Intempéries

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Vagues de chaleur, canicules, tempêtes, sécheresses, incendies, inondations, …

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juin 2024

Les quantités de HCFC, des substances destructrices de la couche d’ozone ayant une capacité de réchauffement 2 000 fois supérieure à celle du CO₂, sont en train de diminuer dans l’atmosphère. Une bonne nouvelle pour la couche d’ozone et pour le climat.
Les engagements internationaux pour protéger la couche d'ozone portent leurs fruits alors que les concentrations dans l'atmosphère d'une famille de gaz nocifs, les HCFC, ont commencé à décliner plus vite que prévu, selon une étude publiée mardi.
Grâce aux engagements internationaux, les hydrochlorofluorocarbures (HCFC), ces gaz climaticides utilisés dans les systèmes de réfrigération, de climatisation et les aérosols, sont en baisse, selon une étude publiée ce mardi.

décembre 2023

Quatre associations écologistes ont annoncé lundi attaquer devant le Conseil d'Etat le décret gouvernemental pris en novembre autorisant l'extraction de gaz de couche en Moselle par la société La Française de l'Energie.Selon les associations Amis de la Terre France, APEL57, Lorraine Nature Environnement et le Collectif de Défense des Bassins Miniers Lorrains, l'exploitation de ce gaz retenu prisonnier dans les veines de charbon est "fortement émettrice de gaz à effet de serre" et a un impact "considérable sur l'artificialisation des sols et la ressource en eau".

novembre 2023

In 1987, the Montreal Protocol established a ban on substances responsible for destroying the ozone layer, which is essential for protection against the sun’s rays.
Une nouvelle étude réfute les évaluations précédentes et largement acceptées concernant l'état de la couche d'ozone (qui montraient qu'elle reviendrait à ses niveaux des années 1980 dès 2040).
En dépit de la diminution des chlorofluorocarbones, le trou au-dessus de l’Antarctique n’a pas encore été réduit de manière significative, selon une étude publiée mardi dans « Nature Communications ».

octobre 2023

Depuis le début des relevés d’observations dans les années 1970, le trou présent dans la couche d’ozone n’a jamais été aussi important. Un résultat étonnant, car les dernières prédictions se montraient optimistes.
Le trou de cette année dans la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique est l'un des plus grands jamais observés.

août 2023

Le service européen de surveillance de l'atmosphère Copernicus (CAMS) se demande si cela conduira à un trou d'ozone plus grand que d'ordinaire.

mai 2023

Signé il y a plus de trente ans, le protocole de Montréal a permis de préserver la couche d’ozone mais aussi de retarder un peu le réchauffement climatique. Voilà qui montre à quel point le respect des accords internationaux peut être fructueux.

avril 2023

Les températures à la surface de l'océan ont atteint un niveau record ce mois-ci. Deux facteurs peuvent expliquer cette tendance.

février 2023

Un revenu de base pour tout le monde peut, dans certains cas, aggraver la précarité au lieu de la résorber, ressort-il des conclusions tirées par des chercheurs du Centre de politique sociale de l'Université d'Anvers, citées mercredi dans De Standaard.
Alors qu'un retour à la normale est annoncé pour la couche d'ozone, une nouvelle menace risque de déjouer les prévisions.

janvier 2023

Le trou dans la couche d'ozone devrait se résorber d'ici quarante ans au-dessus de l’Antarctique, et dès 2040 dans le reste du monde. Il avait été créé par la pollution humaine, particulièrement les chlorofluorocarbures (CFC) autrefois émis par de nombreux réfrigérateurs. Mais un protocole international a permis leur élimination. Une victoire qu’on pourrait répliquer au climat ? Réponse avec Sophie Godin-Beekmann, directrice de recherche au CNRS et présidente de la Commission internationale sur l’ozone.
Grâce à la mobilisation internationale contre les gaz qui l’ont trouée dans les années 1980, la couche d’ozone pourrait se rétablir en quelques décennies.
Menacée par la pollution humaine, la couche d’ozone est désormais «en bonne voie» pour se reconstituer, grâce à l’interdiction des substances qui la menaçaient. Mais de nouveaux projets de géo-ingénierie pourraient à la mettre en danger.
Le trou de la couche d’ozone pourrait se résorber d’ici à quatre décennies, mais de potentiels projets de géoingénierie solaire destinés à limiter le réchauffement climatique pourraient avoir des effets indésirables, ont mis en garde des scientifiques lundi.
La couche d’ozone devrait se reconstituer dans les quatre décennies à venir et l’élimination progressive à l’échelle mondiale des substances chimiques nocives pour l’ozone contribue déjà à l’atténuation du changement climatique. Telle est la conclusion d’un groupe d’experts parrainé par les Nations Unies, présentée aujourd’hui lors de la 103e réunion annuelle de l’American Meteorological Society. Après s’être penché pour la première fois sur les technologies innovantes telles que la géo‑ingénierie, le groupe d’experts met aussi en garde contre les effets indésirables que ces dernières pourraient avoir sur la couche d’ozone.

novembre 2022

Selon les données de la Nasa et de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique, le trou dans la couche d’ozone au-dessus de l’Antarctique a continué à se réduire.

juillet 2022

En plus des questions relatives à l’éthique et à la morale dans le contexte d’une humanité toujours en proie à de nombreuses inégalités, le développement du tourisme spatial aurait également des répercussions fortes sur le climat et la couche d’ozone comme le révèle une étude parue dans la revue Earth’s Future le 9 juin dernier.

