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juillet 2024

Le président russe Vladimir Poutine a signé vendredi plusieurs décrets pour augmenter les impôts pour les hauts revenus et les entreprises, une décision prise pour financer l'explosion des dépenses liées au coûteux conflit en Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a indiqué vendredi avoir dit au Premier ministre hongrois, en visite surprise à Moscou, que l'Ukraine devait retirer ses forces des régions ukrainiennes que la Russie revendique pour résoudre "la crise" en Ukraine.

juin 2024

Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi que la Russie devrait commencer à produire des missiles de courte et moyenne portée, auparavant interdits en vertu d’un traité avec les États-Unis qui n’est plus en vigueur.
Le président russe Vladimir Poutine a détaillé vendredi les conditions d’un cessez-le-feu en Ukraine, exigeant de Kiev l’abandon de quatre de ses régions et sa renonciation à intégrer l’Otan. Son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, a immédiatement rejeté ce qu’il considère comme un “ultimatum” à la “Hitler”.
Le président russe Vladimir Poutine a de facto fixé vendredi la reddition de l'Ukraine comme condition pour des pourparlers, à la veille d'un sommet en Suisse consacré aux moyens d'arriver à la paix et dont la Russie est exclue.
Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi à la télévision que près de 700.000 militaires participaient actuellement à l'offensive en Ukraine.
Face à la menace russe, l'Allemagne a mis à jour ses plans en cas de conflit en Europe pour la première fois depuis la Guerre froide.
Alors que les pays occidentaux sont de plus en plus favorables à autoriser l'Ukraine à utiliser leurs armes pour frapper la Russie, Vladimir Poutine a menacé mercredi, lors d'une interview avec une quinzaine d'agences de presse, de livrer des armes à des pays tiers susceptibles de frapper ces mêmes intérêts occidentaux.

mai 2024

Le président russe s'est exprimé ce mardi quant à l'usage d'armes occidentales contre le territoire russe.
Le président français Emmanuel Macron a affirmé mardi vouloir permettre aux Ukrainiens de "neutraliser" les bases en Russie d'où sont tirés des missiles sur l'Ukraine. En réponse, Vladimir Poutine a menacé de "graves conséquences" en cas d'usage d'armes occidentales contre le territoire russe.
Le département d'Etat américain a commenté les récents événements survenus en Russie.
Le président russe Vladimir Poutine a ordonné la tenue prochaine d’exercices nucléaires impliquant notamment des troupes positionnées près de la frontière ukrainienne, a annoncé ce lundi 6 mai le ministère de la Défense.

avril 2024

Le président russe Vladimir Poutine a déclaré jeudi que les bombardements meurtriers visant le réseau énergétique ukrainien, qui ont entraîné d'importantes coupures de courant, suivaient l'objectif de "démilitarisation" de l'Ukraine fixé par le Kremlin.

mars 2024

Les dirigeants du monde entier ont condamné l’attaque armée sanglante survenue vendredi 22 mars en banlieue de Moscou. Le président russe accuse, lui, l’Ukraine d’avoir «ouvert une fenêtre» pour que les assaillants passent la frontière.
Les Etats-Unis ont mis en garde la Russie, au début du mois de mars, contre une attaque terroriste susceptible de viser de "grands rassemblements" à Moscou, a déclaré la Maison Blanche vendredi, quelques heures après l’attentat qui a fait plus de 115 morts dans une salle de concert près de la capitale.
Militants persécutés, normes environnementales piétinées... À l’aube du cinquième mandat de Vladimir Poutine à la tête de la Russie, l’écologie est victime de la guerre en Ukraine lancée par le chef du Kremlin.
Débarrassé de toute opposition, Vladimir Poutine devrait facilement être réélu à l’issue de la présidentielle russe qui se tient du 15 au 17 mars. Pour mieux comprendre ce qui se joue malgré tout dans ce scrutin et surtout la façon dont le maître du Kremlin a assis son pouvoir depuis plus de vingt ans, nous vous proposons une sélection d’articles publiés dans l’hebdomadaire ou sur notre site ces dernières années.
Une nouvelle attaque de drone a visé mercredi un site énergétique en Russie, visée pour le deuxième jour consécutif depuis l'Ukraine que Vladimir Poutine a accusé de vouloir saper la présidentielle russe.
Il est temps d’ouvrir les yeux en Europe et en Occident : Poutine s’arrêtera là où on l’arrêtera, pas avant.
Chaque semaine, “Courrier international” explique ses choix éditoriaux et les débats qu’ils suscitent au sein de la rédaction. Dans ce numéro, à l’occasion de l’élection présidentielle qui se tient du 15 au 17 mars, nous consacrons un long dossier à la façon dont Vladimir Poutine, au pouvoir depuis plus de vingt ans, a changé la société russe. Le président, qui se pose en rempart contre l’Occident, est assuré de sa réelection. Comment les Russes le perçoivent-ils ? Sur quoi s’appuie son régime ? Les points de vue de la presse à Moscou, mais aussi des médias en exil et des journaux européens.
Le président russe Vladimir Poutine a vanté mercredi l'armement nucléaire de son pays, le jugeant "plus avancé" que celui des Etats-Unis et assurant que son arsenal était toujours "prêt" à une guerre nucléaire.

