Intempéries

OA - Liste

Vagues de chaleur, canicules, tempêtes, sécheresses, incendies, inondations, …

Résultats pour:
chaleur focusclimat yfc

juillet 2022

Le climatologue et membre du GIEC Jean-Pascal van Ypersele est sans appel: sans réaction, on se dirige tout droit vers le scénario du pire.
Des pluies diluviennes au Japon, une vague de chaleur record en Italie, un nouvel épisode de sécheresse dans l'ouest des États-Unis… Comme en 2021, le début de l'été dans l'hémisphère Nord est marqué par plusieurs événements météorologiques extrêmes. Et avec eux revient inlassablement la même question : dans quelle mesure le réchauffement climatique en est-il responsable ?

juin 2022

La diplomate Laurence Tubiana, l’une des architectes de l’accord de 2015 sur le climat, est l’invitée du nouvel épisode de notre podcast « Chaleur humaine ».
La vague de chaleur que l’Europe a subi les derniers jours ramène une fois de plus la question du climat à l’avant-plan. Les scientifiques prédisent que l’atmosphère continuera à se réchauffer considérablement dans les prochaines décennies, au point d’atteindre, d’ici la fin du siècle, une augmentation estimée entre 2 et 5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Cela nous impacte déjà aujourd’hui : inondations, dômes de chaleur, feux de forêts, sécheresses, événements météorologiques extrêmes en sont quelques exemples désormais bien connus. Mais ce sont surtout nos enfants et petits-enfants qui en subiront les plus fortes conséquences.
Si l’été ne fait que commencer, l’Irak étouffe déjà sous les effets de la chaleur. Plus de 50°C ont été enregistrés dans plusieurs villes, où les habitants tentent de se protéger malgré les coupures de courant quotidiennes. Canicule, sécheresse, désertification… Des phénomènes qui devraient se multiplier, alors que les Nations Unies classent l’Irak parmi les cinq pays les plus vulnérables face au changement climatique.
Après la canicule, préparer la chaleur inhumaine Le changement climatique va nous obliger à changer beaucoup de choses, mais on ne savait pas que ça allait aussi concerner les proverbes. « Après la pluie, le beau temps » semble assez peu approprié après une canicule aussi extrême que celle que nous venons de vivre. Peut-être faudra-t-il inventer autre chose ? « Après la canicule, l’orage », n’est pas une maxime très réjouissante. En attendant mieux, on peut au moins tenter, après la canicule, de réfléchir à comment se préparer à vivre dans un monde qui se réchauffe.
Après avoir plombé le centre des États-Unis, une vague de chaleur se dirigeait lundi vers l’est, selon les services météorologiques, faisant craindre des températures potentiellement dangereuses pour les plus fragiles et des intempéries dévastatrices.
Le contenu en chaleur des océans a encore battu un record en 2021. Plus de 90% de l’excès de chaleur dû au réchauffement climatique est absorbé par les océans. Ces derniers fournissent actuellement la meilleure estimation du déséquilibre énergétique de la Terre.
