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mai 2024

Le mouvement islamiste palestinien Hamas a jugé "positive" vendredi soir la nouvelle feuille de route israélienne en vue d'un cessez-le-feu dans la bande de Gaza et de la libération d'otages dévoilée par le président américain Joe Biden.
Le président français a appelé mercredi 29 mai le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas à «mettre en œuvre les réformes indispensables» dans «la perspective de reconnaissance de l’Etat de Palestine», rapporte la présidence fra
L'armée israélienne a annoncé mercredi avoir pris le contrôle d'une zone tampon entre la bande de Gaza et l'Égypte et a intensifié ses bombardements sur la ville frontalière de Rafah, devenue l'épicentre de la guerre contre le Hamas. Elle a également affirmé avoir découvert une vingtaine de tunnels dans le secteur frontalier.
La Défense civile de la bande de Gaza a annoncé mardi la mort de 21 personnes dans une frappe israélienne sur un camp de déplacés dans le sud du territoire palestinien, deux jours après un bombardement similaire à Rafah. La Maison-Blanche continue de juger qu’Israël n’a pas lancé contre cette ville du sud de la bande de Gaza une offensive “majeure”, susceptible de remettre en cause le soutien américain.
En bombardant un camp de déplacés dans la grande ville du sud de Gaza, faisant plusieurs dizaines de morts, l’État hébreu répond avec horreur à la Cour internationale de justice, qui lui a ordonné de suspendre ses opérations militaires, estime le journal palestinien “Al-Quds”.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a condamné lundi une frappe israélienne à Rafah qui a fait des dizaines de morts, soulignant que "ces horreurs doivent cesser".
La Belgique espère réunir un large groupe de pays européens afin d'aboutir à une reconnaissance de l'État palestinien dans le cadre d'un processus qui mettrait fin à la violence en cours depuis le 7 octobre, a expliqué lundi le Premier ministre, Alexander De Croo, à l'issue d'un entretien à Bruxelles avec son homologue palestinien, Mohammad Mustafa, en compagnie de la ministre belge des Affaires étrangères, Hadja Lahbib.
Après une frappe israélienne à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, qui a coûté la vie à 45 personnes, selon le ministère de la Santé à Gaza, l'État hébreu fait face à une vague de condamnations internationales.
L’Autorité palestinienne a accusé Israël d’avoir perpétré « un massacre » dimanche, en frappant un centre pour personnes déplacées à Rafah. L’attaque, qui a fait au moins 35 morts selon les autorités de Gaza, a été confirmée par l’armée israélienne, qui assure avoir visé « un quartier général du Hamas ».
La branche armée du Hamas palestinien a dit dimanche avoir visé Tel-Aviv avec un "important barrage de roquettes" dans un message publié sur le réseau social Telegram.
Le Premier ministre israélien s'est dit dimanche "fermement opposé" à la fin de la guerre à Gaza, au moment où s'intensifient les efforts diplomatiques en vue d'une reprise des négociations pour parvenir à une trêve dans le territoire palestinien.
La Cour internationale de justice a ordonné vendredi 24 mai à Israël d’arrêter son offensive militaire à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.
Le ministère des Affaires étrangères du gouvernement espagnol du socialiste Pedro Sánchez a averti samedi Israël que les ordonnances émises par la Cour internationale de justice (CIJ) sont "contraignantes" et a exigé leur respect.
Suite à une saisine de la part de l’Afrique du Sud, la Cour internationale de justice (CIJ) a sommé, ce 24 mai, l’État hébreu de mettre fin à ses opérations militaires à Rafah, ville de la bande de Gaza. En cas de non-respect de cette décision, Israël risque des sanctions.
L’installation de la jetée temporaire américaine sur la côte de Gaza a permis le débarquement en une semaine de 97...
La plus haute juridiction de l’ONU appelle également ce vendredi 24 mai l’Etat hébreu à laisser entre l’aide humanitaire par le point de contrôle de Rafah.
L’annonce par la Norvège, l’Irlande et l’Espagne de la reconnaissance officielle de l’Etat de Palestine, ce mercredi, affaiblit un peu plus Benyamin Nétanyahou, visé depuis lundi par une demande de mandat d’arrêt de la CPI.