février 2024

Le président russe Vladimir Poutine a entamé jeudi à 12H13 locales (10H13 en Belgique) son discours annuel à la Nation à Moscou, selon AFP, plus de deux ans après le lancement de son assaut contre l'Ukraine.
L'année 2024 représente pour Vladimir Poutine une "fenêtre d'opportunité" pour tirer parti des faiblesses de l'Occident.
Le président russe Vladimir Poutine a choisi le conservateur américain Tucker Carlson pour accorder son premier entretien avec un journaliste occidental depuis le conflit en Ukraine. Dans l'entretien mis en ligne jeudi sur le site du journaliste vedette, il estime que la Russie ne peut pas être vaincue en Ukraine et dit écarter l'idée d'envahir la Pologne ou la Lettonie.
Le président de la Russie a affirmé dans une longue interview diffusée jeudi, qu’une défaite de la Russie en Ukraine était «impossible» et a exclu une invasion de la Pologne ou de la Lettonie.

janvier 2024

Les signaux envoyés ces derniers temps par le Kremlin donnent du crédit à l’hypothèse d’une volonté russe de geler le conflit. Une telle solution signerait l’échec de toutes les parties impliquées dans la guerre depuis février 2022, estime l’hebdomadaire britannique “The Spectator”. Mais elle semble aussi la plus réaliste de toutes.

décembre 2023

Pour l’ancien colonel Roger Housen, le président russe n’a aucune raison de faire des concessions à l’heure actuelle.
La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a réitéré l'engagement de son pays à continuer de soutenir l'Ukraine, affirmant que le président russe Vladimir Poutine avait l'intention de "détruire" le pays à la suite de l'invasion qu'il a lancée il y a près de deux ans, le 24 février 2022.
Selon le New York Times, le président russe afficherait un message différent en coulisses et serait prêt à conclure un accord de cessez-le-feu
Vladimir Poutine est en train de préparer un nouveau plan de guerre précis pour les mois à venir. Un plan qui ne présage pas une fin rapide du conflit en Ukraine.
En cas de victoire de la Russie en Ukraine, il y a un 'risque réel' que le président russe Vladimir Poutine ne s'arrête...
Le président russe Vladimir Poutine a signé vendredi un décret ordonnant d'augmenter de 15 % le nombre de soldats que compte l'armée russe, qui a expliqué cette hausse par "l'augmentation des menaces" liées au conflit en Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a signé vendredi un décret ordonnant d'augmenter de 15% le nombre de soldats que compte l'armée russe, qui a expliqué cette hausse par "l'augmentation des menaces" liées au conflit en Ukraine.

août 2023

Les crimes commis par d'ex-prisonniers russes de retour au pays après avoir combattu en Ukraine embarrassent le Kremlin. Ces derniers ont été graciés par Vladimir Poutine après leur retour du front.

juillet 2023

Le porte-parole de la présidence russe a reconnu ce lundi 10 juillet une rencontre de «près de trois heures» à Moscou entre le chef de l’Etat et le patron de la milice Wagner, entré en rébellion il y a quinze jours.