Près de cent millions d’Américains, soit près d’un tiers de la population des États-Unis, sont placés depuis lundi 13 juin en alerte canicule par le National Weather Service. Des températures exceptionnelles ont été enregistrées sur une grande partie du pays, de la Californie à la Virginie, mais c’est surtout dans le Midwest que le mercure a atteint plus de 100 degrés Fahrenheit (37 ° C) plusieurs jours d’affilée.
Un coup de gueule à l'antenne pour faire réagir. Provoquée par une arrivée d'air chaud venue du Maghreb, une vague de chaleur a commencé à toucher le sud-ouest de la France, avec des températures qui sont montées jusqu'à 34°C à Bordeaux et 37°C à Toulouse mardi. D'après Météo-France, elle frappera tout le pays d'ici le week-end, avec des pics qui pourront être supérieurs à 40°C localement.
Une vague de chaleur particulièrement intense touche la France dès mercredi. Selon les météorologues, la survenue de plus en plus précoce de ces événements extrêmes est directement liée au réchauffement climatique dû aux activités humaines.
Christophe Cassou, climatologue, directeur de recherche au CNRS et co-auteur du 6ème rapport du GIEC, est l'invité de 7h50. Selon lui, "il y a une seule solution" pour éviter que les canicules précoces ne deviennent la norme : une réduction "immédiate" des émissions de gaz à effet de serre.
Une vague de chaleur inhabituellement précoce et intense se propage de l’Afrique du Nord à l’Europe. Près d’un tiers de la population des États-Unis subit actuellement des vagues de chaleur. Bien que ce ne soit que la mi-juin, les températures sont plus typiques de celles observées en juillet ou en août. Les épisodes en cours font suite à une vague de chaleur prolongée en Inde et au Pakistan en mars et avril. En raison du changement climatique, les vagues de chaleur commencent plus tôt et deviennent plus fréquentes et plus sévères en raison de concentrations record de gaz à effet de serre piégeant la chaleur.
La vague de chaleur actuelle est causée par une «plume de chaleur», et non «dôme de chaleur». Ces deux termes illustrent des dynamiques atmosphériques bien distinctes.
Depuis une semaine, le pays souffre de températures caniculaires, totalement inhabituelles à cette période de l’année. Toutes les études le confirment, les épisodes de forte chaleur s’intensifient, alors que le nombre de journées froides diminue.
Alors que la France s’apprête à supporter une vague de chaleur sans précédent pour un mois de juin, l’économiste Maxime Combes a appelé, dans un billet publié sur son blog Mediapart, à nommer cet épisode « canicule TotalÉnergies no 1 ».
Les météorologues sont formels : nous allons devoir supporter une vague de chaleur peut-être sans précédent pour un début de mois de juin. Parce que ces épisodes vont devenir plus fréquents, nombreux et intenses, donnons-leur un nom : celui des responsables du réchauffement climatique. Puisqu'il faut bien commencer un jour, appelons celle qui arrive « canicule TotalEnergies n°1 ». Explications.
Models indicate that there could be between 25 and 30 extreme events a year by mid-century

