Intempéries

OA - Liste

Vagues de chaleur, canicules, tempêtes, sécheresses, incendies, inondations, …

Résultats pour:
pétrole prix

mars 2024

L'Arabie saoudite a annoncé dimanche qu'elle prolongerait la réduction de sa production de pétrole jusqu'en juin, pour soutenir les prix du brut.Ryad "prolongera sa réduction volontaire d'un million de barils par jour (bpj), mise en oeuvre en juillet 2023, jusqu'à la fin du deuxième trimestre de 2024", a rapporté l'agence de presse officielle saoudienne (SPA), citant une source du ministère de l'Energie.

février 2024

Les Etats-Unis ont sanctionné vendredi 14 pétroliers d'une "flotte fantôme" utilisés par Moscou pour contourner le plafond imposé par les pays occidentaux au prix du pétrole russe, à la veille du deuxième anniversaire de l'invasion de l'Ukraine.Les sanctions annoncées dans un communiqué du Trésor américain visent la compagnie maritime nationale russe Sovcomflot, lui donnant 45 jours pour décharger le pétrole ou autres cargaisons des 14 navires.

octobre 2023

Les marchés craignent l’embrasement après le week-end meurtrier en Israël et à Gaza, qui pèserait sur la production de combustible fossile. Le baril de pétrole brut a grimpé jusqu’à 89 dollars ce lundi matin dans les premiers échanges, en hausse de 5,2 %.

juillet 2023

La réduction, qui a pris effet en juillet, se poursuivra en août et peut-être au-delà. Cette décision maintient à environ 9 millions de barils par jour la production du royaume.

mars 2023

Le géant espagnol de l'énergie Repsol a vu ses profits bondir en 2022 grâce à l'envolée des cours du pétrole dans le sillage de la guerre en Ukraine, à un niveau toutefois inférieur aux attentes du marché.Le groupe énergétique a engrangé au total 4,25 milliards d'euros de bénéfice net, soit une hausse de 70% par rapport aux 2,5 milliards d'euros dégagés en 2021, selon un communiqué du groupe publié jeudi.

décembre 2022

La Russie devrait être confrontée à partir de lundi au plafonnement du prix de son baril de pétrole à 60 dollars, après l'accord scellé par les pays de l'Union européenne, du G7 et de l'Australie, afin de limiter les revenus de Moscou pour financer le conflit en Ukraine. "Le G7 et l'Australie (...) sont parvenus à un consensus sur un prix maximum de 60 dollars américains le baril pour le pétrole brut d'origine russe transporté par voie maritime", ont annoncé ces pays dans un communiqué commun publié vendredi.
Le mécanisme envisagé prévoit d'imposer un plafond de 60 dollars par baril aux prix du pétrole russe vendu à des États tiers, en complément de l'embargo de l'UE qui entre en vigueur lundi.

novembre 2022

Le groupe du G7 a appelé vendredi les pays producteurs de pétrole à augmenter leur production pour contribuer à faire baisser les prix, un mois après la décision de l'Opep+ de réduire drastiquement ses extractions d'or noir. Augmenter la production doit contribuer à "réduire la volatilité des marchés de l'énergie" dans le contexte de la guerre en Ukraine, indiquent dans un communiqué les ministres des Affaires étrangères du groupe réunis en Allemagne, à Münster. Le G7 entend également finaliser "dans les semaines à venir" la mise en oeuvre du mécanisme de plafonnement du prix du pétrole russe.

octobre 2022

Le temps de la pandémie, quand une chute de la demande et une production qui n'arrivait plus à trouver ses débouchés avaient fini par faire passer (brièvement) le prix du baril sous la drôle de barre des zéro dollar, semble loin: ainsi que l'explique Bloomberg, l'ère actuelle du pétrole cher est partie pour durer et, le cas échéant, vos pleins d'essence risquent de plomber de plus en plus lourdement votre budget.