Plusieurs capitales européennes, dont Madrid et Dublin, annoncent ce mercredi leur intention de reconnaître un Etat palestinien ce mercredi 22 mai. Furieux, Israël a rappelé plusieurs de ses ambassadeurs.
Pollution des sols, sources d’eau contaminées, champs dévastés. En plus du lourd bilan humain, le préjudice écologique subi par les habitants de Gaza est immense. Des observateurs soulignent la nécessité de criminaliser la destruction de l’environnement à des fins militaires.
Un nouveau convoi de camions transportant de l’aide humanitaire pour #Gaza a été bloqué par des colons qui ont détruit les colis, le 13 mai, au point de passage de #Tarqumia, en Cisjordanie. Deux activistes israéliennes pour la paix ont tenté de s’interposer. Elles les ont confrontés, prenant des soldats de l’armée israélienne à témoin, et ont tout filmé.
Avec l’annonce de l’Espagne, l’Irlande et la Norvège, 146 des 193 pays membres de l’Organisation des Nations unies reconnaissent officiellement l’Etat de Palestine.
Le procureur de la CPI a réclamé ce mardi des mandats d’arrêt contre deux dirigeants de l’Etat israélien, parmi lesquels le Premier ministre, et du Hamas.
Lundi 20 mai, Kharim Khan, le procureur de la Cour pénale internationale, a demandé que soient émis des mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien, son ministre de la Défense, le chef du Hamas à Gaza et deux autres responsables du mouvement palestinien. Un coup dur pour les dirigeants de l’État hébreu qui redoutaient cette décision et qui avaient tenté de s’y opposer, commente la presse internationale.
Un groupe de militants pacifistes israéliens ont tenté de protéger dimanche un convoi humanitaire à destination de la bande de Gaza, pour empêcher qu'il soit attaqué par des activistes israéliens comme d'autres ces derniers jours, a constaté une correspondante de l'AFP.
Après des jours de blocage de l'aide humanitaire dans le territoire palestinien menacé de famine, les premiers chargements ont commencé à être débarqué vendredi par la jetée provisoire américaine arrimée la veille sur la côte de la bande de Gaza.
Réuni en sommet à Manama, à Bahreïn, la Ligue arabe a appelé jeudi au déploiement de "forces internationales de protection et de maintien de la paix de l'ONU dans les territoires palestiniens occupés" par Israël jusqu'à la mise en place d'un État palestinien. Un appel qui coïncide avec l'annonce par Israël de son intention d'"intensifier" ses opérations au sol à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.
La reconnaissance de la Palestine à côté d’Israël marquerait le refus absolu de la violence d’Etat pratiquée par le gouvernement Netanyahu. Et constituerait, pour l’Europe, l’opportunité de sceller sa rupture avec la part sombre de son passé.
La construction de cette jetée flottante avait été annoncée en mars dernier. Le 17 mai au matin, les premiers colis d’aide humanitaire à destination des Gazaouis ont commencé à être débarqués pour pouvoir être distribués.
Les Etats-Unis se sont dits lundi "préoccupés" et ont appelé leur allié israélien à enquêter après un reportage de CNN sur les conditions dégradantes auxquelles seraient soumis certains prisonniers palestiniens en Israël. A partir d’informations fournies par des lanceurs d’alerte, la chaîne d’information a diffusé un reportage choc vendredi dernier, au sujet de la base militaire israélienne de Sde Teiman, située dans le désert du Néguev, dans le sud d’Israël.
Madrid a refusé à un navire transportant une cargaison d'armes à destination d'Israël l'autorisation d'accoster dans un port espagnol, a déclaré jeudi le ministre espagnol des Affaires étrangères, Jose Manuel Albares.
Le Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient a annoncé avoir arrimé jeudi une jetée provisoire sur la côte de Gaza, devant permettre d'y acheminer plus d'aide humanitaire. À terme, les États-Unis espèrent l'arrivée de l'équivalent de "150 camions par jour" dans le territoire palestinien, soumis à d'intenses bombardements israéliens, et dont les principaux points d'entrée sont bloqués depuis plus d'une semaine.
