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mai 2024

EDF a annoncé lundi pour la première fois "la signature de prêts bancaires verts" dédiés au financement de la maintenance et de l'extension de la durée de la vie de son parc nucléaire existant, pour un montant d'"environ 5,8 milliards d'euros".Ces prêts dont le remboursement sera étalé sur une durée de trois à cinq ans "ont été conclus avec de grandes banques internationales dont BNP Paribas, Bank of America, Crédit Agricole CIB, ING, Natixis CIB, Société Générale, Wells Fargo", a détaillé EDF dans un communiqué.
L'épilogue d'un long feuilleton: le gendarme du nucléaire français a donné mardi son feu vert à la mise en service du réacteur de nouvelle génération EPR de Flamanville en Normandie, une étape clé pour le lancement progressif de la production d'électricité prévu au cours de l'été, douze ans après le calendrier prévu. A l'heure où la France veut construire jusqu'à 14 réacteurs en France, ce feu vert est une étape majeure pour EDF et toute une filière qui entendent tourner la page d'un chantier laborieux de 17 ans, émaillé de multiples problèmes et de surcoûts colossaux.

avril 2024

EDF déboursera au total trois milliards d'euros sur ses fonds propres en 2024 pour la préparation de son projet de nouveau réacteur EPR2 au coeur du vaste programme de relance du nucléaire voulu par l'Etat, a indiqué mercredi le PDG du groupe électricien au Sénat. 20 milliards d'investissements par an "À ce jour, nous avons engagé un peu moins de deux milliards d'euros, des fonds propres d'EDF, sur la préparation de ce projet", a déclaré le PDG d'EDF Luc Rémont, en précisant qu'"en fin d'année", la somme atteindra "trois milliards d'euros".

mars 2024

Porté par un regain d'intérêt pour l'atome, EDF compte déployer des réacteurs de 3e génération (EPR) en France et en Europe à une échelle "industrielle", un pari ambitieux compte tenu de ses dérapages de coûts et de délais à répétition, incarnés par l'EPR de Flamanville censé démarrer cette année. En novembre, le PDG Luc Rémont a fixé le cap : construire "1 voire 1,5 (réacteur EPR2) par an" en Europe dès la prochaine décennie, loin du rythme actuel de "un ou deux (réacteurs) par décennie".
Porté par un regain d'intérêt pour l'atome, EDF compte déployer des réacteurs de 3e génération (EPR) en France et en Europe à une échelle "industrielle", un pari ambitieux compte tenu de ses dérapages de coûts et de délais à répétition, incarnés par l'EPR de Flamanville censé démarrer cette année.Après avoir fixé en novembre le cap à "1 voire 1,5 (réacteur EPR2) par an" en Europe dès la prochaine décennie, le PDG Luc Rémont a revu en hausse l'ambition du groupe à "deux réacteurs par an" dans un entretien accordé à Contexte, publié vendredi.
Le ministère des Armées a annoncé lundi une "collaboration" avec EDF afin d'utiliser la puissance des deux réacteurs nucléaires de la centrale de Civaux pour produire avec le CEA du tritium, "un gaz rare indispensable aux armes de la dissuasion".Cette annonce, présentée comme un projet de long terme, fait suite à une visite du ministre de la Défense Sébastien Lecornu à Civaux, dans la Vienne.
De la corrosion, phénomène qui avait immobilisé une partie du parc nucléaire français l'hiver dernier, a été décelée sur le réacteur de Blayais 4 (Gironde), a indiqué jeudi EDF, confirmant une information du Parisien mais soulignant que cela n'affectait pas sa prévision de production nucléaire pour cette année.

février 2024

L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a demandé à EDF de mettre en place un "plan d'action" pour lutter contre les risques de "fraudes" dans la filière nucléaire, a-t-elle indiqué mardi.Lors de ses voeux à la presse le 30 janvier, le président de l'ASN Bernard Doroszczuk avait fait état de 43 cas de "fraudes" ou "contrefaçons" dans la filière nucléaire signalés à son administration. Il avait fait part de sa crainte de voir ce risque se développer sur fond de relance de l'atome en France.

janvier 2024

Paris demande l'appui de Londres pour l'aider à combler le déficit des projets de construction de réacteurs nucléaires menés par EDF en Grande-Bretagne, rapporte jeudi le quotidien Financial Times en citant le ministère français de l'Économie. Le quotidien affirme dans son édition de jeudi que "le gouvernement français fait pression sur le Royaume-Uni pour qu'il l'aide à combler un déficit de plusieurs milliards d'euros dans le budget des projets nucléaires construits en Grande-Bretagne par l'opérateur électrique français EDF".
Le gouvernement britannique a annoncé injecter 1,3 milliard de livres (1,5 milliard d'euros) supplémentaires dans le projet Sizewell C de centrale nucléaire EPR, porté par l'énergéticien français EDF dans le Suffolk (est)."Le gouvernement a débloqué 1,3 milliard de livres supplémentaires pour soutenir la construction de Sizewell C", a annoncé l'exécutif dans un communiqué lundi soir, portant à plus de 2,5 milliards de livres le total déjà apporté par le gouvernement à ce projet.