Intempéries

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juin 2024

Le mot « climat » n’apparaît ni dans les 22 propositions de Marine Le Pen pour l'élection présidentielle de 2022, ni dans le programme de Jordan Bardella pour les législatives.En revanche, le terme « Empreinte carbone » a été introduit dans celui de Jordan Bardella Dans le débat public, il est abondamment utilisé par les candidats du RN pour rejeter toute contrainte, réglementaire ou budgétaire, introduite au nom de l’action climatique, et justifier une « écologie du bon sens » basée sur la systématisation de la préférence nationale.
Sauver les herbiers de posidonie arriverait comme une solution supplémentaire pour lutter contre le réchauffement climatique.
Le marché multiplie les controverses, mais constitue aussi l'une des rares sources de financement pour les pays du Sud.
Jamais en manque de raccourcis pour nous faire douter de l’existence d’un réchauffement global, les dénégateurs de la science climatique mettent en avant à intervalles réguliers l’argument selon lequel il ne serait, en fait, pas prouvé que le CO2 émis par les êtres humains en soit la cause. En une phrase, ce cliché pose la question de savoir si nous sommes sûrs que le CO2 émis par les humains est vraiment la cause du réchauffement climatique ?
La consommation d’énergies fossiles semble avoir atteint un pic en Europe et aux États-Unis, mais elle continue à croître dans les pays du Sud, selon le rapport annuel de l’Energy Institute, un centre de recherche britannique qui fonde ses analyses sur une gigantesque base de données.
On considérait le continent africain comme un puits de carbone. Ce n’est plus le cas, indique une nouvelle étude. Certes, il n’émet que 4 % des émissions des gaz à effet de serre d’origine humaine, mais c’est plus qu’il n’en absorbe. L’hebdomadaire sud-africain “Mail & Guardian” fait le point.
Les émissions de deux années d’invasion s’élèvent à environ 175 millions de tonnes de dioxyde de carbone.
Dans les esprits, gaz à effet de serre rime souvent avec CO2. De plus en plus aussi avec méthane. Mais la réalité scientifique est qu’il existe d'autres gaz à effet de serre. Parfois très puissants, même. Et les émissions de l’un d’entre eux dont on parle encore très peu, le protoxyde d'azote, ont littéralement explosé.
Pour limiter le réchauffement à 1,5°C, il faudra retirer de l’atmosphère d’ici à 2050 quatre fois plus de CO2 qu’aujourd’hui, grâce aux forêts, aux sols et à l’océan mais aussi à des technologies de pointe encore balbutiantes.
Réduire les rejets de CO2 ne suffira pas pour limiter le réchauffement climatique à 1,5° voire 2°C: il faudra en éliminer quatre fois plus qu'aujourd'hui d'ici à 2050, grâce aux forêts mais aussi grâce à des technologies de pointe encore balbutiantes, selon un rapport de référence publié mardi.