Le Caire va s’associer à la plainte sud-africaine accusant Israël de génocide dans la bande de Gaza. Une décision prise après l’entrée de l’armée israélienne, le 6 mai, dans le “corridor de Philadelphie”, à la frontière entre l’Égypte et l’enclave palestinienne. Les accords de paix entre les deux pays seraient-ils menacés ?
De violents combats ont eu lieu lundi entre les soldats israéliens et le Hamas à Rafah et à Jabaliya, dans le sud et dans le nord de la bande de Gaza. Des Palestiniens ont continué de fuir des secteurs de Rafah, mais certains disent ne pouvoir partir faute de moyens.
Soixante-seize ans après la création de l’Etat d’Israël et face au désastre en cours dans la bande de Gaza, la reconnaissance d’un Etat palestinien pourrait contribuer à abréger la souffrance des Palestiniens et protéger l’Etat hébreu contre lui-même.
«The New York Times» s’est procuré sept dossiers des services de renseignement du mouvement islamiste entre 2016 et 2023. Via un réseau d’informateurs, le Hamas y compilait des renseignements sur des milliers de Palestiniens.
Une offensive terrestre israélienne sur Rafah conduirait à une "catastrophe humanitaire colossale", a prévenu vendredi le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, au moment où les opérations militaires contre le Hamas dans cette ville surpeuplée paralysent l'entrée de l'aide dans la bande de Gaza.
Dans cette lettre, adressée aux ministres européens des Affaires étrangères, ces personnalités, dont l’ancien diplomate Elie Barnavi, appellent à la reconnaissance d'un Etat palestinien, «une question de principe et de justice historique».
Tsahal a appelé ce lundi 6 mai les Gazaouis présents dans l’est de la ville à rejoindre des «zones humanitaires», assurant débuter une «opération d’ampleur limitée» dans la ville du sud de la bande de Gaza.
Le premier ministre israélien a déclaré que son pays « ne [pouvait] accepter » la demande du mouvement palestinien que l’accord prévoit la fin définitive des hostilités dans la bande de Gaza.
Les 88 parlementaires, auteurs d’une lettre adressée au président, précisent cependant que doivent être exclus de cette possible suspension de l’aide américaine les systèmes israéliens de défense antimissile, comme le Dôme de fer.

avril 2024

Le Hamas doit donner sa réponse à la contre-proposition de pause des combats amendée par Israël. Sous couvert d’anonymat, un membre du mouvement islamiste palestinien a affirmé qu’il n’y avait «aucun problème majeur» dans le texte.
Une proposition de cessez-le-feu dans la bande de Gaza a été présentée au Hamas, prévoyant une cessation des hostilités pendant 40 jours associée à la libération d’otages et de prisonniers, a déclaré lundi à Ryad le ministre britannique des Affaires étrangères, David Cameron.
Un port temporaire et une jetée en mer vont bientôt voir le jour sur la bande de Gaza, afin de faciliter la livraison de cargaisons au peuple palestinien.
L'ONU a réclamé mardi une enquête internationale sur les fosses communes découvertes dans les deux principaux hôpitaux de la bande de Gaza, soulignant la nécessité d'une enquête indépendante face au "climat d'impunité" actuel.
Les Etats-Unis pourraient imposer dans les jours à venir des sanctions au sulfureux bataillon Netzah Yehuda, accusé de violations des droits humains contre des civils palestiniens en Cisjordanie.
La défense civile à Gaza poursuit ses recherches de corps et de restes humains enterrés dans un charnier découvert dans la ville de l’enclave palestinienne, d’où les troupes israéliennes se sont retirées le 7 avril. Il s’agit de la deuxième grande fosse commune découverte en une semaine.
Tous ces projets doivent revenir dans le courant de la semaine prochaine au Sénat, à majorité démocrate, avant d’être potentiellement promulgués par le président des Etats-Unis, Joe Biden.
Un responsable local parle d’une opération « sans précédent » dans le camp de déplacés de Nour Shams, en Cisjordanie. Ismaïl Haniyeh, chef de file du Hamas, a été reçu par le président turc, Recep Tayyip Erdogan.
Des responsables israéliens ont confirmé vendredi à la presse américaine avoir lancé une opération sur le territoire iranien, notamment dans la ville d’Ispahan, en réponse à l’attaque sans précédent de Téhéran contre l’État hébreu le week-end dernier.
