de zoveelste "beperk je individuele voetafdruk met deze 5 tips"-tekst.'
Le chef de l'ONU Climat a appelé lundi les pays réunis à la COP28 à lever "les blocages tactiques inutiles" dans la dernière ligne droite des négociations à Dubaï, alors que l'Arabie saoudite semble de plus en plus isolée et que la Chine apparaît comme la clé de voûte d'un éventuel accord sur les énergies fossiles.Les métaphores sportives sont de mise lundi à Dubaï alors que la COP28 est censée se terminer mardi et que la dernière nuit a été courte pour tout le monde.
Dans le cadre des négociations de l'ONU sur le climat, les Etats-Unis appellent à l'élimination progressive des combustibles fossiles, mais leur statut de première puissance pétrolière mondiale remet en question leur crédibilité.Souvent considérés par les écologistes comme des mauvais élèves, en particulier sous les présidents républicains, les Etats-Unis ont surpris en soutenant les appels à mettre fin à l'extraction du pétrole, du gaz et du charbon, l'Arabie saoudite, grand exportateur de pétrole, s'opposant avec virulence à cette démarche.
Une dynamique inédite pour la fin des énergies fossiles anime la 28e conférence climatique des Nations unies à Dubaï, malgré l'hostilité de l'Arabie saoudite, de plus en plus isolée, et le flou qui entoure les termes d'un possible compromis à 24 heures de la fin. Un nouveau projet d'accord est attendu lundi matin, avant-dernier jour de la conférence. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a appelé pour sa part les négociateurs à assurer la sortie de "toutes les énergies fossiles".
Les jeunes Belges francophones se sentent en "déconnexion" avec la sphère politique, selon le mémorandum "Être jeune en 2023", publié lundi par le Forum des jeunes et recensant les témoignages de plus de 1.000 personnes âgées de 16 à 30 ans, en Fédération Wallonie-Bruxelles.
À la COP28, les dirigeants débattent d'un avenir ‘zéro carbone’. Mais ils redoutent que les électeurs, empêtrés dans une conjoncture économique morose, n’y adhèrent pas. Et pourtant, ils pourraient rallier les citoyens vulnérables à leur cause et atteindre les objectifs climatiques, s'ils prenaient le temps de les écouter.
Le président émirati de la 28e conférence de l'ONU sur le climat a proposé lundi un projet d'accord en vue de la réduction de la place des énergies fossiles dans le monde, immédiatement rejeté par les pays qui attendent un appel clair à la "sortie" du pétrole, du gaz et du charbon responsables du réchauffement planétaire. "Nous avons fait des progrès mais nous avons encore beaucoup à faire", a admis Sultan Al Jaber, reconnaissant implicitement que le texte serait encore amendé dans les prochaines heures, avant la fin supposée de la COP28 mardi.
Malgré les appels de l’ONU, le compromis proposé lundi par la présidence émiratie ne mentionne que « la réduction de la consommation et de la production des énergies fossiles », au grand dam de nombreux défenseurs du climat.
De mauvaises conditions météorologiques ont entraîné le 2 décembre la chute d’une citerne de 28 000 litres d’acide sulfurique d’un cargo. Pour Mireille Pujo-Pay, océanographe, la toxicité qui pourrait découler de cet incident reste mineure.
La liste rouge mondiale des espèces menacées mise à jour lundi met en lumière les conséquences du réchauffement...
Le président émirati de la 28e conférence de l'ONU sur le climat a proposé lundi un projet d'accord qui laisse toute latitude aux pays pour choisir leur manière de réduire la pollution des énergies fossiles, sans objectif commun de sortie du pétrole, du gaz et du charbon, suscitant la réprobation de nombreux pays."La République des Iles Marshall n'est pas venue ici pour signer son arrêt de mort", a tonné son ministre des Ressources naturelles et chef de délégation, John Silk.