Jean Jouzel

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politiques

2024

31.806 personnes composent l’effectif politique belge. Voilà ce qui ressort d’une étude réalisée par les professeurs Jean Hindriks et Alexandre Lamfalussy. Cette étude publiée par l’UCLouvain propose une analyse détaillée des fonctions qu’occupent ces 31.806 mandataires politiques belges. A quel niveau de pouvoir se situent-ils ? Quelle région du pays emploie le plus de mandataires ? Analyse.
À quatre jours des élections, la SSMG interpelle avec insistance le monde politique belge et même européen pour attirer l’attention sur douze problématiques qu’elle juge importantes. Dans le memorandum qu’elle publie aujourd’hui, l’accent est mis sur une vision de la médecine de demain… qui a déjà commencé aujourd’hui et ne rencontre pas toujours les réponses souhaitables.
L’interdiction de la vente des véhicules thermiques à partir de 2035 cristallise les antagonismes à la veille des élections européennes. La droite et l’extrême droite souhaitent reculer l’échéance, au mépris des questions environnementales.
France - Institutions, immigration, défense, écologie… A l’approche du scrutin du 9 juin, «Libé» a épluché les programmes des huit principales listes en lice. Dans cet épisode, focus sur l’environnement.
Que pensent le PS ou les Engagés sur la taxation d’une résidence secondaire ? Que disent le MR et Ecolo sur la création d’une armée européenne ? Le PTB et Défi sont favorables à la construction de nouvelles prisons ? Voici les réponses à plus de 250 questions que nous avons posées aux six partis francophones représentés au parlement fédéral. Les plus petits partis qui se présentent aux élections mais qui n’ont pas d’élus au parlement fédéral n’apparaissent pas ici.
Alors que l’état d’urgence a été levé lundi dans l’archipel, les émeutes contre l'élargissement du corps électoral, qui ont fait 7 morts entre le 14 et le 24 mai, ont entre autre accentué la crise de l’industrie du nickel, premier employeur de l’île, en difficulté depuis l'année dernière.
Une croissance des ventes en berne, la perspective d’une vague populiste anti-véhicules à batterie aux élections européennes… L’électrification automobile entre dans une période de flou, ce qui pose de gros problèmes industriels aux constructeurs.
Dans une lettre ouverte publiée lundi (13 mai), des centaines d’organisations de la société civile ont dénoncé le récent changement de cap de l’UE en matière de politiques de durabilité dans le secteur agroalimentaire.
Donald Trump a convié des représentants de l’industrie des combustibles fossiles à son club privé, en Floride, pour leur demander de verser 1 milliard de dollars à sa campagne présidentielle. L’objectif ? L’aider à emporter le scrutin afin qu’il annule des réglementations environnementales instaurées par Joe Biden.
Dans cette lettre, adressée aux ministres européens des Affaires étrangères, ces personnalités, dont l’ancien diplomate Elie Barnavi, appellent à la reconnaissance d'un Etat palestinien, «une question de principe et de justice historique».
L'équipe de campagne de Joe Biden a vivement dénoncé jeudi des informations selon lesquelles son rival Donald Trump a promis à des dirigeants de compagnies pétrolières d'inverser plusieurs politiques favorables à l'environnement s'il était élu en novembre. Des révélations du Washington Post C'est le Washington Post qui a fait état de cet engagement du candidat de la droite américaine à la présidentielle de novembre à des responsables du secteur du pétrole.
Donald Trump, le candidat de la droite américaine à la présidentielle, a promis à des dirigeants de compagnies pétrolières d'inverser les politiques environnementales du président Joe Biden s'il était élu en novembre, affirme jeudi le Washington Post.Le magnat républicain leur a par la même occasion suggéré de lever pas moins d'un milliard de dollars pour financer sa campagne, indique le quotidien, s'appuyant sur des sources anonymes pour relater cette rencontre qui s'est tenue en avril dans sa résidence floridienne de Mar-a-Lago.
