2025
Dans sa tentative de détricoter toute lutte contre le dérèglement climatique aux États-Unis, Donald Trump multiplie les attaques contre l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique. Cet organisme gouvernemental joue un rôle primordial dans la recherche scientifique mondiale et dans la surveillance météorologique.
Les rivières atmosphériques se déplacent de façon inattendue depuis plusieurs décennies, et ce n'est pas sans conséquences.
2024
L'année 2025 devrait être l'une des trois plus chaudes enregistrées sur la planète, a indiqué jeudi l'agence britannique Met office, après une année 2024 record qui dépassera pour la première fois la barre symbolique de 1,5°C de réchauffement.
Le phénomène météorologique de La Niña avec ses températures plus basses pourrait se développer dans les trois prochains mois mais il sera "court et de faible intensité" et insuffisant pour compenser les effets du réchauffement climatique, a indiqué l'ONU mercredi.
Les températures relevées dans le sud de la France interpellent les climatologues.
Ces phénomènes, surnommés points chauds de canicule, inquiètent les chercheurs, qui tentent d’en comprendre les causes.
L'année 2024 sera la plus humide jamais enregistrée depuis le début des mesures en 1833 à Uccle, a annoncé mardi l'Institut royal météorologique (IRM) dans un communiqué. Le précédent record annuel de précipitations sera probablement dépassé mercredi.
Le record de température journalier pour un 24 novembre à Uccle a été battu, a indiqué David Dehenauw, météorologue de l'IRM, sur les réseaux sociaux.
L'Organisation mondiale de la météorologie (OMM) publie ce lundi 28 octobre son relevé annuel des différents gaz à effet de serre présents dans l'atmosphère. Si le CO2 pèse pour 65 % dans le réchauffement climatique, le méthane (CH4) et le protoxyde d'azote (N2O) sont également impliqués dans le réchauffement planétaire. Un autre rapport de l'ONU-Climat demande aux pays d'augmenter l'ambition de leurs plans climat pour s'aligner sur la trajectoire climatique de l'Accord de Paris.
Beryl, Gaemi, Yagi, Krathon, Helene, Kirk, Milton : 2024 a été balayée par des ouragans, des cyclones et des typhons d’une intensité inédite, laissant derrière eux des victimes et des destructions considérables. Une intensification qui prend sa source dans le réchauffement des océans....
Après une activité modérée depuis la mi-août, la formation de six ouragans depuis fin septembre – dont Helene, Milton et plus récemment Oscar, qui vient de traverser Cuba – place la saison 2024 comme particulièrement active, bien que l’on soit encore loin des records.
Confrontées à un changement climatique incontrôlable, certaines personnes peuvent préférer adhérer à des théories du complot pour retrouver un sentiment de contrôle.
Il est "quasiment certain que 2024 sera l'année la plus chaude jamais mesurée" après le record de 2023, a annoncé mardi l'observatoire Copernicus. Septembre 2024 a été le 2e mois de septembre le plus chaud jamais enregistré, poursuivant une série de plus d'un an de températures exceptionnelles. L'observatoire européen note également dans son bulletin de septembre des "précipitations extrêmes" sur une partie de l'Europe ainsi que des conditions plus humides que la normale sur certaines régions d'Amérique du Nord, d'Asie et d'Afrique:
Une planète plus chaude, c'est aussi une planète plus arrosée. On l'aura particulièrement constaté en ce mois de septembre diluvien.
Une étude révèle que près de 70 % de la population mondiale sera confrontée à des conditions météorologiques extrêmes au cours des deux prochaines décennies, si la tendance actuelle d’émissions de gaz à effet de serre se poursuit.
Les records de températures, d’orages violents et d’inondations révèlent de nouveaux extrêmes rendus possibles par le changement climatique.
Les prévisions pour les années à venir s'empirent.
Ce phénomène météorologique s'est multiplié ces dernières années.
La superficie de céréales de printemps, dont l’orge et le blé, a diminué de 42,6% sur le territoire belge en 2023, selon un rapport publié par Statbel. De mauvaises conditions météorologiques ont en effet perturbé les semis au printemps 2023. Une chute de 55% a été observée en Flandre, contre une baisse de 36,2% en Wallonie.
En raison d’un hiver pluvieux et du manque d’ensoleillement, la France connaît «parmi ses trois plus petites récoltes» depuis les années 1980, selon le ministère de l’Agriculture.