Intempéries

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Vagues de chaleur, canicules, tempêtes, sécheresses, incendies, inondations, …

Résultats pour:
Alsace

avril 2024

La plus grosse chaufferie industrielle alimentée par des déchets en France a été inaugurée vendredi en Alsace, a annoncé son installateur, le groupe allemand B+T.Cette centrale va transformer chaque année 200.000 tonnes de déchets non recyclables, appelés "combustibles solides de récupération" (CSR), en de la vapeur pour le fonctionnement de l'usine chimique Alsachimie, à Chalampé (Haut-Rhin), expose à l'AFP Francis Muller, directeur de site adjoint de B+T Energie.

mars 2024

La société Lithium de France (LDF), basée à Bischwiller (Bas-Rhin), s'est vue octroyer par l'État un quatrième permis en vue de produire de la chaleur et du lithium géothermal, dans le nord de l'Alsace, a-t-elle annoncée lundi dans un communiqué."Par arrêté du ministre de l'Économie, des Finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date du 31 janvier 2024", le permis exclusif de recherche (PER) a été "accordé pour une durée de cinq ans à compter de la publication du présent extrait", selon l'annonce publiée vendredi au Journal Officiel (JO).

septembre 2023

Malgré l’annonce d’un enfouissement définitif des déchets toxiques, plus de 300 personnes ont manifesté à Wittelsheim, samedi 23 septembre, pour demander le déstockage de Stocamine.
Outre-Rhin, les conséquences d'un confinement définitif des déchets toxiques de Stocamine à Wittelsheim (Haut-Rhin) suscitent l'inquiétude. Association et élus doutent de la validité des études qui affirment que la pollution de la nappe phréatique sera limitée, une nappe phréatique qui alimente Alsaciens et Allemands en eau potable.
L'association écologiste Alsace Nature a annoncé lundi avoir porté plainte contre la société Mines de Potasse d'Alsace (MDPA) pour "faux", "escroquerie" et défaut de maintenance du site de stockage des déchets toxiques de Stocamine (Haut-Rhin). Dans l'ancienne mine de potasse, 42.000 tonnes de déchets toxiques (cyanure, arsenic, mercure...) sont entreposés à 500 mètres sous terre, dans le cadre d'une autorisation temporaire délivrée en 1997 pour 30 ans, donc jusqu'en 2027.

juillet 2023

Hautement toxiques 42 000 tonnes de déchets sont stockées et menacent la plus grande réserve en eau potable d’Europe. Un collectif d’élus locaux de gauche se positionnent contre l’enfouissement définitif de ces déchets dangereux.

avril 2023

"On n'avait pas prévu la flambée des prix, mais on en profite quand même". A Bernwiller (Haut-Rhin), on se chauffe au miscanthus, une plante écologique et économique.Oubliez le fioul, le gaz ou l'électricité: dans cette commune de 1.200 habitants à une quinzaine de kilomètres de Mulhouse, le chauffage est assuré par cette graminée rhizomateuse originaire d'Asie ressemblant à du roseau.La première parcelle a été plantée en 1993.
Faut-il confiner définitivement 42.000 tonnes de déchets toxiques dans l'ancienne mine de Wittelsheim (Haut-Rhin), au risque de polluer un jour la plus grande nappe phréatique d'Europe? L'État lance mardi une nouvelle concertation jugée illusoire par certains acteurs locaux, face à une décision déjà prise.

mars 2023

Le société Lithium de France a annoncé mardi avoir levé 44 millions d'euros pour poursuivre ses travaux d'exploration du sous-sol alsacien dans l'optique de produire de la chaleur et du lithium géothermal. L'entreprise, qui dispose d'un permis d'exploration exclusif dans le nord de l'Alsace, a réalisé ses premières opérations d'exploration du sous-sol alsacien au cours du deuxième semestre 2022. "Les résultats sont extrêmement prometteurs et vont nous permettre de définir nos cibles pour les premiers travaux de forage", assure à l'AFP Guillaume Borrel, le directeur général.

octobre 2022

Philosophe, anthropologue et sociologue des sciences et des techniques, Bruno Latour est décédé dans la nuit du 8 au 9 octobre. Il était considéré comme l’un des plus grands intellectuels contemporains et une grande figure de la pensée écologiste.
L'Association régionale des industries alimentaires (Aria) d'Alsace a réclamé mardi une "prise de conscience collective" des difficultés des entreprises du secteur face à l'envolée des prix de l'énergie, exprimant le besoin d'"augmenter les prix" des produits pour rétablir les marges.

juillet 2022

L’état de vigilance ne s’accompagne pas de mesures de restriction mais permet désensibiliser l’ensemble du public et des usagers de l’eau (particuliers, entreprises, collectivités, agriculteurs...) à adopter une gestion économe de la ressource en eau.
Dans cette ville du Haut-Rhin, le maire Jean-Claude Mensch a pour ambition de produire autant d’énergie qu'en consomment la commune, les ménages, les industriels et les artisans réunis. Une première en France.

juin 2022

La première usine française de lithium pour batteries de véhicules électriques devrait ouvrir fin 2025 à Lauterbourg (Bas-Rhin), à l'initiative de l'entreprise de recherche alsacienne Viridian associée aux groupes Technip Energies et Veolia Water, a-t-on appris mardi auprès de Viridian.

janvier 2022

Les écologistes alsaciens alertent sur le risque de contamination d’une nappe phréatique, l’une des plus grandes d’Europe, par ce dépôt souterrain qui a déjà connu un incendie.

novembre 2021

Dans cette conférence, Aurélien Barrau, astrophysicien au CNRS et docteur en philosophie, dresse le bilan de notre civilisation actuelle et de la catastrophe qui est à nos portes. Au-delà du constat, qu'il faut avoir le courage de regarder en face, il propose des voies d'évolution possibles pour dépasser notre immobilisme suicidaire.

octobre 2021

La cour administrative d’appel de Nancy a annulé l’arrêté préfectoral qui autorisait le confinement total de cette ancienne mine où sont stockées 42 000 tonnes de déchets. Une décision qui avait été prise en janvier par Barbara Pompili.

juin 2021

D’une magnitude de 3,9, il s’agit de la plus forte secousse sismique de ces derniers mois. Elle survient après l’arrêt définitif d’un projet de géothermie profonde qui avait provoqué une série de séismes il y a quelques mois.
Malgré plusieurs décennies de mobilisation citoyenne et après une décision maintes fois différée, la nouvelle tombait finalement en janvier dernier. Le gouvernement confirmait alors que 42 000 tonnes d’arsenic, d’amiante, de chrome, de cadmium et d’autres métaux lourds seront maintenues sous terre. Enfouis dans les anciennes mines de potasse du site de Wittelsheim, ces déchets toxiques risquent pourtant de contaminer la nappe phréatique d’Alsace