L'Iran a fait état de trois explosions survenues vendredi à l'aube près d'une de ses bases militaires dans le centre du pays, dans la région d'Ispahan. Si Israël n'a pas revendiqué l'attaque, plusieurs sources américaines ont rapporté que l'État hébreu avait prévenu Washington à l'avance de la frappe, sans que les États-Unis n'approuvent l'opération.
« Le Moyen-Orient est au bord du précipice. Les derniers jours ont vu une escalade dangereuse, par les mots et les actions », a déclaré jeudi le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Il a dénoncé la situation des 2,4 millions de Palestiniens endurant « la mort, la destruction, le déni d’aide humanitaire vitale », et la faim.
L’Union européenne a annoncé ce vendredi 12 avril avoir sanctionné les branches militaires du Hamas et du Jihad Islamique pour des pratiques «systématiques» lors de l’attaque terroriste du 7 octobre sur l’Etat hébreu.
Il reste encore 129 Israéliens entre les mains du Hamas, dont 34 sont morts selon Tel Aviv. L’organisation islamiste palestinienne dit avoir besoin de «temps et de sécurité» pour les retrouver, car ils se trouvent détenus par «différents gr
Face aux destructions environnementales à Gaza et en Cisjordanie, le mouvement écologiste israélien est clivé. Alors que beaucoup soutiennent les efforts de guerre ou restent silencieux, certains luttent pour un futur partagé.
Ancien ministre au Liban, professeur en relations internationales, ex-émissaire de l’ONU et essayiste, Ghassan Salamé est un observateur avisé du Moyen-Orient qui côtoie les acteurs du conflit israélo-palestinien depuis des décennies. À l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage, il a accordé un long entretien à France 24. Ce premier volet est consacré au conflit à Gaza et à ses conséquences à long terme pour la région.
Lors d’un entretien téléphonique “tendu” qui s’est tenu le jeudi 4 avril, le président américain, Joe Biden, a averti le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, que le soutien américain à l’État hébreu allait désormais dépendre des “mesures concrètes” mises en œuvre pour protéger les civils et les travailleurs humanitaires dans la bande de Gaza.
Àla une de la presse ce vendredi matin, une nouvelle information sur la guerre à Gaza : Israël a utilisé l’intelligence artificielle pour localiser 37.000 cibles. Nom du système : Lavende. Difficile, selon le Washington Post, de trouver un sobriquet plus aérien que celui-là. À l’origine de l’information, six officiers des services de renseignements israéliens qui ont témoigné dans une enquête détaillée par deux médias israéliens.
Le président américain Joe Biden a pressé jeudi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de "conclure sans délai un accord" pour un "cessez-le-feu immédiat" dans la bande de Gaza.
À cause de la surpopulation et du très faible niveau d’hygiène, de plus en plus de cas d’infection au virus de l’hépatite A sont enregistrés dans le sud de la bande de Gaza, où sont entassés des centaines de milliers de déplacés. Et la situation risque de s’aggraver, raconte le site “Daraj”.
La communauté internationale demande des comptes aux autorités israéliennes, qui attribuent la mort des employés de World Central Kitchen à une “erreur d’identification”, alors que les premiers éléments de l’enquête semblent indiquer un raid délibéré.
L'armée israélienne a annoncé lundi que 600 de ses soldats ont été tués depuis le 7 octobre 2023, date du début de la guerre avec le mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza.

mars 2024

S’il est question maintenant de parler de la « réinvention de nos diasporas », c’est-à-dire, finalement, de réfléchir à ce que c’est qu’être juif, à ce qu’est le monde dans lequel nous vivons et à ce que doit être notre place dans ce monde, alors il est difficile, voire impossible, de ne pas prendre comme point de départ de cette réflexion, la violence inouïe qui se déploie en ce moment même à Gaza et les crimes qui y sont commis.
Depuis le début de la guerre civile en Syrie, en 2011, Israël a mené des centaines de frappes visant l’armée syrienne, mais aussi les groupes pro-iraniens qui combattent aux côtés du régime de Damas.