mai 2022

Depuis le début du mois de mars, l’Inde et le Pakistan étouffent sous une vague de chaleur prolongée inédite. Selon une étude (en anglais) conduite par le World Weather Attribution, le changement climatique l’aurait rendu trente fois plus probable. Pour quantifier l’effet de celui-ci, une équipe internationale de vingt-neuf chercheurs a analysé des données météorologiques et des simulations informatiques, afin de comparer le climat tel qu’il est aujourd’hui — soit 1,2 °C plus chaud qu’à la fin des années 1800, avec le climat antérieur à cette période.
Les vagues de chaleur ne sont pas un phénomène propre à l’atmosphère. En effet, elles se manifestent également dans les mers et les océans où elles peuvent persister jusqu’à plusieurs années. Ces vagues de chaleur marines ont des impacts potentiellement irréversibles sur les écosystèmes marins ou côtiers et, par effet ricochet, sur des secteurs socio-économiques comme la pêche ou la santé.
Au début du mois de mai, l’Inde et le Pakistan ont été confrontés à des températures record, atteignant les 50 °C. Ces pays étant déjà habitués à de fortes chaleurs, il n’en reste pas moins que celles-ci sont exceptionnelles et, sans surprise, liées au réchauffement climatique. Et donc, tant que nous ne changerons pas radicalement nos modes de vie, ces vagues de chaleur extrême ne sont pas près de s’arrêter.
La France a battu un record de période de chaleur au printemps avec désormais 40 jours consécutifs au-dessus des normales saisonnières.
Des poissons morts ont été signalés vendredi après-midi flottant à la surface du canal du côté du quai de l'Industrie à Anderlecht, a indiqué samedi le porte-parole du Port de Bruxelles Sylvain Godfroid.
Trente-huit jours consécutifs au-dessus des normales saisonnières: la France a enregistré un record printanier de chaleur, battant la série de 37 jours consécutifs datant d'avril-mai 2020, indique jeudi Météo-France. Et "avec les températures attendues au moins jusqu'à samedi, ce record est appelé à être encore battu", prévient l'établissement public.
La France vit un « épisode de chaleur exceptionnel ». L’été sera sec : d’ici là, les nappes ne se rechargeront plus. L’Inde et le Pakistan, eux, suffoquent.
L'Inde a annoncé interdire les exportations de blé face aux vagues extrêmes de chaleur dans le pays.
What else is new? Hotspots are getting hotter. The major hotspot in April stretched from Iraq to India and Pakistan, and toward the northeast through Russia (Fig. 1). Temperature exceeded 45°C (113°F) in late April in at least nine Indian cities,[1] on its way to 50°C (122°F) in Pakistan in May,[2] where a laborer says “It’s like fire burning all around” and a meteorologist describing growing heatwaves since 2015 says “The intensity is increasing, and the duration is increasing, and the frequency is increasing.” Halfway around the world, Canada and north-central United States were cooler than their long-term average, but people in British Columbia and northwest United States remember being under their own record-breaking hotspot last summer.
+51°C au Pakistan, +48°C au Mexique, +46°C en Égypte. Partout dans le monde, des températures historiques sont enregistrées, menaçant la santé humaine, l’approvisionnement en eau, les récoltes futures et même la biodiversité, qui ne résiste pas à une chaleur si accablante. Du côté de l’Hexagone, un "dôme de chaleur" devrait s'abattre sur le Sud-Ouest cette semaine alors que le pays subit déjà une sécheresse historique.
Depuis plusieurs semaines, les habitants de ces deux pays sont confrontés à des épisodes de canicule. Au Pakistan, les températures ont même dépassé les 50 degrés.
Le pays connaît depuis fin avril des chaleurs record, dont l’Organisation météorologique mondiale (OMM) des Nations unies a estimé qu’elle était « cohérente » avec le changement climatique.
Le pays subit actuellement une vague de chaleur record attribuée au changement climatique. Les températures pourraient atteindre les 50°C par endroit dans les prochains jours.
Des vagues de chaleur inhabituelles frappent l'Inde et le Pakistan depuis deux mois maintenant. Or, la chaleur et le taux d'humidité dépassent désormais le seuil limite de survie des personnes se trouvant à l'extérieur.
L'Inde prévoit de mettre en location des mines de charbon abandonnées auprès de compagnies minières, en vue de soutenir une production qui peine à faire face aux conséquences d'une vague de chaleur record dans le pays, a annoncé vendredi le gouvernement indien. Au total, le gouvernement prévoit de louer plus de 100 mines de charbon publiques dormantes à des sociétés minières privées sur la base d'un partage des revenus. Les dirigeants indiens se sont ainsi dits prêts à simplifier les démarches administratives pour encourager les offres de géants miniers tels que Vedanta, Adani et d'autres.
"C'est le serpent qui se mord la queue". L'Inde, qui subit une vague de chaleur historique liée au changement climatique, va augmenter sa production de charbon à des niveaux records. Entre les restrictions liées au Covid-19, les problèmes de logistique et une demande qui explose... l'approvisionnement ne suit plus. Aujourd'hui le charbon représente 70 % de la production électrique du pays.