Vous avez dit DC2024 ? D pour doorrekening et C pour chiffrage en 2024. Cette année, la Belgique a rendez-vous avec les urnes. Pour la deuxième fois, les partis représentés à la Chambre des représentants ont soumis au Bureau fédéral du Plan (BFP) une liste de mesures prioritaires, qui sont tirées de leur programme électoral. Il revient au BFP d’analyser l’impulsion budgétaire de ces mesures et leur impact sur une série d’indicateurs économiques, sociaux et environnementaux. Les mesures et résultats du chiffrage sont présentés sur ce site.
Face à l’urgence climatique, des scientifiques appellent les familles politiques à signer un accord préélectoral multipartite dans lequel elles s’engageraient à atteindre les objectifs de décarbonisation et de conservation de la nature.
Après les frappes du 1er avril, imputées à l’armée israélienne, sur le consulat iranien à Damas, en Syrie, Téhéran a promis une riposte. Selon les renseignements américains, cités par le média “Bloomberg”, celle-ci devrait survenir “dans les prochains jours”.
Cédric Philibert consacre son dernier ouvrage à la défense des voitures électriques. Il défend leur intérêt face à l'urgence climatique.
Belgique BELGIQUE Pourquoi les partis politiques bloquent la réforme de leur propre financement ? © Tous droits réservés il y a 3 heures • Temps de lecture11 min INFO Par Guillaume Woelfle PARTAGER Écouter l'article Paradoxe, incompréhension voire… schizophrénie. Les observateurs politiques ne sont plus très sûrs du terme qu’il faut utiliser pour expliquer ce qui se passe en ce moment à la Chambre, autour du financement des partis politiques. Le constat est pourtant simple : il faut réformer le financement, les dépenses et le contrôle des finances des partis politiques. Les partis eux-mêmes le reconnaissent mais ne parviennent pas à se mettre d’accord, au grand dam du collectif citoyen "We Need To Talk". L’appel de 69 experts et personnalités, publié dans Le Soir, ne semble rien y changer.
Des fruits et des légumes contaminés par les PFAS (polluants éternels), c’est ce que révèle une nouvelle étude publiée ce mardi 27 février. Cette étude pointe les pesticides pulvérisés sur les champs et les arbres fruitiers comme responsables de la contamination. L’invitée ce mardi dans la Matinale de la Première était Céline Bertrand, experte en santé publique au sein de la cellule "environnement-santé" de la Société scientifique de médecine générale (SSMG). Cette structure, constituée de médecins généralistes, se mobilise contre ce qu’elle qualifie de régression en matière de protection de l’environnement et de la santé publique. C’est l’Europe qui est visée et notamment certaines décisions (considérées comme un rétropédalage) de la Commission européenne, dans le contexte de contestation du secteur agricole.
(Ceci est la rediffusion en VF d'une conférence que nous avons co-organisé avec Jean-pascal van Ypersele et son équipe.) 🔍 Cinq ans après les mouvements de grève étudiante et à l'orée d'élections décisives en Europe et en Belgique, où en sommes-nous réellement dans notre combat contre le changement climatique et les limites planétaires ?
Dans une lettre ouverte consultée par Euractiv jeudi (15 février), plus de 200 économistes ont appelé la Commission européenne à revoir la manière dont elle calcule ses prévisions économiques et à mieux intégrer les facteurs environnementaux critiques dans ses modèles de référence.
D’ici à décembre, des scrutins sont organisés dans un très grand nombre de pays, parmi lesquels les huit les plus peuplés du monde. Comment se déroulera cette année électorale particulière ?
La période de prudence commence ce 9 février. Cela veut dire que les partis politiques vont devoir limiter leurs dépenses en communication pendant quatre mois, notamment sur les réseaux sociaux. Quelles sont les publications les plus sponsorisées depuis les dernières élections et que révèlent-elles de la stratégie des partis ? Analyse à l’aide de données rassemblées par le collectif Adlens.
Comment les futurs électeurs voient-ils les élus ? Quelle image ont-ils des parlementaires européens qu’ils pourront...
