2025
Pourquoi l'effondrement de l'Antarctique va changer nos vies ? C'est la question posée à Eric Rignot, glaciologue spécialiste de l’observation des calottes polaires par satellite, professeur à l’université de Californie à Irvine, chercheur auprès de la NASA, membre de l’Académie des sciences américaines.
Une étude sur les vêlages en Antarctique apporte des réponses, tout en mettant en lumière un aspect moins visible mais plus préoccupant.
2024
« le coup de la banquise antarctique »… Parmi les milliers de posts climatosceptiques ou dénialistes qui circulent sur les réseaux sociaux, il y a celui qui reprend des graphiques censés « prouver » que l’antarctique serait, contrairement aux « discours alarmistes des réchauffistes » (!), en expansion constante…
En quête de preuves pour appuyer ses convictions, un YouTubeur complotiste a mené une expérience unique en Antarctique. Cette aventure l’a poussé à reconsidérer sa vision du monde et à admettre une réalité scientifique incontournable : notre planète est bien ronde.
Imaginez un iceberg trois fois plus grand que la ville de New York se déplaçant à nouveau après des mois d’immobilité. C’est l’histoire fascinante d’A23a, un énorme bloc de glace surnommé « mégaberg », qui intrigue les scientifiques et ravive l’intérêt pour les mystères des océans. Pourquoi un tel iceberg est-il si important ? Que peut-il révéler sur les écosystèmes marins et sur les changements climatiques ?
En 35 ans, la végétation en Antarctique s'est étendue à un rythme alarmant, révélant l'impact direct du réchauffement climatique. Une étude basée sur des données satellites met en lumière une transformation rapide et préoccupante du continent blanc.
L'analyse de bulles d'air emprisonnées dans des carottes de glace vieilles de plus de 200 000 ans témoigne de moments dans l'histoire de la planète où la concentration de CO2 dans l'atmosphère a subitement augmenté. Et suggère que nous pourrions être à l'aube d'un événement similaire...
L’équivalent de quatre ans supplémentaires d’émissions mondiales de CO₂ pourraient être bientôt relargué dans l’atmosphère, venant aggraver le changement climatique.
La superficie occupée par les plantes, principalement des mousses, a été multipliée par quatorze depuis 1986, avec une accélération récente. Cette colonisation pourrait être liée à la hausse des températures et la réduction de la banquise.
As a six-year investigation into the Thwaites glacier in Antarctica wraps up, the scientists involved are pessimistic for the future of this glacier and the consequences for sea level rise