juin 2023

Les forces du groupe paramilitaire Wagner se sont repliées dimanche en Russie, mettant un terme à la rébellion lancée par leur chef Evguéni Prigojine qui a fait trembler le Kremlin et révélé, aux yeux des Occidentaux, "fissures" et "divisions" dans le camp de Vladimir Poutine.
La brève chevauchée du patron du Groupe Wagner, Evgueni Prigojine, souligne l’erreur magistrale d’avoir laissé prospérer une milice privée, sur les marges du pouvoir. Et risque d’affaiblir durablement le président russe.
La révolte des mercenaires de Wagner a exposé au grand jour des faiblesses patentes dans la position du président russe Vladimir Poutine, soulevant des questions sur sa capacité à affronter les dangers qui menacent sa survie politique, estiment les analystes.
Le chef de Wagner a affirmé lundi 26 juin dans un premier message audio après la fin de sa rébellion que son but n’était pas de renverser le pouvoir russe mais de sauver son groupe paramilitaire menacé d’être absorbé par l’armée.
La rébellion d'Evguéni Prigojine, patron du groupe Wagner, s’est achevée sans le départ pourtant exigé par le chef des mercenaires du ministre de la Défense Sergueï Choïgou. Ce dernier apparaît sur la sellette depuis le début de la guerre en Ukraine, mais Vladimir Poutine n’en finit pas de le soutenir. Jusqu’au bout ?
Le président russe s’est exprimé ce lundi 26 juin à la télévision russe, pour la première fois après la mutinerie de l’organisation paramilitaire Wagner.
Les forces du groupe paramilitaire Wagner ont commencé à quitter leurs positions en Russie sur ordre de leur chef Evguéni Prigojine, qui a fait volte-face après avoir frontalement défié l'autorité du président russe Vladimir Poutine.
Selon plusieurs analystes militaires, l’insurrection éclair de la milice privée russe puis son annulation tout aussi rapide, le 24 juin, ouvrent une séquence de doute pour Moscou et son armée, et rendent le destin de Prigojine incertain.
Plus de 100 000 Russes ont fui vers l’Arménie après l’invasion de l’Ukraine. Le rejet de la guerre et du pouvoir du Kremlin mais aussi, parfois, la simple quête d’une vie meilleure en sont les principales raisons. Un reportage de la revue espagnole “5W”.
Le chef de Wagner Evguéni Prigojine a finalement renoncé à sa rébellion contre le commandement de l’armée russe à la faveur d’un accord négocié samedi par la Biélorussie. Si la "menace de guerre civile" évoquée par Vladimir Poutine semble écartée, cette affaire porte néanmoins un sérieux coup à l’image du maître du Kremlin, révélant des failles dans l’appareil d’État, en pleine contre-offensive ukrainienne.
La situation en Russie, où Evgueni Prigojine, chef du groupe paramilitaire Wagner, a lancé une offensive armée, est suivie de près en Europe. Alors que Vladimir Poutine a dénoncé “un coup de poignard dans le dos”, la presse européenne scrute les développements de cette guerre ouverte, qui pourrait, selon elle, coûter très cher au Kremlin.
Ancien délinquant, ponte de la restauration et chef de guerre… France 24 revient sur les multiples casquettes d’Evguéni Prigojine, protégé de Vladimir Poutine et désormais en rébellion contre le maître du Kremlin. 
Dans la nuit du vendredi 23 au samedi 24 juin, le chef du groupe Wagner a provoqué la stupéfaction générale en se rebellant contre le pouvoir russe. Suivez les dernières informations.
Le chef du groupe paramilitaire Wagner Evguéni Prigojine a affirmé samedi être entré en Russie avec ses troupes dans le but de renverser le commandement militaire, se disant "prêt à mourir" avec ses 25.000 hommes pour "libérer le peuple russe".
Le conflit en Ukraine a permis à l'imprévisible patron du groupe paramilitaire Wagner de s'imposer comme un acteur de premier plan en Russie. Mais en appelant au soulèvement contre l'état-major, Evguéni Prigojine a franchi le Rubicon.
Réagissant à la rébellion menée par Evguéni Prigojine, le président russe s’est exprimé dans une allocution à la nation ce samedi matin.
La décision d’Evgueni Prigojine, patron de la milice Wagner, de déclencher une mutinerie contre l’armée, vendredi 23 juin au soir, met en évidence, dix-mois après le début de l’offensive russe en Ukraine, la réalité d’un Etat réduit à la compétition mortifère de factions.
En s’adressant de façon inédite à la nation en pleine mutinerie, le président russe confirme ses craintes : à qui vont obéir les officiers de l’armée russe qui contrôlent les routes entre l’Ukraine et Moscou?
Evguéni Prigojine, le patron de la milice Wagner, s’est graduellement imposé comme une figure incontournable de la guerre en Ukraine, capitalisant sur les difficultés de l’armée russe contre Kiev. Mais cette situation a généré de vives tensions avec l’"establishment" militaire russe jusqu’au point de rupture. Désormais en rébellion contre l’armée, l’ancien protégé de Vladimir Poutine a juré d'"aller jusqu'au bout".
Un texte russe, présenté avec toute la solennité qui importe pour lui donner sa signification, qui envisage l’emploi du nucléaire par la Russie. • On le prendra notamment comme un avertissement solennel aux élites occidentales, écrit d’ailleurs sur un ton pessimiste qui indique bien le peu d’espoir qu’il soit entendu. • L’hypothèse est d’ailleurs présentée non pas comme conditionnelle, mais comme une fatalité nécessaire et inévitable, et comme un cas permettant, avec un peu de nucléaire, d’éviter la guerre totale. • Le texte est du professeur Karaganov.
Sergej Karaganov veut faire une attaque nucléaire sur l’Occident.