avril 2022

Des coupures d'électricité en Inde et au Pakistan ont aggravé, vendredi, les conditions de vie de millions d'habitants, déjà accablés depuis plusieurs semaines par une vague de chaleur record que les experts lient au changement climatique.
La vague de chaleur qui frappe le pays depuis mars dévaste les récoltes et paralyse les grandes villes. Conséquence directe du changement climatique, de telles canicules vont devenir la norme en Inde, alertent les experts.
Une vague de chaleur record s'est abattue sur l'Inde et le Pakistan, provoquant des coupures d'électricité et des pénuries d'eau pour des millions d'habitants qui devraient subir cette fournaise de plus en plus fréquemment à l'avenir, selon des experts du changement climatique.
Ces pays, parmi les plus chauds de la planète, sont un nouvelle fois confrontés à une canicule monstre après des mois de chaleur anormale. Un avant-goût de ce qui attend l’humanité.
Pour Fabio D’Andrea, chercheur au CNRS, les deux pays sont de plus en plus confrontés à des canicules pendant lesquelles les températures atteignent des niveaux qui, il y a quinze ans, étaient très rares sur Terre.
Depuis le début du mois de mars, l’Inde et le Pakistan sont confrontés à une vague de chaleur exceptionnellement intense. Et, ces prochains jours, les températures pourraient frôler localement les 50 °C.
+44°C en Inde, +50°C au Pakistan... l'Asie du Sud connait une vague de chaleur extrême alors que l'Inde a enregistré son mois de mars le plus chaud depuis 122 ans. Ces températures sont un signe manifeste des impacts du changement climatique. Selon la NASA, cette zone pourrait devenir inhabitable dès 2050 en raison de la chaleur mêlée à l'humidité qui empêche au corps de suer et donc de se refroidir. Un risque que les experts du climat, le GIEC, avaient déjà identifié dans l'un de leurs rapports, et qui commence à se matérialiser.
Été le plus chaud, inondations record... L’Europe a été marquée par les extrêmes climatiques en 2021, selon le rapport annuel sur l’état du climat de Copernicus.
Nouvelle illustration du changement climatique : le mois de mars qui s'achève en Inde est le plus chaud enregistré depuis 122 ans. Des températures records ont été enregistrées jusque dans l’Himalaya alors que les pluies se sont faites particulièrement rares.
Un grand fragment de banquise s’est détaché mi -mars de l’Antarctique – Est. Jusqu’ici, elle avait été épargnée par la fonte. Le mois de mars a apporté des températures anormalement élevés, de 40 degrés au-dessus des normes antarctiques. Ces températures élevées sont causées par des flux atmosphériques imprévus. Une rivière atmosphérique a piégé la chaleur au dessus de l’Antarctique. La plateforme de glace Conger, qui se réduisait depuis les années 2000, s’est détachée à la mi-mars.

mars 2022

Appelée «Conger», cette plateforme de glace s’est effondrée mi-mars, alors que les températures du pôle Sud atteignaient des records de chaleur. Cette fonte est l’un des évènement les plus significatifs en Antarctique depuis 20 ans.
Avec la fin de l’été austral, l’Antarctique connaît habituellement une chute rapide des températures, pour s’établir aux alentours de -48 °C. Depuis quelques jours, le continent enregistre pourtant des températures record, avec un pic à 40 °C au-dessus des normales de saison les 18 et 19 mars.
+40 °C au-dessus des normales saisonnières. Alors que les températures devraient chuter dans l’Antarctique avec la fin de l’été austral, la région est touchée par une vague de chaleur historique, quasi "impossible" pour les experts. À l’opposé, au pôle Nord, l’Arctique connaît également une hausse anormale du mercure alors que la zone se réchauffe deux à trois fois plus vite que le reste du globe en raison du changement climatique.
Un nouveau signal d’alarme vient d’être tiré quant au réchauffement climatique, s’il en fallait encore un. Les climatologues sont inquiets et médusés par des hausses historiques : les zones antarctiques atteignent 40 degrés Celsius au-dessus de la normale en même temps que les régions du pôle Nord atteignent 30 degrés Celsius au-dessus des niveaux habituels. Ces évènements simultanés pourraient annoncer une dégradation plus rapide et brutale que prévu du climat.
Le monde doit s’adapter urgemment au changement climatique, alerte le Giec dans un rapport publié le 28 février. Vagues de chaleur, perte des rendements agricoles, pénurie d’eau, inondations : les conséquences seront nombreuses, estime-t-il.

