Jean-Baptiste Fressoz

OA - Liste

2025

« L’espèce humaine tue consciemment, volontairement, chaque minute dans le monde, plus de 2 millions d’animaux. Autrement dit, elle massacre en une semaine 50 fois plus d’animaux que l’ensemble des victimes humaines de toutes les guerres de l’histoire de l’humanité. »
La pénurie a provoqué une flambée des prix en magasin et le pays va importer des milliers de tonnes d’œufs de Turquie. En trois ans, la propagation du virus H5N1 a contraint les exploitations américaines à éliminer 158 millions de dindes, de poulets et, surtout, de poules pondeuses.
Le président américain divise par deux les effectifs du programme gouvernemental de surveillance des épidémies et par dix celui des Centres de prévention et de lutte contre les maladies.
Un quart de la production du leader norvégien Mowi s’est échappée en mer le 9 février, après le passage d’une tempête, provoquant la panique chez les autorités.
Un troisième foyer de grippe aviaire de type H5N1 a été détectée chez un éleveur de volailles amateur à Herstal en province de Liège, indique mercredi l'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca).
Les océans du monde sont frappés par une crise silencieuse mais catastrophique. Une nouvelle épidémie frappe les populations d’oursins, des organismes indispensables à l’équilibre des récifs coralliens. Cette maladie, causée par un parasite cilié, a déjà conduit à des taux de mortalité alarmants dans la mer Rouge et l’océan Indien.
Un foyer de grippe aviaire H5N9 hautement pathogène identifié en Californie Un foyer de grippe aviaire hautement pathogène, le virus H5N9, a été identifié pour la première fois aux États-Unis, plus précisément dans un élevage de canards en Californie. Pour contenir l’épidémie, les autorités sanitaires ont procédé à l’abattage de près de 119 000 volailles.
Cela augure-t-il d'une pandémie humaine ? Aux États-Unis, la grippe aviaire H5N1 se répand dans les élevages industriels, mais aussi chez leurs employés. Un premier mort humain est à déplorer.
Aucun cas de la maladie n’a, pour l’instant, été enregistré au Royaume-Uni, assure le ministère de l’environnement, de l’alimentation et des affaires rurales britannique, qui appelle toutefois les éleveurs à « rester vigilants face aux signes cliniques » de celle-ci.
Deux lignages différents circulent actuellement, l’un véhiculé par les oiseaux sauvages, l’autre infectant les élevages laitiers aux Etats-Unis. L’enjeu est de savoir à quel point le virus évolue pour s’adapter aux humains alors qu’un patient américain vient de mourir.


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