mars 2023

La CPI a émis ce vendredi un mandat d’arrêt contre le président russe, pour sa responsabilité dans la déportation illégale d’enfants menés par son armée depuis le début de l’invasion en Ukraine en février 2022.
La communauté internationale fait un pas vers des poursuites contre Vladimir Poutine.

février 2023

Selon un document obtenu et révélé par le journal allemand “Süddeutsche Zeitung”, Vladimir Poutine prévoirait d’annexer le Bélarus d’ici 2030.

novembre 2022

Des frappes russes sur les infrastructures ukrainiennes ont entraîné mercredi des coupures massives d’électricité notamment dans la capitale Kiev où les températures ont chuté en dessous de zéro. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé des “crimes contre l’humanité”, à l’approche de l’hiver.

octobre 2022

Dans une tribune au « Monde », le philosophe Gérard Bensussan analyse le discours du président Poutine et de ses proches, caractérisé par des opérations de langage qui veulent « faire disparaître le réel et le remplacer par ses contrefaçons ».
Réunis en Assemblée générale mercredi 12 octobre, 143 pays sur 193 ont condamné les « annexions illégales » de territoires ukrainiens par la Russie. Un vote massif, qui montre que le rejet de l’agression de l’Ukraine n’est pas seulement l’affaire de l’Occident. Qu’attendent la Chine et l’Inde pour condamner Moscou ?
Les dirigeants du G7 ont promis mardi "de demander des comptes au président Vladimir Poutine" après les frappes russes qui pleuvent sur l'Ukraine depuis deux jours.
Le président russe Vladimir Poutine a promis lundi des répliques "sévères" en cas de nouvelles attaques ukrainiennes contre la Russie, après la destruction partielle samedi du pont de Crimée, infrastructure stratégique et symbole de l'annexion de cette péninsule ukrainienne. "Si les tentatives d'attentats terroristes sur notre territoire se poursuivent, les réponses de la Russie seront sévères et leur ampleur correspondra au niveau des menaces posées", a mis en garde Vladimir Poutine en ouverture d'une réunion télévisée du Conseil de sécurité russe. "Personne ne doit avoir le moindre doute", a-t-il averti. En réponse à l'attaque contre le pont de Crimée, le dirigeant russe a indiqué que Moscou avait lancé une campagne "massive" de bombardements dans plusieurs régions ukrainiennes. Il a affirmé que l'armée russe avait utilisé dans la matinée "des armes de haute précision de longue portée" contre "l'infrastructure énergétique, militaire et de communication de l'Ukraine".
Certains pensent que les armes nucléaires créent une stabilité géopolitique internationale par le risque de destruction mutuelle assurée. D’autres, exactement l’inverse : que cette apparence de sécurité est une illusion catastrophique.
Symbole parmi les symboles, le pont de Crimée reliant l’Ukraine à la Russie a été coupé par une explosion ce samedi. Vladimir Poutine avait fait de cette infrastructure inaugurée en 2018 un outil de propagande.
L'ancien directeur de la CIA et général de l'armée à la retraite déclare que le président russe est "désespéré" et que la réalité du champ de bataille auquel il est confronté est "irréversible".

