Intempéries

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Une de ObsAnt

Vagues de chaleur, canicules, tempêtes, sécheresses, incendies, inondations, …

Résultats pour:
Libye

juin 2024

La région montagneuse de l’Ouest, riche d’oliviers, de figuiers et d’amandiers jusqu’à la fin des années 1990, se vide progressivement de ses habitants et de ses troupeaux. ... Située à 200 km au sud-ouest de Tripoli, cette zone « très pluvieuse jusqu’à la décennie 1986-1996 », selon lui, était connue pour ses plantations d’oliviers, figuiers et amandiers. Aujourd’hui, le spectacle est désolant : au milieu d’un désert rocailleux battu par le vent, les arbustes, souffrant du manque de pluies et de températures dépassant les normales saisonnières, peinent à produire des fruits ou sont complètement asséchés.

février 2024

Situés à 160 kilomètres à l’est de Tripoli, la ville de Zliten et ses environs voient depuis deux mois le sol dégorger et les nappes phréatiques ne cessent de monter.

janvier 2024

La Compagnie nationale de pétrole (NOC) en Libye a annoncé dimanche la reprise de la production pétrolière sur l'un des plus importants gisements pétroliers du pays, après un arrêt de l'activité de deux semaines suite à des protestations sur ce site. "La NOC déclare la levée de l'état de force majeure sur le champ al-Charara et la reprise de la production", a indiqué la compagnie dans un communiqué, sans plus de détails.

septembre 2023

Le dernier bilan officiel fait état de 3 922 morts. Quant aux données disponibles sur les disparus, elles restent approximatives.
Dans les colonnes de “Middle East Eye”, deux journalistes libyens ont reconstitué de façon minutieuse la meurtrière coulée d’eau et de boue qui a enseveli la ville de Derna. Une enquête qui révèle une impréparation, voire une impéritie des autorités libyennes de l’Est, dans un pays scindé en deux administrations ennemies.
Responsable adjointe des urgences chez Médecins sans frontières, en charge du dossier libyen, Claire Nicolet se veut prudente sur de possibles épidémies qui se pourraient se déclarer autour de Derna, dans l’est du pays.
D’après un groupe pionnier de climatologues, les précipitations à l’origine du déluge meurtrier en Cyrénaïque ont été rendues jusqu’à 50 fois plus probables à cause du changement climatique.
Une semaine après les inondations meurtrières à Derna, l'ONU a mis en garde lundi contre la propagation de maladies alors que les secouristes cherchent toujours les corps de milliers de disparus présumés morts. Sur le terrain, les ONG misent en priorité sur la fourniture d'eau, de nourriture et d'assistance médicale et psychologique pour soulager des habitants traumatisés par la catastrophe. Lundi, des centaines d’entre eux ont manifesté pour demander des comptes aux autorités de l'Est.
A Derna, les milliers de morts enfouis sous les décombres ou recrachés par la mer font peser le risque d’une épidémie. Même les réseaux d’eau potable ont été contaminés lors des intenses précipitations.
La tempête Daniel qui a frappé dans la nuit de dimanche à lundi Derna, une ville de 100 000 habitants, a fait au moins 11 300 morts, selon un bilan publié par un organisme de l'ONU. Plus de 10 000 personnes restent toujours portées disparues.