C’est la soupe à la grimace pour ceux qui espéraient faire évoluer le système de financement des partis en Belgique. Les différents partis ne se sont pas encore mis d’accord sur une réforme. Sauf surprise, rien ne changera avant la fin de la législature, les partis politiques belges restent assis sur une énorme manne financière qu’ils peuvent dépenser presque comme ils veulent.
Pour Philippe Baret, professeur à la Faculté des bioingénieurs de l’UCLouvain, « transformateurs » et distributeurs sont largement responsables de la situation que dénoncent les agriculteurs.
Le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, a tenu des propos inquiétants.
Promouvoir une politique de santé basée sur un système de santé organisé à partir des soins de santé primaires.
En 2023, les partis politiques ont dépensé 6 millions d’euros en publicités sur Facebook et Instagram, d’après les chiffres rassemblés par Adlens, un record depuis que le collectif collecte ces données. Le mouvement citoyen We Need To Talk en profite pour rappeler l’une de ses revendications : établir un plafond annuel des partis pour les dépenses des partis sur les réseaux sociaux.
Le 30 novembre 2023, la Cour d’Appel de Bruxelles a condamné l’Etat belge, la Région flamande et la Région bruxelloise pour inaction climatique. Seule la Région wallonne s’en sort « indemne », notamment grâce à l’engagement de réduire ses émissions de gaz à effets de serre fixé par décret. Un Arrêt inédit

2023

Quatre petits partis privés d'élus attaquent l'État belge en justice à propos de la loi sur le financement des partis. Ils estiment que celle-ci favorise les partis établis sur l'échiquier et qu'elle est discriminatoire à leur égard, écrit mardi le quotidien flamand De Morgen.
À l’approche de la COP28 organisée à Dubaï, aux Émirats arabes unis, la génération climat a-t-elle encore des... Vous faites partie d’une génération qui se bat depuis 2019 pour plus de justice climatique et sociale. Est-ce qu’aujourd’hui, c’est une génération désenchantée ?
Avec les élections de 2024 en vue, le cap des six millions d'euros de dépenses publicitaires en ligne pourrait être dépassé d'ici la fin de l'année.
Une chronique d'Agathe Defourny, experte en eau, et Pierre Jamar, expert en santé-environnement, tout deux chez Canopea (ex Inter Environnement Wallonie).
Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a affirmé dimanche que "les politiques et les actions du Hamas ne représentent pas le peuple palestinien".
Climatologues de renommée mondiale, Jean Jouzel, Yamina Saheb et Wolfgang Cramer sonnent l’alarme dans « À l’air libre » : la planète se réchauffe très vite et consomme toujours plus d’énergies fossiles. Sans que les politiques ne prennent la mesure du changement.
Face à l’urgence absolue de la situation, de plus en plus de scientifiques ont décidé de se rebeller et d’agir en accord avec les alertes écologiques qu’ils lancent, souvent en vain, depuis des années. Si cet engagement de la science dans le débat public n’est pas nouveau dans l’histoire, le mouvement interpelle par son ampleur et sa détermination. Avec un mode d’action de plus en plus répandu : la désobéissance civile. On pourrait dire que tout a commencé en septembre 2020 avec le lancement de Scientist Rébellion, mouvement international qui regroupe désormais des milliers de scientifiques. Mais en réalité, quelques mois plus tôt déjà, en février 2020, 1000 scientifiques français appelaient à la rébellion dans une tribune au Monde. Dans la foulée, le mouvement français Scientifiques en rébellion voit le jour. Depuis, il est de plus en plus fréquent de voir sur les réseaux sociaux ou dans les médias des scientifiques en blouse blanche prendre part aux actions de désobéissance civile pour alerter l’opinion pub
En 2022, le contexte géopolitique (hausse des prix des matières premières, agression russe en Ukraine) comme scientifique (rapport du GIEC) a mis en exergue la sobriété comme outil stratégique. Au-delà de la sobriété énergétique évoquée à l’automne 2022 par le gouvernement français et pourvoyeuse d’indépendance, le champ de réflexion ouvert par ce concept est bien plus vaste. Quels sont les nouveaux modèles sociaux et les nouveaux modes de consommation ? Comment comprendre le rapport à la démocratie et au contrat social, jusqu’à la conception de puissance ? Avec Gilles Gressani, Emmanuel Hache, Yamina Saheb et Aurore Stéphant. Présentée par Julia Tasse. Conférence filmée vendredi 29 septembre 2023 dans le cadre du festival Les Géopolitiques de Nantes. En partenariat avec l'IRIS (Institut de Relations Internationales et Stratégiques) et Nantes Métropole.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a appelé lundi à "mettre de côté les tensions géopolitiques" existant au sein de la communauté internationale pour avancer dans la lutte contre le changement climatique, jugeant une meilleure "coopération" indispensable pour limiter le réchauffement à 1,5°C."L'objectif d'un réchauffement de 1,5°C" est "toujours à portée de main" mais il se heurte à "de nombreux défis", a mis en garde le directeur de l'AIE, Fatih Birol, à l'ouverture d'une réunion internationale sur le climat et l'énergie organisée à Madrid à deux mois de la COP28.
