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Descendant d'Omicron, le sous-variant Kraken fait parler de lui à l’internationale.
Il y a un an, le 26 novembre 2021, l’Organisation mondiale de la santé désignait le variant B.1.1.529 comme variant préoccupant, sous l’appellation Omicron. Par quels mécanismes moléculaires ce lignage du SARS-CoV-2 a-t-il depuis évolué ? Quelles trajectoires évolutives a-t-il suivies pour générer de nombreux sous-lignages, eux-mêmes à l’origine de multiples sous-variants ? Et quelle sera l’évolution future du SARS-CoV-2 ? Des virologistes moléculaires et spécialistes en bioinformatique suisse, américain, japonais, italien et britannique, ont tenté de faire le point sur ces questions dans un article diffusé le 25 novembre 2022 sur le site virological.org.
Selon les derniers chiffres de l’Office national des statistiques au Royaume-Uni, 1 personne sur 25 a été testée positive entre le 22 et le 29 juin en Angleterre. Des contaminations majoritairement causées par les sous-variants BA.4 et BA.5.
Un nouveau variant du covid devrait arriver en Belgique d'ici quelques jours. Doit-on déjà craindre pour notre hiver ?
La Nouvelle-Zélande avait été quasiment épargnée par les premières vagues de Covid-19, mais l’arrivée du variant Omicron a changé la donne. Si le taux de mortalité demeure relativement bas, les experts s’inquiètent d’une possible résurgence de l’épidémie durant l’hiver austral.
C’est une réalité désormais documentée. Selon une étude publiée ce vendredi par la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), le surcroît de protection que confère la troisième dose vaccinale trois mois après l’injection est quasi nulle contre l’infection omicron, même si elle demeure non négligeable contre les formes graves.
En raison d'un pic de cas à travers le pays, les autorités ont fermé les écoles de Shanghai, confiné les quartiers centraux du centre technologique du sud Shenzhen, ainsi que des villes entières du nord-est, tandis que presque dix-neuf provinces luttent contre des foyers locaux dus aux variants Delta et Omicron.
"Omicron continue de déferler sur la planète. (...) Ne vous méprenez pas, Omicron provoque des hospitalisations et des décès, et même les cas les moins graves submergent les établissements de santé", a déclaré Tedros Adhanom Ghebreyesus en conférence de presse à Genève (Suisse).
Inquiète du "raz de marée" d'Omicron, la branche européenne de l'Organisation mondiale de la santé a estimé mardi que plus de 50% des Européens pourraient être touchés par Omicron d'ici deux mois, à cause du rythme actuel de contamination.
Bien que le variant se propage comme une traînée de poudre dans le monde, il semble moins pathogène que ce que l’on craignait initialement et a fait naître l’espoir que la pandémie pourrait être surmontée. Mais Catherine Smallwood, une responsable des situations d’urgence à l’OMS, a indiqué à l’AFP que la montée en flèche des taux d’infection pourrait avoir l’effet inverse.