Intempéries

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novembre 2021

Les mines à ciel ouvert de Singrauli illustrent le dilemme auquel est confronté le deuxième pays le plus peuplé du monde, expliquant sa résistance à l'élimination progressive du charbon prônée durant le sommet de la COP26 à Glasgow au début du mois.
Les pays africains producteurs de gaz et de pétrole, ainsi que ceux où de récentes découvertes de ces énergies fossiles suscitent des espoirs de développement, n'entendent pas pour l'instant y renoncer en dépit des recommandations de la dernière conférence climat de Glasgow en Ecosse, la COP26.
Maintenant, c’est un combat direct pour la survie. Le Pacte climatique de Glasgow, malgré tout son langage sobre et diplomatique, ressemble à un pacte suicidaire. Après tant d’années gâchées de déni, de distraction et de retard, il est trop tard pour un changement progressif. Avoir de bonnes chances d’éviter plus de 1,5°C de chauffage, c’est réduire les émissions de gaz à effet de serre d’environ 7 % chaque année : plus vite qu’elles n’ont baissé en 2020, au plus fort de la pandémie.
Ce mercredi 10 novembre, c’était la journée consacrée au transport à la COP26. L’occasion de réaliser un focus sur le transport de marchandises, (qui comme d’autres secteurs devra lui aussi faire des efforts pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre (GES).
De mooie beloftes over netto-nul-uitstoot die overheden en grote bedrijven in het kader van de klimaattop maken, dienen slechts als afleidingsmanoeuvre, schrijven Maureen Santos en Linda Schneider van de Heinrich-Böll-Stiftung. ‘Deze schijnbaar ambitieuze doelstellingen komen neer op de zoveelste ronde van “greenwashing” omdat netto nul niet echt nul is.’
Net zero is popular among polluters for good reason – it’s toothless compared to emissions restrictions and a carbon tax
Temperature rises will top 2.4C by the end of this century, based on the short-term goals countries have set out, according to research published in Glasgow on Tuesday. That would far exceed the 2C upper limit the Paris accord said the world needed to stay “well below”, and the much safer 1.5C limit aimed for at the Cop26 talks.
Alors qu’une quarantaine de pays se sont engagés à ne plus recourir au charbon dans les décennies à venir lors de la conférence sur le climat cruciale de Glasgow, l’Australie n’a pas signé cet engagement.
La ministre flamande de l'Environnement Zuhal Demir (N-VA) souhaite que l'Europe revoie les objectifs de réduction de CO2 pour la Belgique, écrit samedi Het Belang van Limburg.
Les activités humaines ont émis 2 500 milliards de tonnes de dioxyde de carbone depuis l’ère industrielle, selon les données du média spécialisé Carbon Brief.
D’après une nouvelle étude (1) publiée le 5 novembre, l’empreinte carbone des 1 % les plus riches de la planète sera 30 fois supérieure en 2030 à celle compatible avec une limitation du réchauffement à 1,5°C, objectif inscrit dans l’Accord de Paris. Ces chiffres sont publiés alors que les délégués du monde entier tentent de maintenir en vie cet objectif à la COP26 de Glasgow.
Dans le cadre d'un accord de la COP26 visant à ce que 190 pays abandonnent l'utilisation du charbon, certains États comme la Pologne, le Vietnam et le Chili s'engageront, jeudi, à ne pas investir dans de nouvelles centrales à charbon dans leurs pays ou à l'étranger, et à éliminer progressivement la production d'électricité à partir du charbon.
Très dépendante du charbon, l’Afrique du Sud va entamer sa transition énergétique. Le pays va recevoir, de l’Allemagne, les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, une grosse enveloppe : 8,5 milliards de dollars de prêts (à très faible taux d’intérêt et subventions) pour développer les énergies renouvelables. Dans le pays, elles ne comptent que pour 6% de la production d’énergie, contre plus de 80% pour le charbon.
Une coalition de 190 pays et organisations s’est engagée mercredi soir à sortir de l’énergie charbon dès 2030. Ces accords ont été présentés dans la “Déclaration mondiale sur la transition du charbon vers l’énergie propre”, annoncée officiellement ce jeudi 4 novembre. Pourtant, les solutions proposées semblent encore illusoires pour atteindre une transition énergétique décarbonée d’ici 2030.
Les émissions mondiales de CO2 dues à la combustion d’énergies fossiles et à l’industrie devraient « rebondir en 2021 près du niveau d'avant COVID après une baisse sans précédent en 2020 », selon le bilan annuel du Global Carbon Project (GCP)(1), publié ce 4 novembre en pleine COP26(2).
19 pays et 5 organismes ont ouvert la voie en signant un accord interdisant les financements des énergies fossiles à l’étranger. Serait-ce le début de la fin du charbon, du gaz et du pétrole ? Les associations, du moins, saluent cette avancée.
La Chine a augmenté de plus d'un million de tonnes sa production quotidienne de charbon dans un contexte de pénurie d'électricité, au moment où les dirigeants mondiaux négocient âprement un accord à la COP26 pour épargner à la planète un réchauffement climatique "catastrophique".
La Chine a augmenté de plus d'un million de tonnes sa production quotidienne de charbon dans un contexte de pénurie d'électricité, au moment où les dirigeants mondiaux négocient âprement un accord à la COP26 pour épargner à la planète un réchauffement climatique "catastrophique".