septembre 2022

La Russie ne livrera plus de pétrole ou de gaz aux pays qui plafonneraient les prix des hydrocarbures vendus par Moscou, a prévenu mercredi le président Vladimir Poutine, au moment où les Occidentaux travaillent à une telle mesure. Plafonner les prix "serait une décision absolument stupide", a lancé M. Poutine lors d'un forum économique à Vladivostok (Extrême-Orient russe). "Nous ne livrerons rien du tout si c'est contraire à nos intérêts, en l'occurrence économiques. Ni gaz, ni pétrole, ni charbon (...). Rien", a-t-il ajouté.
"Nous allons affronter cinq à dix hivers difficiles, mais nous pouvons également faire un bond de 20 ans en avant en rompant avec les énergies fossiles, malgré toutes les difficultés." Voici ce qu'a déclaré le Premier ministre Alexander De Croo (Open VLD) dans l'émission De Zevende Dag sur la chaîne One. Il a également mis en garde contre la limitation à la discussion sur le maintien de deux centrales électriques supplémentaires ouvertes dans le contexte actuel de crise.
Ne plus payer sa facture d’énergie. Un million de Britanniques ont rejoint le mouvement "Don’t pay" face à la flambée des prix de l'électricité et du gaz. Partout en Europe, la tension monte, contenue par les différents boucliers gouvernementaux. Mais c’est la "pertinence du marché de l’énergie" qui doit être remise en cause. Seule solution à suivre : la réduction de la consommation d’énergie.
Les ministres des Finances des sept pays les plus industrialisés ont annoncé vendredi 2 septembre la mise en place d’un plafonnement du prix du brut russe, afin de sanctionner le régime de Vladimir Poutine. Moscou menace de cesser toute vente d’hydrocarbures aux pays qui suivraient le mouvement.
Porter un nouveau coup à la manne énergétique de Moscou : les pays du G7 ont décidé vendredi de plafonner "urgemment" le prix du pétrole russe, un mécanisme complexe à mettre en place. Une "large coalition" de pays est invitée à mettre en oeuvre cette décision, finalisée vendredi lors d'un sommet virtuel des ministres des Finances des sept pays les plus industrialisés. "Aujourd'hui, le G7 a franchi une étape essentielle dans la réalisation de notre double objectif, à savoir exercer une pression à la baisse sur les prix mondiaux de l'énergie tout en privant (Vladimir) Poutine de revenus pour financer sa guerre brutale en Ukraine", a immédiatement salué la secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen.

juillet 2022

L’énergéticien est pris entre la baisse de sa production à cause de réacteurs à l’arrêt, et la demande de l’État de baisser ses prix pour alléger la facture des Français. Le groupe pétro-gazier, lui, profite de la flambée des tarifs des carburants.
C'est ce qu'a déclaré le chef de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), Fatih Birol, lors d'une conférence sur l'énergie à Sydney.

juin 2022

Les pays du G7 réunis en sommet en Allemagne veulent serrer encore l'étau économique autour de la Russie, en réfléchissant à un "mécanisme pour plafonner au niveau mondial le prix du pétrole russe", selon la Maison Blanche, ce qui s'annonce complexe.
"Nous parlons de plafonds de prix ou d'une exception de prix qui élargirait et renforcerait les restrictions énergétiques récentes et proposées", imposées par les États-Unis et leurs alliés, "ce qui ferait baisser le prix du pétrole russe et contracterait les revenus de Poutine tout en permettant à une plus grande offre de pétrole d'atteindre le marché mondial", a-t-elle expliqué. Un plafonnement des prix "empêcherait les effets collatéraux sur les pays à faible revenu et en développement qui luttent contre les coûts élevés de l'alimentation et de l'énergie", a-t-elle aussi assuré.
L’accès aux énergies se complique avec la guerre en Ukraine. De plus les distributeurs d’électricité annoncent une hausse de 40 à 70 % du prix du kilowattheure (kWh) pour 2023. A long terme, cette tendance ne semble pas fléchir, mais la volatilité des prix du gaz, du charbon et du pétrole rend toute prédiction compliquée. On fait le point avec Laurent Horvath.

mai 2022

Saudi Aramco a annoncé dimanche un bond de 82% de son bénéfice au premier trimestre, porté par la flambée des cours du pétrole qui a propulsé le géant saoudien de l'énergie au rang de première capitalisation boursière mondiale. Le bénéfice net s'est élevé à 39,5 milliards de dollars, contre 21,7 milliards de dollars sur la même période en 2021, "principalement grâce à la hausse des prix du pétrole brut et des volumes vendus, et à l'amélioration des marges en aval" (raffinage et distribution, ndlr), indique Saudi Aramco dans un communiqué.