février 2022

Faut-il se préparer à un été de canicule et de sécheresse ? C’est ce que laissent, à première vue, entrevoir les observations du programme européen Copernicus, qui recense les données climatiques.
La Californie a connu plusieurs jours de forte chaleur, en plein mois de février. Au-delà de cet épisode de canicule, la température moyenne en février ne cesse d’augmenter avec le changement climatique.

janvier 2022

Des températures très élevées sont enregistrées dans l’hémisphère sud, où c’est l’été austral. Ces records sont le signe du réchauffement climatique. Et entraînent des conséquences multiples.
Ces sept dernières années (2015 - 2021) ont été les plus chaudes jamais enregistrées même si le phénomène météorologique de la Niña a temporairement fait baisser les températures l'année dernière, confirme mercredi l'Organisation météorologique mondiale.
Une chaleur étouffante s'abat dans l'hémisphère sud, de la côte ouest de l'Australie jusqu'à l'Argentine, en passant par l'Uruguay où un nouveau record vient d'être battu. Les températures dépassent la barre des 40°C, voire même des 50°C comme ce fut le cas en Australie, menaçant la santé des populations, l'approvisionnement en eau et en énergie ou encore l'agriculture.
« C’est la température la plus chaude jamais enregistrée en Australie depuis soixante-deux ans », a annoncé le Bureau de météorologie de l’Etat australien.
L’Argentine connaît une canicule historique. Les habitants halètent et les agriculteurs s’inquiètent. « Les pertes à prévoir sont considérables », selon un expert.
2021 ne restera pas dans les mémoires comme l'année la plus chaude jamais enregistrée. Pas dans l'atmosphère au moins. Mais dans les océans se joue un tout autre scénario. Les chercheurs nous confirment aujourd'hui qu'ils ont été, l'année dernière, plus chauds que jamais.
Les températures océaniques viennent de battre un nouveau record pour la sixième année consécutive. Dans le monde entier, la température des océans augmente à un rythme effréné alors que l’homme continue de modifier l’atmosphère qui les entoure. En 2021, selon une nouvelle synthèse de deux ensembles de données internationaux, la vague de chaleur dans nos océans a atteint un nouveau pic, éclipsant l’influence des épisodes régionaux plus frais.
Les records de températures élevées devraient être battus cette fin de semaine en Argentine, en Uruguay et dans le sud du Brésil. A Buenos Aires, la forte demande en électricité provoque des coupures de courant.
Une telle température n’avait pas été enregistrée dans le pays, et dans l’hémisphère Sud, depuis 1960.
Les records de chaleur, mais aussi de froid, se sont multipliés aux États-Unis au cours de l’année passée. Pour le New York Times, ces extrêmes donnent “une image frappante du changement climatique”.

décembre 2021

Il n’y a plus de saison, même au Groenland. Cette grande île arctique a enregistré ces derniers jours des températures 20 voire 30 degrés Celsius au-delà de la normale. Le foehn, un vent chaud, souffle de façon inhabituelle en plein mois de décembre et conduit à des températures positives à de nombreux endroits. En début de semaine, il a fait par exemple 13 °C à Nuuk, la capitale du Groenland — la température moyenne y est habituellement de - 5,3 °C. Dans le nord du pays, à Qaanaaq, le mercure est monté jusqu’à 8 °C, alors qu’il fait d’ordinaire - 20 °C.
Après un été bouillant, voilà que l’hiver aussi se réchauffe au cercle polaire. Si les records de chaleur ne sont pas battus, le dérèglement climatique continue de faire grimper le mercure en flèche.
Le nombre de vagues de chaleur de grande étendue survenant simultanément en plusieurs points de l’hémisphère Nord a été multiplié par six entre les années 1980 et les années 2010.
De klimaatopwarming leidt tot meer langdurige weersituaties in de zomermaanden, stelt onderzoek in het wetenschappelijk tijdschrift Nature. Vooral in Europa vertaalt zich dat in meer hittegolven, droogtes en intense regenperiodes.
Cette température a été enregistrée à Penticton, en Colombie-Britannique, province la plus à l’ouest du Canada, où se succèdent des événements météorologiques extrêmes.

