Intempéries

OA - Liste

Vagues de chaleur, canicules, tempêtes, sécheresses, incendies, inondations, …

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Sciences

juin 2024

Bientôt, chez nous, nous ne nous sentirons plus tout à fait chez nous sur le plan des paysages... La faute au changement climatique qui va bouleverser aussi nos habitudes. Pour savoir où aller pendant ces vacances d’été pour expérimenter le futur, des chercheurs nous proposent une application qui nous projette en 2080.
Dans les zones côtières densément peuplées de ce pays d'Asie du Sud, plus d'un million de personnes pourraient devoir être déplacées d'ici 2050, selon une étude. La faute au niveau de la mer qui s'élève à un rythme parmi les plus effrénés au monde.
Dans les esprits, gaz à effet de serre rime souvent avec CO2. De plus en plus aussi avec méthane. Mais la réalité scientifique est qu’il existe d'autres gaz à effet de serre. Parfois très puissants, même. Et les émissions de l’un d’entre eux dont on parle encore très peu, le protoxyde d'azote, ont littéralement explosé.
Les chiffres montrent que l’Arctique se réchauffe plus vite que le reste de la planète. Et des chercheurs viennent de mettre le doigt sur un phénomène météo connu, mais encore peu étudié, qui semble étroitement lié à la fonte accélérée des glaces dans la région.

mai 2024

Avec le réchauffement climatique, les sols jusqu’ici gelés en permanence des régions septentrionales pourraient dégeler. Les microbes qui s’y cachent libèreraient alors des quantités de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Sans doute plus encore que les scientifiques le craignaient déjà, révèlent de nouveaux travaux.
Les marées font partie de ces rares choses de la nature qui sont extrêmement prévisibles. Qui l’étaient, tout du moins. Parce qu’un nouvel élément semble venir perturber ce cycle bien établi. Le réchauffement climatique anthropique…
AlphaFold3 peut prédire avec plus de précision comment les protéines interagissent avec d'autres molécules biologiques.
Une nouvelle étude révèle que le taux de CO2 dans l’atmosphère augmente actuellement 10 fois plus vite que lors de la plus rapide hausse naturelle enregistrée sur les 50 000 dernières années !
Cette initiative, lancée le lundi 6 mai à Bruxelles, témoigne du désarroi actuel des scientifiques en Europe face au déni du changement climatique, à la montée des populismes et aux discussions sur un durcissement des politiques migratoires qui menacent la libre circulation des chercheurs ou des étudiants.

avril 2024

Les activités humaines sont responsables du déclin de la biodiversité observé par les scientifiques depuis plusieurs décennies. Jusqu’ici, c’est essentiellement le changement d’affectation des sols qui nuit à la nature. Mais demain, les effets du réchauffement climatique pourraient prendre le pas.