septembre 2022

Les territoires occupés des oblasts ukrainiens de Kherson et de Zaporijia, ainsi que la « république populaire de Donetsk » et la « république populaire de Louhansk » ont été officiellement annexés par la Russie, vendredi 30 septembre, lors d’un discours prononcé au Kremlin par Vladimir Poutine.
Le président Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi que l'Ukraine allait signer une demande d'adhésion accélérée à l'Otan, quelques minutes après que la Russie a formalisé l'annexion de quatre régions ukrainiennes.
Pendant que l’on manifeste contre la guerre dans les grandes villes, les hommes d’ethnies de la périphérie sont mobilisés de force.
Le magazine allemand “Der Spiegel” a rencontré de nombreux Russes alarmés par l’annonce de la mobilisation pour la guerre en Ukraine. Vladimir Poutine semble lui-même avoir cédé à la panique, écrit l’hebdomadaire.
“The Daily Telegraph” raconte le changement d’atmosphère dans la capitale russe depuis l’annonce de la mobilisation partielle par Vladimir Poutine. Un reportage anonyme de leur journaliste sur place, réalisé malgré l’interdiction de territoire dont est frappé le quotidien britannique.
Les passages frontaliers vers la Finlande et la Géorgie depuis la Russie se sont “intensifiés” au cours de la nuit, ont indiqué jeudi les autorités locales, après que le président Vladimir Poutine a ordonné une mobilisation partielle. Cette décision du chef du Kremlin divise de plus en plus les Russes, note la presse internationale.
Annonce de mobilisation partielle, référendums sur un rattachement à la Russie organisés à la hâte dans certaines régions d’Ukraine, menaces nucléaires, autant de signes que le Kremlin est aux abois, estiment les médias ukrainiens.
L’escalade inquiétante du président russe, qui a ordonné, le 21 septembre, la mobilisation de 300 000 hommes et agité de nouveau la menace nucléaire, place désormais les pays qui ont gardé le silence depuis le début de la guerre en Ukraine devant un choix simple : soutenir ou de dénoncer cette agression.
Dans son allocution de ce mercredi matin annonçant une «mobilisation militaire partielle», Vladimir Poutine ne parle plus de l’Ukraine comme ennemi, mais de «l’Occident collectif». Un aveu d’échec devant l’avancée de la contre-offensive ukrainienne.
L'annonce par Vladimir Poutine d'une mobilisation partielle pour renforcer ses troupes en Ukraine a entraîné mercredi une ruée sur les sites Internet des compagnies aériennes pour tenter de quitter la Russie au plus vite. La mobilisation concerne dans un premier temps 300.000 réservistes, mais selon le ministère de la Défense au total 25 millions de Russes sont mobilisables pour rejoindre les rangs de l'armée dans l'est et le sud de l'Ukraine.
À sa une, l’hebdomadaire “Respekt” annonce une victoire de l’Ukraine dans sa guerre contre la Russie et la fin prochaine d’un Vladimir Poutine présenté sous les traits d’Adolf Hitler dans ses derniers jours.

août 2022

Le discours prononcé le 16 mars dernier par Vladimir Poutine avait une tonalité peu rassurante. On pouvait y déceler un inquiétant écho au discours stalinien des années 1930, dans lequel ceux que le régime avait choisi de persécuter étaient comparés à des reptiles et à des chiens enragés. Dans la récente diatribe de Poutine, l'évocation du moucheron cherche à minimiser avec mépris la menace représentée par l'adversaire en le destituant de toute dignité.
Vladimir Poutine a accepté vendredi que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) envoie une mission à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, disant craindre que les bombardements ne finissent par provoquer une "catastrophe de grande envergure".