mai 2022

La COP15 désertification s’est tenue à Abidjan pour contrer la dégradation des sols et la sécheresse, des fléaux qui affectent déjà la moitié de la population du globe. Au final, les engagements pris ne sont pas assez ambitieux.

février 2022

Une étude montre que le glacier le plus élevé du mont Everest a perdu, en un quart de siècle, l’essentiel d’une couche de glace qui avait mis deux mille ans à se former. Les scientifiques craignent que le phénomène ne s’accélère et ne provoque, d’ici le mitan du siècle, la disparition du glacier.

novembre 2021

Les agriculteurs ont salué cette décision, mais les apiculteurs ont regretté l’absence de prise en compte de la température et la possibilité de traiter les cultures au moment où les abeilles butinent encore.
Les 196 pays de la COP26 ont adopté samedi 13 novembre un accord pour accélérer la lutte contre le réchauffement de la planète. Mais sans garantir le respect des objectifs de l’accord de Paris visant à limiter le réchauffement en deçà de 2 °C, ni répondre aux demandes d’aide des pays pauvres.
Le Royaume-Uni a annoncé formellement l’adoption d’une décision finale à l’issue de la COP26. Jusqu’à la dernière minute, la question des énergies fossiles a fait débat, avec la Chine et l’Inde à la manœuvre.
Notre Terre se réchauffe. Plus exactement, c'est l'atmosphère de notre Terre qui se réchauffe. Et cela ne va pas sans quelques conséquences. Des chercheurs nous apprennent ainsi aujourd'hui que la limite de la couche la plus basse de notre atmosphère s'élève régulièrement depuis plusieurs décennies maintenant.
Les tout nouveaux engagements climatiques des Etats n’ont que marginalement amélioré les chances de l’humanité de freiner le réchauffement de la planète, a regretté l’ONU mardi, appelant encore à plus d’ambition d’ici la fin de la COP26 sur le climat.
Les tout nouveaux engagements climatiques des Etats n'ont que marginalement amélioré les chances de l'humanité de freiner le réchauffement de la planète, a regretté l'ONU mardi, appelant encore à plus d'ambition d'ici la fin de la COP26 sur le climat.
Prendre la mesure du réchauffement climatique, du trou dans la couche d’ozone, des émissions de gaz à effet de serre ne serait pas possible sans données fiables. Les parties réunies à Glasgow pour la COP26 le savent bien. A Bruxelles, une quinzaine d’experts sur les trente que compte le laboratoire Squares de l’ULB y consacrent leurs recherches grâce aux données envoyées par des instruments placés sur des satellites en orbite autour de la Terre.

septembre 2021

Une étude revient sur la réaction en chaîne qui a provoqué ce trou dans la couche d'ozone au-dessus du Pôle Nord. Les auteurs suggèrent que cela pourrait se reproduire.
À l’occasion de la Journée internationale pour la préservation de la couche d’ozone, les scientifiques du Service Copernicus pour la surveillance de l’atmosphère (CAMS) font un premier point sur le trou stratosphérique qui apparaît chaque année au printemps austral et sur la couche d’ozone qui protège la Terre des propriétés nocives des rayons du soleil.

août 2021

Cet accord, signé en 1987, a permis d’éviter une augmentation de la température de 2,5 °C. Une réussite en termes de négociations internationales environnementales.
Le protocole de Montréal qui, en 1987, a progressivement banni les gaz CFC, a permis de réduire l'augmentation des températures sur la planète, selon une récente étude publiée dans "Nature".

juillet 2021

À regarder attentivement les images et à écouter les témoignages, il y a un constat objectif qui peut être fait : les inondations n’ont manifestement pas touché toutes les couches sociales de la population locale de la même façon. Tous les bords de cours d’eau ne sont pas socialement défavorisés, mais on ne peut être que frappé par le nombre de ménages aux revenus relativement faibles habitant dans des “maisons ouvrières” qui sont touchées par ces catastrophes.
Malgré les efforts pour bannir les composés halogénés destructeurs de la couche d’ozone, cette dernière ne récupère pas aussi facilement qu’on aurait pu l’espérer. C’est en particulier vrai au niveau des pôles où l’on a observé un déficit boréal record au printemps 2020. De récents travaux montrent comment le changement climatique s’oppose au rétablissement de ce bouclier naturel en augmentant l’efficacité des réactions chimiques consommant l’ozone.

juin 2021

La combustion des satellites en fin de vie et des carburants des fusées pourrait engendrer un nouveau trou dans la couche d'ozone et bouleverser le climat mondial. En cause : la grande quantité d'aluminium contenue dans ces milliers de satellites.
Et si le réchauffement de la troposphère, la couche de l'atmosphère en contact avec le sol, avait été sous-estimé par les relevés satellite ? C'est la question que posent très sérieusement aujourd'hui des chercheurs après qu'ils ont découvert quelques incohérences.

mai 2021

mars 2021

Si l’océan a jusqu’à présent absorbé une partie de nos émissions de chlorofluorocarbones (CFCs), la situation menace de s’inverser en seconde partie de siècle. Un phénomène jusqu’à présent ignoré qui demanderait de revoir l’horizon de réémission effective de la couche d’ozone. Les résultats sont publiés dans la revue PNAS ce 23 mars.