octobre 2021

Le Sri Lanka ne construira plus de nouvelle centrale thermique au charbon, a annoncé mardi le gouvernement à quelques jours du sommet de la COP26 sur le climat.
Six jours avant l’ouverture de la COP26, à Glasgow, l’Organisation des Nations unies (ONU) a émis, lundi 25 octobre, un nouveau bulletin alarmant : les concentrations de gaz à effet de serre ont encore atteint des records en 2020, et l’Amazonie perd de sa capacité à absorber le CO2.
A six jours de la COP26 sur le climat à Glasgow, le Premier ministre britannique Boris Johnson s'est montré "très inquiet" quant à son succès, tandis que les émissions de gaz à effet de serre ont atteint de nouveaux records.
les plans de production des gouvernements dans ce secteur sont toujours "en dangereux décalage" avec les objectifs de Paris, a regretté mercredi le Programme des Nations unies pour l'Environnement (PNUE), à deux semaines de la conférence climat COP26. Pour espérer rester sous +1,5°C, "la production mondiale d'énergies fossiles doit commencer à baisser immédiatement et fortement", souligne le rapport réalisé par le PNUE et plusieurs instituts de recherche.
les plans de production des gouvernements dans ce secteur sont toujours "en dangereux décalage" avec les objectifs de Paris, a regretté mercredi le Programme des Nations unies pour l'Environnement (PNUE), à deux semaines de la conférence climat COP26. Pour espérer rester sous +1,5°C, "la production mondiale d'énergies fossiles doit commencer à baisser immédiatement et fortement", souligne le rapport réalisé par le PNUE et plusieurs instituts de recherche.
Plusieurs pays européens, dont le Danemark, la Norvège et les Pays-Bas, ont déployé des efforts courageux pour réduire leurs émissions afin d’atteindre l’objectif de 1,5 degré, donnant ainsi l’exemple à des nations aux économies bien plus importantes. Mais aussi admirables soient-ils, ces efforts ne suffiront pas à sauver la planète. Seuls les Etats-Unis et la Chine, de loin les deux premiers émetteurs de CO2 au monde, sont en mesure de le faire.
En 2019, les émissions de gaz à effet de serre en Belgique dépassaient encore de 2 % leur niveau de 2014, a fait savoir le Bureau du Plan ce jeudi.
Grâce aux sources d’énergie renouvelables, au stockage de carbone, à l’hydrogène, « nous pensons que nous pouvons parvenir à une production d’énergie totalement propre d’ici à 2035 », a déclaré aux télévisions britanniques le premier ministre, qui accueillera dans un mois la COP 26 à Glasgow (Ecosse).

septembre 2021

Cela fait des années que des appels à l’engagement des pays se succèdent et s’accroissent. Mais trop peu, trop lent, alerte une nouvelle fois l’ONU à six semaines de la COP26 à Glasgow. Les engagements déposés par les États signataires de l’Accord de Paris mènent le monde à un réchauffement de +2,7°C, très loin de l’objectif de 1,5°C espéré pour limiter ses retombées destructrices, s’est alarmée l’organisation internationale.
Dans quelques semaines, la COP26 réunira les représentants des 197 pays de la convention climat. Or, l’ONU a alerté sur le fait que même respectés, les engagements actuels des États conduiraient à une augmentation considérable des émissions de CO2 et à un réchauffement du climat d’au moins 2,7 °C.
Les engagements déposés par les Etats signataires de l’Accord de Paris mènent le monde à un réchauffement « catastrophique » de +2,7°C, très loin de l’objectif de 1,5°C espéré pour limiter ses retombées destructrices, s’est alarmée l’ONU à six semaines de la COP26.

août 2021

Malgré une catastrophe climatique qui grève déjà leurs revenus, les acteurs financiers ne sont guère incités à renoncer aux investissements dans les énergies fossiles. À l’approche de la COP 26, il faut amplifier la lutte.
Zéro doute. Pour qui en douterait encore, la responsabilité des activités humaines sur les dérèglements climatiques - et plus précisément les émissions de gaz à effet de serre relâchées dans l’atmosphère depuis les débuts de la révolution industrielle en 1750 - est « sans équivoque » aux yeux des experts du Giec.