Érosion du soutien de l’opinion en Occident, voix dissonantes au sein de la diaspora juive et rupture actée avec Joe Biden… Les réactions à la violence de la guerre à Gaza se multiplient. Et elles annoncent une défaite stratégique pour l’État hébreu, estime le rédacteur en chef de ce site panarabe.
La Cour internationale de justice (CIJ) a ordonné jeudi à Israël d'assurer "une aide humanitaire de toute urgence" à la bande de Gaza assiégée, où des combats opposent l'armée israélienne et le mouvement islamiste palestinien Hamas dans le secteur de plusieurs hôpitaux.
Le gouvernement israélien vient d'annoncer la saisie de la plus grande parcelle de terre en Cisjordanie occupée depuis les accords de paix d'Oslo en vue d'y bâtir de nouvelles colonies. La zone de 800 hectares se situe dans la vallée du Jourdain, région vitale pour un futur État palestinien.
Le Hezbollah et son allié Amal ont annoncé mercredi soir huit morts dans leurs rangs, parmi lesquels des secouristes, dans des frappes israéliennes dans le sud du Liban portant à 16 le nombre de victimes d'une journée d'échanges de tirs transfrontaliers.
La perpétuation de la situation actuelle conduit la société israélienne dans une impasse autodestructrice.
Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a salué lundi l’adoption par le Conseil de sécurité d’une résolution exigeant un cessez-le-feu "immédiat" à Gaza et la libération des otages, estimant que ne pas l’appliquer serait "impardonnable".
Après des semaines de négociations, la résolution, qui exige également la libération des otages, a été approuvée par 14 des 15 membres. En s’abstenant, les Etats-Unis ont permis l’adoption du texte.
Le patron de l'ONU Antonio Guterres s'est rendu samedi aux portes de la bande de Gaza dévastée par la guerre et au bord de la famine, où il a appelé à un cessez-le-feu entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas pour mettre fin au "cauchemar".
Le gouvernement israélien a annoncé ce vendredi 22 mars la saisie de 800 hectares de terres dans la vallée du Jourdain, en Cisjordanie occupée.
Les Etats-Unis avaient déposé à l’ONU un projet appelant à un cessez-le-feu immédiat et durable, rappelant le risque de famine dans l’enclave palestinienne. Jusqu’ici, Washington, principal allié d’Israël, a mis son veto à plusieurs résolutions appelant à des cessez-le-feu.
L’armée israélienne mène depuis quatre jours une opération dans le complexe hospitalier Al-Chifa, dans la bande de Gaza, où elle a annoncé, jeudi, avoir déjà tué "plus de 140" combattants palestiniens.
Depuis plusieurs semaines, le risque de famine est évoqué dans la bande de Gaza, sans pour autant qu'elle ne soit décrétée. L'ONU a annoncé lundi que d'ici fin mai, en l'absence de mesures "urgentes", le nord de l'enclave basculerait au niveau le plus élevé d'insécurité alimentaire, tant en termes d'ampleur que de gravité. France 24 revient sur les critères stricts pour déclarer l'état de famine dans un territoire.
Washington a confirmé lundi la mort du chef adjoint de la branche armée du groupe islamiste palestinien, Marwan Issa. C’est le responsable le plus haut placé tué sur ce territoire par l’armée israélienne depuis le début de la guerre.
L’Organisation mondiale de la santé s’est, elle, dite « terriblement préoccupée » par les combats près de l’hôpital Al-Shifa. Le Hamas a dénoncé un « crime de guerre », affirmant que des milliers de personnes étaient réfugiées dans l’hôpital.
Le mouvement islamiste avait critiqué la nomination de l’économiste Mohammad Mustafa au poste de premier ministre de l’Autorité palestinienne, susceptible d’« aggraver les divisions » entre Palestiniens.
Le déchargement de 200 tonnes de vivres transportées par le navire Open Arms s’est achevé ce samedi 16 mars dans la bande de Gaza. C’est la première fois depuis le début de la guerre, que de l’aide humanitaire est acheminée par la mer.
Un premier bateau chargé de vivres pour la population affamée par plus de cinq mois de guerre est arrivé vendredi au large de la bande de Gaza, au moment où les Palestiniens se rassemblaient sous tension pour la première grande prière depuis le début du ramadan.