novembre 2021

Les cellules de Hadley sont des circulations thermiques de grande échelle composées d’une région d’ascendance située près de l’équateur et d’une région de subsidence localisée dans le domaine subtropical. Nommées d’après le savant anglais George Hadley (1685-1768), elles concrétisent une redistribution de chaleur et d’humidité par le fluide atmosphérique.
Des déclarations qui ne rassurent pas vraiment les agricultrices sénégalaises, qui subissent depuis plusieurs années les fortes chaleurs et la sécheresse.
Le nombre de personnes souffrant de stress dû aux chaleurs extrêmes sera multiplié par 15 si la planète se réchauffe de 2 °C, estime une étude britannique.
Cet acccord prévoit notamment que la vente de nouvelles voitures particulières ou camionnettes équipées d’un moteur essence ou diesel sera interdite à partir de 2029; une obligation de rénovation pour toute personne qui achète un logement dont le PEB est inférieur ou égal à E à partir de 2023; la fin du chauffage au gaz au profit des pompes à chaleur dans les nouveaux bâtiments à partir de 2026 ou encore des mesures pour réduire les émissions du secteur agricole.
Le changement climatique est en train de chambouler notre vie en causant diverses catastrophes naturelles et autres phénomènes climatiques extrêmes. Outre les inondations, les ouragans et les sècheresses, le changement climatique a également entraîné des vagues de chaleur et des froids extrêmes. La question est maintenant de savoir pourquoi ce phénomène souffle le chaud et le froid.
Selon l'Organisation météorologique mondiale (OMM), des concentrations atmosphériques de gaz à effet de serre sans précédent et la chaleur cumulée qu'elles induisent ont propulsé la planète sur un terrain inconnu, ce qui a de graves conséquences pour les générations actuelles et futures.

octobre 2021

Les vagues de chaleur marines qui dévastent les écosystèmes marins deviennent de plus en plus fréquentes et intenses. Les chercheurs essayent de mieux les prévoir.
Au cours des derniers millénaires, les différentes sociétés humaines ont pu s’appuyer sur une large variété de conditions climatiques pour soutenir leur croissance fulgurante et leurs progrès. Mais aujourd’hui, l’éventail des conditions météorologiques que notre espèce est peu à peu amenée à rencontrer se modifie sous l’effet du réchauffement climatique.
La COP 26 qui se tient du 31 octobre au 12 novembre sera un rendez-vous important pour l’avenir des futures générations d’adultes. Confrontées à de plus en plus de vagues de chaleur, d’inondations et de feux de forêts, et submergées d’informations sur une planète en pleine crise, celles-ci voient leur santé mentale décliner. Témoignages.
La hausse de l'exposition aux chaleurs extrêmes dans les zones urbaines, provoquée par leur densité et le réchauffement climatique, risque de priver les populations pauvres d'une vie meilleure dans ces villes, selon une étude scientifique.
Quatorze pour cent des coraux ont disparu dans le monde depuis 2009 et une corrélation est établie avec les pics de chaleur. Le réchauffement climatique, avec la multiplication de ce phénomène, suscite les craintes.

septembre 2021

Les États du sud-est américain qui émergent à peine du passage de l’ouragan Ida et mesurent encore l’ampleur de ses dégâts, enchaînent les problèmes et font maintenant face à une chaleur extrême. Une température ressentie atteignant les 42°C est attendue mercredi en Louisiane et dans le Mississippi.

août 2021

Intense sécheresse. Sao Paulo, à l’instar d’autres États brésiliens du sud et du sud-est du pays, traverse une période d’intense sécheresse. La ville de Sao Paulo, qui connaît normalement à cette époque de l’année des températures hivernales, a enregistré un pic de chaleur de 31 degrés, un record qui pourrait être dépassé cette semaine.
Les causes de ces incendies ne sont pas encore connues, mais les fortes chaleurs accompagnées de vents pourraient en être à l’origine.