Pour l’historien et professeur d’histoire contemporaine Johann Chapoutot, l’obscurantisme criminel des pétroliers et l’ignorantisme au pouvoir face au changement climatique nous conduit à la mort – ou à la désobéissance civile.
Selon une nouvelle étude menée par un chercheur de l’Institut de sciences politiques Otto Suhr de la Freie Universität Berlin, le niveau du produit intérieur brut (PIB) n’a aucun impact sur la capacité des États dotés d’une souveraineté monétaire à financer des investissements dans des mesures radicales de décarbonation et des mesures sociales ambitieuses. des politiques telles que des services publics universels et une garantie d’emploi. L’étude « Comment payer pour sauver le monde : théorie monétaire moderne pour une transition vers la décroissance » vient d’être publiée dans la revue Économie écologique.
Dans un amer journal « éco-philosophique » rassemblant chroniques et réflexions sur la structuration d’un courant politique « climatocynique », le philosophe Dominique Bourg trace une voie étroite pour la construction de démocraties vertes.
Journées des familles, festivals, universités d’été… En cette dernière rentrée politique avant les élections...
La Libre analyse les grands enjeux pour chacune des formations francophones à l’aune de la campagne électorale qui s’ouvre.
Libre Eco week-end | Le Dossier. Les économistes francophones de l'Economic Prospective Club se sont penchés sur cette question évidemment d'actualité au vu des crises, de différentes natures, vécues durant la dernière décennie.
Pics de température, pluies intenses, sécheresses : les phénomènes extrêmes se succèdent dans l’indifférence.
La crise climatique mondiale transcende les frontières, impactant les nations sans distinction, c'est le cas de l'Iran.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) a exhorté lundi les États-Unis et la Chine à mettre de côté "leurs tensions" lors de la COP28 prévue en fin d'année, estimant que les "fractures géopolitiques" sont un frein au développement des énergies propres.
Malgré des études récentes montrant une surmortalité des femmes âgées lors périodes de fortes chaleurs, la variable du genre n’est pour le moment pas prise en compte par les autorités sanitaires françaises.
En 2018, la Belgique a connu l’été le plus chaud de son histoire et l’émergence d’une mobilisation citoyenne historique pour le climat. La pandémie a eu raison de cet élan démocratique. En 2023, qu’est-ce qui a changé ? Rien, ou presque. La situation n’a fait qu’empirer, faute de mobilisation citoyenne et faute d’action politique. Une pandémie, des inondations historiques, une guerre sur le sol européen, une crise énergétique mondiale et la montée de tous les fascismes, toutes ces causes et ces conséquences sont aggravées par l’écocide planétaire, lui-même dû à l’absence de transition écologique juste. Les inégalités augmentent, la démocratie est en péril, nous détruisons l’habitabilité de notre planète. Nous ne faisons pas ce qui doit être fait pour éviter le pire, et nous ne sommes pas prêts à affronter ce que nous ne pouvons déjà plus éviter.
Confrontée à des phénomènes météorologiques extrêmes liés au changement climatique, la Corée du Sud change d’approche et opère un virage à 180°.